Les Cèpes Avaient De Gros Pieds...

Ça c’est passé en septembre, un vendredi où amandine, ma femme, et moi Thom ne
travaillions pas. Nous avions entendus dire qu’il y avait des champignons dans la
forêt voisine de cinquante kilomètres. Nous n’avons jamais pratiqué ce genre de
cueillette mais il faut bien commencer un jour. Il faisait beau, nous voilà partis de
bonne heure...
Garés au bord d’une petite route, munis d’un bâton et d’un panier, nous nous sommes
enfoncés de plus en plus loin dans la forêt.
- Chérie si tu trouves un champignon qui à le pied plus gros que la tête tu me
fais signe c’est les meilleurs.
- Le pied plus gros que la tête ? ça me rappelle quelque chose ….
- Haha chez moi c’est la tête qui est plus grosse que le pied tu veux voir ??
- Nous ne sommes pas là pour les galipettes, cherche au lieu de t’exciter.
Après deux heures de recherches pas évidentes, nous avons trouvés cinq belles pièces.
J’en ai un peu marre surtout à force de voir le cul cambré et serré dans un jean
d’amandine pliée en deux. Par jeu, avec mon bâton je lui gratte l’entre- jambes juste
à l’endroit de la vulve !
- ARRETE ! ça me fait des choses !
- Quel genre de choses ?
- Des vibrations qui remontent très loin dans ma chatte…
- Ça te stimule ?
- ben oui je ne suis pas de bois !
- Tu veux qu’on rentre ?
A ce moment là une grosse voix nous fait sursauter, je me retourne et découvre un
homme bourru, la face rouge, une énorme moustache, vêtu d’une veste en velours et d’un
pantalon assorti, le propriétaire terrien dans toute sa splendeur, il vocifère en
détaillant ma femme des pieds à la tête :
- Qu’est ce vous foutez chez moi ? y’en a marre de se faire piller !
- Monsieur nous cherchons juste quelques champignons.
- Sans vous poser la question de savoir à qui ils appartiennent ?
- Ah ! excusez nous nous ne pensions pas à mal.

..
Soudain un orage éclate, de grosses gouttes tombent, le feuillage ne les arrête pas,
nous ne somment pas vêtus pour nous protéger de la pluie, le temps de revenir à la
voiture et surtout de la retrouver, nous serons trempés jusqu’aux os c’est certain !
- Vous n’avez même pas prévus un imper ? dans cette région le temps change vite,
aller suivez moi j’habite tout prés, madame est déjà trempe.
Il porte toujours un grand intérêt à amandine, Je crois savoir ce qu’il a vu : sous le
gilet, le corsage laisse voir les tétons qui pointent à cause de la sensation de
froid. Je ne savais même pas qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge, j’entraine ma
femme par la main car ses petites jambes lui font faire deux pas contre nous u. A
l’orée de la forêt une petite ferme...
- Nous voilà arrivés, je vais faire une flambée pour sécher vos vêtements.
- Nous ne voulons pas déranger.
- Déranger ? foutre non ! je m’appelle Hector.
- Excusez nous Hector pour les champignons, si vous voulez nous vous les
redonnons.
- Pouff ! j’en ai plein le congèl, d’ailleurs je vous en donnerai tout à
l’heure, des frais que j’ai cueillis ce matin, c’est pour le principe...
L’homme pose un banc sans dossier devant la cheminée où en deux secondes la chaleur
nous repousse.
- Asseyez vous je vais vous servir un armagnac ca va vous donner un coup de
fouet et mettez vous à votre aise, faites sécher vos vêtements sur cette chaise, ne
vous gênez pas pour moi j’en ai vu d’autres ! d’ailleurs je vais moi aussi enlever mes
affaires mouillées.
Amandine me regarde en buvant son verre d’alcool l’air de me demander ce qu’elle
devait faire, j’hausse les sourcils ne sachant que dire mais une idée fait son chemin
dans ma tête ….. Je me lève et imite notre hôte qui se retrouve en slip, quel slip !
Il ne date pas d’hier, un ‘kangourou’ avec la poche fendue, les élastiques détendus
laissent voir les testicules poilues, par contre la besace est bien remplie ! dés lord
une atmosphère érotique s’installe.

