Jolies Femmes Et Jolies Voitures

Tout est arrivé grâce à une tendinite. J’avais pris rendez-vous chez mon docteur à cause d’une tendinite assez pénible au coude du bras droit.

— Vendredi 9 h 00, ça vous irait ?
— Impeccable.


J’attendais donc avec impatience le rendez-vous, tout en ménageant au maximum mon bras droit. Je connaissais depuis de nombreuses années mon docteur, Jean Agagne. Il me suivait depuis… une vingtaine d’années. L’avantage avec les médecins de famille, c’est qu’il n’est nul besoin de raconter sa vie, ils connaissent l’antériorité de vos soucis, et un climat de confiance est installé depuis longtemps. Aussi ai-je eu la surprise d’être accueilli par une jeune femme d’une petite trentaine d’années, très sympathique, avenante et, ma foi, plutôt attirante. Cheveux courts, yeux marron, 1,70 m environ, avec des formes très féminines et surtout, un magnifique sourire.

— Bonjour Monsieur Marvel, je suis Nathalie Franco, je remplace monsieur Agagne pour la semaine.
— Ah bonjour… J’ignorais qu’il ne serait pas là ce matin…
— J’espère que cela ne vous embête pas, au moins ?
— Non, du tout… Vous le remplacez souvent ?
— En fait, il prépare sa retraite, et je vais probablement reprendre son cabinet, les négociations sont en cours. Pour l’instant, je le remplace deux semaines par mois, le reste du temps, je fais les consultations à domicile. Asseyez-vous.
— Merci.
— Que puis-je pour vous ?
— Alors, comme j’ai expliqué au Docteur Agagne, j’ai mal au coude depuis… trois mois, je pense que c’est une tendinite. Je pensais qu’elle allait passer, mais manifestement, il n’en n’est rien.
— Voyons ça… Si j’appuie là ?
— Ahhhhhhhhhhh !! Oui, c’est pile là…
— Oui, juste une tendinite toute bête. Alors, deux choix. Médicaments, anti-inflammatoires, bref, tout chimique et remboursé, ou alors je peux vous traiter en ostéopathie, donc rien de chimique, votre foie ne trinque pas, mais ce n’est pas remboursé…
— Et ça coûte combien ?
— 50 €.

D’un autre côté, après demain, finie la tendinite, et moins on prend de produit chimique, personnellement, je trouve que c’est préférable.
— Hmmm. Bon, allons-y pour l’ostéopathie, j’ai besoin de mon bras dimanche.
— Déshabillez-vous et allongez-vous sur la table, tête vers la fenêtre.


Je m’exécutai, et elle commença à me manipuler.

— Vous avez besoin de votre bras dimanche ? Pas avant ?
— Disons que pour travailler, ça ne me gêne pas trop, je travaille sur ordinateur essentiellement, mais dimanche, je participe à une manifestation assez loin, donc je vais conduire pas mal, et là, je la sens bien, la tendinite…
— Une manifestation de quoi, si ce n’est pas indiscret ?
— Non, du tout. En fait, vu que je suis divorcé, j’occupe mes week-ends avec ma passion, les voitures de collections. Et dimanche, à côté de Marseille, il y a une concentration des clubs, et j’y participe.
— Ah c’est sympa, ça ! Et vous faites quoi, pendant ces concentrations ?
— Eh bien, on papote, on regarde les voitures, on échange les bonnes adresses, pique-nique pris en commun, quoique dimanche, on part en convoi vers le restaurant d’un membre du club, bref, on prend du bon temps entre passionnés.


Elle me manipulait la jambe. Elle s’était assise sur la table et était penchée en avant, je voyais la naissance d’un de ses seins, qui semblait magnifique. Un peu lourd, comme j’aime. Pas à dire, une jolie femme. Hélas, peut-être un peu jeune pour moi, vu que j’ai 50 ans même si je ne les fais pas, paraît-il…

— Oui, ça paraît sympa. Moi aussi j’aime beaucoup les vieilles voitures, je leur trouve un charme qui n’existe plus sur les nouvelles, et des lignes qui ont de la gueule, pas comme les voitures de maintenant qui se ressemblent toutes ! Vous avez quoi, comme voiture ?
— Alors, j’en ai trois. Une Jaguar XJ, une Ford Mustang et une Chevrolet Corvette Stingray.
Elles ne sont pas très vieilles, à part la Mustang qui est de 1964, les autres sont de 76 et 97, mais sont déjà en collection.
— Ah oui, sympa ! Et vous y allez avec laquelle ?
— Je sais pas trop encore. La Corvette est une deux places, la Mustang est une sportive mythique, et la Jaguar un palace roulant. Vu que j’y vais seul, probablement la Corvette.
— Ah, vous y allez seul ?
— Ben oui… Je suis divorcé, plus d’ à la maison… mais ça ne me gêne pas, quand je suis dans ma passion, je suis bien…
— Hum… Accepteriez-vous une invitée qui participerait aux frais ? Promis, je vous embêterais pas.
— Vous voudriez venir ? Ma foi, pourquoi pas, avec plaisir, pourquoi pas, mais pour apprécier la journée, il faut aimer les voitures, on ne va parler que de ça quasiment…
— Écoutez, j’arrive du centre de la France, je ne connais personne, j’aime les voitures, généralement je m’emmerde les week-ends et… je vous trouve super sympa en plus…
— Ben alors, avec plaisir. Mais pas question que vous participiez aux frais, je vous invite !
— C’est gentil ! Merci ! Dites, je pourrais r encore un peu ?
— z, z, je suis tout à vous !
— J’ai une amie qui, je suis sûre, aimerait bien venir… Elle est peintre, et elle adore les voitures. D’ailleurs, elle a une vieille Mini Cooper qu’elle entretient amoureusement !
— Alors il faudra prendre soit la Jaguar, soit la Mustang, car à trois dans la Corvette… pas jouable.
— Je la vois ce soir, je lui en parle. Voilà, finie votre tendinite. Un bon bain chaud ce soir, allez y mollo demain, et après-demain, vous aurez un bras tout neuf.
— Super.
— Rhabillez-vous.


