Au Levant

Au Levant

Si, chez nous, les timides exhibitions auxquelles se livrait désormais Marie au bénéfice de nos amis et connaissances restaient bien innocentes, la provocation devenait beaucoup plus évidente quand la distance assurait la discrétion. Marie était prête à découvrir d'autres sensations, sans pourtant se compromettre en quoi que ce soit ni aller jusqu'à un total abandon. C'est ainsi qu'en fin de printemps, à l'occasion de quelque déplacement, nous avons eu l'opportunité de passer trois ou quatre jour à l'hôtel sur l'Ile du Levant. Il y avait alors là l'un des seuls centres naturistes de France où mon amour se faisait une joie de pouvoir enfin s'exhiber librement. Dès notre arrivée, nous allons nous baigner à la plage dite des Rochers, précisément parce qu'elle comporte un certain nombre de dalles rocheuses permettant le bronzage au bord de l'eau. Retirant mon slip de bains, je passe le reste de la matinée aux côtés de ma vénus, tout aussi dévêtue, très sagement d'ailleurs, me contentant de la caresser un peu, quand elle me demande de l'enduire d'huile solaire, en laissant ma main s'attarder sur ses seins ou explorer la profondeur de ses cuisses. Mais, sur les roches, il n'est pas d'usage d'aller plus loin à en juger par ce que nous voyons autour de nous. Les couples sont en effet nombreux, tous adeptes de la nudité intégrale, mais il n'y a aucun geste déplacé. Ici et là de très belles filles mériteraient pourtant mieux ! Un peu décevant, quand même: c'est bien beau d'être à poil, mais si c'est pour rester sages…. Nous remontons ensuite pour déjeuner et mangeons en tête à tête dans un petit troquet, moi rhabillé et elle portant juste une sortie de bain ouverte sur son slip. La vue de ses seins orgueilleusement dressés et pointant le nez par l'ouverture de sa liquette semble à peine attirer le regard de nos voisins, probablement blasés: c'est pourtant un bien beau spectacle. L'après-midi, une sieste coquine à l'hôtel comble partiellement notre frustration et nous repartons dorer vers les rochers, tout aussi sagement.

Le programme identique pour la deuxième journée, n'a pris un réel intérêt qu'au cours de la deuxième et dernière soirée.
Après dîner, nous décidons d'aller passer la soirée dans une sorte de bar-dancing, le seul de l'île d'ailleurs, animé par une sono, où la piste de danse se prolonge par une terrasse volontairement maintenue dans la pénombre. L'assistance est assez nombreuse, presque uniquement formée de couples, dans une tenue qui semble uniforme, la plupart des hommes en chemisette et pantalon, la plupart des filles en short et chemisier, quelques unes cependant portent la robe. Ma jolie compagne et une beauté blonde de type nordique, se distinguent quelque peu en ayant remplacé le short d'uniforme par un slip de bain arboré sous une chemise. Encore faut-il remarquer que si le slip de Marie est formé de deux triangles de toile réunis sur les hanches par deux rubans qui s'y nouent, celui de l'autre fille ne comporte qu'un seul triangle dont le haut est réuni à un ruban élastique formant ceinture et dont le bas se prolonge entre les fesses par une simple lanière rejoignant la ceinture. C'est un string avant l'heure qui doit servir de tenue de soirée sur l'île, laissant totalement exposées la croupe de la blonde sous sa chemise un peu courte. Marie lui lance un regard sombre et me fait remarquer qu'elle se trouve bien trop habillée pour ce genre de soirée, portant déjà la main aux boutons de sa chemise pour l'ouvrir un peu ! Je dois modérer ses impatiences en lui conseillant d'attendre pour voir ce qui va se passer puisque, jusqu'ici, l'ambiance n'a rien eu de folichon.
A mesure qu'avance la soirée, nous buvons un peu, les danses se font plus langoureuses, c'est la grande époque du slow, et les couples paraissent enfin décidés à créer un peu d'ambiance. Marie ne tarde pas, quand je la lâche, à être invitée et revient en me disant chaque fois que son cavalier ne s'est pas gêné pour la peloter en l'entraînant vers les discrètes zone d'ombres que ménage la terrasse utilisée comme piste.
En pleine forme et ravie d'être l'objet de leur attention, ma chérie s'est bien gardée de remettre ces impertinents à leur place, les laissant cependant tomber pour revenir à moi à la fin de chaque danse. Si Marie a ainsi passé de main en main, éprouvant l'intérêt et le charme de pas mal de garçons, la blonde nordique ne danse qu'avec son mec mais paraît très excitée et se frotte sans pudeur contre lui en ondulant comme une chatte. Le garçon ne tarde pas, d'ailleurs, à ouvrir sa chemise, révélant deux seins que nul soutien gorge ne retient. La fille se colle à lui et l'embrasse voracement. Marie qui danse alors avec moi, se colle de la même manière et, en m'embrasant, me demande de déboutonner aussi sa chemise.
