Le Coup De La Panne...

- Que penses-tu de cette noce Élodie ?
- Très bien réussie, les mariés étaient très beaux, le repas excellent, dommage que nous n’étions pas seuls dans la chambre cette nuit …
- Pourtant tu as jouis lorsque je t’ai caressée
- Oui mais tu sais bien que ça ne suffit pas à satisfaire ma chatte
- Au fait tu a vu dans quel était mon frère ce matin lorsqu’il s’est aperçu que tes tétons crevaient ton chemisier ?
- Cette nuit lorsqu’il m’a faite danser ce n’est surement pas un manche de couteau que je sentais dans sa poche ! lorsqu’il me parlait c’est à mes seins qu’il s’adressait, et ses mains pelotaient mes fesses en douce
- Ha c’est un sacré chaud lapin mon frangin il ne dirait pas non si je lui proposais de te baiser
- Heureusement qu’il n’a pas vu ceci …..
- Quoi donc ?
- Ton petit cache sexe préféré
- FAIT VOIR ????
Dans la voiture de mon père voilà les murmures que je perçois à moitié allongé sur la banquette arrière le dos bloqué sur le coté du siège je somnole ou plutôt fais semblant, nous roulons vers la maison revenant du mariage d’une cousine, au travers de mes cils je vois Élodie tourner une cuisse vers mon père, Élodie c’est ma belle mère en ménage avec lui depuis six mois, son allure féline et sa cambrure de rein ont fait craquer mon vieux qui a 12 ans de plus qu’elle et 12 de plus que moi qui en ai dix sept
- Chuuuuutttt Dorian peut nous entendre
- Pense tu il dort à point fermé, après ses performances au mariage ça ne m’étonne pas
- Retire ta main s’il te plait tu me fais mouiller encore plus
A travers mes cils je vois Élodie tourner un genou ver mon père sa jupe remonte dénudant une cuisse magnifique, la main boquée dans la fourche ma belle mère se trémousse
- Arrête je te dis !
- Laisse moi te doigter….Hummmm tu sens bon ôte donc ce morceau de tissu humide et inutile
- D’accord mais promet moi de me faire l’amour dés que nous serions arrivés a la maison
- Tu ne perds rien pour attendre ma beauté touche un peu la barre que j’ai entre les cuisses
- Au fait que voulais faire Dorian avec tes clés de voiture cette nuit ?
- Simplement aller se soulager avec sa cavalière, j’ai quand même voulus me rendre compte que la voiture n’avais pas bougé de place, quand je me suis approché la voiture tanguait, une buée garnissait les vitres mais un plafonnier était allumé j’ai aperçus trois corps dévêtus, ce petit saligaud s’est tapé deux nanas à la fois ! une fille semblait rebondir sur ses genoux la deuxième criait ‘ dépêche- toi de jouir j’ai trop envie ‘ ! je me suis éloigné sidéré et fier de mon fils !
Élodie s’est retournée vers moi et me dévisage longuement, le slip humide qu’elle a ôté git sur le tableau de bords
- Ben dit donc, regarde cette gueule d’ange on lui donnerait le bon dieu sans confession, il sera comme son père celui là : un bon queutard ! mais c’est vrai qu’il a l’air sonné !
- Faut pas se fier a l’eau qui dort, a son âge malgré qu’il a baisé toute la nuit il pourrait mettre sur les genoux une femme comme toi… et si tu me faisais une petite gâterie pour me faire patienter ?
- Là devant ton fils ?
- Il dort je te dis ! aller passe ta tête sous le volant
Élodie à genoux sur son siège prend appuis sur la cuisse de mon père, je ne vois rien mais aux mouvements de son buste je devine que sa bouche est bâillonnée par la queue paternelle, dans le reflet de sa vitre sa jupe remontée laisse voir son cul nu, difficile d’apercevoir nettement les lèvres du sexe, dommage !
Soudain la voiture donne des à-coups, affolée Élodie se redresse, je fais comme si je me réveillais subitement
- ….

