Carnet De Famille 4

Voilà, ce sont les derniers mots qu’a écrit ma mère dans ce carnet. Maintenant que
j’ai tout lu, je sais quelle a été la vie de mes ancêtres. Une chose est sure c’est
qu’a moi, il ne pourra pas arriver les mêmes problèmes, d’une part, je suis plus
vieille qu’elles et j’ai reçu des cours d’éducation sexuelle a l’école e je sais que
de nos jours nous avons des préservatifs en vente partout pour éviter de se faire
engrosser ou même attr des maladies.
Les passages ou elles racontent le plaisir qu’elles ont eut avec des garçons m’ont
beaucoup intéressé, il est vrai que c’est tout nouveau pour moi, je n’ai pas encore
fréquenté de garçons par contre la joie que l’on peut avoir en se caressant le minou,
ça, je connais, c’étais notre jeux favori dans le dortoir l’an dernier. Nous nous
caressions toutes ensembles, la perdante était celle qui mouillait sa culotte en
dernier. Moi, j’étais toujours dans les premières a crier mon bonheur et a mouiller
abondamment ma culotte.
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Ce soir au village c’est la fête du quatorze juillet, il y aura beaucoup de monde, je
vais y passer pour voir comment ils s’amusent dans cette campagne
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Je viens de passer une semaine de folie complète. J’étais sortie pour faire la fête
avec tout le monde au village, je suis tombée dans une embuscade incroyable. Alors
que je prenais un verre a la buvette j’ai reconnu Christiane, une fille de la pension
ou j’étais. Je l’ai appelé, elle est venue me rejoindre.
- Salut, que fait tu ici Christiane ?
- Je suis en vacances au centre de loisir avec une bande de copain. Et toi ?
- Moi, je suis chez moi, depuis la mort de ma mère j’habite au manoir la bas. En
plus le centre de loisir ou tu campe avec tes copains est a moi aussi, c’est ma grand
mère qui l’a créé.
- Ce n’est pas possible, tout est a toi alors.


- Oui, on peu dire ça mais je ne m’occupe de rien, tout est géré par un centre.
- Et tu ne te sens pas trop seule dans ton manoir ?
- Si un peu, mais j’ai quand même de la compagnie, il y a une femme de chambre,
une cuisinière, un maître d’hôtel, un jardinier et un chauffeur pour les voitures
- Les voitures ?
- Oui, le dernier mec de ma mère était pilote de course, ils se sont tué
ensemble, il avait cinq ou six voitures différentes.
- Tu m’invite dans ton château princesse ?
- Oui, si tu veux, viens avec moi.
Après lui avoir fait visiter le parc, le garage avec toutes les voitures et le manoir
elle m’a demandé :
- avec toutes les chambres que tu as tu ne pourrais pas nous héberger, le
camping au centre de loisir c’est bien mais ça manque de confort.
- Oui, bien sur, vous êtes combien ?
- Avec moi, trois filles et cinq garçons.
- Je vais prévenir Gisèle pour qu’elle prépare des chambres, pars chercher tes
copains.
Ils ont tous débarqué une bonne heure plus tard, parmi les filles en plus de
Christiane que je connaissais bien il y avait aussi Véronique, elle était aussi dans
notre pension mais comme elle était plus âgée que nous, nous ne nous fréquentions pas.
La troisième fille semblait plus jeune que Christiane elle se prénommait Marie
Christine, c’était la jeune sœur de Véronique, elle avait quinze ans à peine.
Pour les garçons, c’était une autre histoire, ils semblaient presque tous sortis d’une
revue de mode, la vingtaine, bien bronzés, bien musclés, pas un poil de graisse, un
défilé de mannequins. J’ai demandé bêtement peut être :
- vous formez un étrange groupe comment vous êtes vous rencontrés ?
C’est Christiane qui m’a répondue.
- c’est tout simple, lui, c’est Pascal mon frère, les autres ce sont Marc,
Christian, José et Ben ce sont tous des musiciens, ils forment un groupe de rock,
comme c’est les vacances, je les suies un peu.
Et j’ai rencontré Véronique qui sort
aussi avec eux, sa sœur nous a été imposée par ses parents mais elle est sage.
- Ils vont jouer bientôt ?
- Dans quinze jours, la, c’est relâche.
Pendant que nous discutions une étrange odeur s’est mise à planer dans la pièce j’ai
regardé attentivement les garçons, ils avaient allumé des cigarettes un peu bizarres.
