Un Apero Chaud Au Bord De La Piscine

Il est environ vingt heures. Nous sommes, mes amis Didier André et moi, en train de
boire un verre tout en écoutant un CD de musique africaine sous le manguier au bord de
la piscine. Lors qu’arrive Myrice, ma belle sœur, et deux amies à elle, deux superbes
petites bombes aux cheveux longs et aux bien belles formes...
Elle s'approche de moi, m'embrasse et me demande où est sa sœur Prudence. Je lui
réponds qu'elle est allée à Yaoundé pour des affaires concernant son activité
professionnelle.

Les trois jeunes femmes nous font la bise. Je les invite à s'asseoir près de nous et
leur propose de boire avec nous. Si tôt dis, si tôt fait. Elle prennent place à côté
de nous. Je leur sers une verre. Après avoir trinqué, ma belle sœur nous présente ses
deux copines.

Myrice.
La première, là à gauche, c'est Marie. Elle est de Bertoua et elle est serveuse dans
un cabaret. La deuxième, c'est Stéphanie. Elle est aussi de Bertoua et elle est
coiffeuse.
Moi.
Et bien, moi, je vous présente mes copains André et Didier, qui sont venus de France
pour passer quelques jours de vacances dans notre beau Cameroun.
Myrice.
C'est sympa. J'espère qu'il vont aimer.
André leur répond en premier.
Nous avons fait tous ces kilomètres pour venir découvrir les beautés de votre pays.
Mais pas seulement la nature.
Myrice.
Je vois. Il n'y a pas que la forêt et les animaux à découvrir. Il y a bien d'autres
choses. Des nanas comme nous, par exemple !!!. Il y en a de tonnes...
Didier.
Merci Myrice. Je vois que tu as compris ce que nous venons chercher. Et, je peux te
poser une question. Tes amies, Marie ou Stéphanie, sont libres en ce moment ?
Myrice.
Je te répondrais bien. Mais tu n'as qu'à leur poser la question directement.
Didier.
Je te remercie. Mais je vais le faire aussitôt.

..

Nous continuons à faire connaissance. Puis l’alcool et la musique aidant, la
conversation s'anime et les langues se délient jusqu'à faire comme si nous nous
connaissions depuis des lustres.

La nuit était tombée depuis un bon moment déjà. Sur la platine tournait une chanson
bien rythmée. D'un coup, les filles se lèvent et se mettent à danser sur le Makossa
qui passait. Je ne sais pas si vous connaissez la façon de faire qu'ont les Africaines
pour vous inviter et vous chauffer. Elles se mettent devant vous et font tourner leurs
fesses. Je vous dis que ça... Ça vous met dans une forme d'enfer.
Donc, voilà Myrice, Marie et Stéphanie, toutes les trois en train de faire tourner
leurs postérieurs à trente centimètres de nos yeux. Je vous raconte pas comment mes
copains avaient les yeux qui sortaient de leurs orbites. Ils étaient subjugués. Ils ne
connaissaient pas ça. C'était pour eux une découverte, et quelle découverte.

André me dit.
J'y crois pas... comment on peut résister à ça.
Moi.
Tu vois. On peut pas. Et tu vas voir comment ça va tourner.
Didier.
Je crois que je vais exploser mon caleçon. Elles m’excitent à un point...

Et la suite se déroule exactement comme je venais de leur dire. Les trois danseuses
occasionnelles se trémoussent de plus en plus. Stéphanie commence à défaire le haut de
son pagne, suivie par ma belle sœur et Marie quelques secondes après.
Quel beau spectacle. Trois paires de seins magnifiques, bien ronds, bien durs et
sautillant au rythme de la musique. Quelques instants après, cette fois c'est Myrice
qui délasse le bas de son pagne suivie de Marie et Stéphanie. Les voilà à présent
simplement vêtues d'un petit bout d'étoffe qui cache à peine leurs pubis et dont la
ficelle pénètre au plus profond de leurs fesses. Elles jouent toutes les trois avec
nous jusqu'au moment ou elles nous jettent leurs strings à la figure.
Marie vers
André, Stéphanie vers Didier et Myrice vers moi. A mon avis, elles avaient bien monté
leur coup, c'était bien fait comme elles avaient choisi. Ce n'était pas le fruit du
hasard.

