Un Prof D'Amour

Je dédie ce récit à une fidèle lectrice qui se reconnaitra en espérant qu’elle se donne du plaisir !!!!!!

Depuis la sixième j’avais un fantasme : coucher avec un homme plus âgé notamment un prof, de nombreux m’ont plus mais comment vaincre ma timidité et surtout la peur d’être repoussée et virée du lycée.
Il m’a fallu attendre mes vingt ans en I U T, dés que je l’ai vu je savais que je réussirais à coucher avec lui, grand, brun, mince, les mains fines

Nous nous croisons un jour dans un couloir de l'université, alors que je sortais de cours, et il me dit qu'il vient d'acquérir un livre intéressant pour mon sujet de recherche, le bouquin en question se trouve chez lui, étant disponible je lui dis je peux faire un saut et l'emprunter je sais qu'il habite à côté de la fac, un peu surpris, c’est un soir d’hiver la nuit tombe vite, il regarde sa montre et a ma grande surprise accepte

Quelques minutes plus tard nous sommes au pied de l'immeuble, ça me fait bizarre, je vais entrer au domicile d'un homme et de plus un de mes professeurs, lui semble plus détendu il sifflote dans l’ascenseur je ne dis rien et regarde mes pieds, ce lieu étroit m'évoque pleins de choses notamment mes premières étreintes et les mains baladeuses d’un copain a mon frère qui ont touchées pour la première fois ma minette, je dois être rouge mon cœur cogne dans ma poitrine, j’aime son parfum, la montée me paraît interminable

Nous arrivons dans un couloir sombre. Il ouvre la porte de l'appartement, je reste sur le seuil lui est entré et retire son manteau

- Entre ! ne regarde pas le désordre, tu veux boire un café ?
- Si cela ne vous dérange pas je veux bien
-
Cela me fait un prétexte pour rester seule plus longtemps avec lui, il évolue avec aisance, son comportement est différend de la fac, sur son bureau trainent pleins de dossiers l’ordi est allumé, je vais pour m’en approcher mais il revient déjà, je m’assois a coté de lui une tasse a la main… s’il pouvait m’enlacer maintenant, peut être en a-t-il envie mais n’ose pas, s’il savait a quel point je mouille il n’hésiterait pas …

- Ha ! Ton bouquin …ça va ? tu as l’air ailleurs ?
- Juste un peu fatiguée
- Je ne te retiens pas alors, je vais te raccompagner la rue n’est pas sûre
- Je ne veux pas r mais c’est vrai que j’ai une peur bleue la nuit !
- C’est normal allons y …

Il me tend mon manteau et enfile le sien, je suis déçue de partir si vite, je ne le quitte pas des yeux, arrivé prés de la porte il a déjà une main sur la poignée, il me fait face ouvre la bouche mais rien ne sort, je suis écarlate je pensais qu’il allait m’enlacer

- Tu es sûre que ça va ?
- Il vaut mieux que je parte .

..

J’avance ma main pour la poser sur la poignée ou se trouve déjà la sienne, comment l’à-t-il interprété ? Sa main se referme sur la mienne et il pose l’autre sur ma hanche, pétrifiée et aussi terriblement excitée je reste de marbre …Il se penche vers moi, voyant que je le repousse pas ses lèvres se posent sur les miennes, il me plaque sur la porte nous échangeons un baiser enflammé presque brutal
Mes mains lui font un collier autour du cou les siennes sont passées sous mon manteau descendent sur mes fesses qui sont décollées de la porte pour qu’il puisse me caresser, ma jupe remonte lentement jusqu'à ce qu’il puisse toucher ma peau nue, il pétrit mes lobes, ses pouces repoussent les coutures de mon slip dans ma raie
Collée à lui je sens son sexe en érection sur mon pubis, mes jambes ne me portent plus, il me soutient et recule vers le salon, arrivé là le prof me repousse …

- Ôte ton manteau
Ce que je fais en un éclair je défais aussi les boutons de mon chemiser, il fixe ma poitrine et tend la main les bonnets sont malmenés il fait rouler mes tétons dressés, je vais a la découverte de son entre jambes là ou une bosse énorme repousse le tissu, a nouveau je me colle a lui et passe une jambe entre les siennes, enfin ses doigts s’attaquent a mon soutien-gorge, ses lèvres aspirent mes tétons l’un après l’autre

Mes doigts fébriles défont les boutons de sa chemise, je découvre un torse poilu, vite, la ceinture …heureusement il m’aide car sa queue bandée fait entrave, le pantalon en accordéon me ferais en temps normal mais là c’est d’un érotisme torride, je n’ai d’yeux que pour la queue tellement raide qu’elle décolle l’élastique de la taille
Il me pousse sur le canapé ou je me laisse tomber dans une position calculée, les jambes très écartées la jupe remontée il mate le slip trempé, en grognant il se met a genoux sa tête fouine dans mon compas tandis que ses mains s’attaquent a nouveau a ma poitrine

- Je veux être nue ….

- Tu as raison moi aussi …
Debout devant lui je me laisse faire, il peine un peu pour ma jupe mais retire religieusement mon slip par étapes, une fois libérée de ce dernier rempart j’écarte mes pieds deux doigts viennent frotter mes grandes lèvres collées par ma mouille, je presse sur sa main pour qu’il me pénètre profondément, il fouille mon sexe des gouttes glissent rapidement sur sa main et tombent sur la moquette, un a un d’autres doigts rejoignent les premiers
De voir tout ces doigts disparaitre dans mon ventre me fait littéralement pisser, son souffle devient rauque, il me repousse sur le canapé sans retirer ses doigts, il m’enfile sa main jusqu'à la fourche du pouce, il me branle ainsi rageusement les clapotis ne me font pas honte

- Je vais t’enfiler toute ma main salope !

