Forêt Noire

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Voila bientôt une heure que le petit groupe chemine sur le sentier escarpé écrasé de soleil. Peu à peu la lisière d’une forêt peuplée de hauts pins se rapproche avec sa promesse de fraîcheur. Lorsque nous atteignons les ombrages, je bois goulûment le contenu de ma gourde et m’effondre sur le sol revêtu d’un doux manteau de mousse. Je déboutonne ma chemisette et la ceinture de mon short, trempés de sueur, et me laisse aller à une douce somnolence pendant que mes compagnons se rafraîchissent eux aussi.

Les minutes passent quand soudain une étrange sensation me réveille à demi. Deux genoux plaquent mes épaules au sol tandis que des mains expertes s’aventurent dans la jambe de mon short. Elles commencent à me caresser les bourses tandis que d’autres escamotent ma chemise et massent fébrilement mes tétons. Je me tortille en silence sous leurs assauts persuadé que je vis un rêve agréable. Elles dénudent mon bas ventre et redoublent d’attention pour mon sexe. J’ouvre un œil et constate que mes amis ont disparu. Deux solides bûcherons, au souffle alcoolisé et aux vêtements trempés de sueur, s’occupent avec fougue de mon anatomie. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire me voici quasi nu, uniquement revêtu de mes chaussures, le corps livré à leurs mains calleuses.

Tandis que l’un ouvre sa braguette et dégage son sexe de son pantalon, l’autre me soulève et m’agenouille devant lui. Ma bouche est envahie. Son phallus franchit doucement mon larynx et m’étouffe à demi. J’essaie de me soustraire mais mon crâne est maintenu par deux puissantes mains. Je bave abondamment et m’habitue à cette sensation. Etonnamment ma cavité buccale devient une zone érogène et le manque d’oxygène embrume mon cerveau d’une douce euphorie. Ses bourses franchissent la barrière de mes lèvres et je me sens défaillir. Je m’accroche brutalement à ses fesses nues comme à une bouée.

Dans le même temps son collègue a écartelé mes cuisses et s’est emparé de mes fesses.

Un doigt humide, énorme et rugueux a pénétré mon sphincter anal. Il échauffe mon cul et le dilate doucement. Lorsque je m’excite et commence à me tortiller, il entre sa courte queue en moi en tenant fermement mes hanches de ses deux mains. Sous les coups de boutoir de son bas ventre, mes fesses émettent un bruit flasque et mes bourses battent la chamade. Au comble de l’excitation, mon sexe dressé traduit l’intense bouleversement de mes sens. Je transpire abondamment et mon corps ne m’obéit plus. Les effets de cette double pénétration ne se font pas attendre : Je sombre dans le néant et perds connaissance.

Lorsque je reprends conscience, je suis demi allongé sur une table de bois dans une cabane de bûcheron. Mes pieds touchent à peine le sol et mon torse est appuyé sur son plateau. Les deux compères se succèdent sans un mot dans mon cul les mains appuyées de tout leur poids sur mes épaules. Je suis totalement érotisé et jouis bruyamment sous leurs assauts tandis qu’ils éjaculent dans mon intestin. Ils me retournent sur le dos et me prennent encore à plusieurs reprises jambes repliées sur la poitrine. Les petites morts succèdent aux orgasmes et ne laissent jamais mon corps au repos.

Maintenant rassasiés, ils me laissent là sur cette table le cul dilaté et mouillé de foutre. Alors qu’ils se servent une bière qu’ils me renversent en partie sur le corps, ils caressent et pincent mon intimité. Une main malaxe mon visage et pénètre par instants ma bouche entrouverte. Mon corps tressaute et s’enflamme à nouveau en de multiples spasmes. « La petite pute en réclame » dit l’un en s’emparant de mon sexe et en le tordant brutalement. Je hurle et me retourne. Une canette de bière s’enfonce à moitié entre mes fesses tandis que mes bourreaux éclatent d’un rire sardonique. Je m’évanouis à nouveau.