Pendant que je me rhabillais, elle a noté sur ma fiche son intervention.

— On fait comment, pour dimanche ? Je passe vous prendre, on se donne rendez-vous quelque part ?
— Déjà, si vous êtes ok, donnez-moi votre numéro de portable, et moi je vous donne le mien.
Comme ça, on pourra se joindre.


On a échangé nos numéros, hop dans les contacts.

— Donc je vous appelle dans la semaine, pour vous dire pour Amélie.


Donc sa copine s’appelle Amélie.

— Ça marche. Départ dimanche à 8 h 00, qu’on soit à Marseille pour 10 h 00, c’est nickel.


Je lui tends un billet de 50 €.

— Non, là, c’est moi qui vous invite, aujourd’hui. Euh… on pourrait peut-être se tutoyer, non ?
— Avec plaisir, Nathalie. Moi, c’est Bruno, au fait. C’est fou, j’ai vachement moins mal au coude !
— Et tu verras, dans trois jours, tu n’auras plus rien. L’ostéopathie, c’est fantastique.
— Ben je te crois. Bon, à dimanche alors ?
— À dimanche.


Elle m’a tendu la joue, et on s’est fait la bise pour se dire au revoir. Elle sentait bon en plus. Vraiment, très agréable, ma toubib.

Le jeudi soir, 21 h 00, mon portable a sonné. C’était Nathalie.

— Bruno ? C’est Nathalie, ton ostéo !
— Oui, bonsoir Nathalie, tu vas bien ?
— Impecc ! Bon, Amélie est ravie de venir, donc si tu veux, on se retrouve à 8 h 00 en bas du cabinet, tu passes nous prendre ?
— Ok, pour moi ça marche.
— On s’habille comment au fait ?
— Attends, ce n’est pas un concours d’élégance, tenue tranquille, décontractée sympa, ça ira très bien. Ne me sortez pas les robes du soir, sinon, on va être la cible de tous les regards ! Jean t-shirt c’est parfait…
— Ah oui, d’autant que tu vas voir, Amélie, elle déchire…
— Ah bon ?
— Ah oui ! Elle est super jolie, toute mince, pas comme moi, et super bien foutue. Intelligente et sympa, eh oui, ça existe… Une vraie bombe, quoi !
— Mais si je peux me permettre, tu es jolie et super bien foutue, je ne vois pas pourquoi tu te dévalorises…
— Ah ben c’est gentil ! Remarque, confidence pour confidence, tu es super mignon et tes yeux bleus, ils déchirent… Mais je ne te fais pas d’avances, c’est juste… que je le trouve, quoi… Et puis moi, j’ai quelques kilos en trop.



Aïe, net durcissement dans mon pantalon, cette conversation devenait intéressante…

— En trop, en trop… bof non, ils sont bien placés. Mais bon, on s’égare, là. Si ton mari ou ton copain nous entendait…
— Non, aucun risque. Il n’y a que mon chat qui pourrait nous écouter, et il s’en fout le bougre. Si tu veux tout savoir, je vis seule, et ne fréquente personne pour le moment, vu que je me consacre à mon travail. Je n’ai que le dimanche de repos, et généralement, on sort avec Amélie, mais on n’a pas trouvé encore, ni elle ni moi, de mecs sympas qui pensent à autre chose que le foot, la drague ou les boîtes de nuit, et les boîtes, nous, c’est pas notre truc. Quant au foot et à la drague… je t’en parle même pas !
— Ok, ça marche. Bon, et bien, dimanche 8 h00, en bas de ton cabinet. Je prends la Jag ou la Mustang ? Je te laisse le choix.
— Perso, je préfère quand c’est doux, moelleux, confortable… La Jaguar ?
— Va pour la Jaguar ! À dimanche, alors…
— À dimanche ! Tu es super ! Merci ! Bisous.


Soit je me faisais des idées, soit je venais de me faire allumer gravement… bon, pourquoi pas, j’avoue que l’idée d’avoir Nathalie nue dans mes bras me plaisait beaucoup. Mais ne rêvons pas… Vingt ans d’écart, et elle n’aura aucun souci pour trouver un copain de son âge… mais rêver c’est agréable aussi. Allez zou, tentons la chance…

Le samedi, je nettoyais de fond en comble la Jaguar. Aspirateur, produit moquette, produit cuir, produit jantes alu, produit carrosserie… quatre heures de nettoyage intense, et au final, une voiture comme neuve. J’ai même nettoyé les pneus pour qu’ils soient « noir brillant ». Elle rutilait. Tout fonctionnait à la perfection. Pourtant, elle avait déjà 250 000 km, mais le moteur tournait comme une montre suisse.

