Un Anniversaire Un Peu Spécial...(6)
Je me suis assoupie. Pas étonnant, après tout ce qui sest passé ces dernières 24heures
(Voir les précédents épisodes) Je suis éreintée physiquement, épuisée par toutes ces expériences !
Je rêve
Des mains se promènent sur mon corps, partant de ma cheville pour remonter doucement le long de ma jambe
sattardant sur le mollet, effleurant le creux derrière mon genou, ma cuisse, saventure sur mes fesses en soulevant ma jupe
Un doigt sinsinue vers ma fente. Je mouille. Un deuxième doigt le rejoint, jécarte un peu les cuisses, mais la main est repartie à lassaut de mon corps
elle me caresse le bas du dos, glisse sur les flancs, sous mon corsage, remonte vers mes épaules, mon cou
je sens la caresse venir sur ma joue, un pouce se promène sur mes lèvres que jentrouvre pour le laisser pénétrer ma bouche, je mordille doucement la pulpe du doigt
La main repart vers mon bras, le suit en le frôlant jusquaux phalanges, nos doigts sentrelacent
Je me retourne dans mon sommeil, afin de laisser laccès au côté pile de mon corps à ces mains baladeuses ! Elles sattardent sur mes bras, les écartent lun après lautre, effleurant la face interne des bras et avant bras
mon poignet est soulevé, lintérieur en est embrassé, ainsi que la paume, les doigts sont doucement mordillés avant dêtre reposé pour passer à lautre main
Le même scénario est répété, jen soupire.
Les mains repartent en exploration sur mon corps, je suis offerte
Mon corsage est à nouveau soulevé, les doigts caressent langoureusement mon ventre, tournent autour du nombril
puis remontent vers mon buste et dégagent consciencieusement ma poitrine. La main vient en coupe sous le sein gauche, le soupèse, le pouce venant agacer le téton. Le même traitement est infligé à mon sein droit. Les caresses se font plus insistantes, malaxant franchement maintenant les deux seins. Je sens une bouche se refermer sur les pointes, une langue titiller les tétons, agacés du bout des dents
pendant que la bouche soccupe du sein droit, la main repart soccuper du sein gauche, le malaxe, roule le téton entre les doigts, le faisant durcir et sallonger
quand je veux rejoindre ses mains pour accen sa caresse, mes gestes sont bloqués, je suis retenue au niveau des poignets
Il ma attachée !!!
Je suis complètement éveillée maintenant, et ce nétait pas un rêve : mon homme ma lié les poignets aux montants du lit, sans que je ne men rende compte, profitant de détourner mon attention avec ses caresses ! Je tire sur me liens, ils sont solidement attachés.
« Tiens-toi tranquille ! » mordonne t-il.
Mais je ne peux mempêcher de bouger le bassin pour accen sa caresse, je replie les jambes, magite sous cette main aventureuse, alors que son pouce agace mon clitoris et un puis deux doigts sinsinuent dans mon intimité
Ses mains mabandonnent brusquement, pour se saisir de ma cheville droite quil entrave rapidement ! Alors que la gauche subit le même traitement, je me rends compte que les liens étaient déjà installés
il avait tout prévu !
Maintenant que je suis pieds et poings liés, totalement à sa merci, il repart en exploration sur chaque centimètre carré de mon corps, noubliant aucuns détails de mon anatomie ! Être ainsi lobjet de ses attouchements, sans pouvoir y participer activement, sans pouvoir le toucher
me rend folle ! Il déboutonne ma jupe pour me lenlever, me soulevant le bassin pour la faire glisser de dessous mes fesses. Comme elle souvre complètement, il peut lextraire sans me détacher. Pour mon corsage, il le retrousse et le rabat sur mon visage, lencolure libérant la bouche et le nez, mais le vêtement me masquant les yeux aussi surement quun bâillon
Il membrasse, longuement, sa langue fouillant ma bouche, puis repart en exploration sur mon corps, mais cette fois avec sa bouche. Sa langue et ses lèvres se promènent sur ma peau, descendent le long de mon cou, saventurent et sattardent sur mes seins, continuent leur périple vers mon triangle des Bermudes pour mieux sy perdre
mon sang est en fusion, je tire sur mes liens, je veux plonger mes mains dans ses cheveux, lemprisonner de mes jambes
mais je ne peux que subir ses assauts, ses coup de langue sur mon clitoris alors que ses doigts me fouillent de plus en plus profondément
jusquà ce quun orgasme memporte, décuplé par ma cécité temporaire : mes gémissements se transforment en râles, mon corps se soulève malgré mes entraves, secoué par des spasmes ! Mon « bourreau » se redresse vivement et se positionne entre mes jambes.
