J'Aide Un Jeune Couple ....

A la retraite à cinquante-huit ans, ma femme Annette travaille encore trois ans.
Propriétaires dans un petit hameau, l’an dernier un jeune couple a acheté la maison voisine. Ils apportent un peu de soleil dans ce lotissement bien que nous ne voisinions pas nous nous appelons par nos prénoms.
Mélanie, c’est son prénom, a vingt-cinq ans et un bébé de six mois, très belle fille au look moderne, Théo, vingt-huit ans, quelconque, comme dit Annette : c’est donner de la confiture a un cochon, et pour qu’elle dise ça c’est que c’est vrai ! Elle ajoute même …. S’il continue comme ça il ne tardera pas à être cocu…
- C’est sûr, quel homme ne se retourne pas sur une belle femme comme ça ?
- Ho toi vieux dégoutant tu pourrais être son grand père tu n’as pas honte ?
- Mais je ne parle pas pour moi, je la respecte, et comme on dit, ce n’est pas parce qu’on est au régime qu’on n’a pas le droit de regarder le menu !!
S’il continue comme ça’ ça veut dire aller à la chasse le samedi et foot le dimanche pendant que Mélanie s’occupe du gamin, malgré ses signes de la main quand elle nous voit et ses larges sourires je la devine malheureuse, ses yeux expriment la tristesse.

Un samedi matin je tonds la pelouse, ma femme comme à son habitude est partie au marché, Mélanie me fait des grands gestes
- J’ai beau crier vous ne m’entendez pas !
- Excuse-moi c’est la tondeuse, que t’arrive-t-il ?
- Je n’ai plus d’électricité vous pouvez venir voir Marco ?
- J’arrive ma fille
- Le compteur est là dans le garage
J’entre dans le garage le compteur électrique est au fond mais un étendoir à linge ma barre la route … mes yeux sont attirés par le genre de linge qui sèche …je reste scotché, des ensembles de sous-vêtements féminins tous plus coquins les uns que les autres, celui qui attire le plus mon attention est en forme de papillon il ne doit cacher grand-chose de la vulve seulement tendu par deux élastiques, d’autres a froufrous et dentelles sans oublier les soutiens gorge assortis qui ne sont que décoratifs, pour soutenir des seins ça ne le fait pas !
- Oh excusez-moi Marco j’ai oublié de ranger mon linge, je ne les étends pas à l’extérieur j’ai honte de les montrer !
- Pourquoi avoir honte ? Le jardin donne sur les champs, y’a que moi qui peut les voir et je trouve ça très beau, Théo a de la chance, de mon temps ça n’existait pas, ma femme portait de grandes culottes blanches tue l’amour ou des pantis antiviol ! Si elle avait porté ces lingeries je les lui aurais arrachées avec les dents, percées avec mon sexe ou souillées sur elle !
- C’est exactement ce que j’aimerais que me fasse Marco, j’ai beau les porter et m’exhiber devant lui ça le laisse froid, il me demande pourquoi je m’habille comme une pute, et que je suis mère, j’en ai marre de rester seule le weekend déjà qu’il ne me touche pas la semaine….

quel âge avez-vous Marco ?
- Cinquante-huit pourquoi ?
- Vous faites bien plus jeune, Sans indiscrétion combien de fois par mois faites-vous l’amour à Annette ?
- Oh, deux fois par semaine en moyenne, ça a bien diminué depuis quelques années ma femme se néglige un peu
- DEUX FOIS PAR SEMAINE ?????? waouh ! Vous savez combien pour nous ? Deux fois par mois et il ne pense qu’a son plaisir ! Ça me dégoûte ! Moi ce serait tous les jours mais il ne veut pas !
- Quel idiot ! Bon nous nous égarons, voyons voir ce compteur
- Vous savez j’adore plaisanter comme vous, ce ne sont que des paroles et j’aime bien me confier
- Voilà le courant est remis je te laisse, à bientôt Mélanie
- Merci Marco !
Cet intermède m’a retourné ! Au moins elle est franche et j’aime ça, n’empêche que j’étais à la limite de l’érection ….

