J'Aime Me Faire Enculer

Ceci est mon histoire, un récit de mes turpitudes.
Depuis que je me connais je sais que je suis une véritable salope. Est-ce un vice que d'aimer l'amour ? Quand j'ai vu la première bite en érection j'ai eu envie qu'elle entre en moi. La garçon qui me la montrait était grand, fort, beau, désirable. J'ignorais encore comment lui faire du bien. Moi j'en ai pris quand il me l'a donnée dans la main. D'instinct je le branlais. Quand son jus est sorti j'ai voulu le goûter. C'était chaud, à peine gluant, parfumé. Je l'ai gardé en bouche un bon moment avant de le faire glisser dans la gorge.
Un peu plus tard, il bandais encore. Je lui tendais mes fesses. Quel bonheur quand je sentais la queue venir contre le bas ventre. Il écartait ma fente toute mouillée. Malgré mon désir il m'a fait mal en entrant. Ma rose n'a pas fait long feu sous sa poussée.
Je ne sais comment et pourquoi je me suis appliquée à avancer vers son vit. Il me déchirais pourtant. J'aimais ce qu'il faisait. Au début ce n'était pas pour moi, c'était pour lui faire plaisir. Je le sentais quand il arrivait tout au fond du sexe. A mon tour de ressentir le plaisir de la baise. Il pouvait tout me faire, j'acceptais d'avance tout.
Après avoir distribué sa semence, il sortait de mon corps. Je voulais le nettoyer avec ma langue. Je sentais l'odeur de le goût de sa queue et de ma chatte. Il ne débandait que difficilement. Un instant avant en sortant de ma chatte, il frôlait le petit trou. Je pouvais le prendre en main pour le diriger. Cette fois je le faisais se poser juste sur l'anus. C'est lui qui entrait doucement. Mes muscles d'en bas s'écartaient. Il me faisait à la fois mal et du bien. J'ouvrais le plus possible le cul. Quand il était tout au fond de mes boyaux, je le sentais bien. Sans le vouloir je resserrais mon anus en jouissant. Je le sentais quand il avait des spasmes dans la queue en jouissant aussi.
Depuis je ne peux pas me passer de bite dans le cul, sauf peut être dans mes amusements avec d'autres filles, et encore, elles ont des doigts ou la langue.

Plus tard, dans un bois où mon copain m'avait emmenée dans l'intention cachée de me baiser, j'étais nue. L'air de dehors hérissait mes poils, me donnait la chair de poule. Il était encore habillé, je me serrais contre lui. Sa main venait sur mes fesses. Je les écartais pensant qu'il allait venir caresser ma raie. Lui ne cherchait qu'à jouir de moi. Je l'ai fait se reprendre pour le branler. Je secouais sa bite pour la faire juter sur ma poitrine. Pendant qu'il jouissait je m'enduisait les seins, mes mains et ma bouche de son liquide chaud.
Je le laissais tranquille pour me branler devant lui. La simple vue de mes doigts allant et venant sur le clitoris le faisait encore bander. En levrette devant lui, l'anus mouillé par la cyprine je lui donnais mon cul. C'était sa première fois en sodomie. Il massacrait l'anus. J'avais mal pour la première fois à cet endroit si sensible. Je pouvais l'empêcher de continuer, même si j'avais envie de me faire enculer. Je persévérais dans cette entreprise. Ce n'est que quand je sentais ses couilles contre les fesses que je sentais enfin ce plaisir divin. Cette fois pour accélérer le plaisir je me caressais la chatte. Mon index passait et repasser sur le clitoris. Au moment de l'orgasme je mettais deux doigts dans la chatte. Entre sa queue et ma main je prenais un plaisir remarquable.
Des fois j'avais d'étranges besoins : je voulais masturber un homme en lui caressant aussi l'anus. J'avais sa queue dans la main gauche, je mouillais le doigt, doucement je caressais la raie. Il savait bien ce que j'allais faire. J'entrais à fond dans le cul masculin. J'aimais et j'aime toujours sentir ces culs se refermer sur mon doigt au moment où le sperme sort de la pine. Si je suis bien placée j'avale la semence : c'est chaud, goûteux.
L'autre fois j'étais chez des amis. Les voir s'embrasser me donnait des envies de le partager. Elle m'avait un jour dit qu'elle n'aimait pas se faire mettre par le cul. J'osais prendre sa queue dans le pantalon, la sortir, la sucer un peu.
Elle me regardait consentante. J'en profitais pour caresser les joyeuses. Elle se branlait sans scrupule. Je levais la jupe, m’asseyais sur lui. En me trémoussant à peine j'arrivais à le faire entrer là où j'aime. Je crois avoir poussé un cri de contentement quand il est entré. L'anus s'ouvrait vite, comme j'aime. Pour une rare fois c'est lui qui a caressé le clitoris. Je jouissais en lâchant une bonne dose de cyprine, par l'autre trou. Je voyais que le copine aussi jouissait. Nous partagions un dernier baiser.

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