« Chéri ? » pas de réponse
je sais quil est là, je lentends
« Tu me détaches ? » Il retourne dans la salle de bain, jentends la douche couler
Lorsquil revient dans la chambre, il sassoit à côté de moi sur le lit, se penche, membrasse et me dit :
« Tu as soif ? » Il me soulève la tête dune main et je sens un verre se poser sur ma lèvre inférieure. Je bois plusieurs gorgées, je suis assoiffée, effectivement. Il me fait boire encore un peu.
« Tu vas être bien sage, je vais revenir très vite ! »
« Tu ne vas pas me laisser comme ça ? Détache-moi
»
« Non, ça me plait bien de te savoir ainsi, jai quelque chose à faire » Il se lève et sen va, jentends la porte se refermer derrière lui !
Cest la première fois quil me laisse attachée et aveuglée après nos ébats
je suis un peu perdue, jentends plein de bruits
des pas dans le couloir, est-ce lui ? Non, les pas séloignent. Une pensée me traverse lesprit : et si quelquun du personnel de lhôtel entre ? Je panique
non, la femme de ménage était passée quand on est rentrés tout à lheure
tiens, jy pense, la chaine qui ma retenue attachée au radiateur de la salle de bain, ce matin, elle y était toujours quand on sest absentés ? Je ne me souviens plus si mon maître la retirée ou non
Jimagine la tête de la femme de chambre si elle y était toujours quand elle a fait le ménage
Il faudra que je vérifie tout à lheure !
Le temps passe, jai perdu la notion du temps
Il est parti depuis combien ? 10 minutes ? Un quart dheure ? Plus ? Mon esprit divague, je repasse les dernières heures écoulées depuis hier soir
Je mouille à nouveau dexcitation
jai la chatte dégoulinante, ça me démange de me caresser, dessuyer ce sperme mélangé à mon fluide
mais je ne peux pas !
Un bruit de serrure ! Qui est-ce ? La porte souvre, se referme, jentends une respiration
des pas qui sapprochent
« Cest toi ? » Jai une toute petite voix
Une main se pose sur moi, douce, et je le reconnais
je me détends, il se penche pour membrasser, puis me refait boire un peu.
Je lentends encore farfouiller dans la chambre, aller et venir, sassoir à côté de moi. Il me cale un oreiller derrière la tête, réajuste le tee-shirt :
« Ouvre la bouche ! » je mexécute.
Il glisse entre mes lèvres quelque chose de frais, sucré
je goûte du bout de la langue
cest une fraise ! Je croque dedans, elle est juteuse à souhait, je me régale ! Il approche ces lèvres des miennes et me déverse un liquide frais, pétillant
Du champagne ! Il me nourrit ainsi, alternant les fraises, trempées parfois dans de la chantilly, avec quelques gorgées de nectar quil moffre dans un baiser à chaque fois
Jadore ce goûter improvisé !
A la fin de la dégustation, il me retire le tissu des yeux. Je suis éblouie, il me faut quelques instants pour retrouver une vision claire
Mon homme me regarde tendrement, me caressant langoureusement, et mannonce quil aime me voir ainsi attachée et quil va finalement me laisser encore un peu ! Et il retourne sassoir tranquillement dans un fauteuil, prends un livre et mabandonne à mon sort, ignorant mes suppliques ! Je tire sur mes liens, me contorsionne comme je peux, rien à faire
Alors je décide de prendre mon mal en patience
Au bout de ce qui parait une éternité, il se lève enfin et mannonce quil est temps de se préparer pour la soirée.
Jignore tout de ses projets, et tout en me frottant les poignets pendant quil me masse les chevilles, je découvre sur une chaise une tenue quil a préparé pour moi
on peut difficilement faire plus sexy !
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