Belle-Maman

Bonjour,
Ce que je vais vous raconter, s'est passé il y a une vingtaine d'années.
Je connaissais depuis à peu près 3 ans, celle qui allait devenir ma femme, quand elle me proposa d'emménager provisoirement chez ses parents. Ceux-ci avaient toujours été très gentils avec nous.

Mon beau-père travaillait de jour, à une trentaine de km de leur lieu d'habitation. Ma copine était encore scolarisée et ma belle-mère commençait comme moi, sa journée de bonne heure. Nos après-midi étaient ensuite occupés par des siestes réparatrices, moi sur le canapé du salon, Janine dans sa chambre.
Ma belle-mère n'avait rien exceptionnel : environ 43 ans, 1 m 65, 60 kg et une poitrine plus que généreuse (95D). Par contre, il y avait ses mains !
De longs doigts manucurés, qui m'affolaient à chaque contact et me faisaient fantasmer.

Un après-midi, ne trouvant pas le sommeil, je décidai d'allumer la télévision. J'entendis Janine prise d’une toux sèche dans la chambre. Au bout d'un moment et par politesse, je lui demandai si elle souhaitait que je lui apporte de l'eau. Elle me répondit oui, ajoutant que c’était gentil de ma part.
J'ouvris le frigo, lui préparai un verre, puis traversai le petit couloir menant à sa chambre. La porte était entre-ouverte. Pour ne pas la surprendre, je lui signalai à haute voix mon arrivée imminente.

- Entre Georges ! m’invita-t-elle.

Je la découvris en sous-vêtements, allongée devant moi sur son lit. Ceux-ci étaient simples, pas sexy, mais lui allaient très bien : une culotte blanche et un soutien-gorge assorti, qui remontait joliment sa poitrine.
Elle remarqua que je me trouvai un peu gêné. Bien que je l’aie déjà vue en maillot de bain, la situation était ici différente : nous étions seuls dans sa chambre.

- Tu ne dors pas ? me demanda-t-elle.

- Non j'ai du mal à trouver le sommeil.

- Pose le verre sur la table de nuit, s'il te plaît.



Je m’exécutai.

- Tu aimerais te mettre à côté de moi ?

- Je ne voudrais pas vous déranger.

- Viens. Je ne vais d’ailleurs pas tarder à me lever.

Je décidai donc de m'allonger à côté d'elle. Comme elle était de dos, je pouvais la détailler avec plus de plaisir qu’à l’accoutumée. Pris dans mes pensées, un début d'érection se manifesta. Même si elle ne pouvait me voir, je me sentis honteux. Quand même, fantasmer sur sa belle-mère !
Subitement, elle se retourna et me demanda : « Mais que fais-tu ? »
Elle s'était rendu compte du petit effet qu'elle me faisait et je me retrouvai comme un surpris à faire une bêtise. Elle ne me donna toutefois pas l’impression de vouloir m'en tenir rigueur et reprit tout simplement sa position de départ, soit dos à moi.
Sentant de plus en plus l'excitation monter en moi, je me tournai et en profitai pour l’effleurer de mes doigts.
Quelle ne fut pas ma surprise !
Au lieu de me repousser, Janine se rapprocha de moi. Son dos vint contre le mien. Au bout de quelques instants, je décidai de changer de position et me retrouvai face à son postérieur, sur lequel je fixai mon regard.
Elle se rapprocha aussitôt. Je bandai de plus en plus fort. Elle feignit de dormir, mais elle ne pouvait pas ne pas ressentir le contact de mon sexe. J’entendis sa respiration s'accélérer. De ma main, je touchai son épaule : toujours pas de réaction. Je fis alors glisser la bride de son soutien-gorge sur sa peau. Elle faisait toujours semblant de dormir. Je me collai un peu plus à elle, lui faisant bien sentir mon gland gonflé de désir.
Pris par l’envie, je descendis ma main sur ses cuisses, la remontai sur ses fesses et la glissai sous le tissu… Humm, belle-maman était toute mouillée, tout ouverte !
N’y tenant plus, sans la lui enlever, j'écartai sa culotte, présentai mon gland et la pénétrai sauvagement. Un de ses seins, plus que généreux, entre mes mains, je devins de plus en plus violent dans mes coups de reins.
Elle râla aimer ça. Me traitant de petit cochon, elle me dit apprécier la manière dont j’étais en train de la labourer.

- Tu aimes comme je te prends ?

- Je serais difficile, mon salop, si je n’aimais pas ça… Me rétorqua-t-elle.

Ne pouvant plus lutter contre la montée de ma semence, je la retournai et me masturbai à hauteur de sa bouche. À ma grande surprise, elle l’ouvrit toute grande. Je lus dans son regard, qu’elle était prête à me récolter goulûment au fond de sa gorge. Un premier jet chaud jaillit et remplit sa bouche. Voyant qu’elle en voulait davantage, je continuai à me branler, quand soudainement elle m’arrêta. Se saisissant de mon gland, elle l’avala au plus profond. Elle le suça jusqu’au bout, puis gratifia mon membre encore tout dur pour elle, d’une toilette complète.

J’ai baisé ma belle-mère, me suis fait sucer, dans un mélange de honte et de plaisir…
Mais quel pied avons-nous pris !

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