Mais …… mais que fait tu ??? tu me fais le coup de la panne en pleine forêt ?
- Que se passe-t-il papa ?
- Je ne le fais pas exprès, je crois bien qu’ont est véritablement en panne
- Ont est en panne papa ????
- J’en ai bien peur fiston, je me gare vite ici …sortez vos téléphones …
- Beeennn je ne reçois pas de réseau
- Moi non plus… avec tes manies de prendre des raccourcis
- Par la forêt je gagne cinquante kilomètres, par contre inutile de faire du stop il ne passe pas deux voitures par mois ici !
- Que fait ont maintenant ????
- Il est seize heures je vais aller a pied chez le vieux léonard, il a une dépanneuse, j’en ai pour une heure une heure et demie, Dorian tu reste avec Élodie, ne vous aventurez pas dans la forêt il y a des sangliers
- Quelle galère ! bon dépêche toi chéri
Mon père part à pied, je descends de la voiture car il y fait trop chaud
- Dorian, regarde dans le coffre il doit y avoir une couverture tu va la mettre a l’ombre sous cet arbre et aide moi à descendre ton père s’est garé trop prés du fossé
- D’accord Élodie
Le fait de me retrouver seul en pleine nature avec cette femme suspendue à moi que je sais être nue sous ses vêtements me trouble
- Att moi par la taille je m’accroche a ton cou, fait moi passer le fossé
Ses seins s’écrasent sur moi, son entre jambe brulant s’emboite sur ma cuisse, nos visages sont seulement à dix centimètres, son haleine rafraichie par un chewingum est super agréable , une fois dans mes bras je me tourne et a ce moment là je perd l’équilibre l’entraiment avec moi elle s’étale en douceur sur la couverture je me retrouve au dessus d’elle , elle ne lâche pas mon cou , la moitié de son visage est cachée par sa chevelure en désordre, seul un œil me fixe , soudain il change d’expression ,il se fait câlin a moitié fermé , sa bouche entrouverte semble implorer un baiser, déstabilisé je regarde ailleurs , ailleurs ? C’est sa poitrine, une aréole brune au téton raidi passe dans l’échancrure du corsage, ceci n’arrange pas mon ‘ émoi ‘ qui se transforme lentement en érection, regarder autre- part ?…il y a les cuisses découvertes, un genou relevé a fait baisser la jupe sur le ventre plat, je n’aurais qu’a me pencher un peu pour mater l’entre- cuisses et donc sa chatte
Soudain Élodie m’attire à elle, nos dents s’entrechoquent avant de laisser passer sa langue qui fouille mon palais, dire que la queue de mon père était il y a peu dans cette bouche, Je n’y trouve aucun dégout …Ma main s’aventure sur sa poitrine que je masse fiévreusement, ma jambe passe entre les siennes, mon genou bute sur sa vulve, Élodie ondule du bassin afin de frotter sa chatte sur mon pantalon, brusquement elle me repousse
- Dorian lèche moi ….
.
- Mais ?.......
- Dépêche toi nous n’avons pas beaucoup de temps lèche moi vite !!
La femme soulève son dos et tire sur sa jupe montrant tout son ventre, ses lèvres sont épilées, un cœur parfaitement taillé orne son mont de vénus, tremblant je me faufile entre ses cuisses relevées très haut, sa craquette est légèrement ouverte et brillante, ma queue a peine remise de ma partie de baise avec les deux filles cette nuit me fait mal tellement elle est bandée, cette chatte n’a rien en commun avec celles des ‘gamines’
Je pose mes lèvres sur la bouche vaginale odorante d’excitation, je ne suis pas un expert en cuni j’avance timidement ma langue dans cet antre qui crache sa liqueur, mes doigts retroussent le clitoris gros comme un grain de maïs Élodie maintient ma tête en l’appuyant fortement sur sa moule, sa source semble être intarissable
- Va y Dorian lèche moi tu t’y prends bien, enfonce tes doigts, branle moi je vais jouir… OUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIII AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!! que c’est booooooooooooonnnnnnnnnnn !! ….j’en avais vraiment besoin merci Dorian ! allonge toi a ma place c’est a mon tour de te rendre un petit service …ta braguette est trop déformée
Abasourdis, le visage mouillé j’obéis à ma belle mère qui s’attaque à ma ceinture
- Soulève tes fesses …
Mon pantalon quitte mon corps entrainant mon slip qui emprisonnait ma queue cintrée en deux, une fois libérée elle fouette l’air aussitôt saisie par des doigts fins qui finissent de la décalotter, les yeux fermés j’apprécie la bouche pulpeuse qui se referme sur mon gland, des onomatopées et des bruits de sucions troublent le silence, tous mes muscles raidis j’essaie de retarder l’éjaculation qui monte inexorablement, Élodie l’a compris et serre ma queue dans sa main au cas où je voudrais me retirer
- Je vais …….. JOOOOOUUUUUIIIIIIIIRRRRRRR !!!!!! AAAAAAAAAAAHHH !!
- Pour quelqu’un qui a satisfait deux nanas cette nuit tu as une sacrée réserve !!
- OOOUUUUUHHH tu suce merveilleusement bien ! je n’ai pas pus résister ! excuse-moi
- De rien ! ne bouge pas je vais te chevaucher
- Alors fait moi plaisir, ôte ton corsage je veux voir et téter tes seins
- je vais même tout quitter regarde ……
La femme une fois entièrement nue m’enjambe et les mains sur les hanches me laisse admirer son corps, elle gonfle la poitrine et avance le bassin pour faire ressortir sa chatte qui goutte encore sur mon ventre, je me repais de cette vision irréelle
- Alors ? je te plais ?
- Hooo oui ! j’adore l’apparence de ta chatte bien rasée
- Ne perdons pas de temps …
Face a moi, la tête penchée en avant, en flexion sur une jambe elle ouvre sa chatte de deux doigts, j’att ma queue et la positionne à la verticale, Élodie frotte ses lèvres sur mon nœud qui écarte sa vulve et se lubrifie avec sa mouille, la bouche ouverte elle se laisse descendre lentement sur mon mât, mon pénis est vite emprisonné dans cette douce prison, elle reste un moment assise en ondulant des fesses sur mon pubis, ma queue se rebiffe en donnant des à-coups
- Huuuummmm quelle fougue ! tu as du tempérament Dorian, montre moi ce que tu sais faire ….