–Tu veux donc te montrer un peu ?
– Oui, beaucoup même, si tu le veux bien, et j'irai aussi loin que cette pale garce! Ça ne te plaît pas ? Je suis quand même aussi bien foutue qu'elle ? Mais je veux que ce soit toi qui me dévoile, c'est à toi de me montrer. Tu vois bien qu'on peut tout se permettre ici sans risquer grand chose. J'ai déjà déjeuné seins nus sans choquer personne, j'espère aller un peu plus loin ce soir. Jusqu'ici, nous avons été bien sages !
–Tu es bien mieux que la blonde, et puis, tu sais que je n'aime que les brunes. Mais, partie comme vous l'êtes, que feras-tu si elle se met complètement à poil ? Tu n'oseras jamais suivre, tu ne l'as jamais fait en public en dehors des plages.
–Tu verras bien ! Tu auras peut-être le plaisir de danser avec une fille à poil, toi aussi ! Et si ça ne t'intéresse pas, je ne manquerai pas de cavaliers pour serrer de près un aussi joli sujet.
Je m'exécute donc avec plaisir et déboutonne doucement tous les boutons de la chemise que ma petite salope écarte sournoisement pour dévoiler ses seins puisque elle non plus n'a pas jugé utile de mettre de soutien gorge!
Autour de nous, nous commençons à constater que les chemisiers plus sages s'ouvrent progressivement, mais pas toujours sur d'aussi charmants spectacles.
Cela ne suffit pas longtemps à ma douce qui se sent très en forme et décide de prendre l'initiative. Comme la musique accélère, elle fait un beau sourire à la blonde en passant près d'elle et se débarrasse brusquement de sa chemise qu'elle envoie sur le dos de sa chaise. Aussi directement provoquée, la nordique suit et se défait à son tour de sa liquette, elle aussi avec un beau sourire à ma brunette. Les deux concurrentes, car il est bien évident qu'il s'agit de cela, poursuivent la danse seulement couvertes, si on peut dire, de leur mini-slip, où de ce qui en tient lieu. Un audacieux concours de beauté vient de s'ouvrir secrètement entre elles. Les autres couples voient le manège et ralentissent leur danse pour mieux admirer la brune et la blonde, visiblement si heureuses de s'exhiber en bombant le torse. Puis, suivant un si bel exemple, ils reprennent en main leur cavalière et entreprennent à leur tour de retirer corsages et soutien-gorge, du moins pour celles qui peuvent se le permettre. Le tenancier, qui sait entretenir l'ambiance, lance une danse du balais obligeant nos deux belles à passer de bras en bras, comme toutes les autres danseuses. Dans leur tenue si suggestive, elles ne peuvent faire autrement que de se laisser peloter par tous leurs cavaliers, en se contentant, me paraît-il, de bloquer les mains trop hardies qui voudraient franchir la barrière du slip. Je ne puis qu'en profiter pour caresser moi aussi deux ou trois cavalières de rencontre plus ou moins belles et peu farouches. La fin de cette danse me ramène ma chérie qui se colle contre moi, dans un slow langoureux nous permettant d'échanger nos impressions
– Tu t'es bien amusé ? J'ai vu que tu n'avais pas pu avoir la blonde, mais tu en as eu deux qui n'étaient pas mal.
–Oh, aucune ne te vaut mais elles ne sont pas bêcheuses et se laissent facilement peloter.
–Ta main s'est perdue sur combien de chattes ?
–Tu es folle! Aucune, l'endroit ne s'y prête pas.
–Tu crois ? Ce n'est pas ce que devait penser le beau blond qui a réussi à glisser sa main dans mon slip.
Tu as été trop timide, elles ne demandaient que ça et j'aurais bien aimé te voir les caresser.
– Et tu l'as laissé faire ? Tu t'es laissée caresser comme une garce ? Je croyais que tu voulais te montrer, pas te donner ! Et puis, il me semblait tu trouvais les blonds trop fades.
– On prend ce qu'on trouve et je n'allais pas faire un esclandre sur la piste. Non, je ne me suis pas laissée faire, d'ailleurs je n'ai pas eu le temps, il a fallu se séparer. Mais si la danse avait duré un peu plus, je crois bien que je n'aurai pas résisté beaucoup s'il avait continué. C'est vrai que je suis une garce, mais c'est parce que ça te plaît et que tu me l'as demandé. Tu vois que je commence à faire des progrès !
