Je Reste Dans Le Milieu Hospitalier...

Je suis nu allongé au beau milieu des champs protégé par la complicité des hautes herbes du mois de mai, Rébecca la nièce de ma concubine aussi nue que moi est assise de dos empalée sur ma verge

Comment en suis arrivé à me taper une jeune fille de dix neuf ans ? C’est peut être dû a une certaine ‘tradition ‘ou les infirmières diplômées comme Sonia sont ‘ réservées ‘ aux toubibs, nous infirmiers nous contentions de ‘ former ‘ les jeunes stagiaires, j’ai quitté ce milieu là après avoir pris ma retraite a cinquante ans ma concubine y travaille encore.

Rébecca qui poursuit ses études pour devenir elle même infirmière vient souvent passer des weekends chez sa tante y trouvant une grande complicité et moins de sévérité que chez elle, notamment pour les sorties nocturnes et pourtant elle est majeure.

Samedi dernier Sonia était de garde, partie a cinq heures du matin je suis resté bien au chaud dans le lit à rêvasser, tourné sur le coté vers l’intérieur du lit ou je sens encore l’odeur de Sonia sur le traversin, je rêve qu’elle est tout prés, sa main caresse mon membre étalé sur le drap, évidement celui-ci prends de plus en plus d’ampleur, cela me parait tellement réel que ça me réveille …ma queue est véritablement serrée dans une menotte qui la manipule lentement .

Le souffle que je perçois me prouve que je ne rêve plus, entre mes cils, dans les premières lueurs de l’aube je distingue une chevelure blonde étalée sur l’oreiller, tournée vers moi Rébecca me regarde dormir, elle guette mes réactions, pourquoi stopper ce qui nous fait du bien a tous les deux ??? …

Une jambe est posée sur la mienne ce que j’imagine lui fait ouvrir les cuisses, est elle nue ? Mouille-t- elle ? A en juger par sa respiration saccadée je pense que oui, si je me manifeste quelle va être sa réaction ? Je ne vais tout de même pas attendre de décharger bêtement dans les draps ! Une première contraction annonce le point de non retour je lui saisie le poignet pour arrêter la masturbation sinon c’est la cata !

- Tu es réveillé Louis ?

- Que fais-tu là ?

- J’avais froid toute seule dans mon lit et je me suis dite que la place de tatie était encore chaude, c’est par hasard que j’ai trouvé ton sexe …

- Tu te rends compte de ce que tu as fait ?

- Oui, je t’ai fait bander !

- J’étais prêt a tout lâcher dans les draps comment aurais je expliqué ce genre de tache a ta tante ?

- Moi je sais ou tu peux jouir sans laisser de traces …approche …

De position en chien de fusil je me redresse, ma queue touche son ventre, je pose une main sur sa cuisse qui restée sur la mienne et remonte vers son petit cul rebondi, Sonia approche sa bouche de la mienne qu’importe nos haleines douteuses du matin, nos langue se mêlent pour un baiser passionné, ma main progresse entre ses fesses, la fente est là sous mes doigts qui n’ont aucune peine à fendre l’abricot juteux, un liquide gluant suinte dans ma main

- Tu me fais du bien louis j’aime ça

- Ne me dit pas que tu te tape des vieux infirmiers à l’hôpital ?

- Ça m’arrive mais je préfère l’expérience du médecin urgentiste, fait moi profiter de ton savoir faire louis !

- Et toi ? tu en es ou de ton savoir faire ?

Sans répondre elle se faufile comme une anguille entre les draps arrachant sa chatte a ma possession, elle choppe ma queue a pleines mains et absorbe tout ce qui veux entrer dans son palais, je n’ai pas eu le temps de lui dire que ma bitte avait fourrée sa tante la veille et que je ne m’étais pas lavé, aux bruits de sucions voraces ça n’a pas l’air de la déranger aussi je me positionne plat pour profiter de la pipe magistrale dont elle me gratifie, pour ne pas être en reste je tire sur une jambe qui dépasse des couvertures, la fille souple est vite en position de la grenouille sur moi, pas question de faire le difficile devant une vulve qui sent le pipi , ma langue nettoie avec délice cette fente dégoulinante, vue la position mon nez tutoie son petit trou qui palpite, je délaisse sa moule pour taquiner son anus mon doigt est absorbé sans peine a sa souplesse je suis sûr qu’il a déjà servi… Sonia se tortille comme un ver lorsque ma langue se vrille dans son tunnel

- HOOOOOOOOOO ouiiiiiiiiiiiiii suce moi là ! que c’est bon !!!!

- Petite salope tu te fais aussi enculer ?

