Ma Copine 2

Le lendemain, je suis arrivé chez elle à l’heure convenue avec trois cent euros, en billets de cinq et dix, pour faire impression. Elle m’a ouvert, embrassé. Je lui ai tendu la grosse liasse de billets, elle m’a regardé, s’est mise à sourire puis après avoir fermé la porte, elle s’est déshabillée langoureusement. Une fois nue elle m’a entraîné dans la chambre et m’a déshabillé en me caressant. Arrivé à mon chibre elle l’a caressé puis s’est agenouillée devant moi et s’est mise à me sucer avidement en me caressant les couilles. J’ai rapidement joui dans sa bouche. Elle s’est relevée et en silence elle est partie dans la salle d’eau. Après quelques minutes elle est revenue et toujours sans un mot, elle s’est allongée sur le lit et m’a tendu les bras. Je l’ai rejointe. Nous nous sommes mutuellement embrassés, caressés pendant un long moment puis je suis passé sur elle et j’ai appuyé mon chibre dans sa fente. A l’entrée de sa grotte d’amour. Elle restait silencieuse si ce n’est des petits gémissements de plaisir. J’ai un peu poussé, mon gland est entré, j’étais bien serré, c’était merveilleux. J’ai poussé à nouveau, elle s’est crispée.
- Doucement, s’il te plaît.
- Je te fais mal ?
- Non, mais j’ai peur.
Je me suis retiré, je suis descendu sur son corps en l’embrassant et j’ai collé ma bouche sur son sexe, déjà bien humide, pour lui faire l’amour avec ma langue.
Rapidement elle s’est mise à gémir de plaisir et son jus s’est mis à couler abondamment. Doucement je suis remonté sur elle pour l’embrasser et mon chibre est rentré en elle. Quand j’ai senti la résistance de son hymen, j’ai reculé un peu pour revenir juste à l’entrée pour replonger à nouveau jusqu'à son hymen. Après une dizaine d’aller et venue de mon gland dans l’entrée de son sexe, au moment où je replongeais, elle a crié sa jouissance et s’est cambrée brutalement pour s’empaler sur moi. Je n’ai plus bougé, bien au fond de son vagin, bien serré, au chaud, mon gland plaqué contre la bouche de son utérus.

C’est elle qui a commencé à onduler du bassin pour faire revenir le plaisir qu’elle ressentait. A partir de ce moment, nous nous sommes tous les deux mis à gémir de plaisir. Le combat fut très long et l’orgasme final fantastique. J’ai eu juste le reflex de me retirer avant de jouir alors qu’elle me suppliait de rester. Nous avons été très longs à refaire surface. Quand elle a rouvert les yeux, elle m’a dit :
- J’étais loin de me douter que c’était aussi agréable. Si j’avais su ça, il y a bien longtemps que je l’aurais fait. Pourquoi tu es sorti. C’était tellement bon.
- Je suis sorti pour que tu ne te retrouves pas enceinte. Moi aussi, j’aurais aimé rester mais c’est très risqué pour toi.
- On pourra recommencer ?
- Quand tu veux.
- Tout de suite
- Oui, mais il faut que tu me suces pour me nettoyer le sexe, je ne voudrais pas te mettre en cloque.
- Viens, maintenant.
En entendant ça et en sentant ses doigts et sa bouche sur mon chibre, j’ai tout de suite rebandé très fort et nous sommes repartis pour une folle cavalcade. Quand j’ai senti à nouveau la sève monter, j’ai essayé de me retirer mais elle m’a bloqué entre ses jambes nouées dans mon dos. J’ai fait le et j’ai joui juste à l’entrée de son sexe avant de replonger en elle. Ma décharge sur son clitoris a déclenché en elle un orgasme fantastique et nous sommes tombés tous les deux dans une espèce de coma jouissif. A notre réveil, j’étais toujours en elle, je bandais encore, je me suis mis à bouger tout doucement, c’était merveilleux, elle réagissait et accompagnait mes mouvements des siens pour que le plaisir soit encore plus grand. Ce coup-ci, ça a duré très longtemps notre jouissance a été plus longue à arriver mais elle a été encore plus foudroyante que la précédente. Heureusement j’ai réussi in extremis à me retirer avant d’envoyer la sauce sur ses lèvres intimes. Notre coma a lui aussi été plus long, à tel point que quand nous avons refait surface il était très tard, j’étais toujours en elle mais ne bandais plus.
Vu l’heure tardive, je me suis rhabillé très vite pour rentrer. Avant de partir je lui ai conseillé de se laver très soigneusement le sexe afin de ne pas avoir de problèmes. Avant de partir elle s’est pendu à mon cou et m’a embrassé fougueusement puis elle m’a rendu l’argent que je lui avais donné en arrivant.
- Tiens, reprends ça, c’est moi qui devrais te payer pour te remercier du plaisir que tu m’as fait connaître.
- Je passe demain après midi ?
- Oui, j’aimerais que tu me fasses tout connaître de l’amour physique.
Je suis parti très heureux, je n’avais plus une simple petite amie, j’avais une maîtresse qui promettait d’être très douée.

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