Le samedi suivant j’ai l’agréable surprise de voir flotter au vent les sous-vêtements sur les fils à linge je ne peux m’empêcher de m’accouder à la murette et admirer ces chefs-d’œuvre, le ‘ papillon’ est là …..J’essaie d’imaginer ce que cela peut donner sur son corps
- Bonjour ! Comment ça va Marco ?
- Oh ! Très bien Mélanie, excuse moi j’étais en extase devant ton petit linge ! Tu vois ça sèche mieux à l’extérieur
- Oui d’ailleurs je vais les ramasser
La jeune femme est encore en robe de chambre, le landau du bébé est sur la terrasse, Théo doit être à la chasse ? Mélanie ramasse ses sous-vêtements et s’approche de la murette pour me serrer la main, sa poitrine est juste dissimulée par le mur
- Ça va aujourd’hui ?
- Boff couci-couça, je vais encore passer le weekend seule ! Heureusement j’ai Enzo à m’occuper ! …..Marco ?
- Oui ?
- Je peux être franche avec vous ?
- Bien sur fillette
- Ho je ne suis plus une fillette justement, ce que je veux vous dire ce n’est pas facile à avouer …
- Lance toi je suis ton confident !
- L’autre jour vous avez dit une phrase qui depuis ne me quitte plus
- Je t’ai choquée ?
- Oh non au contraire.
.. voilà-vous avez dit que vous auriez aimé souiller une petite culotte comme les miennes sur votre femme si elle en avait porté
- Oui, je n’aurais pas du dire ça devant toi je suis dingue !
- Non vous êtes réaliste, toutes les nuits je repense à ça, j’imagine ma culotte poisseuse sur moi
- Mélanie …..
- Chut... laissez-moi finir ….Marco, prenez ce string, le papillon, c’est celui que vous préférez
- Et j’en fais quoi ?
- Vous êtes derrière un mur, je ne vois rien, je ne risque rien, souillez ce slip s’il vous plait ….
- MÉLANIE !!!!!
- Faites-le je vous en prie ! J’attends !
- Bon …….ce ne sera pas long je suis déjà en érection …
- Je m’en doutais …..

Le pantalon de jogging baissé j’enroule la petite culotte sur mon gland et me manipule, Mélanie a le regard trouble, une main sur la murette prend la mienne comme pour communier pendant cet acte, l’autre main ? Je parie qu’elle est dans sa robe de chambre …..
- Mélanie …. Ça vient …. Aaaaaaaaaahhhh aaaaaaaaahhhhhhhh aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah
Rouge de confusion je pose le sous- vêtement visqueux sur le mur, la fille passe la main qui avait disparu par-dessus le mur
- Sentez …..
Ses doigts sont humides, je saisis son poignet et porte la main à mes narines ……
muuuuuuuummmmmmmmm !
Une délicieuse odeur de cyprine envahit mon nez, je ne peux résister à les lécher sous les yeux fermés de Mélanie en extase.
Soudain elle me la retire et trifouille un instant entre ses jambes avant de se reculer et ouvrir sa robe de chambre.
- Regardez Marco ! Huuuuummmmm mon slip colle sur ma chatte, c’est sublime, dommage que ça se soit refroidi !
La femme a enfilé le slip souillé, elle passe et repasse ses doigts sur le tissu gluant qui dessine ses lèvres et agglomère quelques poils, les seins sont nus, je continue à bander devant cette scène irréelle !
- Excusez-moi Marco je me sauve... vous devinez pourquoi ….
.Je ne peux m’empêcher de me caresser, merci pour ce don !!!
- Aaaaaaaaaaaa bientôt ????????
Comme un couillon je rentre aussi à la maison pour me masturber à nouveau, l’après-midi c’est Annette qui a été surprise quand je lui ai demandé de s’allonger pour atténuer mes envies….Je n’ai pas revue Mélanie de la semaine, je n’ose plus me montrer à elle, mais le samedi matin Annette vient de partir au marché
- Allo ? Marco ? C’est Mélanie, mon compteur fait encore des siennes, vous pouvez venir ?
- J’arrive …
- Passez par le garage ….

