Taxi !

Tu marches dans la rue, talons ouverts, jupe assez courte, petit haut léger, quelques sacs à la main. Au gré de tes arrêts, tu t’aperçois que je te suis. Puis tu me perds de vue. Soudain je te bouscule, faisant tomber tes sacs.

Machinalement, on se baisse tous les deux pour les ramasser. Nos visages se frôlent. Je me répands en excuses en t'aidant à rassembler tes affaires. Pour me faire pardonner, je te propose de boire un verre dans un café à côté. Tu acceptes poliment.

Une fois assis et m'être encore excusé, nous commandons à boire. Je te pose quelques questions, tu réponds toujours de façon courte et polie, en baissant les yeux. Tout en te questionnant, mes genoux touchent les tiens, je me rapproche, ma main se pose sur ta cuisse. Je me penche vers toi et te dis doucement à l'oreille "Ouvres tes cuisses doucement !". Tu obtempères docilement. Ma main remonte entre tes cuisses.

Je me lève, me penche pour te dire "Je vais payer, tu peux en profiter pour partir, mais si quand je reviens tu es encore là c'est que tu acceptes de m'obéir sans discussion".

Quand je reviens tu es toujours là, tu t'es levé. Je te prends par la taille et t’entraîne plus loin. Je me mets en quête d'un taxi. Nous nous engouffrons à l'arrière du 1er qui se présente et lui donne l'adresse de destination. À peine a-t-il démarré, mes mains se refont baladeuses. J'écarte tes cuisses, remonte doucement ta jupe. Le chauffeur n'en perd pas une miette. Je me penche vers lui et lui demande si tu peux me sucer pendant qu'il conduit. Il acquiesce, trop heureux du spectacle. Je déboutonne mon jean et sors ma queue, ma main passe derrière ta tête et t'oblige à venir me sucer. Tes mains viennent pour aider ta bouche, mais je les saisis et les ramène dans ton dos.

Le trajet n'est pas long. Le taxi s'immobilise, le chauffeur se retourne et dit "Désolé, on est arrivé, ça fera 10 €". Je maintiens ta tête sur mon sexe et lui demande s'il accepterait d'être payé en nature.

Il réfléchit quelques secondes, se saisit de son micro et annonce à sa base qu'il fait une pause et n'est plus disponible. Nous nous rhabillons, sortons du taxi, suivi du chauffeur et entre dans l'appartement.

Sitôt la porte refermée je te demande de te mettre à genoux et de sucer le chauffeur. Tu t’exécutes, l'homme ouvre son pantalon et te fourre sa bite dans la bouche. Tu le suces sans retenue. Pendant ce temps je me mets à la recherche de ce qui pourrait servir de corde. Ayant trouvé mon bonheur je reviens vers vous, mets tes mains derrière ton dos et t'attache. Le chauffeur a ses deux mains sur ta tête et peut maintenant imprimer le rythme à sa guise. Il n'hésite pas à enfoncer son sexe loin au fond de ta gorge.

"Relèves toi mais continue à sucer !" Te voilà pliée en deux, sans tes mains pour l'équilibre, le chauffeur s'agrippant maintenant à tes cheveux. Moi, j’écarte tes jambes et remontes lentement ta jupe. Je fais tomber ton string, tu me présentes maintenant ton anus. Une main par-dessous, l'autre par-derrière, je commence à te caresser sans ménagement. Tu mouilles à n'en plus finir.

Afin de libérer le chauffeur le plus rapidement possible, je te redresse et te plaque contre la table. "Allez-y, elle est à vous..." et je lui tends une capote. L'homme ne se fait pas prier, il s'approche de ton cul, on sent qu'il hésite. Il me regarde, cherchant un signe d'approbation. Je lâche un "comme vous voulez...". Il plaque sa bite contre ton trou du cul. Comme à appuyer. Il crache un coup pour lubrifier l'orifice, puis pousse un peu plus fort. Ça y est, il est rentré, tu pousses un petit cri. Il ne cherche visiblement pas à faire durer le plaisir, et commence des rapides coups de boutoir. Tu hurles à chacun. Je m'approche de toi, te soulève la tête et t'embrasse à pleine langue. Il se libère dans un dernier coup de rein.

Je continue à t'embrasser. Le chauffeur s'est rhabillé en 4ème vitesse, me fait un signe de la main et repart en claquant la porte.


