Football Au Club Libertin Ii

Mon deuxième match allait débuter sous peu et je me préparais à affronter ma prochaine adversaire, la kenyane. Je demandai à Robert de me mettre encore un peu de crème avant le début du match. Mon petit ami s'exécuta et je pus sentir l'agréable contact de ses mains sur mon corps nu. Je fermai les yeux afin de savourer le bien-être que me procuraient les mains expertes de mon coach non sans pousser un soupir de plaisir. Robert me massa encore pendant une dizaine de minutes avant que l'arbitre n'annonce le début de mon match:
« Maintenant, retour au groupe A. Le prochain match de cette soirée va opposer Rosalie et Bérénice! Veuillez les accueillir!»
Les applaudissements du public parvinrent à mes oreilles comme un doux bruit:celui de la victoire. J'étais confiante et sûre de moi. Robert entra avec moi sur le terrain. Bérénice pénétra à son tour sur le terrain avec son entraîneur. Pour vous décrire cet homme, il s'agit d'un Congolais assez grand (1,85m.) et costaud. Son visage semblait amical et rieur avec ses beaux yeux noirs au regard pénétrant et son sourire qui lui était propre. Je portai ensuite mon regard plus bas sur son corps. Le Congolais portait un pantalon noir moulant qui soulignait à merveille ses jambes puissantes et...son sexe. Ce qu'il avait l'air gros à travers son pantalon! Bandait-il? Ou encore, son sexe était-il au repos? En regardant ce bel Africain et en m'imaginant sa bite me pénétrer, je commençai à mouiller. Mais bon, ce que je ressentais était uniquement de l'ordre du fantasme. Robert serra sportivement la main du coach. Ils discutèrent ensuite un moment et Robert se tourna vers moi. Je sentis son regard se porter sur mon sexe humide. Il se retourna vers l'Africain avec un sourire et ils se serrèrent la main en échangeant un sourire complice. Mon copain revint vers moi et me glissa à l'oreille:
« Sacrée cochonne! Je ne savais pas que tu fantasmais sur les Noirs.»
J'essayai d'expliquer à mon petit ami que ce qu'il pensait était erroné.

Ainsi, je pouvais lui cacher un fantasme passager. Cependant, il me coupa la parole et me glissa à l'oreille:
« Ne t'en fais pas. Je ne t'en veux pas. Nous étions d'accord pour réaliser nos fantasmes. Si ton fantasme est Bob, tu peux le réaliser. Je suis d'accord. J'ai discuté avec Bob. Nous avons convenu que si tu gagnais, il te baiserait et laisserait tomber sa protégée pour te servir de second coach.»
Je n'approuvai qu'à moitié les propos de mon copain. La partie où Bob laissait tomber sa joueuse me semblait incorrecte par rapport aux règles du jeu. Je lui dis alors:
« Tu es sûr qu'il a le droit de faire ça? Je ne veux pas être disqualifiée pour tricherie ou pour quoi que ce soit.
- Oui, j'ai déjà posé la question aux responsables du tournoi et ils m'ont affirmé que les entraîneurs et les maîtres ne sont obligatoires que lors du premier match. N te fais pas de soucis et joue.»
Me sentant rassurée par les propos de Robert, je me dirigeai vers le rond central où l'arbitre nous attendait Bérénice et moi. Il demanda à Bérénice quel côté de la pièce elle choisissait. Mon adversaire répondit par le côté face. L'arbitre lança la pièce en l'air et la bloqua sur son poignet de sa main avant de dévoiler la pièce. Face. Le sort l'ayant favorisée, Bérénice choisit de tirer la première. Je me plaçai donc dans les buts et me concentrai sur le ballon que mon adversaire plaçait sur le point de penalty. L'arbitre nous demanda si on était prêtes. Nous approuvâmes. L'arbitre porta le sifflet à ses lèvres et donna le feu vert à Bérénice. Mon adversaire prit son élan et tira. Le tir était bien placé mais manquait de puissance. Je plongeai souplement sur ma gauche et bloquai le ballon sur ma poitrine. Le public applaudit mon arrêt et je me plaçai derrière le point de penalty pour y placer le ballon tandis que Bérénice prenait place dans les buts. L'arbitre siffla et je m'élançai. Mon tir frappa le poteau gauche avant de pénétrer dans les filets sans que mon adversaire ne puisse esquisser le moindre geste.
