Naissance D'Une Salope

Suite aux trois précédents récits relatant nos aventures à moi et ma salope de femme,
j’ai cru bon vous relater comment le tout avait débuté il y a un plus de 20 ans, soit
au milieu des années ’80. À cette époque, nous n’étions pas mariés et n’habitions pas
ensemble. Ayant tout les deux des parents stricts, lorsqu’on jouait aux fesses, nos
parents n’étaient pas présents. On devait donc se trouver des endroits pour baiser.

Nous avons souvent fait du « parking » et visité des motels de passe où les chambres
étaient en locations pour une période de 4 heures, soit la soirée. Après plus de deux
ans de fréquentations, nous y étions régulièrement deux fois par semaine pour se
donner du bon cul. Nous y allions en y apportant un petit lunch pour la soirée, chips,
liqueur, chocolat, et nous écoutions la TV au travers une ou deux séances de baise.

Dans ce type de motel, il y avait aussi des films pornographiques en circuit fermés.
Nous les regardions en s’excitant sur les acteurs et actrices tout en baisant. Ces
films nous ont donnés plusieurs idées, tel que l’éjaculation faciale, la sodomie, la
vulgarité. Nous avons essayé tout ça en y trouvant notre compte tout les deux. Pour
les insultes, c’était léger mais tout de même présent. Également, il y avait plusieurs
scènes de lesbianisme qui n’avait aucun intérêt pour ma blonde. Je ne peux pas dire
que j’adorais ça également. Oui c’était beau mais pour moi, ce n’était pas le top. Par
contre, les trios deux hommes une femme nous faisaient tripper tout les deux. En les
regardant, je lui demandais si elle aimerait ça se faire baiser par deux gars, si elle
aimerait se faire éjaculer dessus par les deux, etc. Ceci nous excitait tout les deux,
et je sentais que la possibilité de la voir avec un autre était possible. Cette idée
me faisait tripper et je lui ai dis.


- Tu es sure, me demanda-t-elle.
- Oui. Je te trouve belle quand tu suces et tu es bonne au lit. Y a des gars qui
me parlent de tes grosses boules.
- Ha oui ! Qui ?
- François et Pierre entre autres. Ils me trouvent chanceux.
- Pourtant leurs blondes en ont des assez gros.
- Oui mais pas autant que toi, répondis-je avec un sourire.

Le temps passa et l’idée faisait son chemin. À chaque séance de baise dans les motels,
quand on voyait des trips à trois avec deux gars, le sujet revenait sur la table. En
la baisant, je lui disais d’imaginer qu’elle suçait un tel ou un autre. Après quelques
mois de pratique du genre, je lui offris directement de réaliser notre fantasme. Elle
accepta avec beaucoup de gène, sans savoir si François en question accepterait. Je lui
dis de me laisser faire.

François et sa blonde était un couple d’ami très près de nous, mais celui-ci se
plaignait que sa blonde n’était pas assez chaude. Il s’avait que la mienne se faisait
enculer de temps en temps, qu’elle se faisait venir dans le visage et qu’elle avalait
également. Il y avait de quoi le rendre jaloux. Utilisant le véhicule de mon père les
fins de semaine, une grosse voiture américaine 4 portes, nous étions souvent ensemble
lorsque nous sortions dans les bars. Certaines fois je conduisais la gang, et d’autres
fois c’était lui.

Lors d’une de ces sorties, sa blonde devant travailler le lendemain matin assez tôt,
nous avant quitté le bar vers 01 heure du matin. J’allais reconduire celle-ci chez ses
parents et je me dirigeais vers la résidence des parents de mon ami, ma blonde à mes
côtés. Il était au courant de mon plan, mais pas elle. Quoiqu’à bien y penser, elle
devait s’en douter un peu. En me dirigeant vers chez-lui, il prétexta vouloir nous
montrer où il devait commencer à travailler dans peu de temps. Il s’agissait d’un parc
industriel près de son domicile.
Une fois stationné devant la bâtisse, je pris la
parole.
- Bonne place pour faire du parking ça. Je vais le reconduire et on revient ici
après ? lançai-je à ma copine.
- Je peux rester tranquille en arrière aussi, dit-il aussitôt.