Le dimanche matin, à 7 h 45 j’étais en double file devant l’entrée du cabinet. J’avais fait un rêve plus qu’érotique cette nuit où je prenais Nathalie dans la Jaguar, sur la banquette arrière… Quel dommage que ce ne fût qu’un rêve… À tout hasard, j’ai emporté des préservatifs. Après tout, être optimiste, ça ne mange pas de pain…

À 8 h 00, je vois Nathalie arriver avec sa copine Amélie. Effectivement… Amélie "déchire"… Une jolie brune aux cheveux longs, fine, vraiment très jolie, petite poitrine et petites fesses, mais très agréable à regarder. J’allais avoir deux jolies filles avec moi aujourd’hui, mon égo de mâle allait être comblé. Je descendis de la Jaguar et leur fis signe.

— Bonjour Bruno !


On se fit la bise. Elle était toute fraîche, toute douce, elle sentait le parfum… un vrai bonheur.

— Je te présente donc Amélie, mon amie de longue date, on était en 3ème ensemble, et depuis on est comme des sœurs.
— Bonjour Amélie.


Re-bisous. Amélie aussi sentait bon, était toute douce, une vraie fleur de printemps.

— Bonjour Bruno, c’est super gentil de nous emmener, Nathalie et moi. Putain, elle est extra, ta Jag ! Je peux ?
— Vas-y, te gêne pas !


Amélie ouvrit les portes, regarda dans la voiture de partout. Penchée en avant, elle mettait en valeur ses fesses qui, bien que fines, étaient tout à fait attirantes… Nathalie me donna un coup de poing dans l’épaule.

— Je t’avais dit qu’elle était mignonne, hein ? me dit-elle doucement.
— Oui, presque autant que toi…
— Charmeur, va.


Nathalie souriait. Manifestement, mon regard sur les fesses de sa copine la faisait rigoler. C’était plutôt encourageant…

— Bon, les filles, on y va ? On a un peu de route à faire…
— Ok. Qui tu veux devant avec toi ?
— Ben celle qui veut, à moins que vous ne préfériez être toutes les deux derrière ?
— Non. Moi je vais devant à l’aller, et Amélie au retour. Ça te va ?
— Parfait. Allez, en voitures mesdames.


Le trajet fut très agréable, nous avons discuté de tout et de rien, on a bien rigolé tous ensemble. Elles avaient toutes les deux de l’humour, et étaient très directes lorsque la conversation s’orientait occasionnellement vers le sexe.

Arrivés à destination, nous ne sommes pas passé inaperçus. Déjà, la voiture, et puis, surtout pour la gent masculine, mes deux copines. Je n’ai jamais eu autant de succès sur une manifestation, mais je savais que ce n’est pas dû à ma voiture qui, bien que magnifique, n’a pas le cachet d’une vieille américaine ou d’un monstre de puissance comme on peut en voir de-ci de-là.

Vers 15 h 00, Nathalie est venue me voir, alors que j’étais en pleine conversation avec le propriétaire d’une magnifique AC Cobra.

— Bruno, tu as une seconde ?
— Oui, j’arrive. Excusez-moi…


Nathalie m’a pris la main et m’a entrainé un peu à l’écart.

— Dis-moi, on voudrait te proposer quelque chose, avec Amélie…
— Oui, dis-moi …
— Voilà. On a passé une journée super, tu es génial et, bien qu’on t’ait taquiné dans la voiture, tu ne nous as pas draguées ou fait des allusions salaces, ni rien. Toujours classe, sympa, correct, nature. Alors, voilà. Que je t’explique… Amélie et moi, de temps en temps, eh bien… comment dire, on essaye de trouver un copain pour une soirée, histoire de… enfin, tu me comprends !
— Histoire de vous amuser un peu, en gros. Eh bien, c’est plutôt sympa, je ne vois pas ce qu’il y a de mal à ça ?
— Ah ben, y’a pas grand monde qui réagit comme toi, dis donc… Quand je dis que tu es super…
— Bah, j’ai 50 ans, j’en ai vu, et puis le plaisir, c’est le plaisir. Les autres on s’en fout, non ?
— Oui… Donc voilà, on aimerait t’inviter à manger ce soir chez moi, toutes les deux. Et puis, si l’une de nous deux te plait, eh bien, tu lui fais l’amour, en copain, sans arrière-pensées ni rien… Pour le plaisir, comme tu le dis si bien. Ça te dit ? Ça ne te choque pas trop, au moins ?
— Choquer ? Non ! Ravir, oui. Mais tu dis que je peux choisir celle qui me plaît, ça veut dire que… vous êtes d’accord toutes les deux ?
— Oui. L’autre regardera, si ça ne t’embête pas… À moins qu’on ne te plaise pas, bien sûr… pas de soucis…
— Non, c’est pas ça, au contraire… Vous êtes géniales toutes les deux. Et superbement jolies en plus…
— Ah non, Amélie est jolie, moi, beaucoup moins… D’ailleurs, je suppose que tu vas choisir Amélie…
— Faux. Tu es super désirable, super jolie, super attirante… si j’osais, je dirais… super, allez, j’ose le dire… bandante.
— C’est vrai ? Je te plais ?
— Ah oui, beaucoup. Sincèrement, tu es vraiment… très, très attirante…
— Et Amélie moins ?
— Amélie aussi, elle a un corps de mannequin, c’est sûr qu’elle attire les hommes aussi. Mais elle a moins de… chien, dirais-je, du moins à mes yeux.
— Alors tu choisirais qui ? Elle ou moi ?
— Honnêtement, j’ai pas mal accroché avec toi, j’ai rêvé de toi, j’ai envie de toi. C’est vrai qu’Amélie est attirante aussi. Tu me scotches, là… Toi oh oui, indéniablement. Elle aussi, pourquoi pas… Elle est attirante, mais…


Elle me coupe la parole :

— Eh bien alors, on te plaît toutes les deux ! C’est génial. J’avais peur que tu la préfères.
— Ah non, je t’ai dit, tu es…attirante au possible, j’ai envie de toi depuis qu’on s’est vus au cabinet l’autre jour pour ma tendinite…
— Génial, t’es trop top !