- tu veux goutter au Bedos ?
- non, merci.
Véronique, elle, ne s’est pas faite prier, en a attrapé un, tiré une grande bouffée
dessus puis a retenue son souffle un petit moment avant de recracher doucement la
fumée.
- tu devrais essayer, ça te décoincerait.
- Mais je ne suis pas coincée.
- Bien sur que oui, tu est comme Christiane quand nous nous sommes rencontrées.
maintenant, elle est beaucoup mieux.
J’ai regardé Christiane, elle aussi, fumait ces étranges cigarettes. Même Anne Marie
la petite sœur fumait ce truc bizarre, ça ne devais pas être trop méchant. Je me suis
laissé tenter, j’ai tendu la main, ils m’en ont fait passer un, j’ai aspiré un coup
dessus et fait comme Véronique. A la troisième ou quatrième bouffée, j’ai eut
l’impression d’être complètement Soule, tout tournait autours de moi, je voyais des
trucs étranges comme Anne marie se glissant entre les jambes de Christine puis ça a
été le trou noir complet.
Quad j’ai refait surface, j’étais entièrement nue, dans mon lit, couché à coté de moi
qui dormait profondément c’étais José. En bougeant je l’ai réveillé, il m’a regardé
puis m’a dit
- sacré voyage, c’était ton premier ?
- oui, c’est la première foie que je fume ce truc, c’est de la drogue non ?
- non, un bédo n’est pas de la drogue, c’est juste un peu d’herbe.
- Ah bon et comment je suis arrivé ici ?
- On a tiré au sort et c’est moi qui t’ai eut. Qu’est-ce que tu fais toi ?
- Je ne comprends pas.
- Bien oui, tu ne fait que sucer comme Anne Marie, tu donne tes fesses comme
Christine ou tu fais la totale comme véronique, j’aimerais savoir moi.

- Je ne sais pas, c’est la première foi que je couche avec un garçon.
Il a tendu les bras et m’a dit :
- viens, je vais te faire jouir et tu choisiras ce que tu veux.
- Tu as des capotes ?
- Oui, bien sur.
- Alors, je désire tout essayer pour voir ce que je préfère.
- Eu est sure de ton chois, vraiment sure ?
- Oui, il faut bien un début à tout.
Il m’a embrassé, caressé doucement tout le corps, puis ses mains se sont attardées sur
mon sexe, il l’a malaxé jusqu'à ce que je gémisse de plaisir alors il est descendu sur
mon corps et sa bouche s’est collée a mon vagin et sa langue m’a pénétré. Je sentais
un plaisir comme jamais je n’avais eut, mon sexe dégoulinait de mouille, c’étais
merveilleux. Ses doigts ont guidé ma mouille vers mes fesses puis ils sont doucement
entrés dans mon petit trou pendant que sa langue titillait mon clitoris. J’étais aux
anges. D’un coup il s’est arrêté puis il s’est levé pour prendre un truc dans un sac,
je l’ai observé pendant qu’il s’enfilait son préservatif, c’était le premier sexe
d’homme que je voyais en vrai, ça m’a parut énorme.
Il est revenu vers moi, m’a fait mettre à quatre pattes sur le lit puis tout en me
caressant le sexe d’une main et la poitrine de l’autre il s’est enfoncé tout doucement
dans mes fesses. Je n’avais pas mal bien au contraire, cette intrusion faisait monter
en moi un plaisir indescriptible. Il m’a défoncée d’abord doucement puis de plus en
plus vite en me caressant le sexe jusqu’au moment ou j’ai crié mon bonheur. La, il
s’est prestement retiré puis a enlevé sa capote pour se présenter face a ma bouche. Je
l’ai un peu sucé et il a jouis abondamment au font de ma gorge. Il a du se rendre
compte que je ne savais pas quoi faire de son présent, et il m’a dit :
- avale
J’ai tout avalé puis nous nous sommes recouché et endormis.
Le lendemain après le petit déjeuner j’ai pris Christine a part
- Vous m’avez joué un sale tour hier soir
- Non, pourquoi ?
- Et José dans mon lit c’étais quoi ?
- Rien, c’est toi qui a demandé à partir te coucher avec un homme.
C’est José
qui a gagné c’est tout.
- Et ça vous arrive souvent ?
