Mon Mari Cocu : Les Tout Débuts - 2

Voilà comment a commencé notre première étape vers son cocufiage.
Quand j'ai parlé de tournant concernant le gode-ceinture, Il faut savoir que ce n'est pas du jour au lendemain que nous avons effectué l'achat.
En fait, après la naissance de notre fille en 1998, il s'est passé deux choses dont la deuxième découle de la première. Notre sexualité était satisfaisante mais finalement traditionnelle. Après l'accouchement et contrairement à d'autres femmes, mes envies se sont considérablement accrues; j'avais envie de faire l'amour de manière continue et je me suis libérée totalement.

De son côté, mon mari a osé me livrer certains de ses fantasmes; dont celui de se faire doigter l'anus. De fil en aiguille, nous avons évoqué l'achat d'un vibro pour rendre la sensation plus réelle. De mon côté, l'utilisation d'un gode me permettait de fantasmer sur un autre partenaire qui pratiquerait une double pénétration ou en tout cas qui ferait intervenir un intervenant virtuel. Il nous a fallu quand même quelques mois pour se décider à ce voyage en Hollande. J'ai adoré avoir un comportement masculin en train de "pistonner" mon partenaire.
En effet, je me suis découverte de véritables besoins sexuels, purement physiques, des envies de jouir et de toucher, caresser un homme et sentir son désir. L'achat du gode a été une révélation car, au départ, suite à nos conversations coquines où nous faisions intervenir un amant imaginaire, nous avions décidé d'acheter un sexe qui figurerait un deuxième homme dans une double pénétration.

Lorsque mon mari, a acheté un gode ceinture, j'ai compris que ce n'était pas que pour moi qu'il avait été acheté. Peu de temps après, j'ai moi aussi gouté à la sodomie; mon mari n'ayant jamais réussi à me pénétrer les rares fois où il avait essayé. C'a été extraordinaire, cette impression de remplissement; mon mari s'est placé devant et m'a pénétré par la voie normale, alors que j’avais placé le gode dans mon cul.

Je criais:
- Oh oui Marc encore,c’est bon avec toi ; au moins je sens quelque chose, enfin.
J'ai joui comme jamais.J’étais trempée,je ne me reconnaissais plus. Après avoir joui dans ma chatte,je suis remontée jusqu'à la bouche de mon mari et il a dû tout nettoyer.Me retournant j’ai vu qu’il recommençait à bander !!

Encore une pierre dans mon jardin. Je me rendais compte que mon mari adorait une certaine domination et une certaine humiliation.
Il souhaitait aussi me voir baiser avec d’autres hommes mais j’étais pas trop sûre d’oser
Je me libérais de plus en plus car je prenais de plus en plus confiance en moi et je découvrais, tout en les acceptant, mes pulsions sexuelles; et ce avec la totale complicité indispensable de mon mari et de son amour.
C'est ainsi que j'ai commencé une domination soft sur mon mari. Des mots crus, des attitudes, des petites humiliations, fessées, petite gifle érotique,etc. Parfois, je venais derrère lui, baissais son pantalon et slip et, sans ménagement, lui plantais un doigt dans les fesses tout en le branlant, lui sussurant qu’il ne serait bientôt plus le seul à profiter de ma chatte; mon cul lui étant interdit.

En général, je jouais le rôle de l'homme,lui la femme. Il devait me sucer la bite et je le tenais par les cheveux en lui tenant des propos vulgaires du style "suce salope ,après tu vas l'avoir dans le cul".
J'avoue qu'au début, après la folie de nos sens apaisés, j'avais un peu honte des propos tenus et des actes accomplis. Mais c'est vite passé, car en fait, durant nos activités sexuelles, j'adore employer maintenant des termes crus. Je ne dis plus sodomiser mais enculer, masturber mais branler,etc.
C'est aussi de cette époque, lors de nos emplois de "Marc", j'ai commencé,suite à ces fantasmes de cocufiage à l'appeler cocu. C'est devenu son nom habituel et il adore ça.

Nous étions à ce moment en 2000 et j'étais toujours fidèle, mais nous savions l'un comme l'autre que le train était en marche, que ce n'était qu'une question de temps et d'opportunité.
Il est exact qu'entre fantasmer sur une partie à trois et sa réalisation, il faut franchir le pas psychologique.

(A suivre)

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