Le Barman

Je m’appelle Boris, j’ai 29 ans, et je traverse en ce moment une passe difficile : mon mec vient de me quitter, après plus d’un an de vie commune. Cela fait dix jours et depuis, j’erre comme un zombie dans mon appartement, guettant sur mon téléphone le moindre signe de son retour. Je ne sors que pour aller au travail où j’essaie de faire bonne figure. Mais j’ai mal.
Aujourd’hui, il faut que je sorte un peu, pour me changer les idées : certes, on est en milieu de semaine, la ville est loin d’être une métropole et le seul bar gay de l’endroit risque d’être morne, mais après tout, même désert, ce bar peut être un lieu idéal pour noyer mon chagrin. Et on ne sait jamais, Si l’occasion se présentait de me vider les couilles ? Après deux semaines d’abstinence totale, j’ai besoin d’un peu de sexe.

Je me présente donc, vers 22 heures, au Cocoboy, « notre » bar gay local. Comme on pouvait s’y attendre, il est presque désert : une table dans un coin, est occupée par trois lesbiennes, un couple de petits minets se fait des bisous à une autre table, deux habitués du quartier entretiennent leur ivresse permanente, personne ne se trémousse sur la piste de danse : bref, une soirée de semaine habituelle en ce lieu… Tiens, il y a un nouveau barman ? Je ne l’avais encore jamais vu. Il est plutôt mignon, la vingtaine, un tee-shirt moulant met en évidence ses pectoraux discrètement musclés, et son pantalon en lin blanc laisse deviner une paire de fesses proéminente comme je les aime. C’est avec un grand sourire qu’il me demande ce que je veux boire. Je commande un premier verre, que je sirote au comptoir, historie d’entamer le conversation avec ce beau barman.

Il s’appelle Grégory, il est étudiant et travaille ici les soirs de semaine pour payer se études d’infirmier. Encore dans mes idées noires, je commence à raconter mon histoire, la séparation, l’absence, le manque ; il m’écoute, il répond, il est gentil. Je commande un autre verre, il faut que je boive pour oublier, et je parle… Je commence à me sentir bien, dans ce bar, je ne vois pas le temps passer, mes idées sont moins noires, je ris lorsque Grégory fait des traits d’humour, ce barman est vraiment très gentil, je lui prends la main pour le remercier, il ne la retire pas et me sourit avec un regard coquin.

Les autres clients s’en vont progressivement, je suis le dernier. Grégory se lève et va fermer à clé la porte du bar. Il se rapproche de moi :
- Tu m’as ému Boris, tu as besoin d’un peu de chaleur, je t’offre celle de ma bouche et de mon cul.

Et là, il m’embrasse à pleine bouche, ses mains expertes courent sous ma chemise, viennent caresser mes tétons ; assez rapidement, je me trouve torse nu. De mon côté, je fais de même et je découvre un torse légèrement poilu, que je lèche par petits coups de langue, je veux parcourir toute sa peau qui m’est ainsi offerte. Sa main défait les boutons de mon jean, qui descend à mes chevilles. Il s’agenouille et évalue la grosseur de ma queue à travers le boxer, me complimente, passe la min sur mes fesses, puis se décide à libérer mon sexe, qui s’érige devant ses yeux. Il observe de près mes couilles, renifle mon entre-jambe, me dit que l’odeur lui plait, fait de petits bisous sur l’ensemble du pubis, et humecte mon gland, avant de le gober. Je ressens cette chaleur qu’il m’avait promise, elle glisse progressivement jusqu’à la base de mon sexe, puis il fait des va-et-vient : sa bouche est experte, sa langue sait tournoyer sur les endroits les plus sensibles. Après deux semaines d’abstinence, il n’en faudrait pas beaucoup plus pour que je jouisse :
- Attends, pas si vite ! Je ne veux pas jouir maintenant.

Il se relève, et je peux à mon tour partir à l’exploration de son corps : la découverte d’une nouvelle queue est toujours un moment presque divin dans la vie d’un gay. Son pantalon est vite enlevé et je découvre un petit string blanc, trop petit pour contenir son érection. Comme lui tout à l’heure, je renifle ses couilles, son périnée : une odeur de propre, mêlée à une légère transpiration, exactement comme j’aime. Je lèche ses testicules, me glisse un peu plus bas. Je le retourne pour découvrir son trou, à peine caché par la ficelle du string. Là aussi, quelques petits coups de langue, avant de revenir à sa queue.
Je finis par ôter ce string : son sexe est d’une taille normale, mais il est très large. Je commence à sucer cette friandise qui m’est offerte, Grégory couine sous l’effet de mon massage buccal.

Au bout de quelques minutes, je le fais se retourner, il pose ses coudes sur son plan de travail, et je reprends mes jeux de langue, mais sur son anus cette fois-ci : la raie de ses fesses est parfaitement épilée et son trou, tout rose, est particulièrement appétissant : j’y passe ma langue, fais des ronds autour de ce trou, je vois ses muscles se relâcher sous l’effet de cette caresse, et j’en profite pour insérer un peu plus ma langue ; il couine de plus en plus fort, tandis que je reprends sa queue dans ma main pour le masturber lentement.

Il étend le bras jusqu’à la réserve de capotes et de gel et me tend les deux précieux étuis : « Prends-moi ! » Je déroule le préservatif sur ma queue, j’enduis de gel son trou déjà bien préparé par ma salive, et j’approche ma queue. Une légère résistance au passage de mon gland, je m’arrête pour qu’il s’habitue à mon sexe, mais c’est lui qui recule ses fesses, et je vois ma queue disparaître entre ces deux globes arrondis. Je suis à fond, ma queue est serrée dans cet étui chaud qu’on dirait fait pour elle. Je commence mes allers-retours dans son cul, la chaleur remonte de ma queue dans tout mon corps, je commence à transpirer. Que ce cul est bon ! Je ne respire plus, je pousse des cris rauques. De son côté, vu ses couinements et ses cris d’encouragement, il semble apprécier. Il n’y a plus de bar, il n’y a plus de petite ville autour, il n’y a plus d’ex, il n’y a que Grégory et moi, ma queue et son trou du cul, qui se transmettent des ondes électriques à chacun de mes va-et-vient. Lorsque je sens la jouissance toute proche, je le relève, lui tourne la tête afin de pouvoir l’embrasser en même temps ? De la main droite, je peux le masturber.

Je ne tiens que quelques secondes avant d’éjaculer longuement dans le préservatif ; dans le même temps ma main sent son jus chaud se répandre, je la porte à ma bouche, son sperme a bon goût.
Je me retire, lui aussi vent goûter à mon jus, il prend la capote et en fait couler le contenu dans sa bouche. Après tout, c’est dans un bar que l’on peut déguster les meilleurs nectars !

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