Elle m’a pris la tête dans ses mains et m’a roulé une pelle d’anthologie. Nos langues se sont caressées, mélangées, taquinées… elle me serrait fort. J’en ai profité pour lui caresser le dos et les fesses, qu’elle avait bien fermes aussi… La soirée promettait d’être sympa.

— Je vais dire à Amélie que tu es ok, on va se faire une putain de soirée géniale !


Amélie était en pleine discussion avec la femme du propriétaire d’une Bentley lorsque Nathalie l’a rejointe. Elle l’a attrapée, l’a tirée à l’écart et lui a parlé avec animation. Amélie s’est tournée vers moi, m’a souri et fait un petit signe de la main. Puis, toutes les deux sont revenues vers moi.

— Ah c’est cool, Bruno. Ça m’aurait embêté que Nath fasse tapisserie, c’est super que t’aies flashé sur elle, tu verras, c’est un bonheur de lui faire l’amour. Elle est douce, entreprenante, humide, tout ce qu’il faut. Moi, j’aime quand ça pulse, elle, faut prendre son temps. On est différentes mais complémentaires. Et je vois que tu bandes, dis donc !


Tu m’étonnes, vu la teneur de la conversation et le fait d’avoir pris dans mes bras Nathalie… J’avais effectivement une érection assez conséquente… Elle n’y allait pas par quatre chemins, la miss !

— Euh… ben oui, avec votre proposition, c’est plutôt normal, non ?
— Hum, c’est encourageant pour la suite, en tout cas. Fais voir …


En disant cela, elle m’a plaqué une main sur mon sexe, et a serré un peu. J’ai cru que j’allais jouir sur place !

— Attends, Amélie, pas devant tout le monde ! Dites, et si on y allait, on a deux heures de route devant nous, et toute la soirée pour nous ensuite. Ça vous dit ?
— Plutôt deux fois qu’une !


Manifestement, Amélie avait un caractère plus fonceur que Nathalie, et elle avait hâte de faire l’amour…

— Ok pour moi, les filles. Allons-y. Je vais dire au revoir à quelques collègues, et j’arrive.


Quelques minutes plus tard, contact, démarrage, direction chez Nathalie. Amélie était déchainée…

— Tu verras, Bruno, Nath, elle mouille comme pas possible. Tu lui lèches le clito, et tu es trempé ensuite. C’est super fun. Quand tu lui mets un doigt ou deux, ça rentre tout seul ! Après, t’as plus qu’à bien te mouiller les doigts, puis tu lui enfonces dans les fesses, et là aussi, ça rentre comme un rien. En plus, elle adore ça.
— Ah ben, tu peux parler, toi. Bruno, Amélie, tu la doigtes un peu et hop, elle jouit ! Mais le truc, c’est qu’il faut pas t’arrêter de suite, elle peut re-jouir plusieurs fois de suite. Par contre, elle a une petite chatte, vas-y mollo. Le mieux, ce que je fais, moi, c’est de bien la lécher avant. Ensuite, un doigt, puis deux. Après, le god rentre tout seul.
— Ah, vous utilisez des gods ?
— Ah oui, faut bien, des fois. D’ailleurs, Amélie a un god ceinture, elle me fait grimper au septième ciel avec, tu n’imagines pas. Ceci dit, c’est mieux un vrai sexe avec un vrai homme, c’est plus chaud, plus doux… le truc, c’est de trouver le bonhomme, et là, c’est plus dur. Ils ne sont pas tous comme toi.
— De toute façon, Nath, quand je te prends, tu aimes ça, tu en redemandes. Tu verras, Bruno, on sait quand elle prend son pied. Ceci dit, on n’est pas lesbiennes, c’est juste en dépannage !


Mon sexe n’en pouvait plus d’être dur, ça devenait presque douloureux. J’aurais bien proposé à Amélie, qui se trouvait sur le siège passager avant au retour, de me soulager en me suçant ou en me branlant, mais je préférais les laisser dans leurs délires, vu qu’elles semblaient apprécier que je ne fasse pas d’avances ou de réflexions…

— Ah t’es trop top ! Putain, dommage que tu conduises, j’ai envie de t’embrasser !
— Il y a une aire de repos à 1000 m, je m’arrête si tu veux…
— Oh oui ! Vas-y, arrêtons-nous !
— Attends, Amélie, si tu l’embrasses, moi je veux en profiter aussi !
— On se calme, mesdemoiselles. Déjà, je me gare, ensuite, si vous voulez, je viens derrière, toi aussi Amélie, et on peut s’embrasser sans danger. OK ?
— Ok.
— Yes !


Je prends la bretelle de sortie pour l’aire de repos, et gare la Jag à l’ombre. Coup de pot, pas de voitures garées à côté. Amélie et moi nous descendîmes. Je montai à l’arrière, au milieu. Amélie à ma droite, Nathalie à ma gauche. À peine la portière fermée, Amélie se rua sur moi et s’installa à califourchon. Mon sexe était écrasé par le sien, et elle m’embrassa à pleine bouche tout en frottant son bas-ventre sur le mien. Je lui caressai le dos, les fesses, puis je glissai une main entre nous pour lui caresser un sein. Je sentis la pointe toute dure à travers son t-shirt.