Amandine nous regarde abasourdie… le verre d’armagnac fait son effet, j’en profite :
- Chérie met toi en sous-vêtements ne garde pas ces habits trempés sur toi.
- Tu as raison je ne vais pas rester seule mouillée.
Est-ce une réflexion à double sens ? …….Hector reste un moment silencieux, les yeux
exorbités en voyant les seins libres et le string bleu qui cache à peine la toison :
- Vous vous baladez comme ça en ville ?
- Ça dépend des quartiers où nous allons, aujourd’hui nous venions à la campagne
et comme elle aime se promener la poitrine nue….
- En tous cas elle a de beaux nichons, et le bas ? … ça ne cache pas grand
chose ce truc ! …
- Ha ? le string ? vous ne trouvez pas ça joli ?
- Vingt dieux ! si alors ! on voit toute la forme du sexe !
Amandine débloquée tourne sur elle-même lentement laissant le paysan sans voix quand
elle se penche en avant.
- Putain c’est mieux que dans les magazines ! excusez moi mais je suis obligé se
sortir ma zézette j’ai envie de m’astiquer, continuez madame je vais bientôt gicler.
La scène est irréelle, ma femme s’exhibe devant un homme qu’elle n’a jamais vu, moi
aussi je sors ma queue et de concert je me manipule, Hector s’approche de moi et
murmure à mon oreille :
- Voudriez-vous la caresser devant moi ? Je ne bougerais pas promis, il y a fort
longtemps que je n’ai vu une aussi belle créature nue.
- Amandine ? approche s’il te plait …..
- Que veux-tu mamour ?
- Faire plaisir à Hector, vient te blottir dans mes bras… laisse moi faire,
abandonne toi totalement.
- Chéri ce n’est pas raisonnable…
Je colle ma femme sur moi, ses bras le long du corps, de mes mains aplaties je masse
en larges cercles son dos satiné. Raffolant de cette caresse elle ronronne et se
détend totalement, l’homme s’est assis et ne perd rien du spectacle qui devient de
plus en plus hard.

