En Coloc

(année 2014, en Moselle)
.............
Je l'avais quitté 4 mois plus tôt, pour m'installer en coloc avec ma meilleure amie, j'allais terminer mon année de C.A.P vente en habitant avec elle.
Tout mon entourage, que ce soit en cours au lycée ou au boulot, m'avait encouragée à le quitter.
Je n'avais plus de contacts avec ma famille à part ma mère, assez rarement, et je ne voulais pas l'inquiétée.
A et moi étions depuis 2 ans ensemble, et ma passion docile et malsaine envers lui devait sûrement être palpable...
Moi, après avoir fugué du foyer pour vivre avec lui, j'ai entamé des études en alternance pour avoir un revenu fixe, j'ai troqué mes sneakers pour des escarpins, mon entourage à changé en fonction du standing de ma situation, rien de fou mais, A s'est juste mis à vendre de l'herbe et débloquer tout ses trophées sur gta5 avec sa ps4, lui.
Très vite, nos ébats jusque là simples, respectueux et satisfaisants, ce sont transformés en jeu de rôles, comme si il avait besoin d'être rassuré, il entreprit de m'ordonner des choses de plus en plus sales, de me parler avec bassesse de languages, d'être plus brutal dans l'acte... Il m'avait transformée en sa chose soumise, et clairement, le jeu avait dépassé la réalité dans mon esprit.
A était mon maître incontesté, je le concevait comme ça, un geste de l'index de sa part m'indiquant un quelconque mobilier où m'installer pour une saillie bestiale me faisait tremper ma culotte... J'étais déchirée de l'avoir quitter, mais ce n'était pas une vie pour moi... Dire qu'il me manquait était un euphémisme.
Lorsque qu'un matin je me réveillait d'un rêve cochon avec ma coloc, j'ai pensé être sincèrement en manque. Je me ressassait ses lèvres et son cul se frotter contre ma bouche, mon nez, tandis qu'elle chevauchait mon visage... Et qu'une soudaine envie d'uriner de sa part macula ma face...
J'étais sur le chemin pour mon bus quand je le vit.

A était à l'arrêt, alors que moi je fantasmais dans ma tête, ma chatte était toute moite...
"- Salut, bien ? Ça va ?"
A avait 1 an de moins que moi, mais mesurait 2 têtes de plus que moi, j'étais toujours impressionnée par sa stature.
J'avais ignoré tout ses textos et ses appels.
-Ça va oui... Et toi ? Tu.. N'as pas l'air fâché ?..
-Vient avec moi.
-A je travaille jusqu'à 18h qu'est ce que tu racontes je n'irai...
Il met sa main droite sur ma hanche droite et nous avançons, côte à côte, je suus électrifiée, je ne doit pas faire ça...
Nous traversons la rue et bien que je le suive sagement je soupire et lève les yeux au ciel, en me composant un air méprisant pas très convaincaint, ni convaincue d'ailleurs.
Il me pousse à l'intérieur du café à côté du terrain de pétanque, à vrai dire ma présence au travail n'est pas importante ce matin, on a fermé boutique pour l'inventaire et je n'étais pas obligée de venir.
Je me décale de lui et machinalement je vais au comptoir,
-Bonjour, 1 espresso noir et un latte allongé s'il-vous-plaît.
Le bistrot est quasi desert, 3 pelés et un tondu dans les coins assis de dos, sans plus. Le barman grogne un truc et à l'instant où il se tourne et s'attelle à faire mousser le lait dans un sifflement aigu de la machine, A me fait presque décoller mes boots à talons du sol, je me retrouve quasi téléportée dans les wc des hommes, il me pousse dans une cabine, une main sur ma bouche.
De l'autre côté de la porte provenant du bar je perçois :
-Bande de ptits cons!... partis sans payer pff..
A sourit comme un taré, on est pas reperés dans ces wc puants la pisse, et il s'en réjouit. Sa trique s'enfonce juste en dessous de ma poitrine à travers ma robe et jogging. Il s'apprête à parler mais je craque, mon masque ne trompant pas du tout le désir de toute façon...
Je saute autour de sa taille et l'embrasse goulument, il me rends mon baiser, en enfonçant sa langue avec fougue, envahissant toute ma bouche et prenant soin de me faire avaler sa salive un maximum, une main tire mes cheveux, l'autre me fesse d'une force inouïe
-assise.

Mon Dieu, mon corps est plus que réceptif...
-Non il est hors de question de jouer à ça, tu me fais jouir et tu te casses mentais-je
Il hausse un sourcil, calmement il entreprend de baisser son survet juste en dessous de ses énormes bourses aux poils chatains, sa queue est un calibre impressionnant, 22 cm...
Il att son noeud et se branle doucement en massant ses couilles, je sent ma mouille couler le long de mon collant...
-Prends la bouteille dans mon sac va la remplir.
Il me donne l'occasion de faussement lui prouver que je ne serai pas sa pute aujourd'hui, j'ouvre son sac Quechua resté dans un coin du cabinet, et je l'entend relevé la lunette des wc en sortant du petit bloc, je remplis sa bouteille de coca cherry vide,
et avant même de toucher la clanche en revenant il m'entre ouvre la porte et m'attire à lui, pose la bouteille sur le reservoir pq, glisse sa main entre mes cuisses, et comme dans du beurre, glisse 2 doigts avec force au fond de ma chatte en impregnant un mouvement à son index, qui vient fortement taper mon point G, je me retrouve sur la pointe des pieds au bout de son bras, et je gémit comme la dernière des chiennes.... Je vais... Pourquoi il arrête ?