— Hé, Amélie, un peu à moi aussi, le prend pas pour toi toute seule !


Amélie me serra plus fort, puis se rassit à sa place. J’en pouvais plus, mon sexe n’avait jamais été aussi dur… Nathalie se pencha sur moi, et nous nous embrassâmes très tendrement. Effectivement, deux caractères bien différents. J’en profitai pour caresser les seins de Nathalie, bien plus gros que ceux d’Amélie, et plus moelleux. Notre baiser continua, c’était un bonheur total. Soudain, je sentis une main se poser sur mon pantalon, et qui commença à défaire ma ceinture. Nath continuait à m’embrasser… Je glissai mon bras gauche entre elle et le dossier, et lui empoignai les fesses. Je dois avouer, ses fesses m’attirent… Et comme Amélie a dit qu’elle aimait être prise par là… La main, qui se trouva être celle d’Amélie, défit ensuite les boutons de mon pantalon. Elle arriva à sortir mon sexe du caleçon, et commença à me branler. C’était divin.

— Putain, Nath… il est tout dur, c’est super… regarde !


Nathalie interrompit notre baiser, et regarda mon sexe. Ensuite, elle me regarda en souriant.

— Je peux ?
— Euh, oui…


Et Nathalie, délicatement, prit mon sexe dans sa bouche et commença à me sucer tout en douceur… C’est vrai qu’à côté d’Amélie, c’était un havre de douceur… Je caressai ses cheveux, qui sont tout doux, soyeux… Amélie en profita pour m’attr la tête, la tirer vers elle et plaquer ma bouche contre sa sienne. Nous nous embrassâmes à nouveau presque brutalement. Elle fouilla ma bouche avec sa langue. C’est vrai qu’elle était très masculine dans son comportement ; elle me prit d’assaut. La combinaison de la douceur de la bouche de Nathalie sur mon sexe et de la vigueur d’Amélie qui m’embrassait était divine… je risquais de ne pas résister longtemps…

— Nath, un peu à moi, le garde pas que pour toi…


Nathalie se releva en souriant. Elle avait les yeux brillants, elle était divinement belle… Je l’embrassai à nouveau. Amélie prit mon sexe dans sa bouche et commença à me sucer rapidement. Quelle différence entre les deux, c’est impressionnant…

— Amélie, si tu continues comme ça, je vais pas tenir, moi…


Elle releva la tête…

— Si tu veux, je te fais jouir, histoire de te détendre un peu… Et après, tu conduis, Nath et moi on se câline derrière ? Ça te dit, Nath ?
— Ah oui, pourquoi pas !
— Bon, ok, continue alors…


Amélie reprit là où elle en était, et Nathalie et moi nous embrassions encore. Je glissai une main sous son t-shirt et je défis l’agrafe de son soutien-gorge. Ensuite, je lui empoignai les seins après avoir abaissé les bonnets. Ses seins étaient tout simplement divins… Je les malaxai, excitai les pointes. Nathalie sembla apprécier. Enfin, n’en pouvant plus, j’éjaculai sous les caresses buccales d’Amélie… Amélie continua à me sucer, je me vidai complètement dans sa bouche. Elle avala tout et me lava avec sa langue.

— Pfou, terrible, dis-donc… J’espère que tu seras encore en forme, tout à l’heure ?
— Heu, j’espère aussi… Mais oui, je serais en forme, t’inquiète…
— Bon, allez Chef, direction la maison. Nath, à nous deux…


Je sortis de la voiture, passai devant et démarrai. Direction le cabinet de Nathalie. Dans le rétro, je vis Nath et Amélie s’embrasser et se caresser. Amélie a la main dans le pantalon de Nathalie, qui halète… Je ferais mieux de regarder la route, je venais de faire un écart… Pas facile de conduire dans ces conditions-là… Enfin, après une bonne heure de route, nous arrivions devant le cabinet médical.

— On y est, les filles. On fait comment maintenant ?
— Je prends ma voiture, tu nous suis ?
— Ok.


Nath et Amélie montèrent dans la Clio. Je les suivis. Quelques minutes plus tard, coup de chance, je trouvai une place suffisamment longue pour ma voiture devant l’immeuble. Nous entrâmes chez Nathalie. C’était très sympa, comme appartement. Meublé avec goût. Un chat me sauta dessus et commença à ronronner…

— Je te présente Sultan. Si tu le caresses, il ne te lâchera pas, il adore ça. Apéro ?
— Heu, avec plaisir… Tu aurais du whisky coca ?
— J’ai ! Amélie, comme d’hab ?
— Oui. Bon, je file sous la douche et j’arrive.


Amélie nous laissa dans le salon.

— Tu comprends ce que je voulais dire quand je t’ai dit qu’elle était speed ?
— Oui, dis donc… Elle te fait pas l’amour, elle te prend à la hussarde, dis-je en souriant.
— Oui, ça fait partie de son charme. J’aime beaucoup quand tu m’embrasses, tu sais ?
— Moi aussi j’aime…


Je la pris dans mes bras et l’embrassai tendrement. On se regarda les yeux dans les yeux, nos yeux souriaient… Elle s’écarta de moi…

— Tu veux manger quoi ? J’ai pas mal de trucs…
— Toi. On mangera après, si tu veux…
— D’accord, mais douche d’abord. Il a fait chaud aujourd’hui.
— Ah ça oui, dans la Jag aussi…
— Ah oui dis donc…
— Allez les amoureux, à la douche !


