Mes Fantasmes De Fille Sage

Les temps sont rudes pour les étudiants.

Les soirées mornes s'enchaînent et se ressemblent, surtout en cette période de vacances. J'ai l'impression d'avoir oublié à quoi ressemble un karaoké, l'ambiance animée d'un bar ou les danses qui se succèdent en boîte. Il faut dire que je n'avais jamais aimé les boîtes de nuit. Je suis plutôt du genre discrète et réservée. J'ai toujours préféré les soirées en comité restreint, une séance au cinéma avec des amis ou une discussion sympa autour d'un verre.

Parachutée dans une grande ville, loin de mes proches, mon temps est souvent partagé entre les études et la recherche d'un petit boulot. En attendant, je loue une chambre dans un trois pièces pas trop cher avec une autre fille de ma faculté. Ma colocataire qui a d'ailleurs bravé le couvre-feu pour rendre visite à son chéri. Contrairement à moi qui n'a pas de copain et m'ennuie ferme, elle passe sûrement un bon moment. J'imagine toutes les choses coquines qu'ils doivent être en train de se faire en ce moment...

Soudain, j'ai chaud. Bien que je sois étendue sur mon lit en sous-vêtements, je ne peux empêcher la bouffée de chaleur qui m'envahit. Moi aussi, j'ai envie de prendre du bon temps. Je me sens désireuse. J'ai envie de me caresser. Je ne le fais pas souvent mais... pourquoi pas ? Je suis seule, ma colocataire n'est pas prête de rentrer, personne ne risque de me surprendre.

Aussitôt, mes mains entament leur petit voyage sensuel, glissent dans mon cou, puis sur le haut de ma poitrine. Je dessine des arabesques sur ma peau veloutée, effleure mes cotes, mon ventre, mes cuisses... J'excite mes sens pendant un moment, imaginant le plaisir de sentir des mains plus larges et viriles explorer mon corps de cette façon...

Mes seins pointent à travers la dentelle de mon haut, si sensibles que je pourrais peut-être jouir rien qu'en les tourmentant. J'empoigne ma poitrine ferme, assez généreuse pour emplir mes mains, et taquine mes tétons du bout des doigts.

.. je soupire... oh c'est bon... des picotements de plaisir électrifient mon corps, envahissent mon bas-ventre, enflamment mon désir, trempent mon sexe. Mes jambes se pressent. J'en veux plus. Je veux sentir le contact de ma peau tiède libre de la dentelle qui l'obstrue, j'ai déjà envie de glisser une main dans ma culotte humide. Rapidement, j'abaisse mon soutien-gorge sans prendre le temps de l'ôter. Mon dos se cambre et mon bassin se soulève du lit comme une invitation à un amant imaginaire, alors que je joue avec mes seins.

Bientôt, je ne résiste plus. Mes doigts poursuivent leur exploration et prennent la direction de mon entrejambe. Cette fois, mes cuisses s'écartent d'elles-mêmes pour accueillir ma main. Hmmm... c'est chaud, humide, gonflé, plein de promesses. Mes doigts glissent le long de ma fente, forment de petits cercles, titillent, effleurent, palpent, caressent. Le plaisir monte alors que je m'active sur ma chatte ruisselante en haletant, taquinant parfois mon bouton de rose durci. Des électrochocs me traversent, faisant tressaillir mon corps brûlant. L'intérieur de mes cuisses est luisant de mon nectar, n'attendant plus qu'une langue coquine pour venir me goûter, me lécher, me pénétrer.

Mon imagination fertile alimente mes fantasmes. Mon esprit est loin d'être aussi docile et bientôt, la jeune femme sage et sans histoires en société n'est plus. J'imagine la tête d'un homme entre mes jambes, le visage enfoui contre mon sexe. Un autre, peut-être un ami à lui, serait pressé dans mon dos, la queue déjà bandante contre ma chute de reins. Ses mains s'amuseraient avec mes seins et sa bouche enivrante parsèmerait mon cou et ma nuque de baisers humides. D'âge mûr, ils sauraient prendre leur temps, m'explorer avec sensualité et me faire languir, c'est le cas de le dire... jusqu'à ce que je les supplie de me faire jouir. Alors, ils se déchaîneraient. Le premier agripperait mes cuisses pour me baiser fougueusement avec sa langue et sa bouche, ravi d'entendre mes cris de plaisir, le visage saturé par ma jouissance.
Le deuxième me pincerait brusquement les tétons, avant de tirer sur mes longs cheveux bruns et prendre ma bouche, me laissant à peine respirer.