– C'est vrai, j'adore que tu sois aussi provocante et tu sais que je ne demande qu'à te voir aller encore plus loin. Tu me parais toute excitée. Tu as du mouiller, ma belle salope avec cette main dans ta culotte ?
– Tu veux t'en rendre compte ? Tiens, tire sur les nœuds de mon slip pour les défaire.
– Tu veux te mettre complètement à poil ? Même la blonde n'a pas osé. Tu seras la première, tu es vraiment extra, je t'aime comme ça.
– Tu va voir qu'elle va faire pareil, et ce ne sera pas la seule. Toutes ces putes sont en chaleur ce soir, sinon elles ne seraient pas venues ici. Je crois que nous avons trouvé un coin sympa, moi aussi je suis en chaleur et je veux leur montrer que je suis ta petite chienne, mais rien qu'à toi pour le moment. Tu en as de la chance, ils vont tous en baver. Tire donc sur les nœuds, tu pourras mieux voir comme je mouille pour toi. Et puis ce sera plus commode pour me caresser, j'en ai très envie. Glisse ta main entre nous, on ne la verra pas.
Je suis ravi de voir ma chérie aussi déchaînée et obéis donc encore. Les nœuds dénoués, ma belle salope fait glisser d'un geste ample son slip entre ses cuisses pour le réduire en une boule dont pendent deux rubans qu'elle tient ostensiblement à la main en dansant. Malgré ce qu'elle m'en a dit et un retrait stratégique vers la terrasse peu éclairée, nos voisins ne peuvent pas manquer de remarquer mon doigt qui fouille son chaton. Avez-vous déjà vu un danseur plaquant sa main sur le ventre de sa cavalière ? L'audace a du paraître insupportable à la blonde qui se sent surclassée car, un moment plus tard, elle retire elle même son string et continue à danser, splendidement nue, en se déhanchant et en se trémoussant de la façon la plus affolante. C'est un spectacle normal, le jour, de voir à Heliopolis des filles nues, mais c'est tout autre chose que d'admirer le soir ces splendides femelles en rut s'offrir tout en se refusant sous le prétexte de la danse. Nous ne pouvons guère aller plus loin en public, du moins je le crois, je sens sous mes doigts que ma salope commence vraiment à dégouliner et je crains que cela finisse par se voir un peu trop. Elle paraît totalement excitée, je l'ai rarement vu dans cet état, jamais en public en tous cas. C'est probablement le fait de s'exhiber aussi impudiquement qui l'amène au bord de la jouissance. Elle n'est d'ailleurs pas la seule et certains couples commencent à s'éclipser vers les coins sombres pour dévêtir les dames et calmer leurs ardeurs dans une relative discrétion. C'est donc sans surprise que je la vois m'attirer vers le bord de la terrasse et que je sens sa main venir ouvrir ma braguette pour tenter d'en extirper un dard trop bandé pour être docile.
– Baise moi en dansant, nous ne l'avons jamais fait, j'en ai trop envie. Ce que tu bandes ! Je te fais de l'effet, on dirait. Viens, enfile moi bien, je mouille tellement que ça rentrera tout seul.
– Devant tout le monde ? Tu es folle !
– Personne ne s'en offusquera, tout le monde sait bien que cette terrasse sombre n'est faite que pour baiser. Tous ceux qui sont là ne pensent qu'à ça. Regarde le couple à côté, c'est déjà ce qu'ils font. Viens te mettre près d'eux, on verra mieux.
Je suis obligé de suivre et bientôt, sous la main experte de Marie, mon dard s'engouffre dans son chaton tandis que nous faisons du sur place. J'ai déjà connu mieux comme sensation, mais c'est vrai qu'il est très excitant de la baiser en public, ou presque. Je constate vite qu'elle nous fait dériver vers le couple voisin qui, effectivement, a les mêmes occupations que nous, la fille ayant elle aussi abandonné sa pudeur avec tous ses vêtements. Quand nous passons près d'eux, je la sens se coller encore plus à moi.
– Ne bouge pas. Il est en train de me caresser les fesses…Il vérifie entre mes cuisses que tu es bien en train de me mettre…. Chéri, j'adore me faire peloter le cul dans l'ombre comme ça. Fais pareil à sa nana…
Tendant la main, j'atteint une croupe qui ne se dérobe pas et vérifie à mon tour que la fille est sérieusement occupée. Ce qui devait se produire ne tarde plus à arriver et nous échangeons nos cavalières, ce qui me permet de voir que la bite du mec est effectivement prête à entrer en action vers Marie, comme la mienne vers sa femme du reste. Nous continuons la danse sur place mais, tandis que je sens la menotte de la cavalière venir enserrer mon dard et attirer mon gland contre ses lèvres où il s'enfonce sans la moindre difficulté dans une minette bien lubrifiée, je vois ma chérie décliner d'un beau sourire les entreprises analogues de son cavalier en lui permettant probablement de la caresser puisque je vois ses mains s'affairer sur le corps qui s'abandonne. La soirée devient torride, et nous ne sommes plus les seuls à pratiquer de petits jeux à peine discrets. J'ai quelque scrupule à baiser une fille devant Marie qui reste presque sage mais la houle du ventre de ma cavalière m'enflamme irrésistiblement et je ne peux résister au savant massage qu'elle m'impose. La fin de la danse oblige les hommes à se rajuster rapidement et nous récupérons chacun notre moitié pour regagner notre table.