1 à 0. Bérénice et moi échangeâmes les rôles. Je fis quelques petits sauts sur ma ligne afin de déstabiliser ma rivale et d'exciter les mâles dans le public (des seins qui rebondissent, ça excite) Bérénice plaça le ballon sur le point de penalty et attendit que l'arbitre lui donne le feu vert. L'homme en noir siffla et mon adversaire kenyane tira au but. Le shoot était plus puissant que le premier et aussi bien placé. Je réussis cependant à plonger promptement du bon côté. Je pus ainsi dévier la balle sur ma barre transversale. Le public applaudit mon arrêt avec ferveur tandis que je me plaçais face au but. Bérénice prit place dans la cage et se mit à gesticuler afin de me déstabiliser. Je n'en fis rien et attendis calmement que l'arbitre me donne le feu vert. L'homme en noir siffla et je m'élançai. Mon tir frappa la barre transversale et rentra dans les buts, laissant mon adversaire sans réaction. 2 à 0. Le break était fait. Bérénice alla se placer en face de moi et se prépara à tirer. L'arbitre siffla et Bérénice s'élança. Au moment où j'allais plonger, je vis que Bérénice avait tenté un ballon piqué. Le ballon placé au centre de mes buts atterrit dans mes bras avec une lenteur presque humiliante pour mon adversaire. Le public éclata de rire devant l'échec de mon adversaire. Je me replaçai ensuite derrière le point de penalty et attendis le signal de l'arbitre pour tirer mon penalty. Le coup de sifflet retentit et je pris mon élan. J'allais tirer de toutes mes forces quand, soudain, je décidai de tenter la panenka. Juste au moment de tirer, je glissai la pointe de mon pied sous le ballon et me penchai légèrement en arrière afin de le lever. Mon tir placé au centre des buts trompa Bérénice qui, ne s'y attendant pas, avait plongé de côté. Mon tir rentra tranquillement dans les buts. 3 à 0. Fin du match. Victoire. Le public m'applaudit pour ma victoire tandis que je me dirigeais vers ma chambre. Je m'allongeai sur le lit et m'enduisis le corps de crème. Robert entra dans la chambre et me félicita.
Puis il repartit en disant:
« Ne bouge pas, je reviens.»
J'obtempérai et attendis. Une dizaine de minutes plus tard, Robert reparut accompagné de Bob, l'entraîneur de mon adversaire kenyane. Bob s'approcha de moi et commença à me caresser les seins sous le regard voyeur et fier de Robert. Sa bouche remplaça ses mains. Le contact de ses lèvres sur ma poitrine me fit mouiller. Instinctivement, j'appuyai la tête de Bob sur mes seins afin qu'il puisse téter le plus longtemps possible. Après m'avoir sucé les seins, Bob continua de m'embrasser en descendant progressivement vers ma chatte mouillée de cyprine. Les doux baisers de Bob sur mon ventre nu me plongèrent dans une sorte d'état second constitué uniquement de plaisir et de désir. Mon amant africain arriva ensuite à hauteur de ma chatte. Ses doigts commencèrent par caresser les poils noirs qui recouvraient mon antre chaude et humide. Sa langue prit le relais de ses doigts et il se mit à boire toute la cyprine que mon sexe lui offrait en déglutissant bruyamment et en poussant des soupirs de satisfaction. Plus la langue de Bob léchait ma chatte, plus je mouillais. Je poussai un soupir de plaisir afin d'encourager Bob à continuer de boire mon champagne devenu abondant. Bob but toute ma cyprine jusqu'à la dernière goutte puis il se mit à genoux au-dessus de moi et ouvrit la fermeture éclair de son pantalon. Je lui retirai son pull et découvris en-dessous un torse musclé et séduisant. Bob retira son boxer et me laissa admirer son engin. Quel engin! Je n'en avais jamais vu de si gros. Le vit devait mesurer au moins 20 cm sans parler des énormes bourses qui soutenaient le vit. Je pris ce sexe formidable dans ma main et commençai une masturbation lente et puissante avant de le mettre en bouche. Je devais avoir une bouche vraiment profonde car, par je ne sais quel miracle, je parvins à enfourner l'énorme sexe de Bob dans ma bouche, boules et bite. Je m'appliquai à passer ma langue sur ses testicules poilus. Pendant que je suçais mon ami congolais, j'entendis un bruit de fermeture éclair.
