Le Quincaillier, 7Ème Partie ( Ma Première Expérience Féminine)

J'essayais de récupérer allongée nue sur le vieux plancher sale de la pièce, les gens sont debout autour de moi à me regarder comme ébahis, comme une aubaine qu'ils n'ont même pas sollicitée, mais qui était là par terre à leur disposition, une belle salope qui aime ça...
J'ai froid et la chair de poule visible sur mon corps a l'air de les exciter, beaucoup n'ont pas pu m'approcher, et ce sont contentés de regarder par dessus l'épaule de celui qui était devant.
Soudain, je vois entre leurs jambes que l'autre porte qui donne sur la petite pièce à coté s'ouvre, le patron du bistrot rentre et une discussion assez animée s'engage avec ceux qui m'entourent en Arabe, je les vois qui s'écartent, le patron et le quincaillier me relèvent et me disent que je vais aller avec eux dans la cuisine, qu'il y fait chaud, que je ne peux pas rester là, je les suis toujours nue, et j'arrive dans la cuisine, là il y a le chef apparemment, un gros gras suintant, qui me regarde des pieds à la tête de son air vicieux, l'on me conduit au fond dans l'arrière cuisine, une sorte de pièce de repos, il y a un vieux canapé pourri et un fauteuil qui devait aller avec dans le temps, mais qui n'a plus de couleur réelle, le vieux me donne mes vêtements, les cuisiniers me regardent, je ne sais même pas s'ils faisaient partie de ceux qui m'ont prise...et leur chef aussi peut-être...je me rhabille..je suis fatiguée, je dois rentrer vers 15 heures, je vois au mur qu'il est déjà près de 14 heures, ça fait 2 heures que je suis dans ce bistrot.. je n'ai pas mangé..on me donne un café et nous partons par la cour, le patron préfère que je ne passe pas par le resto.
Le copain Arabe de mon patron, me dit qu'on se reverra, comme le patron du bistrot me l'a dit à la cuisine aussi..je suis trop fatiguée pour discuter et je hoche la tête, c'est tout..
Le vieux me dépose devant chez moi, je rentre vite avant que ma mère rentre, et je prends une bonne douche, je m'allonge sur mon lit, c'est ma mère qui me réveille en rentrant, je m'étais endormie.



Samedi après midi, je bosse pour mes cours à la maison; j'ai du louper un épisode car je ne comprends rien au sujet, on a dû en parler en cours mais j'ai sûrement zappé..j'ai une copine de classe dans le quartier, je décide d'aller la voir.
Sa mère ouvre, une belle femme, dans les 45 ans, très sophistiquée comme toutes les bourges du coin, elle me dit que ma copine n'est pas là, elle est partie pour ses cours d'aquarelle un atelier pas très loin, mais elle termine vers 17h30, elle ne sera pas là avant 18h..et il est 15h...galère...bon, je m'excuse de l'avoir dérangée et je tourne les talons quand elle m'interpelle et me dit de rester un peu, elle aimerait parler 5mn..ça y est; je me dis qu'elle va me questionner sur sa fille, j'aime pas ça, je lui dis que je dois aller faire des courses et que je ne peux pas rester longtemps, j'ai pas vraiment le choix par politesse et je la suis jusqu'au salon, elle me montre le canapé, je m'assois pendant qu'elle disparait dans la cuisine, elle revient avec une bouteille de coca, nous sert et s'assoit à coté de moi.

J'attends les questions un peu sur la défensive, mais elle parle de moi, de ma gentillesse, de ce qu'elle sait de moi par sa fille en somme, je me détends, j'avais peur d'être obligée de mentir sur ma copine, il est arrivé que je lui serve d'alibi quand elle a un rendez-vous avec un copain après la classe, et là on ne s'est pas concertée, je me laisse allée sur le dossier, rassurée.

Au fur et à mesure de la conversation, elle en vient à ma façon de m'habiller, elle aimerait que sa fille soit un peu plus féminine comme moi, nous discutons ainsi depuis une bonne demi-heure quand elle me félicite pour ma jupe, elle touche le bord comme pour voir ce que c'est comme tissu, elle est courte et en levant le bord elle dévoile un peu mes cuisses, elle s'en excuse mais je la rassure, puis sa main remonte sur le sweat et refait la même chose, passe la main dessous pour définir la matière, je sursaute par le contact froid de sa main sur mon ventre, elle rit, mais un rire un peu rauque, je la sens un peu gênée, et je ne réalise pas sur le moment pourquoi et soudain elle se penche vers moi et me prend la bouche.
..je fais rien...j'en reviens pas, elle écarte mes dents délicatement avec sa langue.... mes joues sont en feu, elle envahit ma bouche dans un long baiser passionné....doux....je ressens une onde bizarre dans tout mon corps; je n'ai jamais ressentie cela, je me détends, me laisse aller dans ses bras, fondre...ce baiser tendre, cette bouche tiède, tellement agréable descend dans mon cou, continue à me distiller des sensations inconnues, des frissons, des vagues de chaleur, conquise je m'abandonne totalement dans ses bras...

