Nous Avons Une Belle Terrasse Et .... Un !
Je viens de faire un test de grossesse
il est positif, je devrais me réjouir mais ce nest pas si simple
Je mappelle Marine, vingt trois ans mariée a Lucien vingt six ans, je laime il maime cest lui qui a eue ma virginité il y a six ans
Laissez moi vous présenter mes beaux parents, Marinette ma belle mère quarante huit ans, encore belle femme que je qualifierais de superficielle ses trois mots favoris sont : fringues, chaussures, carte bleue, elle ne travaille pas, jalouse que son fils me préfère a elle et de mes tenues parfois excentriques mais décentes
Charles mon beau père, le mot beau est justifié
une carrure dathlète, ancien boxeur ancien rugbyman devenu petit entrepreneur de maçonnerie, il se tue au travail pour payer les caprices de sa femme, je suis sa brut préférée vu que je suis la seule cest rigolo ! il adore mes tenues excentriques et lorgne quelques fois mes cuisses découvertes du coin de lil mais fait preuve dun grand respect pour ma personne
Lucien ? Fait la moitié de son père, aussi grand mais filiforme, sportif ? Il faisait badminton au lycée !!! Intelligent, beau sinon je ne laurais pas épousé, mais ne sait pas planter un clou ! Sexuellement ? A mon point de vue, normal, sa verge fait dix sept centimètres sur 3,5
je sais pour avoir vu des vidéos quil y a mieux mais il me contente
enfin, plus souvent et plus de diversité me conviendrais
.
Il y a trois mois nous étions invités chez eux, ils habitent à cent vingt kilomètres de notre maison, pendant le déjeuner Lucien a lancé un projet qui a faillit faire mon beau père
- Papa, je vais faire une terrasse derrière la maison, jai déjà tout acheté !
- Mon fils est fou ! toi faire une terrasse ? laisse-moi rire ! ne fait pas ça le résultat me ferais honte, je ferais plus confiance a ta femme pour la maçonnerie ! si je nhabitais pas si loin je te la ferais mais je ne vais pas me taper plus de deux cents bornes pendant au moins trois jours
Et moi dajouter.
- Et si vous veniez passer une semaine chez nous tous les deux ?
- Moi je veux bien mais ta belle mère ça métonnerais quelle quitte son clocher !
- Tu peux y aller seul Charles au contraire ça me feras des vacances !
- Comme tu veux
- Chérie tu poseras quelques jours de R T T papa peut avoir besoin de quelquun
- Ça ne me dérange pas
.
Cest de là que tout a commencé
..Quinze jours plus tard Charles a débarqué avec sa camionnette et sa petite valise, aussitôt il sest mis au boulot, jadmire ses gestes précis, la sueur qui souille son marcel, ses poils bouclés qui en dépassent, les muscles puissants qui roulent sous sa peau
.
- Au lieu de me surveiller tu va maider, mais avant va te changer, pas darpette en jupe !
- Tout de suite Charles !
Ma changer
je nai quun petit short en jean mais il découvre un peu mes fesses, je vais mettre par dessus un grand teeshirt a Lucien
ouais... ça ne cache pas grand-chose, tant pis il ma déjà vue en maillot de bain, un soutient gorge ? Il fait chaud si je dois bosser je vais être en nage et avec ce grand teeshirt vague on ne voit rien, Charles a ouverts de grands yeux mais ne sest pas permis une réflexion, je lui fais passer des outils ou des matériaux, de dos je me penche sans plier les genoux je suis certaine quil ne perd pas une miette de mon anatomie qui doit être moulée par le tissu tendu, je lentend même souffler et marmonner, il travaille souvent a genoux mon ventre est juste a hauteur de ses yeux qui fixent le bon endroit
Laprès midi une chaleur orageuse et moite électrise latmosphère, Charles est en sueurs je respire ses relents de mâle que jadore
- Marine ? ton tuyau darrosage est branché ?
- Oui
- Je vais marroser un peu je nen peu plus, dirige le jet en pluie sur moi
Jappuis sur la poignée et règle le jet en vaporisation
- Approchez
.
Les premières gouttes le font frissonner mais il se prête au jeu et tourne sur lui-même, leau dégouline sur son ventre et bien au-delà
.
- Petite chipie attend tu va voir !
Il se jette sur moi et marrache la poignée des mains
- Tient ! prend ça à ton tour !
Je suffoque, mes cheveux trempés tombent sur mes yeux, leau ruisselle sur mon corps, soudain le jet sarrête, je le vois médusé les bras ballants, le tuyau au sol il me fixe
je réalise que mes seins nus sont parfaitement dessinés sous le teeshirt trempé, et vu la paire de seins bien pleins que je possède il est servi
des gens mont souvent demandés sils sont naturels et cest le cas
- Excuse moi je ne voulais pas
tu devrais te couvrir
- Ce ne sont que des nichons beau papa !
- Mais tu es mouillée partout !