A mon réveil, la table du déjeuner est mise. Je me lève pour sortir un moment et att mes vêtements posés sur une chaise. Le plus âgé de mes compagnons me les arrache des mains et les lacère de son couteau avec un évident plaisir, puis me pousse dehors, nu.
Rempli d’inquiétude, je me dégourdis rapidement les jambes et me libère d’un besoin naturel. Mon corps est hypersensible et détecte le moindre souffle de vent, la moindre différence de température. J’entends des bruits inconnus sous les frondaisons. J’imagine que mille yeux scrutent ma nudité indécente. Cela stimule mon excitation et j’imagine mille situations scabreuses. Puis, la peur me gagnant, je serre instinctivement les fesses et me replie sur moi. Je ne m’attarde pas plus dans la clairière et rentre rapidement dans le chalet.

Lorsque nous passons à table, mes compagnons s’installent à mes cotés sur le banc. Le tissu rêche de leurs pantalons, le bas de leurs deux corps colle à mes cuisses et à mes hanches découvertes. Mes épaules et mes bras nus frôlent leurs chemises rugueuses et leurs bras noueux à chaque mouvement. Je me trouble à nouveau à ce contact indécent.

Dès qu’ils sont rassasiés, leurs bouches voraces à l’haleine lourde s’intéressent à mon corps dénudé. Leurs langues violent la frontière de mes lèvres et m’étouffent de baisers. Leurs mains s’intéressent à nouveau à à la peau découverte de celui qui est assis entre eux. Leurs mains rugueuses caressent chaque partie de mon anatomie. Aussi rustiques soient-elles, ces caresses m‘enflamment. Mes tétons durcissent et mon vit se dresse à demi. Ils écartent mes cuisses et leurs mains remontent jusqu’à l’aine. Puis l’une s’empare de mes couilles tandis que l’autre se glisse sous mon séant. Je m’appuie sur la table et me soulève un peu. Sous la poussée de leurs mains, je bascule sur le plateau de la table au milieu des couverts et mes fesses sont écartelées. Chacun d’entre eux me pénètre à nouveau simultanément d’un doigt avec force. C’en est trop et mon sexe crache sa semence sur le plateau.

Les deux complices en prennent ombrage et me crient des insanités, puis ils commencent à me brutaliser. Ils m’agenouillent sur la table et commencent à me fouetter de leurs ceinturons.
J’arrive en bougeant à esquiver la violence de leurs coups mais l’expérience reste douloureuse. Pourtant, le plaisir malsain que je ressens n’échappe pas à mes bourreaux qui redoublent de perversité. Leurs coups s’orientent vers les parties les plus sensibles de mon anatomie. Je suis partagé entre douleur et excitation. L’un d’entre eux me soulève dans ses bras et me pose à terre. Il m’offre ses fesses dilatées tandis que son ami entre en moi. La fatigue allonge considérablement l’arrivée de notre plaisir qui finit par se déclencher en cascade. Je me libère et m’effondre, heureux, pour la troisième fois.

Quelques heures plus tard, après la disparition des deux complices, je dois rentrer, entièrement nu et maculé de foutre, jusqu’à notre gîte. En route, je dois me cacher à plusieurs reprises pour échapper au regard de quelques randonneurs. L’un d’entre eux me suit à la cache et me contemple avec une intensité gourmande. A bout de forces et nullement rebuté par son physique, je m’offre à lui pour m’en débarrasser. Il me positionne à quatre pattes et m’encule avec délicatesse. Il calme ensuite mon angoisse de quelques agréables caresses puis disparaît brutalement. A l’entrée du village, je rampe dans les herbes qui m’égratignent et passe inaperçu. Je réussis à me glisser dans la maison ou je retrouve mes compagnons gênés et manifestement témoins d’une partie de mes aventures. L’une de mes compagnes passe de longues minutes à me laver, me calmer et me cajoler. Je lui fais brutalement l’amour, comme par vengeance.

Depuis ce jour, je ne cesse d’errer dans les forêts à la recherche de telles sensations que je n’ai jamais réellement retrouvées à l’exclusion de quelques furtives étreintes. Sous le moindre ombrage, mon ventre se rentre, mes fesses s’échauffent et mon sexe se dresse sous le vêtement. J’ai envie de me dénuder, au cas où... !

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