Un bras est autour de mes épaules, continuant à m'enlacer dans ce long baiser voluptueux, tandis que l'autre mains me caresse les seins maintenant par dessus le sweat, puis elle descend, arrive en bas de ma jupe et remonte entre mes cuisses, qui s'ouvrent, qui laissent progresser celle ci jusqu'à mon mon petit cœur humide...cette facilité, cet abandon l'encourage, elle me caresse de ses doigts par dessus la culotte, puis passent sur le coté pour atteindre directement ma petite fente mouillée...elle triomphe...je sens sa bouche qui sourit sur ma bouche, j'ouvre les yeux, les siens sont ouverts et plongent dans mon regard, elle sourit...un peu gênée je les referme en souriant aussi, me blottissant dans le creux de son épaule..
Sa douce main joue doucement avec mon clito, puis passe à ma fente, me masturbe un peu et revient, son bras se dégage doucement de mes épaules, je me laisse aller contre les coussins, j’entrouvre les paupières, elle se laisse glisser au sol devant mes jambes ouvertes, restant à genoux elle lève ma jupe, tire ma culotte au pieds, me soulevant ceux-ci l'un après l'autre pour laisser tomber celle-ci par terre..puis place sa bouche sur ma chatte et m'envahissant cette fois ci la chatte à son tour..
Ses deux mains ont pris possession de mes fesses, une sous chaque elle pousse ma chatte contre sa bouche, me fouillant, léchant, aspirant mon clito...je ne cesse de gémir, folle de désir je prends sa tête à deux mains et je l'enfonce entre mes cuisses qui commencent à trembler, totalement ouverte, affalée en arrière, yeux mi clos, gémissante j'approche de l'orgasme, je la tiens à l', elle me dévore, s'active, une main quitte mes fesses pour s'occuper de mon clito, l'autre envahit ma chatte trempée qu'elle doigte activement, j'entends le clapotis de ma mouille à chaque entrée et sortie, je me cambre en relevant les fesses, me tends, et j'explose, elle remet vite sa tête que j'enfonce entre mes cuisses à l' encore.
... jusqu'à ce que je me relâche, pâmée la tête en arrière..sur le dossier.

J'ouvre les yeux malgré ma gêne, la mère de mon amie...elle me regarde avec un visage sérieux, grave...de suite elle m'explique qu'elle a de temps à autre des rapports lesbiens quand des occasions se présentent, rarement, une ou deux fois par an et encore, mais elle a flashé sur moi, elle me dit sur le ton d'une confession difficile qu'elle aime tout en moi, mon physique mais aussi ma façon d'être, ma maturité, elle attendait une occasion mais la redoutait aussi, j'ai maintenant à peine 18 ans....je la rassure, et nous nous mettons à parler, assises l'une à coté de l'autre, j'ai rabattu ma jupe sur mes genoux, mais je vois ma culotte encore par terre, elle voit ce que je regarde et nous éclatons de rire toutes les deux..

Je me sens bien avec elle et je lui dit...elle en est attendrie et je vois ses yeux embués, elle est très touchée de ce que je lui dis...elle se rapproche un peu plus, prend mon sweat et le tire pour que je sorte mes bras, puis détache de deux doigts mon soutien, mes seins apparaissent...elle reste un instant à les regarder, puis elle les embrasse, les suce, aspire les mamelons du bout des lèvres les tirants tout en les titillant de sa langue...je suis tellement sensible des seins que je recommence à mouiller, une de ses mains descend et dégrafe ma jupe, la descend, je termine de l'enlever déjà ouverte à cette main insolente qui revient encore entre mes cuisses...
J'ai envie de la déshabiller mais je n'ose pas, une femme, une mère, et d'une telle féminité..cela me paraît impossible à faire...comme si je voulais déshabiller ma mère, mais son corps à elle je le connais, il arrive même que nous prenions notre bain ensemble quand nous sommes pressées..et elle me trouble aussi d'ailleurs..
Je suis nue, allongée sur le canapé, elle se lève et me regarde lascive, ouverte sans pudeur...elle disparait et revient quelques minutes plus tard, en robe de chambre, et deux toys dans les mains.
..

A suivre...

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