Ilian &Amar

Iliane, ma copine tunisienne m'emmène chez elle pour les vacances de pâques. Pendant
jours nous y serons reçues comme des coqs en pâtes. La fin avril est propice pour
sortir : il ne fait plus froid, pas encore chaud. Habitant en pleine ville européenne
nous sommes bien logées. Le « babour » (ancien TGM, train en français) nous emmène
avant Carthage vers une plage sympathique, avec une vue magnifique sur la baie de
Tunis et le Bou Kornime, une espèce de grand colline qui de loin ressemble à un
volcan. Nous y sommes seules dans une petite crique ensoleillée ce qui rend la mer
plus chaude. Iliane, pleine de courage enlève sa jupe et son chemisier pour se
retrouver en petite tenue. Je l'imite facilement ; consciente que comme tunisienne
elle connaît les us et coutumes du coin.
Les vêtement servent de couverture, nous nous installons dessus pour prendre le
soleil. Comme elle le fait souvent quand nous sommes au Cap d'Agde, elle ne peut se
retenir de se masturber en glissant un doigt, écartant son slip, pour atteindre son
point chaud. Elle me donne envie d'en faire autant, mais avec elle comme nous en avons
l'habitude. Elle est couchée de tout son long, sa poitrine fait des mouvement de
respiration saccadés. Quand elle se tend, je la connais assez pour savoir qu'elle
jouit.
Tu aurais pu m'attendre que je me touche aussi.
Ça m'a pris d'un seul coup. Ce soir nous le ferons toutes les deux, comme tu aimes.
Tant pis pour moi, j'attendrai.
Je te ferais jouir plus fort, promis. Mais ici c'était dangereux, en pays musulman
l'homosexualité est un crime.
Nous allons plonger rapidement : l'eau n'est pas encore chaude. Mouillées nous
revenons en ville. Bien sur sa mère n'hésite pas à nous gronder : qu'elle idée de se
baigner si tôt dans l'année.
Le soir, comme promis nous allons nous coucher avec l'intention de nous aimer comme
souvent.

Une fois nues elle me tend les bras dans lesquels je me réfugie. C'est bon de
sentir nos corps réunis dans la même attente de notre commune jouissance.
Oui, nous aimons faire l'amour ensemble depuis longtemps. Nous aimons aussi avoir une
ou deux bites ensemble dans le corps.A dire vrai nous ne somme pas du tout lesbienne,
même si nous aimons nous faire du bien à deux. Ce soir nous innovons un peu. Elle me
fait coucher sur le ventre. Sa main va sur ma chatte, Elle entre dans la chatte
lentement, comme nous aimons faire. C'est le meilleur moyen de jouir doucement en
sentant le plaisir monter lentement. Elle ne m'a mit que deux doigts, elle réserve les
autres pour le périnée puis lentement pour le cul. Normalement elle y entre les doigts
pour un sodomie légère.
Iliane, change totalement quand elle pose sa bouche sur mes fesses pour les écarter,
pour que sa langue vienne sur l'anus. Je sens que je n'échappe pas à un orgasme
destructeur. J'enfonce pas tête dans l'oreiller pour taire mon cri de jouissance. Je
reste anéantie de ce nouveau plaisir d'avoir une langue de fille juste ans l'endroit
le plus secret de mon corps. Normalement, là seules deux ou trois bites y sont entrée
facilement. J'en avais joui, mais pas comme maintenant.
Je lui donne la réplique non pas en lui léchant le cul : elle aime assez quand je le
lui fais,mais là je veux entrer ma main dans son con. Pour la première fois je tente
de la fister. Elle ne renâcle pas du tout. Nous sommes tellement dévoyées que nous
aimons tout ce qui a un rapport avec le plaisir. Après avoir jouit comme une dingue,
sans heureusement mettre la maison en émoi, elle ajoute
J'aimerais avoir une bite.
Moi aussi, j'ai envie de me faire enculer.
J'ai un de mes anciens amis que ne demanderait pas mieux de nous baiser ensemble.
En trio ?
Oui. Je l'appelle demain matin.