Je pousse la porte du garage et découvre Mélanie en robe de chambre mal fermée qui m’attend nerveusement en se tordant les poignets, entre les pans du vêtement je distingue des sous- vêtements noirs
- Marco …mon compteur marche bien, vient …
Elle me tend la main, je la lui prends, je la suis comme un automate, nous traversons le salon pour prendre le couloir, elle ouvre une porte, celle de sa propre chambre, la robe de chambre tombe à terre
- Caresse moi, arrache mon slip avec tes dents, perce le avec ta queue, souille le, souille moi de ton sperme…fait ce que tu veux de moi
- Mélanie il ne faut pas faire ça
- Ne refuse surtout pas je ne supporterais pas un tel affront, je préférerais fuir loin d’ici à jamais, si tu acceptes personne n’en saura jamais rien.
La phrase terminée elle s’allonge sur le lit conjugal les jambes pendantes, les cuisses ouvertes, je remarque que le string qu’elle porte est fendu laissant apercevoir les lèvres gonflées par le désir, je m’agenouille entre, mes mains maintiennent les deux membres écartés, ma bouche se pose sur le tissu, je perçois déjà le parfum subtil de femme en plein désir sexuel.
- Vite lèche moi …..
Ma langue se fraie un passage entre les deux froufrous du string, la chatte est brûlante, je remonte pour débusquer le clitoris bandé, elle sursaute et guide ma tête
- Reste là ne bouge plus, tète-le, aspire-le, mordille-le
Je fais de mon mieux et enfonce en plus deux doigts dans sa gaine vaginale et un dans son œillet brun, elle se tortille en hurlant, je ramone avec rage son sexe qui inonde ma main, tellement accro elle jouit en une minute, son corps devient inerte, cela suffit peut être à la calmer ? Je me retire et me dirige vers la porte
- MARCO RESTE !!! Déshabille-toi je veux faire connaissance avec ton sexe
- Si je reste je vais te baiser à t’en faire perdre conscience
- C’est exactement ce que je veux ! Mais avant je vais te sucer à fond
Assise au bord du lit elle attend que j’approche, ma queue à l’horizontale se balance de gauche à droite, elle écarquille les yeux.

- Quelle bite ! Théo fait petit garçon à côté !
- Ne parle pas de lui et avale

Les deux mains cramponnées à ma bite elle suce aspire, tète, lèche comme si sa vie en dépendait, je n’essaie pas de résister et laisse le point de non-retour arriver… une première contraction de mon canal et c’est parti.
Mélanie pousse des soupirs de ravissement, j’entends des bruits de sucions obscènes jusqu'à ce que la dernière goutte coule dans son palais.
- Je ne regrette pas de t’avoir piégé ! Maintenant si nous passions aux choses sérieuses ? Regarde ma chatte comme elle a faim, tu vas la gaver mais avant je vais changer de slip … regarde celui-ci il est tout mini en nylon transparent, j’ai fait une amorce de fente juste en face mon trou
- Et alors ?
- hé bien tu vas finir de le percer avec ton membre raide
- C’est vrai, je me souviens t’avoir parlé de percer un slip avec ma queue ! Tu ne perds pas le nord toi
La jeune femme enfile le mini string qui devient encore plus transparent au contact de sa mouille, je vois les lèvres écrasées et difformes, cela me fait penser à quelqu’un qui se met un bas sur le visage, je vais la défoncer comme elle le souhaite ….
- Remonte tes genoux sous tes bras … hhhuuuummmm quelle petite salope tu fais
…..Regarde bien la déchirure….
- Vas y pousse avec ton défonce cul …..
- Tu ne crois pas si bien dire …
L’étoffe fléchit, le vagin s’incurve, ma queue plie je la maintient raidie d’une main, je relâche la pression pour voir si le trou du string cède …une fente commence à se dessiner, je reviens à la charge, mon gland est tuméfié, Mélanie ouvre des yeux tout ronds
- Ça vient ?
- Prépare toi à tout avaler d’un coup, quand le tissu va céder tu vas l’avoir jusqu’aux couilles
- Aaaahhhhaaaahhhaaahhhh ….. Ça va me faire mal ?
- Non, ça va te calmer ton hystérie !
Et d’un coup …. CRAC !! Ma queue est aspirée par la faille trempée en une fraction de seconde, mes couilles sont écrasées sur son cul, un jus indéfini passe par les mailles du slip, Amélie la bouche grande ouverte bêle de surprise.
- Wooooouuuuuuhhhhhh !!!!!!! Tu as vu ? Ça fait bizarre on dirait que tu n’as plus de bite
- Peut-être mais tu dois la sentir ?
- Ho oui je la sens même bien ta grosse queue !
- Alors c’est parti …