La tête rejetée en arrière, je gémis. C'était mon fantasme, me faire prendre par deux mâles plus âgés et expérimentés au lit, qui pourraient me faire découvrir toutes les joies du sexe. Deux étalons bien montés pour me donner orgasme après orgasme. Oh il faut que j'arrête ou je vais jouir. J'avais lu quelque part que retarder un orgasme pouvait rendre l'expérience encore plus jouissive, déclencher un véritable feu d'artifices.

Le souffle court, je retire lentement ma main et me retourne à plat ventre. Mes yeux accrochent le miroir de ma penderie à côté de mon lit et mes joues s'empourprent violemment si c'est encore possible. Je me reconnais à peine, complètement nue si ce n'est le soutien-gorge défait qui décore ma fine silhouette, accentuant encore la rondeur de ma poitrine et ses deux pointes roses. Mes yeux suivent la cambrure de mon dos jusque mes fesses rebondies et mes cuisses entrouvertes, laissant apparaitre ma chatte imberbe, émoustillée et toujours insatisfaite. Puis enfin, je croise mon regard. Gourmand, fiévreux, assoiffé de plus. Je contemple mes paupières mis closes, alourdies par le désir, mes pommettes rosies et mes lèvres gonflées à trop les triturer sans m'en rendre compte. Mon reflet est un véritable appel à la luxure. J'ai l'air d'une petite pute en manque.

Avec un sourire espiègle à moi-même, je place deux doigts dans ma bouche et commence à les sucer. L'image que je renvoie est indécente et totalement excitante. Le fourmillement dans mes entrailles devient insupportable.

J'att alors un coussin et le cale entre mes jambes. Le contact du velours sur mon sexe nu est étrange, nouveau. Mais c'est doux, c'est bon et c'est suffisant pour stimuler mon bouton. Ma cyprine inonde bien vite le tissu mais je n'en ai cure et continue à me trémousser comme je le ferais sur un homme, embarquée pour une chevauchée épique.
..

Encore une fois, mon esprit part dans les hautes sphères et j'imagine deux mains puissantes attr mes hanches pour m'empaler sur une queue bien dressée et palpitante, me pénétrant jusqu'à la garde. Une deuxième paire de mains viendrait caresser mon visage, saisir mes cheveux pour me guider vers un autre membre tout aussi énorme et dur, emplissant ma bouche avide. Déjà, je peux sentir l'odeur forte, musquée, inonder mes narines et le goût salé se répandre sur ma langue. Hmmm, un vrai délice.

Mes mains se crispent, agrippent les draps alors que mes hanches chevauchent frénétiquement le coussin... guidée par mes bas instincts et mon désir de sexe... Oui, j'en ai envie... je veux qu'ils me possèdent, qu'ils m'apprivoisent avec douceur mais passion et fermeté... Oh oui, qu'ils m'utilisent, qu'ils profitent de mon corps comme ils le souhaitent pour leur plaisir... et pour le mien... jusqu'à ce que je tombe de fatigue. J'ai terriblement besoin d'être remplie. Je leur offrirai ma chatte en feu, ouverte et trempée, ma petite bouche insolente et même mon cul étroit et encore vierge, s'ils me promettent d'être doux. Je veux qu'ils me fassent soupirer, geindre et crier toute la nuit.

De doux gémissements résonnent à travers la chambre et je me rends soudain compte que ce sont les miens. Vite, le coussin est remplacé par ma main. Je plonge deux longs doigts dans ma fente et du pouce, vais chercher mon clito prêt à exploser. Mon bassin ondule et mes seins bondissent, poursuivant leur danse effrénée. Oh c'est bon... oui cette fois, ça y est. J'halète, je gémis, je hoquète. Ma vue se brouille. Un cri m'échappe avant de se coincer dans ma gorge. Le dos cambré au maximum, je me sens partir et mon jus ne tarde pas à dévaler l'intérieur de mes cuisses. L'orgasme est explosif, puissant, le premier d'une longue série...

Mon corps se relâche sur les draps mouillés, tandis que je reprends mon souffle. Je me lèche les lèvres, pousse un gloussement.
Quel plaisir libérateur.

Seule avec mes fantasmes, dans ma petite chambre d'étudiante, j'ai envie de recommencer. J'ai envie d'être la brunette qui sait jouer la séduction, l'allumeuse qui n'a pas froid aux yeux, ose porter des mini-jupes sans culotte et exhibe ses seins sous des hauts transparents. Une vraie salope avec corsets et jarretelles en prime qui rend fou les hommes chauds et mûrs qu'elle rencontre, ceux qu'elle a choisi d'attirer dans ses irrésistibles filets.

La soirée promet d'être intéressante.

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