Je la cramponne aux hanches et donne des coups de bélier dans son ventre, elle roule ses bouts de seins entre ses doigts en poussant des cris de biche saillie
- Salaud tu sais que tu baise ta belle mère ?? mais que c’est boooooonnnnnnnnnnnnn !
- T’es une vraie chienne en chaleur !
- Oui je suis une pute ! je ne tenais plus il me fallait absolument une bitte, ton père m’a dit que tu as baisé deux filles a la fois cette nuit ?
- Deux garces dans ton genre, je te signale que j’en ai sodomisé une …
- Et tu veux me le faire ?
- Dés que je t’aurais faite gueuler et que j’aurais tout balancé dans ta moule
- Quel merveilleux salaud tu fais !!!! tu sens comme je mouille ?
- Ça coule sur ma queue et mes couilles tu devrais enduire ton petit trou avec
- Oui je vais m’enfiler deux doigts … aaaahhhhhhhhhhhh c’est bonnnnnn ……Je sens que ça monte, CA MONTE !!! …OOOOOOOOOUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!!
- MOI AUUUUSSSSSSSSSIIIIIIII !!!!!!
- Je te sens je te sens ! tu me remplis de ta brulante semence …..hooooooooooooooooo
Élodie s’affale sur moi le temps que son orgasme s’estompe, l’heure tourne, sans perdre de temps je la bascule et prend la position dominante, ma queue est encore fichée en elle, la salope reprend les mouvements du coït afin d’entretenir mon érection, je passe une main sous mes couilles pour débusquer son anus qui palpite sous mes doigts, il est souple, voire très souple mon père doit s’en servir régulièrement, je retire lentement ma bitte qui trouve rapidement le chemin du conduit intime, Élodie a posé ses jambes sur mes épaules afin d’élever son trou a bonne hauteur , j’ai menti en affirment avoir sodomiser une fille , c’est ma première fois , ça me semble fastidieux de pénétrer un anus c’est plus étroit qu’une chatte , moins élastique
- Vas-y pousse ! qu’attends-tu ?
- J’ai peur de te faire mal …
- Ton père prend moins de précautions enfonce toi n’ai pas peur … voilllllàààààà !!!!
- Ça fait bizarre dans ce trou …
- Petit menteur tu n’as jamais sodomisé de nana ?
- Non …
- Encule-moi maintenant que tu es entré au trois quart
Arque bouté sur les genoux j’entreprends des mouvements lents et je fais pénétrer ma queue entièrement dans ce boyau qui commence à se faire a ma présence , Élodie a accrochées ses jambes a ma taille et s’empale elle-même sur ma hampe, nos corps en sueurs glissent l’un sur l’autre, ses dents sont fichée sur mon épaule elle est secouée de tremblement incontrôlables , un jus gluant suinte de son vagin, je laboure a grands coup ce trou du cul
- DORIAN !! tu me tue … va-y ! va-y ! va-y ! je jouis je jouis je JOOOUUUUIIIIS HAAAAAAA !!!!!!!met moi tout MAINTENANT !!!!!!!!
- TIIEEEENNNNNNNNNNNT HOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO ! j’ai mal aux couilles salope !
- Hhhhaaaaaaaaaaaa tu m’emplis le cul ………
- Tu m’as vidée les couilles ….

Une fois notre respiration redevenue normale nous nous sommes rhabillés et endormit dans les bras l’un de l’autre, c’est ainsi que mon père nous a découverts a son retour une heure plus tard….
- C’est gentil de protéger ainsi ta belle mère fiston, excusez moi d’avoir tardé à revenir
Un coup d’œil complice nous a provoqué un fou rire ….

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