Ma blonde rougi et ne répondit pas. Cependant, j’eu le temps de voir un petit sourire
pointé qu’elle s’empressa de dissimuler.
- Alors, ça te va comme plan chérie ?
- Tu fais ce que tu veux, répondit-elle.
- Il voudrait voir. On part où on reste ?

Aucune parole de sa part. La timidité sûrement. Je laisse quelques secondes passer et
lui offre d’aller s’asseoir à l’arrière tout les trois. Elle ne répond pas et ouvre la
portière. J’ouvre la mienne et nous nous retrouvons sur la banquette arrière, elle
entre nous deux. La tension sexuelle est palpable, mais le malaise est aussi présent.
Nous sommes tout les trois âgé de moins de 25 ans. Ma blonde et moi étions vierges
lors de nos premiers rapports. Elle avait déjà masturbé des queues et moi taponner des
filles mais pas plus. Personne ne parle. Pour détendre l’atmosphère, on se met à faire
des blagues.
- Il ne faudrait pas que la police arrive hein !
- Pourquoi, tout le monde est habillé, dit-il.
- Oui, mais ça fait un peu bizarre trois personne assis à l’arrière, personne au
volant.
- Pas de danger, il n’y a jamais personne qui passe.

Je demande à ma blonde si elle n’a pas chaud avec son manteau et elle me dit non.
- Dommage, on en verrait un peu plus.

Elle s’avance et enlève son manteau. Quelle belle paire de seins. À cette époque elle
avait déjà du double D. Sa poitrine attirait les regards et elle le savait. Je
regardais ses gros seins avec insistance et mon ami fit de même.
- As-tu chaud ? demandais-je à nouveau à ma blonde.
- Non pourquoi ?
- Pour en voir plus.
- Moi je ne fais rien, dit-elle.


Je commençais à lui caresser les cuisses et lui toucha un peu les seins par-dessus son
chemisier. Je fis sauter le premier bouton et elle ne dit rien. On ne voyait rien
encore, seulement la naissance de sa belle craque. Je fis sauter le 2e bouton en
tirant sur le tissu pour améliorer notre vue. Elle respirait fort et mon ami observait
la scène et se touchant l’entrecuisse. Je fis sauter le 3e bouton et on pouvait bien
voir sa brassière blanche. Ses gros seins étaient bien en vue malgré celle-ci. Je fis
signe à mon ami de m’aider et il détacha son 4e bouton. Elle ne dit rien à nouveau,
respirant très fort. Il fit la même chose avec le 5e et je détachai le dernier en
tirant à nouveau sur le tissu. On voyait son ventre et ses gros seins sous sa
brassière. Je l’a fis avancer pour lui enlever son chemisier et elle se laissa faire.
Je descendis la fermeture éclair de sa jupe à ce moment et tira celle-ci vers le bas,
à ses pieds. Voilà, elle était maintenant en brassière et en petite culotte seulement.
Je lui pris les seins par-dessus le tissu et faisant signe à mon ami de faire de même.
Il s’empara de son sein droit. Elle soupira de bonheur et de plaisir je crois.
- Ce n’est pas juste, dit-elle, vous avez tout votre linge encore.

On baissa rapidement notre pantalon demeurant en sous-vêtements également. Les
caresses sur ses cuisses et ses seins reprirent. De son côté, elle ne bougeait
toujours pas. Je tentais de lui mettre sa main gauche sur ma queue sans succès. Elle
l’ôta rapidement. Je poussai sa main droite vers les cuisses de mon ami sans succès
également. Quelque chose clochait. Étant jeunes et inexpérimentés dans ce domaine,
quelque chose se brisa et la tension sexuelle tomba pour les deux gars. Je tentais de
lui sortir les seins et descendant les bretelles de sa brassière, mais elle ne fit
rien pour m’aider.
Bref, la magie cessa et nous nous sommes rhabillés tranquillement.
Une fois mon ami reconduit chez-lui, je me suis fait royalement engueuler.
- C’est quoi l’affaire, dit-elle visiblement fâchée.
- Ben quoi, tu ne faisais rien.
- C’était à vous autres à agir. J’étais quasiment toute nue, il me semble que
c’était assez clair.
- Non. Quand on voulait que tu nous touche, tu éloignais te mains.
- Pis, ça veut rien dire ça, répliqua-t-elle aussitôt.
- T’avais pas l’air certaine de vouloir. On ne voulait pas avoir une accusation
de viol nous autres.
- Voyons donc, je suis en brassière sur le banc d’en arrière, vos mains sur mes
boules.
- Oui, mais tu n’as pas vraiment participé pour plus.