Les trois demoiselles accentuent encore un peu plus leur danse exotique, ou érotique
et nous invitent à les rejoindre pour le final. Comme nous ne sommes pas des gougeas,
nous les rejoignons et rentrons dans leur jeu. Après quelques minutes de frottement
effrénés, nos shorts respectifs se trouvèrent plus que déformés sur le devant.
Je ne sais pas laquelle des trois s'en est aperçue la première. Mais ce qui est sûr,
c'est qu'elles se sont mises à regarder avec de gros yeux d'envies en direction de nos
énormes bosses et à rire de bon cœur.

Moi.
C'est quoi, les filles, qui vous fait rire comme ça.
Marie.
C'est de voir les bosses que vous avez dans vos shorts. Il me semble que vous êtes
plutôt bien équipés tous les trois... !
Myrice.
De ce côté là, Régis a ce qu'il faut. Tu peux me croire... !, j'en ai fait expérience
plusieurs fois déjà.
Stéphanie.
Moi, j'ai une petite préférence pour Didier, si ça vous dérange pas !!!
Marie.
Pas de problème, ma grande, j'espère qu'André n'y voit pas d’inconvénient.
André.
Non pas du tout. Et même je t'avoue que j'avais jeté les yeux sur toi en premier,
Marie.
Marie.
Donc tout est bien comme ça.
Didier.
Puisque tout le monde est d'accord. Alors allons y... !
Myrice.
Dis moi Régis. Et toi, qui préfères tu ?
Moi.
Pourquoi cette question. Toi bien entendu. Je ne t'échangerai avec personne tu le
sais bien.
Myrice.
Merci bien. Je le savais. C'était juste pour rire... Bon les amis(es), pour bien
commencer la soirée, si on se jeter dans la piscine. Vous croyez pas que ce serait un
bonne idée... !
Et tout le monde de lui répondre.

Allons y... ! on te suit.

Nous, les garçons, qui étions encore habillés, ôtons nos shorts, nos tee-shirts et nos
caleçons. Quand aux filles, elles étaient déjà à poils suite à leurs danses érotiques.
Nous nous approchons du bassin et un grand plouf s'en suivi. La fête pouvait commencer
vraiment. Ce ne sont pas les divers chahuts qui suivirent qui nous ont fait débander,
bien au contraire. En tout cas pour ma part...

Voyant ça, Myrice me dit.
Tu veux qu'on sorte de l'eau, ou on fait l'amour dans l'eau ?
Moi.
Tu veux qu'on essaye dans l'eau ?
Myrice.
Pourquoi pas. Je ne l'ai jamais fait. Et toi ?
Moi.
Moi non plus. Tu veux, on essaye...

Nous nous calons vers le bord du mur, là où le niveau est peu profond. Mimi s'accrocha
à mon cou. Puis elle m'entoura la taille avec ses jambes de façon à ouvrir au maximum
sa petite chatte pour que je puisse la pénétrer. Elle se laissa glisser lentement le
long de mon pénis pour s'y empaler totalement. Et là, il ne lui reste plus qu'à monter
et redescendre pour nous donner du plaisir. Et le plaisir ne tarda pas à venir. Après
quelques va et vient, Mimi commença à soupirer puis à gémir tellement c'était bon.
C'est une sensation formidable que nous rencontrons, pour la première fois, l'un et
l'autre. C'était en quelque sorte un dépucelage. Puisque, ni elle ni moi, n'avions
jamais fait l'amour dans l'eau d'une piscine.

Au bout d'un moment, nous regardons autour de nous. Surprise, il n'y avait plus
personne dans l'eau. André et Marie étaient dans un coin du jardin, un peu à l'écart
et Stéphanie et Didier sous le grand manguier. Si la musique du CD s'était tue, il y
avait d'autres chansons qui se diffusaient ça et là sur la pelouse du jardin. Il faut
dire que les soirées au Cameroun, même à une heure tardive, sont chaudes au sens
propre comme au figuré.


A cet instant, je dis à ma belle complice.
Et si nous allions nous installer un peu plus confortablement ?
Myrice.
Oui, c'est une bonne idée. On va s'installer sur la terrasse, nous serons mieux sur
le canapé.