Nous nous retrouvons enfin seuls. Toi, les mains attachées dans le dos, allongée sur la table. Moi face à toi à te regarder.

Je te demande : « Tu as aimé être prise par le chauffeur .
- oui, réponds-tu timidement
- oui maître ! Et puis regardes moi, dis-je en te relevant le menton !
- oui maître
- t'aime ça, être prises par le petit trou .
- oui maître, j'aime beaucoup ça.
- bien, tu seras servi, petite salope. »

Je te laisse dans cette position humiliante quelques instants. Quand je reviens, je me plaque derrière toi. Avec mes pieds, j'écarte tes cuisses. Je me baisse et t'attache un manche à balai entre tes 2 pieds. Je te relève et te mets face à moi et t'embrasse en te tenant le menton. Puis je te force à t'accroupir. Je te détache les mains du dos mais aussitôt je t'attache chaque main à un côté du manche à balai. Je me déshabille. Tu ouvres la bouche pour m’accueillir. Je m'y enfourne doucement. Tu commences à me sucer goulûment. « Tu as faim ma salope, mais attend un peu, va plus doucement ! ». Tu ralentis le rythme, et commence à me lécher avec le bout de ta langue. « Bien, tu es une bonne suceuse. N'oublie pas mes couilles aussi et surtout regardes moi que je vois dans tes yeux ta soumission ! » Tu obéis, tu es magnifique, là, à genoux devant moi, sans pouvoir bouger, ta bouche suçant mon sexe, et tes yeux plongés dans les miens. « Bon, fini de jouer ! » Je sors une pince à linge de derrière mon dos, je te pince le nez avec. « Mais maître, je ne vais plus pouvoir respirer . » Je ne réponds pas, et réenfonce mon sexe dans ta bouche, mais cette fois de manière plus brutale, en te tenant la tête à deux mains. Je vais le plus loin possible et ne bouge plus. « Regardes moi ! » Tu lèves les yeux, mais cette fois, ils demandent grâce. Des larmes font couler ton léger maquillage. Je me retire, me penche et t'embrasse à pleine bouche. Je me redresse et recommence, quelques secondes, puis je commence à baiser ta bouche.
Tu baves sans pouvoir te retenir. J'arrête, te regarde, Je t'essuie le visage et t'embrasse à nouveau.

Je passe derrière toi, je te pousse en avant en te retenant par les cheveux. Ton visage vient s'appuyer sur le sol. Les bras tendus en arrière, toujours attachés avec tes pieds au manche à balai, ton cul se dresse devant moi. Il est bien écarté. Je me penche et commence à te lécher le clitoris. J'alterne aspirations et grands coups de langue, tout en tenant tes fesses à deux mains. Tu gémis à n'en plus finir. Petit à petit, je me fais plus vorace, je te mange littéralement la chatte et le cul. Quand mon doigt pénètre ton anus, tu jouis une première fois. Je laisse passer l'orage et reprends. Je te branle l'anus pendant que j'aspire ton clito. Tes gémissants reprennent de plus belle. Je remonte la tête et lèche maintenant scrupuleusement ton petit trou. Je me redresse et remets 1, puis 2, puis 3 doigts dans ton cul. Puis 2 doigts de chaque main. Je rentre, je sors, tu commences à être bien dilatée.

Je te claque à plusieurs reprises la fesse droite. Tu sursautes et gémis. Sans prévenir, je vais à la cuisine. En revenant, je me mets à genoux derrière toi et te pénètre la chatte. Je commence de lent va et vient. Je t'enfonce mon pouce dans le cul et accélère un peu le mouvement. Je ralentis et tu sens alors un objet froid se coller à ton petit anneau. Je me retire, te pénètre la chatte avec un petit concombre. Je le sors, remets ma bite à sa place et l'enfonce dans ton cul. Je commence une petite cadence de va-et-vient. Le concombre rentre maintenant parfaitement.

Je me retire, laissant le légume planté dans tes fesses. Je te détache la main droite. et la pose sur le concombre. « Vas-y, branles-toi ! » Tu commences à te branler devant moi, poussant maintenant des petits cris. Après un nouvel orgasme, je t'enlève le concombre du cul et te le fourre dans la chatte (après l'avoir un peu lavé tout de même). « Tiens le bien, j'arrive ! » Et je me plante dans ton cul, mes mains écartant au maximum tes fesses.
Le paysage est tout simplement grandiose. Après quelques minutes, je jouis en même temps que toi dans un dernier coup de boutoir.

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