- Oui, presque tous les soirs quand on peu, c’est nous les filles qui
choisissons. et de temps en temps on se fait même une partie tous ensemble, c’est la
qu’on jouis le plus..
- C’est prévue pour quand votre prochaine partouze ?
- Je ne sais pas encore c’est les garçons qui décident ou, quand, comment.
- Ou et quand, je comprends mais comment ?
- Bien oui, tout le temps c’est nous les filles qui choisissons qui, ce que l’on
désire qu’ils nous fasse et comment nous voulons jouir, le jour de la partie ce sont
les garçons qui choisissent. La dernière foi, ils m’ont dépucelée et ont tous jouis
dans le sexe et les fesses de Véronique.
- Et les capotes alors ?
- Les capotes ils les mettent quand on le demande mais le jour de la partie nous
n’avons pas droit a la parole, c’est tout.
- Elle ne s’est pas retrouvée en cloque ?
- Non, pourtant elle ne prend rien.
- Bon, on va se promener, vous allez voir, le coin est très agréable.
On est tous parti à travers les bois et les champs. En revenant, nous sommes passé
devant la vieille grange les garçons y sont entré, ont joué un peu dans la paille puis
nous sommes revenus au manoir. Après le repas, nous nous sommes un peu amusé puis les
bédos ont tourné un moment, ce coup ci j’ai été très prudente, je tirais à peine
dessus. Quand ils furent tous fini, j’avais la tête qui tournait un peu c’est tout.
Nous sommes partis au lit. Ce coup ci j’étais avec Christian. Il a été très doux, il
m’a déshabillé tout doucement en m’embrassant et me caressant puis il m’a porté
jusqu’au lit et il s’est mis a me lécher le sexe. Il le faisait si bien que je me suis
mise à jouir très rapidement. Quand j’ai repris mon souffle il m’a demandé gentiment :
- veux-tu me sucer un peu ?
J’ai acceptée, il s’est couché sur moi en soixante neuf et m’a laissé faire pendant
qu’il recommençait de son coté. Je me sentais complètement dégouliner de plaisir, il
s’est retourné et a essayé de me pénétré. Je l’ai empêché :
- non, pas par la, je suis vierge. Si tu veux vraiment me prendre tu peux par
derrière.
Il s’est relevé, je me suis retournée puis il s’est mis à forcer ma rondelle avec ses
doigts. Quand il a trouvé que le passage était assez élargi, il m’a enfoncé son sexe
et s’est mis à me pilonner. J’ai réalisé qu’il n’avait pas de capote quand je l’ai
senti m’inonder les tripes de son plaisir. Comme je n’avais pas jouis avec lui, il
s’est remis a me lécher le sexe jusqu'à ce que je crie mon bonheur. Nous nous sommes
endormis dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain matin il m’a demandé de lui prêter une voiture, j’ai accepté et tous les
garçons sont partis. Nous avons passé une journée entre filles. Le soir, comme ils
n’étaient pas revenus nous nous sommes couchés toutes seules, chacune dans un lit. Ils
sont arrivés le lendemain vers midi. A peine arrivé, ils nous ont dit :
- ce soir on fait une partie, ne trichez pas on vous prépare une surprise.
Nous sommes resté entre fille toute l’après midi. Le soir ils sont venu nous chercher,
nous ont bandé les yeux et nous ont demandé de les suivre. Un petit moment après, ils
nous ont débandé les yeux, nous étions dans la vieille grange. Ils avaient fait pas
mal de travail, une table était dressée avec des verres, des boissons et une coupe
avec des préservatifs. Au fond de la salle ils avaient fait un truc avec plein de
cordes, je ne comprenais pas a quoi ça pouvais servir. Un des garçons s’est approché
de nous en nous tendant des verres, c’était une sorte de punch. Quand nous avons
toutes fini nos verres, Marc s’est mis à parler
- ce soir, c’est notre soirée, vous venez de boire une potion aphrodisiaque qui
va multiplier vos sensations. En plus ce soir, nous avons décidé de vous laisser un
chois, vous voyez ces coupes elles contiennent des papiers, dans la première un
nombre, c’est le nombre de male que vous aurez, dans la seconde, un acte est décrit
c’est ce qu’on vous fera. Je vous laisse un chois, celui d’être prise avec ou sans
préservatif. Le seul hic c’est que dans la coupe il n’y en a que dix, six normaux et
quatre qui ont de fortes chances de se déchirer. Celle qui désire un préservatif et
qui tombe sur un normal, pas de problèmes par contre si elle tombe sur un qui se
déchire elle deviendra notre esclave sexuelle pour une partie de la soirée c’est tout.