En appui sur les mains, mes bras bloquent ses jambes repliées, je la taraude à grands coups de reins, les yeux clos elle se donne comme une chienne, la respiration saccadée, ma sueur coule sur son visage, les chocs provoquent des plaintes rauques, des coulées de cyprine inondent mes testicules, je lâche ma purée sans arrêter mon pilonnage, mais épuisé par la position je me retire
- Déjà ? Baise-moi encore Marco !!!
- Alors ôte cette culotte, le nylon m’échauffe la queue et tourne-toi à plat ventre
- Tu vas me ….
- Je ne sais pas encore, ouvre les jambes et écarte ta raie avec tes mains, oooooooooooh tu es ouverte de partout salope !
Je guide ma queue dans sa fente éclatée et je m’allonge sur elle le temps de reprendre mon souffle, tranquillement je lime son vagin en lui mordillant les lobes d’oreilles
- Tu me donne la chair de poule ! je suis biiiiiiiiieeeeeeeennnnnnnnnnnnnn ! …. Marco ? Encule moi je suis prête !
- Comme tu veux
A genoux derrière elle je relève son p’tit cul à bonne hauteur, sa rondelle gluante est boursoufflée, j’enfonce deux doigts afin d’en vérifier sa souplesse, le visage sur le drap, les poings crispés elle attend
Mon gland tourne autour du puits, et glisse vers l’intérieur, malgré elle ses sphincters se resserrent
- Lâche prise, respire lentement, pense à ma queue qui va te perforer les entrailles jusqu’aux burnes et t’expédier au septième ciel
- Bourre-moi ton manche dans l’anus Marco ne t’arrête pas même si j’hurle….
Aaaaaaahhhhhh ça commence à m’élargir le cul …. Pousse ….. AIE ! Ça pique !
- Je m’en fous j’enfonce encore ……
- OHOHOHOHOHOHOHOHO huuuuuuuuuuuummmmmmmm ouuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiii !
- Je me retire et …… JE RE-RENTRE !!
- Salaud ! Vas-y ça me fait du bien met moi tout !!!

Tenue par les poignées d’amour je bourre la jeune femme qui grogne de plaisir, rattrapé par la jouissance je la maintiens sur moi pour me vider une dernière fois, nous nous affalons tous les deux sur le lit, Mélanie s’est endormie, silencieusement je rentre chez moi.
Le lendemain elle me téléphone ….
- Allo Marco ? Théo sait tout, rassure toi tout va bien, j’ai fait exprès de laisser trainer mes culottes souillées, quand il a découvert ça il est devenu fou mais dans le bon sens, il a relevé ma jupe pour me doigter me lécher en me demandant de tout lui raconter, il se doutait déjà de quelque chose, il bandait comme jamais, tu sais quoi ? Il arrête la chasse et le foot mais il me laisse deux samedis par mois pour que tu continues à me baiser avec mes slips sur moi ! Il adore les lécher et nettoyer mes trous avec sa langue !

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