Amélie venait de revenir dans le salon, toute nue, les cheveux mouillés. Elle était vraiment belle…

— On mange quoi ?
— Bruno veut nous faire l’amour avant de manger, ça te dit aussi ?
— Allez go. Va prendre ta douche, Nath, ensuite, Bruno… Allez, fonce !


En rigolant, Nathalie se dirigea vers la salle de bain. Je bus mon whisky coca bien frais, ça faisait du bien… Amélie se servit un Martini blanc.

— Putain, on va passer une super soirée, Bruno.
— Franchement, je n’en reviens pas de ma chance. Deux superbes femmes qui me choisissent… j’avoue que j’ai un peu de mal à réaliser. Franchement, vous pouvez avoir tous les mecs que vous voulez, et vous choisissez un vieux de 50 ans. Tu sais, je n’ai plus l’endurance de mes 30 ans, je risque de vous décevoir…
— Non, t’inquiète pas. D’abord, t’es pas vieux, ça se voit. On dirait que t’as 40 ans à tout péter… En plus, tu as des passions, tu es super sympa, cool, t’as de l’humour, t’es beau mec, attentionné, et puis apparemment, tu connais le sexe, t’es pas un gamin qui découvre tout. C’est ça qui nous plaît, à Nath et à moi. Et puis te stresse pas pour l’endurance, Nath va te donner, si tu veux, un comprimé, tu vas bandercinq heures sans difficulté. T’es pas cardiaque ?
— Heu non, je crois pas, jamais eu de soucis avec mon cœur… Mais tu crois que…
— Elle est toubib, t’inquiète pas. Et puis comme ça, tu pourras t’éclater avec nous un bon moment.
— Allez Bruno, à la douche !


Nathalie venait de nous rejoindre, toute nue elle aussi. Elle était magnifique ! Très féminine, une toison assez fournie, contrairement à Amélie qui elle, est peu fournie. Elle a de magnifiques seins, une chute de rein magique… Deux beautés radicalement différentes !

— Nath, tu lui files un comprimé turbo ? Il a peur d’être un peu juste pour nous deux…
— Un demi suffira, tu as vu comme il bandait dans la Jag ? Va prendre ta douche, je t’apporte ça.


Je rentrai dans la salle de bain. Elle est déjà pleine de vapeur d’eau. Nath m’avait préparé une grande serviette ; j’apprécie le geste. Je me déshabillai rapidement, et entrai dans la cabine de douche. Je me savonnais soigneusement. J’entendis quelqu’un rentrer dans la salle de bain. C’est Nathalie.

— Tiens, je t’ai mis le comprimé et un verre d’eau sur le lavabo.
— Merci Nath.


Je sortis de la douche, m’essuyant soigneusement. Je pris le demi-comprimé, et l’avalai vaillamment. Ensuite, je les rejoignis dans le salon. Elles étaient assises dans le canapé, un verre à la main. Amélie est assise en tailleur, on voyait distinctement sa chatte ouverte. Mon sexe commença à reprendre de la vigueur. Nathalie, elle, est assise les jambes serrées, de biais. Cette position mettait en valeur ses fesses, ses magnifiques fesses. Je ne sus pas trop où me mettre… Au final, je m’assis entre les deux filles. J’étendis les bras, et les pris par les épaules toutes les deux, et les serrai contre moi.

— Alors, beau blond, en forme ? me demanda Amélie.
— Il faut attendre une demi-heure pour que le comprimé fasse effet. Remarque, tu bandes déjà… Par quoi veux-tu commencer, ou plutôt, par laquelle de nous deux ? me demande Nathalie en me souriant.


En me posant la question, elle a pris mon sexe dans sa main et a commencé à me masturber doucement, lentement, presque amoureusement…

— Attends, Nath, tu crèves d’envie que ce soit toi, ça se voit ! Et lui aussi, il en crève d’envie. Alors vous savez quoi, allez-y, prenez votre temps, moi, je vais vous regarder et me branler tranquillement. Après, quand Bruno sera comblé émotionnellement, et toi aussi, Nath, il me défoncera comme j’aime. Désolée, Bruno, moi, j’ai juste envie que tu me baises, mais Nath, elle, elle a envie que tu lui fasses l’amour. Depuis que vous vous êtes rencontrés, elle ne parle que de toi, en plus. Allez, vous occupez pas de moi.


Amélie s’est levée du canapé, et s’est assise dans le fauteuil qui faisait face. Elle s’est à nouveau mise en tailleur, et a commencé à se masturber. J’ai pris Nathalie dans mes bras, et l’ai embrassée. Sa bouche avait la saveur d’un fruit rouge. Elle n’était que douceur, tendresse, volupté. Je lui caressai son corps doucement. Sa peau était d’une douceur infinie.

Je l’ai allongée sur le sofa et suis venu sur elle. Tout naturellement, mon sexe est entré dans son ventre. Nathalie était trempée, il n’y eu aucune résistance. Je commençai mes va-et-vient, et Nath gémit doucement. Je lui embrassai les seins, elle me serra les hanches et me tira en elle. C’était divin. J’étais en train de tomber amoureux, nous étions à l’unisson.

— C’est bon, Bruno… c’est bon… continue comme ça…


À force, je sentis la jouissance qui arrivait…

— Ahhh ouiiiiiiiiiiiiii…


Nathalie venait de jouir… Je n’arrivais plus à me retenir. J’allais sortir de son ventre, lorsqu’elle croisa ses jambes derrière mes reins pour me retenir.

