Bien Content De Mon Escapade !

En voyage professionnel, je suis à Troyes seul sans ma femme. Comme prévu, je suis
allé au sauna vers17:00. J’avais passé des petites annonces sur le site du sauna :

"Demain mercredi, je serai au sauna à partir de 17:15 J´ai très envie de donner du
plaisir aux hommes qui en ont envie. La soixantaine, 1,72m, 63 kg, rasé. Je
porterai un nœud papillon vert. N´hésitez pas à m´aborder, je ne suis pas farouche"

"Je serai votre salope, cet après-midi à partir de 17:00 (pour me reconnaître, je
porterai un nœud papillon vert) N´hésitez pas, tous les trous sont permis !"

Ce matin, je m’étais bien rasé les couilles, la bite, les tétons, les seins, sous les
bras, les jambes et les cuisses. J’avais soigneusement lavé mon rectum avec le
flexible de la douche et je m’étais godé pour bien le lubrifier. Au cours de la
journée, en allant aux toilettes, j’avais vérifié plusieurs fois avec mes doigts que
l’intérieur était toujours propre et j’étais rassuré.

En entrant au sauna, j’avais mis mon nœud papillon vert qui a bien fait rire le
patron. Comme c’est l’usage, je passe à la douche puis j’entreprends un tour des
différentes pièces.

Un homme, la trentaine, très poilu me rejoint très vite. Il est debout dans le
couloir. Sans un mot, je m’accroupis et je prends sa bite en bouche. Elle est courte
et raide, avec un ample prépuce. C’est alors que le patron passe en riant. Mon gars
s’éclipse.

Dans le fond d’un autre couloir j’aperçois un homme aux cheveux gris assis sur une
banquette, la queue à l’air. Son corps est très beau, sa peau, bien bronzée n’accuse
aucune ride, aucun poil ne perturbe ses courbes. Je me baisse face à lui et je me mets
à sucer sa bite qui est au repos … pas pour longtemps. Il bande bien vite et son gland
doux glisse dans le fond de ma gorge.

Je pousse un doigt plein de ma salive sous ses
couilles, entre ses fesses et je pénètre son anus. Il a l’air d’apprécier lorsque je
lui masse la prostate. Il bande dur et j’aimerais bien qu’il me la mette. C’est lui
qui me propose de s’isoler. Dans une pièce dont on a refermé la porte, il s’étend sur
un vaste lit. Je le pompe à nouveau pour le faire rebander puis je le chevauche en lui
tournant le dos. Sa queue entre en douceur dans mon cul bien lubrifié et en me
soulevant je fais des va-et-vient. Lorsque nous sommes fatigués tous les deux, je le
suce encore puis je m’allonge à côté de lui pour le branler vigoureusement. Au moment
où il va jouir je le reprends en bouche pour aspirer son jus que je recrache ensuite
discrètement dans la poubelle.

J’erre encore de pièce en pièce lorsque je trouve un autre partenaire assis sur la
même banquette. C’est un homme d’une quarantaine d’années, assez rondouillard. Comme
pour le précédent, je suce puis je le doigte. Il me demande si je veux bien lui lécher
le cul. Et nous retrouvons dans la même chambre que tout à l’heure. Je le prie de se
mettre à quatre pattes pour pouvoir lui lécher la raie et pousser ma langue dans son
trou. Ensuite, il m’installe pour faire un 69. Il me suce en me doigtant le cul. Je
profite qu’il bande pour m’asseoir sur sa queue, fac à lui. Il bouge son bassin
vivement pour me baiser et je sens bien sa bite me bourrer. Quand il ressort, je le
reprends dans ma bouche et il jute son sperme qui finira dans la même poubelle !

En me promenant dans les couloirs, je retrouve Pascal, un jeune homme qui j’ai déjà
rencontré ici au moins quatre fois. Il a une bite de bonne taille toujours dure comme
du bois, bien recourbée vers le haut. Nous nous isolons dans une autre chambre. Je lui
suce la queue pendant qu’il ouvre des sachets de gel lubrifiant et une capote.
Je lui
lèche le cul tout en le branlant. Je m’assoie sur lui en lui tournant le dos et je
m’enfile sa tige dans le cul. Il bouge bien tout en me massant le dos et les seins
avec du gel. Puis il malaxe ma bite molle et mes couilles. C’est un expert ! Je
demande à changer de position de sorte qu’il me prenne en levrette. J’aime bien me
faire prendre comme une petite chienne. Je n’ai rien ressenti mais quand sa bite est
sortie et que j’ai retiré son préservatif, j’ai trouvé son gland gluant de sperme.

Maintenant, le sauna va fermer. Après une dernière douche, je remercie le patron et je
m’en vais. Et, puisqu’il ne fait pas encore nuit, je décide d’aller à l’aire de la
Guillotière.

Je me gare et je me badigeonne d’anti moustique tout en observant un type, la
cinquantaine bedonnante qui s’éloigne dans un champ. Je le suis de loin et je le perds
de vue lorsqu’il s’enfonce dans un petit bois. C’est seulement lorsqu’il en ressort
que je retrouve. Cette fois c’est moi qui entre dans le bois. Il me suit et avant
qu’il ait le temps de me rejoigne je me suis mis tout nu. Il a une petite bite, si
petite que j’ai du mal à prendre dans ma bouche. Mis je sais par expérience qu’une
très petite au repos ne veut pas dire très petite en érection. En le suçant, je le
fais bander. Son gland est devenu dur et luisant. Alors, je me retrouve et je lui
présente mon trou. Il m’encule énergiquement et finir par jouir en me traitant de
salope !

Voilà, je viens de rentrer à l’hôtel fatigué, mais bien content de mon escapade

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