Histoire Surprenante 1

Je m’appelle Jean Marc, je suis médecin et j’ai une histoire très amusante qui m’est arrivé il y a longtemps, à vous raconter.
A mes débuts, je n’étais pas comme maintenant, installé, avec femme et
s, j’étais médecin remplaçant, je passais mon temps d’un coin à l’autre de notre beau pays pour des périodes d’un mois ou deux. Je venais de quitter une banlieue du nord pour remplacer le Docteur Juliani dans un petit village du centre de la Corse.
C’était la troisième année que je remplaçais ce médecin pendant deux mois au début de l’été. Il partait tous les ans à la même époque en croisière autour du monde.
J’aimais bien le remplacer, ça me faisait deux mois de vacances dans un village paradisiaque, je n’avais pas trop de travail, il y avait déjà trois semaines que j’étais la et je n’avais vu que deux patients, des touristes pour de petit bobo. Les gens du pays n’étaient jamais malades pendant mon remplacement,
Comme tous les après midi, j’étais installé dans un transat sur la terrasse ombragée pour une bonne sieste quand la sonnette s’est mise à retentir. Il devait y avoir urgence, j’entendais des cris dans la rue et la sonnette n’arrêtait pas de tinter.
A peine la porte fut ouverte qu’une grosse voix s’est mise à ordonner,
- Ou est le Docteur, je suis le maire de Briol et il y a une épidémie dans mon village.
- Je suis le médecin, expliquez moi ce qui se passe.
- Non pas vous, c’est le Docteur Juliani que je veux voir ou est le Docteur Juliani ?
- Il n’est pas la, le seul médecin des environs c’est moi, expliquez moi ce qui se passe ?
- Il y a une épidémie qui touche les filles de mon village, nous avons déjà cinq malades.
- Expliquez-moi les symptômes ?
- Cette maladie touche toutes les jeunes filles de notre village, c’est d’abord Berthe la fille de l’épicier qui s’est mise à vomir le matin au réveil, avant de déjeuner puis à se sentir très mal, avoir des vertiges sans raison et même tomber dans les pommes, ensuite ça a été le tour de Myriam et Christine ce sont deux copines de Berthe, Myriam c’est la fille du Garde et Christine c’est la cadette de l’épicier, a deux mois d’écart, elles ont eut les mêmes symptômes ensuite il y a eut Béatrice, ma fille et Julie la fille du cantonnier, ce sont les deux dernières a avoir les mêmes symptômes, c’est sur, c’est une épidémie, il faut que vous veniez pour les soigner.


- Oui, calmez vous, je veux bien venir, mais ou est Briol, je n’y suis jamais allé ?
- C’est un petit village de deux cent cinquante âmes dans la montagne a dix kilomètres d’ici, suivez-moi, je vous emmène.

J’ai pris dans la réserve différents type de médicament puis, je suis partie prévenir la voisine que je m’absentais pour une visite assez loin et j’ai suivi le maire. Quand j’ai voulu prendre ma voiture, il s’est interposé et m’a expliqué que je ne pourrais pas passer avec, il voulait que je monte dans sa jeep. Au départ c’étais de la bonne route puis il s’est engager sur un chemin muletier qui montait très a pic et plein de bosses et d’ornières, je comprenais maintenant pourquoi je n’aurais pas pu passer avec ma voiture. Apres une bonne heure de route défoncée, j’ai découvert le village, c’étais magnifique, des maisons toutes en pierre serrée les unes contre les autres, a flanc de montagne. Ce village loin de tout semblait paradisiaque. En son centre une place, ombragée par des platanes centenaires, en son centre une fontaine, tout autour, un café et sa terrasse, la mairie, majestueuse et une épicerie de l’autre coté. Et enfin sur le dernier coté une grande bâtisse apparemment inoccupée
Le maire me guidant vers la mairie s’est mis à m’expliquer.
- Ici il n’y a pas de médecin, mais quand nous avons refait la mairie nous avons aménagé un poste de secours avec un peu de matériel pour pouvoir être utile en cas d’accident. Nous ne nous en somme jamais servi, c’est la que vous allez pouvoir ausculter les filles malades.
Tout en parlant, il m’a guidé vers une pièce au ré de chaussé, les fenêtres orientées plein sud avaient été traitées pour ne pas voir à travers mais laissaient entrer une clarté surnaturelle. Dans un coin de la pièce un bureau, face à lui une table d’examen a coté tout un tas de matériel électronique, comme dans un hôpital, a coté une armoire en verre dans laquelle il y avait des seringues, des pansements, des bandes, des blouses.
Au fond une porte qui donnait sur un couloir, a ma droite une installation de radioscopie plus loin une série de six portes, des chambres médicalisées. A la vue de ce cabinet, mieux équipé que celui du docteur Juliani je me suis mis à rêver au plaisir qu’un médecin pourrait avoir à travailler ici.
- Est-ce que ça vous convient ?
- Oui c’est parfait, laissez-moi le temps de m’installer et faite entrer notre première malade.
- J’avais à peine fini de mettre un peu d’ordre dans mes affaires que la porte s’est ouverte et qu’une magnifique jeune fille d’environ dix sept ans est entrée, l’air timide.
- Bonjour Docteur, je m’appelle Berthe.
- Bonjour Berthe, Raconte-moi ce qui t’arrive.
- Il y a environ deux mois, j’ai commencé à avoir des nausées, j’ai d’abord pensé que j’avais mangé quelque chose de mauvais et que ça allait passer mais ça n’est pas passé, des que je mange un peu je vomis de temps en temps, j’ai comme des vertiges et je me suis même trouvée mal une foie. En plus, je n’ai plus mes règles depuis plus de trois mois. Maintenant ça va un peu mieux, je vomis moins, mais je sais que plusieurs de mes copines ont les mêmes symptômes, qu’est-ce que j’ai, Docteur.
- On va voir, déshabille toi et allonge-toi sur la table.
- Timidement elle s’est déshabillée ne gardant que sa culotte puis elle s’est allongée sur la table. Je l’ai très longuement auscultée, pour en arriver à une conclusion, elle était enceinte.
- Est que tu as un petit copain ?
- Oui, c’est Jean le fils du cantonnier, je le vois pendant les vacances pourquoi ?
- Pour rien, as-tu couché avec lui ?
- Oh. Non Docteur pas avant le mariage, mon père me ait
- Ah! Bon, rhabille toi et fait venir une de tes copines.
- J’étais sur qu’elle était enceinte mais il me fallait une confirmation.
- Attend ne pars pas, remonte ta manche, je vais te faire une prise de sang.
Un foie fait, j’ai étiqueté le flacon et j’ai attendu la suivante.