Pour tout le reste, c’est comme dans les autres parties.
Nous nous sommes regardé un petit peu interloqué par ce discours puis les garçons se
sont approché de nous et ont commencé à nous déshabiller en nous caressant. Le produit
que nous avions bu devait faire de l’effet, ils ne m’avaient pas encore touché que je
sentais déjà mon sexe dégouliner et je mouillais abondamment ma culotte.
- honneur aux plus jeunes, Anne Marie, viens tirer ton papier.
Elle s’est approchée a pris un premier : un. Puis un second : sodomie . Marc lui a
demandé si elle voulait un préservatif elle a répondue que non. Elle est partie dans
la paille avec un des garçons.
Puis ce fut le tour de Christiane premier papier deux second papier pipe. J’ai vu un
sourire sur ses lèvres puis elle a dit non au préservatif.
Ensuite ce fut mon tour premier un deuxième levrette. A la demande du préservatif,
j’en ai voulu un. On m’a tendu la coupe et j’en ai choisi un avant de partir dans la
paille avec Marc.
Je ne sais pas ce qu’a eut Véronique.
Il a été gentil, il m’a pas mal caressé avant de me faire mettre a quatre pattes
devant lui puis il m’a pénétré tout doucement, il savait que j’étais vierge. Je ne
sais pas si c’est a cause du produit que j’avais bu avant mais je n’ai pas eut mal et
j’ai jouis tout le temps. Le préservatif a tenu, j’étais vraiment chanceuse. La grange
était remplie de râles de jouissance.
A la fin de chaque tableau, nous repassions à la table pour tirer un autre papier.
J’avais déjà été sodomisé et baisé une foi je ne savais pas ce que me réservait la
suite de la soirée. Jusqu'à maintenant j’avais eut beaucoup de chance.
A mon tirage suivant j’ai lu surprise ! Je n’ai pas compris tout de suite et quand on
m’a présenté la coupe des préservatifs, vu qu’il n’en restait pas beaucoup j’ai
préféré dire non. Ils m’ont emmené vers une botte de paille, m’ont fait me coucher sur
le dos puis ils ont fait venir Anne marie et l’on allongée sur moi en soixante neuf
puis ils nous ont attaché dans cette position et Marc a dit :
- Broutez-vous pour vous préparer, nous allons venir vous retrouver dans un
petit moment
Le sexe d’Anne marie dégoulinait de sperme et de sang, elle avait du se faire
dépuceler sans capote. Je me suis activée pour lui nettoyer le sexe pendant qu’elle me
faisait monter une nouvelle foi au paradis. Au bout d’un moment j’ai vu une bite se
présenter et entrer en elle en mène temps j’en ai senti une entrer en moi. C’étais
surréaliste, j’avais sous mes yeux une bite qui entrait et qui sortait du ventre
d’Anne Marie et je ressentais la même chose, en plus j’avais des burnes qui venaient
me frapper la bouche. Ils se sont relayés un bon moment puis après nous avoir faites
jouir, ils ont arrêté et nous ont détachés. J’étais heureuse, je n’avais pas encore
pris de foutre dans ma chatte. Nous avons eut un petit moment d’accalmie pendant que
Christine et Véronique jouaient leur esclaves sexuelles. Je pense même que je me suis
endormie bercée par les râles de jouissance. C’est José qui m’a réveillé par ses
caresses il m’a faite monter au bord de la jouissance puis il est venu sur moi pour me
prendre, je me suis débattu et sans réfléchir, j’ai demandé une capote. Il m’a
présenté la coupe, il n’en restait que deux j’ai un peu hésité puis j’en ai pris une
espérant que la chance n’allait pas me quitter. Il l’a enfilé puis il a plongé en moi.
C’étais merveilleux, j’éprouvais un plaisir immense, je me donnais entièrement a lui.
Nous sommes arrivé a l’extase complète en même temps, c’étais merveilleux.
J’ai déchanté quand il s’est retiré, du préservatif il ne restait qu’un lambeau qui
pendait lamentablement, j’ai réalisé que j’allais devenir leur esclave sexuelle
pendant un bon moment.
A SUIVRE

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