— Vas-y, vide-toi en moi… t’inquiète, je prends la pilule, pas de risque…


Elle prit ma tête dans ses mains, et m’embrassa langoureusement. Sa langue jouait avec la mienne. Évidemment, je jouis en elle, longuement… Enfin, je sortis de son sexe. Bizarrement, je bandais encore… Nathalie me sourit.

— C’était divin, Bruno… géant.
— Oh oui… C’est bizarre, je bande encore… faut croire que tu me fais un drôle d’effet…
— Non, c’est le comprimé. Tu vas bander encore quatre heures au moins… Comme c’était bon…


Elle m’embrassa encore une fois…

— Bon, dites, je fais tapisserie, moi ?


Amélie se leva du fauteuil.

— Allez, Bruno, à moi maintenant. En plus, Nath, tu triches, tu lui fais l’amour avec amour, c’est pas cool. C’est pas du jeu. Rappelle-toi nos accords : la baise oui, les sentiments, non !


Nathalie m’attrapa la tête et me chuchota à l’oreille :

— T’inquiète pas, elle est jalouse car tu m’as choisie en premier. D’habitude, les mecs la prennent elle, et moi, après, que dalle, ils n’en peuvent plus. Elle a pas l’habitude. Si tu veux me faire plaisir, défonce-là, elle aime ça, et après, elle nous foutra la paix. Vas-y. Vas-y gaiement, elle aime tout, et tu peux y aller un peu brutalement, elle adore…


Et elle me fit encore un baiser sur ma bouche.

— Et je ne te cache pas que ça me fait plaisir que ce soit elle, pour une fois, qui a dû se branler,… Vas-y cash, encule-la, fais-lui tout ce que tu veux, ça me vengera un peu… Vas-y Bruno. Après, tu seras tout à moi…


Je me levai, regardai Nath en souriant, puis je me retournai vers Amélie. Je l’attrapai par le poignet.

— Allez, à nous deux maintenant, la belle.


Je lui plaquai ma bouche sur la sienne et lui envahis la bouche de ma langue. Ma main lui agrippa les fesses et les malaxa. Ensuite, je la serrai fortement contre moi. Mon sexe était coincé contre son ventre. J’écartai ses fesses et lui massai son petit trou avec mon doigt.

— Allez, à quatre pattes, Amélie.


Je la pris par les épaules, lui fit faire demi-tour, et l’ai poussée sur le fauteuil. Elle s’installa comme je lui avais demandé, à quatre pattes, les fesses vers moi.

— Tu veux m’enculer, beau blond ? Vas-y, j’attends que ça depuis tout à l’heure. Mais mets-la moi aussi un peu dans la chatte, j’en peux plus de vous avoir vu baiser…


Je masturbai Amélie tout en lui appuyant sur le dos, pour qu’elle se cambre. Son sexe était humide. J’enfonçai un doigt, puis deux. C’était un peu serré, mais Amélie mouillait de plus en plus. Je me positionnai derrière elle, présentant mon sexe devant sa chatte, et la pénétrai d’une seule poussée. C’était serré, beaucoup plus que Nathalie. Je commençai à lui faire l’amour, tout en lui massant les seins. Je m’enfonçai le plus loin possible…

— Putain, c’est bon, Bruno. Continue !


La vision de mon sexe profondément enfoncé dans le sexe d’Amélie, de son dos, de ses cuisses, était magnifique. Je faisais des mouvements amples, de plus en plus rapides. Amélie commença à gémir. À ce moment-là, Nathalie me tapa sur l’épaule. Je tournai la tête. Elle me tendit un flacon de lubrifiant.

— Prépare-lui son petit cul, tu vas voir comment elle prend son pied après…


Je pris le flacon, versai un peu d’huile sur mes doigts, et commençai à lui préparer l’anus. J’enduisis soigneusement les pourtours, puis, après avoir remis de l’huile, lui enfonçai un doigt, de plus en plus profondément. Je recommençai la manœuvre plusieurs fois, pour bien lui lubrifier l’intérieur de ses fesses. Nathalie me caressait la nuque pendant ce temps-là, puis me massait le dos, le bras… C’était agréable… Elle m’embrassait aussi dans le cou… Elle me parla à nouveau à l’oreille…

— Vas-y, encule-la… Tu peux y aller, elle adore ça.


Je sortis du ventre d’Amélie, et présentait mon sexe devant ses fesses. Elle se cambra. J’appuyai doucement. Mon sexe commença à rentrer en elle. Elle souffla…

— Humpf, putain… vas-y, encule moi… putain c’est bon…
— Vas-y Bruno, prends-la bien profond… Vas-y mon… chéri…


Nathalie me caressait les fesses en me disant ces mots doux. Je sentis un de ses doigts caresser ma rondelle, tout doucement… Enfin, j’étais complètement enfoncé dans les fesses d’Amélie.

— Ah putain trop bon, tu me l’as mise bien profond, dis-donc… Vas-y, maintenant, fais-moi vibrer…


Je commençai mes allers-retours dans les reins d’Amélie. Manifestement, elle prenait son pied. Elle avait mis sa main sur sa chatte et se masturbait furieusement. Le doigt de Nathalie venait de s’enfoncer dans mes fesses… J’allai de plus en plus vite, et je sentis la jouissance arriver à nouveau… Mon ventre claquait contre ses fesses… Nathalie amplifia le mouvement avec sa main posée sur mes fesses, son doigt faisait des va-et-vient dans mes reins. Nathalie me parla doucement…

— Tu aimes ça aussi, c’est bon, hein… c’est une zone érogène chez les hommes et chez les femmes, tu sais…
— Ah putainnnnnnnnnnnnnnnn… Ah merde ! Trop fort…


Amélie venait de jouir avec un vocabulaire guère poétique… À mon tour, j’éjaculai dans ses reins.