C’était Myriam une belle fille, rousse, bien en chair, avec une poitrine à damner un saint. Elle s’est déshabillée tout doucement, essayant de se cacher un maximum.
Je l’ai mise en confiance en lui expliquant que ce n’étais pas la première fille que je voyais nue et qu’elle n’avait pas à être si timide.
A ma grande surprise quand elle a enlevé sa jupe elle était entièrement nue, elle ne portait ni culotte ni soutien gorge, j’ai pu admirer sa toison de feux qui se mariait très bien avec ses taches de rousseur. Elle s’est allongée sur la table et je l’ai ausculté, elle a commencée a gémir de plaisir quand je lui palpais le ventre, ses gémissements se sont amplifiés quand je suis passé a sa magnifique poitrine que j’ai longuement caressé en titillant les mamelons tout dur. Quand je me suis arrêté elle était au bord de l’extase. je me sentais un peu enivré par la beauté de ces filles et par l’odeur musquée qu’exaltais leurs corps, je bandais comme un fou et mes bourses me faisaient mal. Heureusement que ma blouse cachait bien ma braguette prête à exploser. Je suis passé entre ses jambes pour contrôler son pucelage, son sexe était trempé de plaisir, ses gémissements se sont transformés en petits cris quand j’ai écarté ses lèvres intimes et caressé son clito turgescent. J’ai enfoncé un doigt en elle, elle s’est cambrée en gémissant dans l’appel du male. J’ai perdu la tète, j’ai ouvert ma blouse, dégrafé mon pantalon, et je l’ai pénétré d’un coup. Sous la surprise elle a retiré ses pieds des étriers et a enroulé ses jambes autour de mes fesses en se faisant glisser au bord de la table pour que je m’enfonce au plus profond d’elle puis elle s’est mise a onduler du bassin a la recherche de son plaisir. L’orgasme nous a envahi tous les deux en même temps. Mes râles de plaisir avaient beaucoup de mal a couvrir ses cris de jouissance. Apres un moment elle a relâché l’étreinte de ses jambes, je me suis retiré et pendant que je m’essuyais et remettais un peu d’ordre dans ma tenue, elle m’a demandé :
- Qu’est-ce que vous avez fait docteur.

- Rien de spécial, j’ai juste contrôlé ton pucelage.
- Et si vous m’aviez mise enceinte.
- Oh non, ça ne peut pas arriver, tu es déjà enceinte depuis au moins trois mois.
- Ce n’est pas possible, je n’ai jamais rien fait avec les garçons.
- Peut être puisque tu le dit, je te croie mais t’es quand même enceinte.
- Docteur est-ce que vous avez fait la même chose aux autres filles ?
- Ah non quand même, je ne suis pas une mitraillette.
- Je suis la seule ?
- Oui, mais n’en parle à personne.
- Docteur, est-ce que vous pourrez recommencer a m’ausculter demain ?
- Non je ne croie pas, ça ne serais pas très sérieux.
- Attend je vais te faire une piqure et tu pourras te rhabiller et faire venir la suivante
A sa sortie j’étais un peu soulagé mai ma a recommencée avec Christine, un visage in, une poitrine toute menue, Elle aussi s’est mise a gémir de plaisir pendant toute l’osculation. Comme elle avait gardé sa culotte je n’ai pas pu voir son pucelage mais j’étais sur de moi, elle aussi était enceinte. Je lui ai demandé :
- Est que tu as tes règles ?
- Qu’est-ce que c’est ?
- Des pertes de sang tous les mois
- Ah! Oui, j’en ai eut, il y a quelques mois mais ça n’a pas duré et maintenant j’en ai pas.
- Est que tu as un petit copain ?
- Oh! Non pas encore, je suis beaucoup trop jeune, si mes parents me voyaient avec un garçon ils me aient.

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