– Tu l'as baisée ? Elle était bonne.
– C'est plutôt elle qui m'a violé et je me suis retrouvé au fond de sa chatte avant de savoir ce qui m'arrivait. Elle était très bonne et avait vraiment envie de baiser mais je n'ai pas voulu continuer puisque j'ai vu que tu ne te laissais pas faire par son mec. J'aurai bien aimé que tu sois plus audacieuse, le pauvre a du être déçu !
– Non, je te l'avais dit, je lui ai dit que je n'étais pas encore prête, pas ce soir, que je ne voulais pas qu'il me prenne mais qu'il pouvait me caresser comme il voulait et il en a bien profité. J'ai fini le slow avec une main sur mon minou qui me titillait le clito et s'enfonçait dans ma chatte tandis que l'autre se glissait entre mes fesses et que sa bouche me dévorait un sein. J'ai bien cru que j'allais jouir dans ses bras. C'était bon, il aurait fallu que ça dure quelques instants de plus.
– Tu veux remettre ça ?
– Non, nous allons rentrer pour faire l'amour tous les deux. Je ne suis pas encore décidée à me donner à un autre devant toi. Mais maintenant, j'ai trop envie de jouir pour attendre et ce cirque ne peut plus me satisfaire.
Plusieurs autres filles se sont, elles aussi, mises nues et cachent dans les coins sombres de la terrasse les entreprises de leur cavalier, mais, même si ça baise discrètement, je ne pense pas que cela puisse aller beaucoup plus loin et je suis d'accord pour nous retirer. Marie ramasse sa chemise et toujours aussi insolente dans sa nudité me suit dans l'unique rue du village jusqu'à notre chambre. Nous avons fait l'amour comme des fous, ce soir là. Un peu calmés, nous avons pris le temps de faire le point.
– Tu as aimé que je sois aussi salope que cette blonde et que je me laisse toucher?
– Tu as été bien plus salope qu'elle. N'oublie pas que c'est toi qui a été à poil la première. Oui, j'ai adoré te voir t'offrir aux yeux de tous. Et encore plus de te laisser caresser par ce type: c'est la première fois que tu as accordé autant à un autre mec devant moi, tu es en progrès ! Excitée comme tu l'étais, j'ai bien cru que tu allais te laisser baiser en dansant et ça ne m'aurait pas déplu.
– C'est pour toi que j'ai été aussi salope. Je ne sais pas ce qui m'a prise mais, puisque tu m'avais dit que tu apprécierais de me voir dévergondée, je ne voulais pas faire moins qu'elle et moins que la nana que tu t'es payée. On dit que les nordiques sont de chaudes salopes, j'ai voulu lui faire voir que les méditerranéennes ne sont pas mal non plus et te faire plaisir en te montrant comment je jouissais sous la main d'un autre.
– Quand je t'ai touchée, tu était trempée. Tu as joui si vite sous les doigts du premier qui t'a caressée?
– Non, je t'ai dit que je n'avais pas eu le temps. Cet imbécile a plaqué sa main sur mon minou sans même penser à glisser son doigt sur mon clito. Mais je mouillai parce que je jouissais de ce que j'osai faire. J'avais même peur que ça finisse par se voir sur mes cuisses. Par contre, le second savait y faire et a bien failli m'avoir: je crois que si j'avais joui dans ses bras, je n'aurais pas refusé de me laisser posséder.
– Pourquoi as-tu voulu rentrer? Il aurait pu continuer, il ne demandait que ça. Et il y avait plein d'autres mecs qui ne demandaient qu'à te caresser et t'auraient même emmenée pour te baiser. Tu as bien vu que c'est ce que tout le monde faisait déjà dans les coins de la terrasse. Tu te serais laissée faire?
– Je ne sais pas. Je ne crois pas puisque tu étais là. Et puis ça ne pouvait conduire à rien. J'étais trop excitée pour me contenter d'un simple petit enfilage. Baise moi encore, tu me fais mouiller rien que d'en parler.
Et nous avons baisé à nouveau, mais je savais maintenant que ma chérie était prête à aller plus loin et qu'il restait peu de chemin à parcourir pour la voir succomber à ses penchants vicieux.

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