Je ne lui dis pas que personne ne m’a fait ça et que j’appréhende au contraire je m’écarte au maximum, ses yeux sont exorbités sa respiration s’accélère, j’espère ne pas être tombée sur un sadique …il, je ne sais même pas son prénom, il positionne son pouce a l’intérieur de sa paume, je relève la tête pour assister a cette pénétration hors norme, en tournant les doigts gagnent du terrain progressivement, il sont bientôt avalés jusqu'à la partie la plus large , mes chairs sont étirées au maximum, ça force ….

- Ça va rentrer ton bassin est fait pour er
- Ne me craque pas …
- Prends mon poignet et enfonce le toi-même

A demis assise je saisi son poignet et force, mes chairs sont étirées au maximum le prof tourne lentement, plus qu’un centimètre pour que les os n’arrive a mon col, mes lèvres n’ont plus de formes, je ferme les yeux et dans un sursaut de volonté je me poignarde littéralement, le poignet fait un bond en avant la main a disparu dans mon ventre

- Tu vois ? !! Quelle impression ça te fait ?
- Je suis pleine … bouge tes doigts pour voir ? … on dirait les pattes d’un gros insecte qui se balade dans ma chatte !
- Et si je fais ça ? …….


Il se sert de son bras comme d’un piston, il se retire a la limite de sortir et repousse d’un coup

- C’est un extra terrestre qui me baise je vais jouir …….
- Ne te retiens surtout pas, je vais aller plus vite…
- HOOOOUUUUUAAAAAAAAAOUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!! je jouis je me vide !!!!
- Effectivement mon canapé est trempé, je vais ôter ma main doucement ensuite tu te retourneras je veux examiner ton anus ….
Il a de la suite dans les idées lui au moins jamais un mec de mon âge ne s’est aventuré à des préliminaires aussi hard, curieuse et complètement partie j’obéis il finira bien par m’enfoncer sa queue, la croupe en l’air ma chatte évacue toujours mes sécrétions, il doit avoir une vue imprenable sur mon anatomie, du plat de la main il flatte ma chatte et mon anus

- Écarte-toi bien, tu petit trou a déjà servi ?
- Oui quelquefois …
- Alors ce n’est pas la peine de le préparer, il est ouvert

J’attends sa queue mais il se saisit d’une des trois statuettes en albâtre que j’avais remarquées sur la table basse, elles sont assez lisses de forme phallique et de taille différentes, heureusement il a pris la plus étroite, le froid de cette matière contraste avec la chaleur de mon cul, voyant que ça ne coulisse pas il me l’enfile dans la chatte, huuuuuuuuummmmmmmmm ça fait du bien ….. C’est la première fois qu’autre chose qu’une bitte bien chaude va me pénétrer

- Ça devrait suffire je vais t’enfiler décontracte toi …..

Ce que je pense être la tête entre facilement, mais arrivé aux épaules ma collerette se contracte et empêche le passage, je reçois deux grandes claques sur le cul cela fait diversion et mon amant en profite pour pousser l’objet qui entre jusqu’ou il a décidé

- Ça va ?
- Oui mais je préférerais votre sexe
- Ça va venir ne t’inquiète pas, tu as déjà pratiqué la double ?
- La double ?
- Oui deux queues ou deux objets dans tes deux orifices
- Non ….
.

Sans répondre il s’empare de la statuette la plus grosse, il fouille a tâtons entre mes cuisses et trouve ma fente a peine remise elle est a nouveau écartelée, me voilà prise par les deux trous, une nouvelle sensation de froid vite réchauffée par mon corps

- Et voilà !! ça fait mal ?
- Non c’est même agréable, bien maintient les en toi tu va me sucer

La verge au gland cramoisi se dandine devant mes yeux, je me redresse un peu et ouvre la bouche le prof guide sa trique dans ma gorge dont il se sert comme d’un vagin, ma main fait bouger les statuettes dans mes trous, je m’imagine que j’ai trois amants pour moi seule

- Bravo petite tu te défends bien, suce moi à fond et je baise tes deux trous simultanément tu l’auras bien mérité
- Muuuuuummmmmmmmhhuuuuuuuummmm
- Je crois que ça vient ne recrache rien …. Haaaaaaaaaaaaaaaaooooooooooouuuuuuuuuuuaaaaaaaaaaa

Un flot épais épicé qui ne s’arrête plus inonde mes amygdales, je lâche les statuettes qui évacuent d’elles même mes orifices, l’intérieur de mes cuisses est nappé de sauce gluante

- Descend et allonge-toi sur la moquette je vais te saillir …. Pose tes jambes sur mes épaules …d’abord quelques coups dans la chatte et ensuite ton cul ainsi de suite ça te va ???
- Hoooo oui !!

Chaque mouvements de sa part m’arrache un soupir je suis devenue un clitoris sur patte, il me baise comme un dieu, sa bouche bâillonne la mienne, c’est à peine si je sens la différence lorsqu’il change de trou, une demie heure plus tard il s’épanche une ixième fois dans mon vagin, restés collés l’un sur l’autre il ne se relève que lorsque sa queue tombe d’elle-même sur la moquette
Il m’a gardée toute la nuit bien au chaud dans son lit il a léché méticuleusement mes trous atrophiés avant de me faire découvrir maintes positions, le lendemain a la fac il est passé a coté de moi sans un regard, le soir il parlait avec une étudiante qui buvait ses paroles ……..

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