Cest vrai ma culotte est trempée, mais vu le regard de braise quil me jette ce nest plus de leau qui dégouline dans ma culotte
une gêne sinstalle, vite passée pour ma part mais pour lui cest plus difficile
son short sest gonflé, je décide de méloigner pour ne pas envenimer la gêne
- Jeeeeee
. Je vais au garage messuyer
.
Dans le garage il y a une vielle armoire à glace avec de vieilles fringues, je prends un vêtement de coton, ote mon teeshirt qui colle a ma peau et tamponne ma poitrine et mon ventre quand dans la glace je vois Charles juste derrière moi
..
- Excuse moi encore je naurais pas dût faire ça...
Mes jambes se dérobent sous moi, je me retourne et maccroche a lui, ma joue sur ses poils mouillés, mes seins sécrasent sur son torse, mon ventre pèse sur le sien, ses bras jusque là pendant se posent sur mes épaules et essaient de me repousser
- Ne fait pas ça petite
Pour toute réponse je me colle a lui encore plus, je sens son paquet qui gonfle sur mon ventre, sa queue ne ment pas, vaincu il menserre de ses grands bras je lève mon visage vers le sien, il finit par baisser la tête nos lèvres se joignent, nos langues se battent entre elles, dans mon ventre cest la tempête, dans ma culotte cest un déferlement, mon bassin ondule et se cabre, une bosse énorme nous sépare , Charles me lâche dune main qui vient se poser sur un sein
- Emmène-moi dans ta chambre
- Il ne faut pas Marine
- EMMÈNE MOI DANS TA CHAMBRE !!!! je ten supplie jai trop envie
.
Mon beau père me lâche et en un clin dil quitte ses vêtements, mon short gît a terre, il me prend dans se bras, nue, sans forcer, comme une jeune mariée quon emmène dans la chambre nuptiale, sa queue tendue tape sur mes fesses a chaque pas
Il me dépose délicatement au beau milieu de la couche et me détaille des pieds à la tête tenant sa queue démesurément bandée à la main
- Donne la moi
Comme un robot il vient a genoux prés de moi, un gland violet a moitié décalotté me menace, je massois, ouvre la bouche, Charles avance sa matraque noueuse dont je me saisie, mes doigts nen font pas le tour, je tire lentement sur la peau, une fois le champignon écarlate mis a jour je le gobe amoureusement, Charles tend une main en direction de mon entre- cuisses ruisselant, un index énorme pénètre ma vulve gonflée par le désir
- Tu mouille
- Mmmmuuuuuummmmmmm
- Je vais te baiser tout de suite
.
- Si tu veux Charles
Les genoux remontés aux seins je lui tends les bras, sans quitter ma chatte des yeux il se met en position de pénétration, la queue sépare mes lèvres, frotte longuement mon clitoris bandé, il prélève de sa salive sur le bout de ses doigts et sen macule le gland
- Jespère ne pas te faire mal
- Pourquoi me ferais-tu mal ?
- Ta belle mère ne veux plus baiser a cause soit disant de la grosseur de ma pine
- Jai trop envie pour avoir mal et je suis bien dilatée, va y baise moi
La tête relevée je regarde effarée le gourdin disparaitre doucement entre mes lèvres qui se modifient, les parois se prêtent a la dimension en me procurant une sensation daccouchement a lenvers mais le plaisir est bien plus fort que cette mini douleur
- Ça va ?
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii pousse ! vas-y en force !
Charles plaque ses mains sur mes épaules et arque son dos, les derniers centimètres sont avalés, nos poils encore humides se mélangent
- Reste un peu ainsi que je savoure
- Ton vagin étrangle ma bitte
- Cest trop bon
baise moi a ton rythme maintenant
- Je décharge sur ton ventre ?
- Tu es fou ? donne-moi tout dedans
- Jespère que tu prends la pilule
- Cest mon affaire
.
Avec des mouvements amples Charles se met en devoir de me saillir avec application longtemps très longtemps, je râle sans discontinuer, londe dévastatrice de lorgasme survient et me submerge, ne pouvant séchapper tant sa queue fait joint une source de mouille gonfle ma gaine vaginale, autant surpris que moi par ce phénomène mon amant lâche toute sa semence augmentant la dilation, sa queue baigne carrément dans un jus brulant, sous pression il me semble que ce jus remonte directement dans mon utérus
Nous restons corps à corps peu pressés de nous désaccoupler, la verge ne désenfle pas, malgré ma désapprobation Charles décide de retirer doucement sa queue, quand le gland arrive aux lèvres un jet puissant nous inonde, une fois tout évacué cest comme si mon ventre sétait vidé de ses entrailles
- Excuse moi Marine je dois retourner bosser sinon Lucien va se demander a quoi jai passé mon temps, repose toi chérie
- Merci Charles
..