Mes mains descendent contournant les bords du string, je réunis les deux cotés pour
les faire disparaitre entre les fesses, je pétrie les lobes charnus, Hector marmonne
des mots crus, la salive coule de sa bouche , amandine se love sur mon érection , si
je la laisse faire, elle va me demander de la pénétrer , c’est prévus, mais pas tout
de suite … je la retourne face à Hector qui dresse la tête en voyant les tétons prêts
à exploser et la tâche qui orne l’entre jambes.
Mes mains soutiennent les seins, je les rapproche l’un de l’autre, je suis sûr que
l’homme imagine sa queue entre les deux …Mes doigts font rouler les bouts exacerbés,
amandine frotte ses cuisses l’une sur l’autre impatiente de se faire sauter, il est
temps de visiter plus bas …..
Son ventre plat est contracté, mes doigts atteignent le string je passe entre la peau
et la dentelle, voilà la toison blonde taillée en forme de cœur, elle écarte les
jambes pour m’inviter à progresser, Hector devient rouge écrevisse, il devine mais ne
voit pas réellement la caresse ! Amandine fait un bond et pousse un cri strident quand
mes doigts débusquent le clitoris.
- N’ayez crainte Hector je ne lui ai pas fait mal au contraire !
- Je sais, elle est tout simplement sensible du clitoris !
Aaaaahhhh cet homme a tout de même des connaissances en sexualité ! Je délaisse le
clito pour ouvrir les lèvres déjà séparées par l’envie de queue, deux doigts
s’enlisent dans le volcan enflammé, une longue plainte de délivrance accompagne ce
geste, ses genoux fléchissent et s’ouvrent.
- Chéri je t’en supplie arrête cette .
- Encore un peu de patience mon amour, l’estocade finale approche, l’explosion
ne sera que plus intense.
- Huuuuummmmm j’ai envie J’AI ENVIE !!!!!!
- Vous la faites souffrir Thom ….
- Vous n’allez pas le regretter ……
J’ôte ma main pour la reposer au même endroit mais par-dessus la dentelle, le tissage
du tissu laisse suinter la cyprine, mes doigts glissent sur la sève qui humecte le
string, j’att les cotés et tire dessus faisant ressortir le galbe de la vulve
avant de les réunir et de les enfoncer entre les lèvres.
Les lèvres poilues dépassent
de chaque coté, le moment de dévoiler entièrement la chatte est arrivé …. Mes doigts
agrippent le sous-vêtement qui quitte l’entre jambes poisseux, Hector s’est levé la
queue à la main à la vision de la vulve enfin délivrée du carcan intime qui tombe au
sol. D’un mouvement de pied précis elle expédie le string vers l’homme qui s’en empare
au vol et hume longuement son parfum.
- Mmmmmuuuuummmmmm quelle odeur … l’odeur de l’amour, de la baise et cette moule
qui me nargue ! je vais jouirrrr
- Thom, tu arrêtes ça tout de suite ou je vais jusqu’au bout des choses...
- Le bout des choses c’est te faire prendre par Hector ?
- Le pauvre regarde dans que état il est !
- Alors assied toi au bout du banc …. Hector ? elle est à vous …..
- Vous voulez dire la baiser ?
- Tout ce que vous voudrez, elle n’en peut plus elle acceptera n’importe quoi !
- Alors je veux qu’elle me suce avant.
- Approchez Hector …
Une jambe de chaque coté du banc, amandine saisie la queue et l’avale sans sourciller,
l’homme lève les yeux au plafond et pose ses mains sur la tête blonde pour diriger
l’intensité de la pénétration.
- Aaaaahhhh putain ça fait du bien, elle est bonne,y’a longtemps que je ne me
suis pas fait sucer comme ça …. Hooouuuuaaaah je vais décharger …. Aaaaaahhhhhhhhh
Amandine déglutis à plusieurs reprises, preuve de la quantité reçue dans la gorge. En
parfaite salope elle tète les dernières goutes avant de relâcher sa proie.
- Merci petite, je vais te rendre hommage à mon tour, allonge toi…. Muuuummm
qu’elle est belle cette chatte….
Hector se prosterne devant la moule entrebâillée et la détaille longtemps avant
d’avancer sa langue et ses doigts, ma femme tend la main vers moi pour me sucer la
queue, le visage de l’homme ne bouge pas d’un millimètre mais il doit faire un travail
de sape intense si j’en juge par les contorsions du bassin d’amandine qui mugit en me
suçant maladroitement trop prise par le cunnilingus.
Soudain elle me recrache pour laisser éclater son orgasme, un cri démarre lentement
pour finir en un bruit à faire trembler les murs, une flaque s’est formée au pied du
banc, Hector redresse le visage dégoulinant de mouille, il passe sa langue sur ses
lèvres et aspire sa moustache afin d’en récupérer le maximum.
- Ben j’ai pas perdus la main !!! je l’ai faite bien gueuler cette cochonne !
…. Est-ce que je peux ?…
- La baiser ? elle n’attend que ça !
L’homme pose les deux jambes de ma femme sur ses épaules et avance sa trique noueuse
vers le vagin méconnaissable, sans tâtonner il entre aisément dans la fournaise,
amandine ouvre la bouche au moment de la pénétration j’en profite pour revenir me
faire sucer !
- Ah putain elle est serrée, huoooo que c’est bon, je vais la ramoner jusqu'à ce
qu’elle n’en puisse plus, écoutez ce bruit ? elle dégouline sur mes couilles.
- Baisez la à fond Hector parlez lui elle aime ça.
- Je peux lui dire que c’est une salope ? une putain qui aime se faire défoncer
? je vais te péter la connasse grosse sale dévergondée, tu te souviendras de la bite
d’Hector ! c’est meilleur qu’un cèpe !
- OUIIIIIII encule la salope que je suis, je fais cocu mon mari, il aime ça me
voir écartelée par une grosse bite ! remplie moi la choune, il me la bouffera après
Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! ouuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je JOOOOOUUUUUIIIIIIS
!!!!!!!!!!!
- Hhhhhhhhhhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa je lui balance tooooooouuut hhhuuuummmm ça
soulage !......... Tu veux te faire enculer ? …. Tiiiiiiiiiieeeennnnnnnnns
- AAAIIIIIIEEE !!!! le salaud il l’a fait !!!!!!! chéri il me sodomise !
- Normal, fallait pas lui demander ! Comme ça tu auras tes deux trous pleins de
foutre, quand on va te prendre tous les deux ça glissera tout seul !
- Salaud ! Ooooohhh ouiiii met moi en plein le cul Hector c’est bon ……
Nous avons passés la journée à baiser chez Hector, il nous raccompagné à la voiture,
Amandine ne pouvait plus marcher !

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