Je taillai une pipe à Bob et sortis son sexe de ma bouche. Robert, à présent nu lui aussi, nous rejoignit et me coucha sur le dos.
« Prête pour une double, Rosalie?» me demanda-t-il.
Je baissai la tête en signe d'approbation. Bob se mit sous moi et je me mis sa bite dans le vagin. Robert y introduisit ensuite son membre. Lentement, les deux mâles me pénétrèrent. Leur mouvement lent et synchronisé me fit gémir de plaisir. Je demandai à mes partenaires d'accélérer le mouvement. Ce dont ils ne se firent pas prier. Sentir deux queues me pénétrer en même temps me donna un sursaut de plaisir. Mes gémissements se transformèrent en cris de jouissance. Ne pouvant me masturber, je me caressai les seins. Après s'être bien occupés de mon antre d'amour, Robert et Bob me mirent à quatre pattes. Bob se mit derrière moi tandis que Robert se positionna face à moi.
« Tu te souviens de la Saint-Valentin de l'an dernier? Avec Karim?» me demanda-t-il.
Sans me laisser le temps de répondre, il m'ouvrit la bouche et me donna sa queue à sucer pendant que Bob faisait lentement glisser son sexe dans mon cul de peur de me faire mal en y allant fort.
« C'est bon, Bob, tu peux y aller à fond. C'est comme ça que Rosalie aime être sodomisée.» dit Robert à Bob.
Ayant la bouche pleine et ne voulant pas jouer avec la "nourriture", j'émis un petit grognement d'approbation pour que Bob comprenne le message. Le Congolais comprit le message et m'enfonça d'un coup sa verge dans le cul. Notre partenaire africain me sodomisait avec une force que je n'avais jamais connue. Bien que je voulais jouir sous les assauts de la formidable bite de Bob, je m'appliquai à sucer mon copain. Les deux mâles commençaient à pousser des soupirs de plaisir, signifiant ainsi leur jouissance imminente. Ils se retirèrent tous deux de mes orifices et me mirent à genoux sur le lit. Robert se branlait déjà tandis que Bob s'était levé pour le rejoindre et se mettre en face de moi. Les deux hommes se branlaient devant moi, à quelques centimètres de mon visage. Robert jouit le premier. De longs et puissants jets de sperme m'éclaboussèrent le visage et les cheveux et coulèrent sur mes seins. Bob ne tarda pas à jouir lui aussi. Sept giclées de sperme me maculèrent le visage et la poitrine. Je sortis ma langue et la passai autour de mes lèvres afin de goûter à ce délicieux jus africain. J'étalai ensuite le mélange des semences de Bob et Robert sur mes seins et suçai le gland de mes deux entraîneurs afin de les rendre parfaitement propres. Robert et Bob se levèrent ensuite du lit pour aller me chercher une serviette et m'essuyer eux-mêmes le visage et les seins avant de me remettre un peu de crème. Nous attendîmes ensuite tous les trois mon troisième et dernier match de groupe.
La suite dans le prochain épisode

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