Melisa 3

Le SMS je l’ai le matin au réveil, elle confirme qu’elle n’est pas rentrée de suite et que son collègue lui a posé des questions lors de son retour, je suis frustré, je voulais des détails,
Ne me souciant pas du fait que nous sommes Samedi, qu’elle est chez elle avec mari et s, je lui demande de me narrer cette fin d’après-midi ! pour réponse elle me propose de nous voir Lundi entre midi,
Lundi midi, rendez vous est donné tout comme Vendredi sur le parking extérieur de la base de loisir, j’attends à l’arrière quand je la vois arriver et se garer, elle me rejoint, elle porte une courte jupe plissée noire, un chemisier blanc (on dirait une serveuse) ses jambes sont gainées de soie et elle porte des bottes, très sexy !
Elle me dit bonjour en m’embrassant sur les lèvres, chouette elle est totalement soumise, rapidement ma main glisse sur sa cuisse la remontant jusqu'à la lisière de la soie, ce sont des bas, poussant mon exploration plus loin je touche sa chatte, elle ne porte pas de culotte, mon majeur coulisse le long de ses lèvres vaginales,
Alors tu me racontes ?
Elle commence sa confession, mon doigt s’active dans cet antre chaud et humide,
Lorsque je suis arrivée, nous étions seuls, il m’a dit de suite : qu’as-tu fait de tes collants ? de plus ta robe est tachée !
Je me suis sentie toute bête, je ne savais pas quoi répondre, il s’est approché et m’a enlacé, j’étais sans réaction, il m’a embrassé en me disant : tu crois que je ne sais pas ce que tu fais ? paniquée je ne savais pas quelle attitude adoptée, j’ai pensé brièvement à mon mari, mes s, je me suis dit : ma fille, tu es devenue une câtin, tu n’as plus qu’a assumé !
Il a dézippé ma robe qui est tombée à terre, il a dégrafé mon soutien-gorge, il me restait mes chaussures, il s’est mis en retrait et m’a regardé en me disant : derrière tes airs de sainte nitouche tu es une chaudasse en fait !
Il m’a demandé d’écarter les cuisses, sa main est venue au contact de mon sexe, j’étais humide de notre échange quelques minutes plus tôt, je ne pouvais pas mentir, il a porté ses doigts à mes narines me demandant ce que c’était ! j’avais des larmes aux yeux, je lui ai dit : du sperme !
Il m’a conduite dans le bureau de mon mari et s’est assis dans le fauteuil après avoir fait tomber son pantalon aux chevilles,
Mets-toi à genoux et viens me sucer !
Je me suis exécutée en prenant soin de saisir sa queue de la main gauche comme tu me l’as demandé, j’ai embouché son membre et j’ai commencé ma fellation, par moment je glissais le long sa tige et léchouillé ses couilles,
Il appréciait et n’avait pas l’intention d’abréger ce moment, j’ai dû m’appliquer durant plus d’un quart d’heure avant qu’il ne décide de me redresser et me faire courber sur le bureau au milieu des dossiers,
Il est resté assis à contempler mon fessier, sa main glissait le long de mes cuisses, il flattait ma croupe, faisant pénétrer un doigt au départ dans ma chatte, puis il a poussé l’exploration plus loin sur ma rosette plissée, je lui ai demandé d’arrêter mais il n’en avait cure, il insistait et a fini par perforer mon muscle,
Je pensais à mon mari qui passait du temps sur ce bureau et qui Lundi ne pourrait pas imaginer que sa femme s’était abandonnée dessus avec un collègue, pendant ce temps il insistait glissant jusqu'à deux doigts pour bien m’ouvrir,
Lui : Tu pratiques ?
Elle : je lui ai dit qu’avec mon homme nous avions essayé sans succès…
Cela va être ta première ! il était heureux d’avoir dans quelques minutes mon pucelage anal !
Soumise, je n’ai pas cherché à refuser le rapport, je voulais qu’il se presse, l’heure tournait et je devrais me justifier de mon retard si Chris (son mari) est à la maison avant moi,
Pendant qu’elle se racontait, ses mouvements sur le siège me laissait à penser qu’elle prenait plaisir à se confesser, mon doigt fouillait son intimité, son flot de paroles était par moment saccadé signe qu’elle n’était pas insensible,
Elle a repris son récit,
Une fois qu’il a pensé que j’étais prête, il s’est levé et plaqué contre mes fesses, je n’avais plus d’inquiétude, j’ai senti sa queue se positionner sur ma rosette, il a poussé, j’ai un court instant comprimé mes fesses mais il m’a dit : décontractes toi si tu ne veux pas souffrir !
Je me suis détendue, son gland s’est frayé le passage, j’ai serré les dents, de larmes coulaient sur mes joues, j’avais l’impression que j’allais être fendu en deux, il a poussé un peu plus et son membre s’est introduit dans mes reins, j’ai dû crier brièvement à nouveau, il s’est bloqué en moi, je sentais ce monstre en moi puis la douleur s’est estompée, il a commencé des allers-retours et j’ai ressenti une douce sensation,
Je lui ai demandé de me caresser, il m’a encore insulté mais sa main a enveloppé ma chatte et son doigt est venu titiller mon clitoris,
A partir de cet instant, une vague de plaisir est montée en moi, il se déchainait dans mes reins, j’accompagnais ses mouvements en glissant sur sa queue, je voulais le sentir au plus profond de mon être, j’étais impatiente de sentir son foutre jaillir en moi !
Mon orgasme fut intense, le sien aussi, nous sommes restés collé l’un dans l’autre jusqu'à ce que son membre perde de sa grosseur, un instant j’ai eu l’image de deux chiens après une saillie,
Il s’est remis sur le siège, je suis venue sur lui, nous nous faisions face, nous avons échangé quelques baisers, puis j’ai regardé l’heure, une énorme culpabilité m’a envahie, je me suis redressée, fouillant dans le tiroir, j’ai pris des mouchoirs en papier et me suis essuyée pour éponger tout le foutre qui coulait le long de mes cuisses, j’ai remis mon soutien-gorge puis ma robe, effectivement une tâche y apparaissait,
J’ai quitté le bureau et suis passée par Carrefour, en espérant que mon manteau couvre ma robe,
Il me fallait racheter des collants et en profiter pour faire quelques courses pour valider mon excuse si besoin !
Chis n’était pas encore rentré, j’ai pu me changer et préparer le repas comme une bonne mère et épouse peut le faire tous les jours,
Sa confession terminée, je l’ai soulevée sur moi tout comme nous l’avions fait Vendredi, j’ai extrait ma queue et j’ai investi son nid d’amour, je ne fus pas long à me déverser au plus profond de son ventre, elle-même profita de ce coït bref,
Au moins une fois par semaine nous continuons à nous voir, elle est également la maitresse de Jean Marc au bureau chaque fois que cela est possible ! Elle ratt le temps perdu…

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