-Arrête de te mentir maintenant.... Tu sais ce que tu es ?

Je sais ce que je dois faire pour avoir ma récompense...
-Ta chienne, m-maître...
-Pardon ?

nouvelle impulsion sur mon point G, mes pieds décollent du sol quelques secondes
-Haaaannnh, je suis ta chienne en chaleur maaître !
-et tu veux quoi ?
-Toi, partout, en moi, je souffle...
-il retire ses doigts et mes talons retouchent le sol, il me fait bouffer ma mouille en frottant bien ma langue de ses doigts.
-Tu vas te mettre assise à l'envers sur la cuvette.
-Hein ?
Deuxième claque sur le cul, le coup résonne, ma fesse brûle, ma chatte inonde mes cuisses dans un flot continu..
Je m'assieds donc sur le wc face à la chasse d'eau, sans ménagement il tire sur mes hanches pour me cambrée, et je me dit que sa queue devait être à hauteur du sommet de ma tête dans cette position, je me demande bien comment il compte me baisée mais je reste silencieuse dans l'attente.
..
Une douleur provenant de mon anus m'arrache un cri de stupeur, vite étouffé par sa main gauche, mais le pire est à venir, je sens mon sphyncter se remplir d'un coup !
-mmhhaaoowwmmmuuummmh !
-Ta gueule!
Je me fige, il va retirer la bouteille maintenant ?? Noon !!
Je ne peux empêcher un minijet d'eau de s'échapper de mon trou du cul avant de contracter, l'effort déformant mon visage
-pousse tout d'un coup dans le chiotte, obéit petite pute.
Je tourne ma tête vers lui les larmes aux yeux, atterrée, et je constate qu'il me filme avec son portable... Si je gâche la vidéo se sera pire que m'humiliée qu'il me fera. Je ne sais plus si j'aime ou si je me fait violée, pourtant je crois que les clapotis qui coulent dans le wc ne viennent pas de mon cul...
Docile, soumise à mon maître, rouge aux joues et en halétant, je pousse et évacue le contenu de mes entrailles, le bruit est dégoûtant, je suis mortifiée, des pets s'échappent alors que je pousse les dernière gouttes...
De nouveau le goulot investit mon œillet ! Il ne l'avais pas vidée ?? 2eme salve...
cette fois mon anus à lâché résistance, et j'évacue tout sans rien contrôler, je gémit comme un animal, le souffle court, le mascara coulant
-C'est bien ma chienne, c'est bieeen...
A me caresse doucement la tête, je sue à cause de l'effort, il m'embrasse dans le cou en me relevant doucement, je me dit qu'il a enfin pu m'humiliée avec mon visage visible en plus... Je devrais avoir mon compte...
La douleur. La douleur insoutenable ! D'un coup d'un seul mon fondement subit comme une déchirure, le lavement était agréable à comparaison !
-MHHHUUUNNNMMMHHUU !!
Sa main m'étouffe, son bras m'enlace, secouant tout mon corps, A m'encule sans capote, faisant danser tout mon corps dans de puissants coups de butoirs, lents et secs....
Sa main vient caresser avec ardeur mon clitoris, et je suis choquée de sentir ses doigts glisser
sur mes chairs en clapotant et en éclaboussant partout.
Je suis sa chose, son fourreau, sa chienne en chaleur, il me le fait longuement sentir... Ses poils pubiens frottent ma raie, ses couille claquent mes lèvres, dans un bruit de succion malsain. Combien de temps s'est écoulé ?.. 1 orgasme. Mes tétons sont tout à fait visibles et pointent à travers même mon soutif, mon corps est en feu, le sang bat dans mes tempes...Il prends son temps, je ne vais plus jamais pouvoir m'assoir, c'est insoutenable... Ces doigts reviennent sur ma chatte, alternent carresse sur mon clito, et fourrent ma vulve, à 4 doigts, ses coups de reins s'accélèrent, 2 ème orgasme... Mon corps tremble, je suis dans de la ouatte alors qu'un mandrin de 6 fois la circonférence de mon trou me déboîte l'intérieur, mes fesses claquent très rapidement sur son pubis, ma mouille s'éclate par terre en un puissant jet... Mes yeux sont révulsés, mon maquillage melangé et brouillon, je pleure de bonheur alors qu'il me tient par une joue en sortant de mon cul méconnaissable, il m'accroupie et pénétre ma bouche, me la baise littéralement, l'excitation et l'extase m'empêchent de ressentir la nausée, il s'en donne à coeur joie, j'entends sa voix lointaine...
-regarde moi salope
Je voit mon maître avec un regard bestial, un sourire de psycho étire son visage, je produit des bruits de ventouses bruyants et mes yeux pleurent, je bave abondamment.
Il se défait de ma gorge, m'empoigne par les cheveux et me fait sortir de la cabine. Là, je voit le barman et les 4 clients, bouche bée, qui écoutait à la porte, une bosse monumentale étirant leurs braguettes, A me cambre sur le lavabo, et dans une dernière défonce anale, il me martèle le cul, j'ai le hoquet et je hurle en même temps, je vois flou, son chibre se fige jusqu'à la garde, et sa semence vient enflé mes boyaux en longs jets chauds...
Ma tête tourne je me cramponne au lavabo, j'ai de nouveau jouit apparament car le sol est plein de ma mouille...
A SUIVRE ;)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!