Il est Tunisien ?
Bien sur
Vers midi, le lendemain, elle me fait un signe discret : c'est pour ce soir Il nous
tarde que nous soyons avec ce Tunisien capable de baiser deux nanas comme nous. Cette
fois le rendez vous est à Mégrine Coteaux, dans la banlieue sud de Tunis, à un petit
quart d'heure par le « babour ». Il habite près de la gare, donc nous sommes chez lui
vers 21 heures. Il nous attends pour nous accueillir. Beau mâle qui présente bien.
J'espère que sa queue en vaut le coup. Après le thé à la menthe que je n'apprécie pas
tellement, il nous embrasse sur la bouche l'une après l'autre en commençant par
Iliane.
Quand mon tour arrive, je me colle un peu contre lui pour sentir une belle queue qui
bande. J'espère surtout qu'il tiendra le coup pour m'enculer et nous baiser les deux
filles.
Nous le déshabillons avec Iliane. J'ai la surprise de voir une queue sans prépuce. Je
me souviens qu'en pays musulman, les garçons sont circoncis. Je n'aime pas ce manque
de prépuce, moi qui aime tant le faire descendre avec les lèvres. Tant pis, je me
passerais de ce manque en me faisant mettre plus vite.
-Te voilà avec deux femmes, comme il y a longtemps,pendant les mille et une nuits.
Sauf que je ne garde pas les femmes avec moi, je les répudie toujours.
Use nous avant de nous répudier, Amar
Vous êtes trop belle et sexy, je vais vous baiser.
Nous nous taisons pendant qu'il commence à s'occuper de nous deux à la fois : il passe
sa main sur les chattes pour caresser les clitoris. Il branle et doigte très bien.
Nous nous tenons par la taille avec Iliane. Quelles fois nous nous embrassons
rapidement sur la bouche. Amar ne semble pas en être dérangé. Sa queue bat la cadence.
C'est moi qui la lui prends en premier. Elle est dure et longue. Finalement le manque
de prépuce ne me choque plus.
C'est Iliane qui se penche pour le sucer.
Je la regarde quand elle le prend dans la
bouche : elle le lèche avant de le mettre en entier dans la bouche qui fait des va-et-
vient. Il ferme les yeux pour bien profiter de ce que Iliane lui fait. Je me contente
de caresser les couilles poilues. Je passe mon autre main par derrière vers son cul.
Je m'attendais à ce qu'il me rejette, au contraire il ouvre son anus pour que
j'entre : mon doigt coulisse bien dans son rectum.
Nous arrêtons tout pour ne pas le faire jouir. Nous sommes assises sur un divan
recouvert d'un tapis. Pendant qu'il se remet nous nous caressons, allant jusqu'à nous
branler. Iliane m'a mit deux doigts dans le con, Amar lui, me met deux doigts dans le
cul. Il se venge ainsi. S'il savait comme il me fait du bien, il arrêterait vite fait.
Je jouis une première fois à la fois par le con et le cul. Iliane donne son sexe à
Amar qui le lui lèche largement. Elle garde sa tête en arrière, je sais qu'elle
apprécie et va jouir aussi. Quand elle part, Amar revient s'occuper de moi en mettant
sa queue dans mon trou de devant. Il est doué pour me baiser, il capte de suite la
cadence qui me convient. Comme il est long à jouir, il m'envoie au ciel deux fois
avant de détourner sa bite vers mon cul. Il a sa queue pleine de mes secressions. Il
entre facilement au fond de mon cul. C'est gros, large, long et jouissif. J'adore sa
façon de me sodomiser.
Iliane se masturbe en nous regardant. Il n'aime pas ce qu'elle fait, il lui ordonne de
venir sur moi, d'ouvrir ses cuisses pour qu'elle se fasse sucer. Elle se trompe
volontairement en me donnant sa chatte. Je mordille le clitoris, je mets ma langue le
plus profond possible dans le coin plein de cyprine. Amar se contente de lui passer la
langue sur l'anus.
Bien sur, arrive le moment ou Amar jouit. C'est un fleuve de sperme qu se déverse dans
mes boyaux.
Je voulais une sodomie, je n'ai pas à me plaindre du résultat.
Iliane ne peut se lamenter, Amar rebande presque de suite. S'il la lui met au cul
juste un petit moment, il a vite compris qu'elle préférait l'avoir dans le vagin. Il
va et vient en elle qui a noué ses jambes autour de lui. Je n'ai même pas la place de
la branler. Par contre je peux lui donner ma chatte dégoulinante. Elle me torche le
con avec sa langue. J'aime ça, elle pourrait continuer cent ans que je jouirais
encore. J'hérite par la même occasion de la langue d'Amar sur le cul. J'ai encore du
sperme qui coule, il s'en fiche, il boit sa semence usée.
J'ai beau jouir, j'ai un problème : j'ai envie de faire pipi. Je le dit fort. Amar me
donne sa bouche pour le soulager. Il la colle contre ma sortie, je me soulage sur sa
bouche, il avale le tout avec un plaisir évident. Je me soulage et jouis en même
temps. C'est la première fois que j'ai ce genre de plaisir. Je recommencerais dès que
je le pourrais.
Quand nous entrons le lendemain matin nous ne savons que raconter à la mère d'Iliane.
Nous nous sommes tues jusqu'au départ, de l'avion de retour. Si elle lit, maintenant
elle sait ce que nous avons fait.Nous ne le regrettons pas du tout.

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