Guillerette après un tel intermède nous avons passés une bonne soirée, je me suis endormie très vite, trop vite pour Lucien qui pour une fois avait envie de baiser, le lendemain matin mon mari devait partir travailler très tôt, mon beau père nétant pas encore levé je me suis glissée dans son lit en mettant directement une main entre ses jambes, sa verge même au repos est volumineuse
- Que fais-tu là Marine ? et ton mari ?
- Il est partit, laisse- moi te sucer
Sans attendre son consentement je plonge sous les draps doù des relents de notre fornication de la veille montent encore, cette fois javale une partie de la hampe, mais ça ne dure pas longtemps je suis obligée den recracher un partie si je ne veux pas , sans doute surpris par mon intrusion Charles décharge en deux minutes une bonne rasade de foutre que javale en guise de petit déjeuner
- Huuuuuuuuuuuummmmmmmm ça fait du bien ! aller en levrette maintenant
Le cul cambré tourné vers lui il ne peu résister a ma chatte exhibée de façon indécente et me plante directement sa matraque dans la matrice marrachant un cri de bête blessée
- Les petites salopes comme toi je ne les baise pas je les défonce
- Vas-y tape moi dans la moule espèce de pervers !!!!
Le colosse pilonne mon vagin à grands coups de reins faisant claquer son panse sur mon cul, une fois de plus ma gaine vaginale est mise a rude épreuve mais quel plaisir immense de sentir cette matraque coulisser dans mon ventre, je mords dans loreiller et cambre encore plus le cul lorsquil titille de son doigt ma cible étoilée qui cède et avale son pouce jusqu'à la dernière phalange
- Ne crains rien je ne vais pas tenculer, du moins pas aujourdhui ! je teste simplement lélasticité de ta rondelle
- Travaille le bien demain tu me la mettras dedans
- Ce chantier va durer deux semaines !
- Baise moi Charles, défonce ma moule, remplis moi encore de ton jus
- Ça va te ressortir par les narines, je vais tenfiler deux doigts dans le fion
- Salaud je vais
. JOOOOUUUUIIIIIIIIIIIIR OOOOOOOUUUUUUHHHHHHHH !!!!!
- MOI AUSSSSSSIIIIIIIIII ! HOOOOUUUUUUUAAAAAAAAAAAH !
Comme la veille la semence prisonnière cherche un passage mon utérus en prend plein la poire, je nai jamais ressentie cette sensation avec mon mari, Charles reste collé a moi comme un chien prisonnier de sa chienne, longtemps sa queue sursaute dans mon con avant de sortir a peine ramollie, va t- il me sodomiser ?
- Aller fillette au boulot
- Tu me laisse comme ça ? jai encore envie moi !
Sans un mot il quitte la chambre, je vais prendre une douche sans purifier mon vagin je le laisse gluant de sperme, une fois un café avalé je le rejoins en teeshirt, seulement en teeshirt et lanus tartiné de crème visqueuse
. Je fais exprès de me pencher en lui tournant le dos, il bougonne et continue son travail
une idée me viens
.je me penche sur un tas de sacs de ciment et relève mon vêtement jusquaux reins les cuisses ouvertes mon cul bien exposé...
- Charles ? je suis prête
..
- Prête ? prête à quoi ? ho putain ! quelle salope ! tu vas voir ce que tu vas voir
Je me prépare mentalement, en aucun cas je ne doit laisser paraitre une quelconque souffrance, je nattends pas longtemps, une manthule frotte mon sexe avant de sarrêter sur ma cible boursouflée qui palpite
- Ne te rétracte pas pousse
ouvre toi avec tes mains
- Oui Charles
Je tire au maximum sur mes fesses afin de les écarter, lhomme crache sur mon petit trou et force son champignon à me perforer, je dois déchirer une brulure atroce me fait venir les larmes aux yeux mais je ne bronche pas
- Ça rentre
ça va aller
voilà tu viens dabsorber le diamètre ya plus qua faire entrer la tige
- Reste immobile une seconde
VOUFF quel suppositoire !
- Je tavais prévenue, je continue
je sors de deux centimètres et
. HANNNN !! en voilà dix davalés ! tripote ton clitoris ça va te faire oublier la douleur, quel cul tu as
..
- Va y Charles encule ta belle fille, laisse moi un souvenir impérissable de cette terrasse
Mon beau père ma limée méthodiquement comme un métronome pendant un temps interminable jai tachés les sacs de ciments avec le jus qui dégouline de ma chatte a chaque orgasme, soudain il sest fiché au plus profond de moi pour se vider les bourses, comme pour mon vagin il attend que sa queue sorte delle-même, mon entre cuisse senduit dun jus glauque qui glisse lentement jusqu'à mes chevilles
Il sest lavé au robinet et repris son boulot sans plus madresser la parole, je suis allée sous la douche et me suis recouchée
je ne lai plus sollicité durant son séjour pour me baiser tellement mon entre jambes est tuméfié
jamais je noublierais puisque je suis enceinte
.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!