Nous sortons de la piscine sans trop faire de bruit, et nous nous éclipsons vers la
terrasse. Mimi s'allongea sur le canapé les jambes ouvertes pour m'offrir sa
délicieuse fente humide que je m'empresse de déguster une fois encore. Trois coups de
langue suffirent pour lui faire gonfler son clitoris et lui déclencher un nouvel
orgasme. Et quand ma tendre belle sœur a un orgasme, il ne faut pas relâcher l'action
en cours. Donc, je redouble d'attention et d'efficacité. C'est vrai que c'est un
bonheur immense de faire l'amour avec elle... Elle me comble à chaque fois.

Bref, j'avais, à nouveau, une érection monumentale et ma douce partenaire s'en rendant
compte me dit avec empressement.
Reprends moi maintenant. J'ai envie que tu me fasses jouir encore et encore. Ça fait
trop longtemps que nous n'avons pas fait l'amour ensemble.
Moi.
Bien ma chérie. On est là pour se faire du bien. Par quoi tu veux qu'on recommence?
Myrice.
Par une levrette. Tu sais que j'aime beaucoup la levrette.
Moi.
Et après ?
Myrice.
Par ce que tu veux. Je veux juste que tu me fasses jouir. Et puis, on finira par mon
petit trou que tu aimes par dessus tout.
Moi.
Ça, c'est bien vrai. Je l'aime beaucoup, ton petit trou. Et toi, tu adores lorsque je
te le pénètre. Tu crois pas ???
Myrice.
Oui, j'aime sentir ta grosse banane aller et venir en moi. Ça me fait m'envoler au
septième ciel .

Comme on dit. Ce que femme veut... donc, je délaisse ma chatounette préférée. Ma
déesse se met en position, à quatre pattes, les cuisses largement ouvertes offrant à
ma vue la scène où allait se jouer les prochains actes de notre pièce de théâtre.

Un dernier coup de langue sur cette fente déjà bien détrempée, et j'approche ma grosse
banane plantain à l'entrée. Une seule pression suffira, je me retrouve tout au fond de
son volcan. Et en même temps, un petit cri d'extase qui me donna encore plus envie de
bien faire.

Myrice.
Vas y, encore, baise moi fort. Fais moi jouir comme une folle. J'ai envie de te
banane.

Le marteau piqueur se remet en action, et les coups de boutoirs deviennent de plus en
plus forts. Ma petite belle sœur, elle, chante de plus en plus. Les soupirs se
transforment rapidement en gémissements, puis les gémissements en petits cris.
Après lui avoir bien limé comme un forcené, pendant plus d'un quart d'heure, sa chatte
dégoulinante, elle me supplia de lui prendre sa rondelle plissée.

Je m'exécutais aussitôt. Je ressors ma verge encore raide comme un pieu de son volcan
en éruption. Je lui lèche abondamment son tout petit orifice avant de présenter, à
l'entrée, l'embout du marteau piqueur qui va se remettre à nouveau en action. Ceci
dit, la pénétration se fit toute en douceur. Mais aussitôt à l'intérieur, la
demoiselle demanda avec insistance de l'action. Ce que je ne pouvais lui refuser.
C'était tellement bon. Donc, les petits sons des paroles de sa chanson préférée se
firent à nouveau entendre. Ma belle sœur était dans un état de jouissance que je ne
peux pas décrire, tellement elle était excitée. Plus mes va et vient étaient intenses
et profonds, plus Myrice gémissait en me demandant d'une voix chevrotante de la faire
jouir toujours plus fort.
Bref, notre pièce de théâtre dura plus de trois actes, et certainement bien plus d'une
heure. Et c'est au bord de l'épuisement que je lui déchargeais, dans son fondement, le
flot de ma jouissance.

En tout cas, nous avons passés une superbe soirée d'amour et de complicité, tout comme
nos amis(es) qui sont venus nous rejoindre quelques instants plus tard sur la
terrasse. Tout ce petit monde bien fatigué s'est dirigé vers les douches avant de
rejoindre les chambres où cela a certainement dû recommencer... Mais ça, vous le
saurez une prochaine fois.

Zizoulabellequeue.

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