- Et alors c’est interdit ? tu veux me le faire ?

- NON ! … du moins pas ce matin …

- Alors baise moi louis enfile moi et décharge bien au fond, vient sur moi …

Sans forcer je bascule ce petit bout de femme sous moi et lui pose les jambes sur mes épaules, sa craquette baille, mon nœud trouve tout seul le trou, elle donne un coup de rein pour s’enfiler à fond, nos pubis cognent l’un sur l’autre, quasiment pliée en deux je m’acharne sur son corps, déjà bien excitée elle part dans un orgasme bruyant, moi qui ne voulais pas tacher les draps c’est foutou, Je sens une abondante coulée de jus féminin s’évacuer entre les lèvres a laquelle j’ajoute ma décharge trop longtemps retenue dans un mugissement de taureau, en sueurs affalés l’un sur l’autre nos respirations se calment, je m’arrache a son étreinte la queue encore goutante

- Tu te lève déjà ?

- Ne me dis pas que tu en veux encore ?

- Tu es si vieux que ça pour t’avouer vaincu ?

- Petite dévergondée, a quatre pattes tout de suite !

- Voilà- voilà !

- Quelle fieffée salope ! tu tiens de ta tante pour la bagatelle

- Elle baise bien tatie ?

- Occupe toi de tes oignons, montre moi plutôt tes bijoux vus de derrière … HHUUUUUMMMM ! on dirait une araignée tombée dans la glu, t’a les poils tout collés

- Encolle les encore plus …

- Tu devrais les raser c’est mieux pour les caresses

- Demain tu testeras ma chatte sans fourrure

Un bruit d’évier accompagne un paquet de glaires qui s’échappe de sa moule lorsque ma queue atteint le fond da sa gaine vaginale, Sonia donne tout ce qu’elle a en donnant de furieux coups de reins, les mains derrière le dos je n’ai qu’a résister a ses assauts, je mate son p’tit trou qui s’ouvre et se ferme telle un fleur carnivore
Je réfléchis déjà a notre prochain rendez vous …dans trois jours nous aurons un après midi de libre, nous irons dans les champs, c’est d’ailleurs par là que mon récit a commencé …

Perdus dans la nature avec pour couchage une vieille couverture j’ai déshabillée cette poupée en embrassant chaque parcelles de son corps pas encore mature, ses seins orgueilleux en poires, son nombril, l’intérieur de ses cuisses et enfin sa vulve et son anus qui comme promis sont lisses comme mon genou, j’arrête de lécher seulement lorsqu’une crampe a la mâchoire m’interdit de continuer, sonia prend le relais en me pompant jusqu'à l’éjaculation, sitôt la dernière goute aspirée elle s’accroupie sur moi en conquérante

- Aujourd’hui c’est moi qui dirige, je fais ce que je veux de ta bitte, je veux ta purée dans tous mes trous
- Je suis curieux de voir si ton p’tit cul va supporter ma queue ! va y j’attends ….



- Remue quand même un peu fainéant

- Attend toi à faire du rodéo dés que tu seras bien plantée, met toi de dos je veux voir ta moule éclatée et préparer ton trou

Sonia est assise sur mon pubis, ma verge comprimée a complètement disparue dans son vagin, elle pose ses deux mains sur mes genoux et entame une danse du sexe obscène, ma queue coulisse entre ses lèvres gonflées , c’est beau et c’est bon , je pose un doigt sur son anus il entre jusqu'à la dernière phalange sans forcer, j’en rajoute un second, mon gland frotte sur mes doigts a chaque passages, c’est excitant de se toucher la queue alors qu’elle est sensée labourer une chatte, la jeune fille devient hystérique, elle fait des bonds sur moi a une vitesse folle , son cul ouvert est prêt a être sacrifié
Sonia jouit interminablement en poussant des cris aigus je décharge moi aussi en bramant comme un cerf, sans lui laisser le temps de récupérer et sans sortir de son vagin je la bascule a genoux

- Tu ne me laisse pas respirer un peu ?

- Tu es chaude t’a le cul ouvert ça va passer comme une lettre a la poste

Je change de trou tellement vite qu’elle n’a pas eu le temps de souffrir, sa tête repose sur ses avant bras, elle gémit et me laisse lui limer les entrailles a ma guise

- Tu me fais du biiiieeeeeeennnnnnnnnnnn

- Toi aussi petite chienne ! T’a le cul serré

J’admire son étroite cambrure de reins, je l’amène à moi en la maintenant par les hanches tantôt lentement tantôt brusquement elle est soumise et fera une bonne maitresse, aller assez de cul pour aujourd’hui je vais décharger et nous allons rentrer, que sera demain ??????

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