Confidence D'Un Psychiatre

Je recueille, assise dans le salon de lecture de ma librairie, beaucoup de confidences. C’est ainsi qu’un de mes clients, psychiatre de métier, me raconta un souvenir longtemps occulté.
Voila son récit :

« Tous les jeudis, ma mère recevait un groupe d’amies pour jouer au bridge. J’avais à cette époque 17 ans. Les tourments d’une sexualité en éveil m’obligeaient à me masturber n’importe où et n’importe quand.
Ce fut donc un de ces jeudis, que je découvris des plaisirs que je devinais, mais que je n’avais jamais pratiqués.
J’étais alors à l’étage, dans ma chambre d’adolescent. Assis devant une affiche de femme nue, je me masturbais fébrilement, sans savoir que ma porte était entrebâillée. Cherchant les toilettes, une amie de ma mère passa la tête dans ma chambre et ne put s’empêcher de marmonner un OHhhhh!.
Sur le coup, je pensai à une exclamation de surprise gênée… Moi en tout cas, je me mis à rougir comme un homard cuit. Étant déjà au point de non retour, je jouis sous le regard de la vieille femme, qui en profita pour entrer dans ma chambre et refermer la porte derrière elle.

- Eh bien ! mon petit… Elle est belle ta queue. Voilà bien longtemps que je n’ai pas vu de sexe masculin et encore plus longtemps, d’en avoir touché un…
Est-ce que je peux ? me demanda-t-elle en approchant sa main ridée de mon engin…

J’écoutais paisiblement mon client psychiatre, quand mon œil fut attiré par une bosse dans son pantalon. Il bandait et moi je mouillais, rien qu’en m’imaginant le prendre dans ma bouche…

Malgré son désir qui se voyait de plus en plus, mon client continua son récit…

« Je ne sus pas quoi lui dire. Après tout, c’était une vieille femme... Indigne peut-être… mais quand même !
Je lui fis un signe d’acquiescement de la tête, en lui demandant toutefois, de ne pas le dire à ma mère.
Mon pénis n’avait encore jamais été manipulé par une femme.

Seulement par Léo, un petit copain de collège, qui aimait bien me tripoter et que je laissais faire.
Je constatai immédiatement l’expérience de la femme, qui enroula ses doigts pleins d’arthrite autour de mon pieu. Toujours assis sur le bord de mon lit, elle vint s’agenouiller devant moi. Approchant son visage pour mieux le voir, elle le renifla comme un chien hume une femelle. Je sentais son souffle irrégulier sur mon gland décalotté, ce qui donna un surcroît de tonus à ma queue. La vieille ne fut pas surprise de ma réaction et s’enhardit, en amorçant un mouvement masturbatoire des plus efficaces.

- Tu aimes, me demanda-t-elle ?
Je peux faire mieux si tu veux…

Toujours muet mais approbateur de la tête, je vis les lèvres de la vieille se poser délicatement sur mon gland, suintant de désir.
Mmmmm ! C’était tellement bon. Je ne voulus pas qu’elle arrête. Pour le lui faire comprendre, je lui mis la main sur la tête, sans penser que je lui envoyais ainsi le message d’aller plus loin encore…
Elle, elle avait compris et m’engloutit le sexe jusqu’aux couilles. Ce fut divin !
Elle me suça avec vigueur, en émettant de petits grognements de contentement. Je n’osai pas décharger dans cette bouche, qui plus jeune, avait dû en voir d’autres.
Soudain, elle lâcha ma queue et mit son visage à la hauteur du mien. Me bécotant et me regardant droit dans les yeux, elle me demanda de lui tripoter et téter les seins, en lui disant qu’elle était une belle salope.
Je ne me fis pas prier. Je déboutonnai son chemisier, et pendant qu’elle me roulait une savante pelle, je mis ses seins flasques à nu en lui disant :

- Ma vieille salope, je vais te manger tout cru…

Elle a aimé…
Se mettant à mouiller, elle guida ma main sur son sexe, que je caressai et fourrai de mes doigts.
Je durcis de plus en plus… Elle s’agenouilla à nouveau et me reprit dans sa bouche. Elle voulut s’abreuver à mon jus et avaler mon nectar épais, jusqu’à la dernière goutte.
Je l’ai baisée fougueusement jusqu’à éjaculation complète, accompagnée de bruits de succion excitants. »

À se stade de l’histoire, sans aucune gêne, mon psychiatre délivra sa queue vibrante et se caressa sans s’occuper de moi. À son instar, je me fouillai le sexe et m’enduisis les doigts de ma mouille… que je lui fis lécher.

« Repus, mon sexe ramollit dans sa bouche, poursuivit-il, je n’étais pas au bout de l’expérience.
Debout devant moi, elle se déshabilla, exhibant un corps aux chairs molles, accusant un surpoids qui lui faisait des plis partout et un sexe qui affichait une touffe de poils clairsemés.
Ce n’était pas la pin-up de mon poster, mais me taper une vieille m’excitait. La chambre sentait le cul et j’en voulais encore.

- Tu es vraiment une belle salope, lui dis-je…
Si ma mère te voyait, elle te mettrait à la porte de sa maison à tout jamais.

Elle ne se formalisa pas de ma menace.

- As-tu déjà léché un sexe de femme, mon jeunot ? me demanda-t-elle.

Je compris qu’elle m’invitait à lui lécher la chatte. Me mettant sur le dos, elle vint me présenter sa caverne d’Ali Baba. Ma langue trouva une habileté, que j’ignorais posséder. Je me mis à la lécher, la boire, la mordiller et la fourrer, avec une langue aussi dure que ma queue, qui elle, reprenait du service. Elle sentait la mer et goûtait bon. J’ai adoré ça !
Elle gémissait sans retenue, m’encourageant à continuer et me disant que j’étais un super amant. Mes 17 ans venaient de franchir un cap.

- Prends-moi, me dit-elle.

Descendant son sexe au niveau du mien, elle s’y empala directement.

- Enfonce ta tige jusqu’aux couilles. Tripote mes seins, donne-moi ta bouche…
AHhhhh ! c’est bon ! Vas-y, vas-y ! Ça fait si longtemps !

Elle eut une jouissance heureuse et bruyante. Et moi, je n’avais plus de jus, tellement j’avais joui.

Avant de s’en aller, elle reprit ma queue dans sa bouche.
Elle la nettoya avec douceur et gourmandise.

Ma mère ne sut jamais ce que je faisais avec sa vieille amie. Celle-ci revenait tous les jeudis pour se faire lécher et fourrer, mais aussi me sucer, m’avaler et me planter un vibromasseur dans le cul. »

Je n’en pouvais plus d’écouter les confidences sexuelles de mon client. M’approchant de lui, telle une affamée, je me précipitai sur sa queue pour le sucer avidement. Lui vidant les burnes, à cheval sur sa jambe, je me masturbai frénétiquement.

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