— Ah c’est bon, je te sens, c’est tout chaud… génial…


Après m’être complètement vidé, je ressortis mon sexe des fesses d’Amélie.

— Alors, c’était bon ? me demanda Nathalie en retirant son doigt…


Je la pris dans mes bras et l’embrassai.

— Délicieux, mais je suis sûr que ce sera encore meilleur avec toi…


Tout en lui disant ça, je lui caressai les fesses et, à mon tour, lui enfonçai mon majeur dans ses fesses, tout doucement.

— Si tu veux le savoir, va d’abord prendre une douche, et lave-toi bien soigneusement le sexe, j’adore Amélie, mais bon, quand même, tu viens de l’enculer avec. Pendant ce temps, je prépare des pizzas. Et après, tu me sodomises si tu en as envie, moi, j’ai super envie de te sentir en moi comme ça. Mais tu iras plus doucement qu’avec Amélie, moi, j’aime la douceur…
— Promis… chérie…


On s’est regardé et on a souri en même temps. Puis on s’est encore embrassés. Retour sous la douche, savonnage soigneux de mon sexe. Incroyable, je bandais encore… Il faudra qu’elle me donne la marque du comprimé, c’est terrible ce truc-là. Séchage, retour dans le salon. Les filles étaient attablées devant une pizza géante.

— Déjà faite, la pizza ?
— Oui, 5 minutes décongélation cuisson, et c’est tout bon… On a quand même des talents de cuisinière, mais là, on manquait de temps. On a d’autres choses plus intéressantes à faire. Tiens, tends-moi ton assiette !


Elle me servit une part immense. C’est vrai que j’avais faim, en fait. La part ne fit pas un pli…

— Dis-donc, Bruno, tu es docteur Jekyll et Mister Hide, toi. Quand tu fais l’amour à Nath, tu es tout en douceur, caressant, soyeux… Et moi, tu m’as presque violée ! Tu m’as même pas embrassée, tu m’as sodomisée de suite ! Brutal ! Pliée en deux, enculée, et hop ! Remarque, je dis ça, mais j’ai adoré, en fait…
— Ah oui, comment dire… Nath, j’ai envie de la cajoler, de l’embrasser, elle est si douce… Toi, tu es impétueuse, brutale, donc, j’ai envie de te sauter dessus, de te forcer, tout ça, quoi…
— En gros, tu réagis comme on en a envie, quoi… ?
— Oui, c’est un peu ça.
— Et là, maintenant, tu as envie de faire quoi ? Tu veux me violer encore ?
— Heu, dis-donc, je t’ai pas violée, je t’ai…
— Non, je blaguais, c’est une façon de parler, rassure-toi… Donc, laquelle, maintenant ? Tu me culbutes d’un coup ou tu enlaces tendrement Nath ?
— Eh bien… sans vouloir te peiner… je choisis Nath !
— J’en étais sûre ! Tu sais quoi, Nath, c’est ta soirée, moi, je compte pas trop. Pas grave, si ça vous dérange pas, je vais vous regarder et me goder. OK ?
— Ok pour moi.
— Pour moi aussi. Excuse-moi Amélie, mais c’est vrai que ce soir… c’est moi qui plaît… Pour une fois… Allez, viens, Bruno.


Nathalie m’a pris la main. Nous nous sommes assis sur le canapé.

— Vas-y, sodomise-moi, tu en as tellement envie… et moi aussi… Mais après, promets-moi, tu dors dans mon lit avec moi cette nuit, j’ai envie que tu restes un peu… J’aimerais me réveiller à côté de toi, demain matin…
— Promis, Nathalie, je te le promets… Et en plus, ça me ferait super plaisir.


Elle s’est mise d’elle-même à quatre pattes.

— Vas-y, fais ce que tu veux, je suis à toi…


Je lui ai embrassé les fesses, caressé son sexe, son clitoris… Ensuite, je l’ai soigneusement préparée et lubrifiée, puis pénétrée tout doucement. Je lui ai fait l’amour longuement, lentement, doucement, elle gémissait… Je lui tenais les seins pour ne pas qu’ils ballottent de trop. Mon sexe rentrait complètement en elle, mon ventre s’appuyait contre ses fesses. Je ne pouvais pas aller plus loin. Son sexe coulait littéralement. Mes doigts qui la masturbaient étaient trempés. Encore une fois, nous avons joui presque en même temps. Je me déversai en elle longuement.

Amélie venait aussi de jouir, le god enfoncé dans sa chatte. Elle avait les jambes complètement écartées et elle se pinçait les seins en même temps. Nous nous sommes regardés. Elle m’a souri, et avec ses doigts, a dessiné un cœur dans l’espace, puis montré sa copine. Ensuite, elle m’a envoyé un baiser, et a articulé silencieusement : "Elle t’aime."

Elle avait raison.

Trois mois plus tard, nous avons emménagé ensemble et mis un bébé en route. Bizarrement, plus question de "culbuter" Amélie ou de faire des soirées à plusieurs. Ceci étant, Nathalie me suffisait amplement…

Elle avait racheté le cabinet de mon ancien toubib, et s’était prise de passion pour les voitures de collection. On avait même déniché une petite Morgan pour elle, qu’elle bichonnait soigneusement.

Comme quoi, une bonne tendinite, des fois…

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