Une fois près de chez-elle, nous avons fini la discussion et elle comprit mon point de
vue et moi le sien. Il s’agissait simplement d’interprétations différentes qui se
valaient autant l’une que l’autre. Malheureusement, notre trip à trois n’avait pas eu
lieu. Je lui dis que le lendemain soir, nous irions au motel ensemble. On s’embrassa
et se quitta là-dessus.

Lors de la journée suivant, j’ai avisé mon ami du motel que nous allions et lui dit
d’y venir pour 19h30. J’arrivai avec ma blonde vers 19h et lui annonça que ce soir, on
serait deux sur elle. Elle m’embrassa tout en se montrant très nerveuse. Sans lui
avouer, je l’étais tout autant et probablement mon ami François aussi. 19h30 arriva.
Il était à l’heure pile.

Après quelques mots de bienvenue, on ne perdit pas de temps et on commença à la
déshabiller. Elle était aussi réservée et ne participait pas. On l’a mis complètement
à poil et on commença à manger ses grosses boules. Après quelques instants, je
commençais à me déshabiller et mon ami fit de même. Elle ne participait pas et sa gêne
ne semblait pas vouloir la quitter. Une fois sur le lit de chaque côté d’elle, on
recommença à lui manger les boules en lui caressant la chatte. Je pris sa main pour la
conduire sur ma queue et poussa son autre main vers celle de mon ami. La seconde où
ses mains furent sur nos queues, sa gêne disparue. Enfin. La partie de fesses commença
à ce moment, et quelle partie.

Elle me suça et suça mon ami. Elle essaya d’entrer les 2 queues en même temps dans sa
bouche, on l’a taponnait de partout. On s’amusait tout les trois comme des petits
fous.
- Je te l’avais dit qu’elle était salope.
- Oui, elle est bonne.
- Tu peux lui dire qu’elle est salope, elle aime ça.
- C’est vrai ? demanda-t-il.
- Oui c’est vrai, dit-elle. Je suis une bonne salope. J’aime me faire traiter de
pute.

On l’insulta tout au long de la partouze. Mon ami la pénétra pendant que je me faisais
sucer et vice versa. On baisa, ria, s’amusa pendant plus d’une heure. Je voulais qu’on
lui vienne dans la face, mais elle en avait décidé autrement. Quand nous fûmes proches
de l’éjaculation, on se plaça de chaque côté de son visage, elle couchait sur le dos,
et une de nos mains sur ses beaux gros seins. Elle passait d’une queue à l’autre.
- Continue, je vais venir, dit mon ami.

Elle le prit en bouche et me regarda. Elle le masturbait de plus en plus tout en le
suçant. Je me crossais au dessus de son visage, près de l’éjaculation.
- Arrête, je vais venir, lui lança-t-il pour l’avertir de l’arrivé de son
sperme.

Elle garda sa queue dans sa bouche, miaulant pour lui faire comprendre qu’il pouvait
se laisser aller. Elle réussit à dire entre deux succions, « Viens-moi dans la face »
en me regardant. Et c’est ce que je fis. Je lui crachai mon sperme au visage pendant
que j’entendis mon ami râler son plaisir en lui remplissant la bouche de crème. Elle
avala le tout sans qu’une goutte ne lui échappe. Une fois la queue bien vidé, elle
ramena mon sperme vers sa bouche pour l’avaler également.

Voilà, notre premier trip à trois était vécu. Finalement.

Mon ami quitta la chambre quelques minutes plus tard, et je refis l’amour à ma blonde.
On parla de notre expérience et d’un commun accord, on conclut que ce ne serait pas le
dernier. Les années qui ont suivi (une dizaine) elle se fit baiser ainsi à cinq – six
reprises par années. Au travers ses fois, il y eut de nouveaux partenaires et de
nouvelles pratiques.

Mais ça, ce sont d’autres histoires.

Vos commentaires seraient appréciés car il s’agit de mes premières histoires
érotiques. Je suis celui qui écrit, mais ma femme m’aide pour le contenu pour que ce
soit le plus fidèle possible à ce qui s’est vraiment passée.

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