La Démoniaque Sarah 3
Nous sommes partis vers la maison, la bohémienne nous a suivis. Une fois de retours, je me suis mis à lobserver, elle se promenais dans toute la maison et regardait partout. Étrangement comme pris par un charme magique nous la laissions faire. Elle a allumé des bougies Un éclair parcourut mon regard figé dans létoffe de sa lingerie.
- Jai ma petite idée, dis-je en mapprochant delle
avant de glisser lentement ma tête entre ses jambes, en appui sur les coudes. Je la sentis subitement rougir, comme si je venais de la percer à jour. Les effluves de sa peau venaient titiller mes papilles comme un essaim dabeilles attiré par le miel. De la paume des mains, jécartai délicatement ses cuisses tandis que mon visage rampait vers son sanctuaire. Le triangle en coton qui abritait son puits de jouissance laissait entrevoir lombre de sa toison. Mes narines frémissaient sous lodeur délicieuse qui semparait delles telle une tyrannie invisible et douce. Ma bouche était désormais à quelques centimètres de sa fente, pressée de sy abandonner. La bohémienne connaissait une transe sans pareille, ses hanches ondulant comme un rituel hypnotique. Je distinguai le souffle de la jeune femme qui haletait au moindre de mes gestes.
Et lorsque ma langue humecta létoffe sur toute la longueur de sa fente, je la vis défaillir, agitée par de multiples soubresauts au niveau du ventre. Mes mains en appui sur ses cuisses percevaient les ultimes crispations dun corps qui sapprêtait à moffrir la vérité. Sa vérité, celle qui serait mienne.
Je couvris ensuite le triangle de coton dun long baiser mouillé, enfouissant mon nez au plus profond de sa chair tendre et onctueuse. Un fumet de vice hantait ce temple infernal que jimaginai être le premier à découvrir.
- Mmm, que veux-tu savoir ?
Haleta-t-elle en se mordant les lèvres.
Dun mouvement du pouce, je dégageai facilement lentrée de son antre en repoussant la lingerie sur le côté.
- Mmmm, demande, maître, et jobéis
Je continuai à honorer cet autel pendant quelques instants, laissant le bassin de la Bohémienne se positionner pour mieux profiter de mon audace. Chaque coup de langue semblait un coup de poignard directement planté dans sa colonne vertébrale, chaque caresse de mes doigts une flèche invisible en plein cur. Jétais lordonnateur dun sacrifice dont elle était la victime consentante.
Lorsque je dégageai enfin ma bouche encore pleine de son clitoris, susurrant ma question à lentrée de son orifice
- Qui suis-je ?
Ses cuisses se contractèrent tandis que je fourrais ma langue dans sa fente, et loracle me répondit.
- Mmm, tu étais Pierre un mortel sans importance, maintenant, tu es le Cinquième Prince des Abysses et Seigneur des cornus.
Sa voix avait changé, ses gestes aussi. Les ongles plantés dans mon crâne, la jeune femme ne contrôlait plus rien. Elle était comme possédée, une force surnaturelle sétait emparée delle, inondant chacun des pores de sa peau. Elle sapparentait à une marionnette dont je tirais les ficelles à ma guise, ficelles qui venaient de se briser dans ma main à sa réponse.
Abasourdi, je haussai le regard à la recherche dune sincérité dérobée, effleurant au passage les monts de ses seins, la tête nichée entre ses cuisses. Jétais tétanisé, le cur à cent à lheure cognant dans ma poitrine. Mes poils se hérissaient comme mille tentacules, mes organes croissaient à la vitesse de léclair et je sentais mes os sentrechoquer comme des billes. Javais limpression dachever une mutation commencée pendant cette folle nuit, ou même avant, précisément au moment où javais rencontré Sarah, Pris dune incroyable panique et emporté par un torrent de violence, je plantai deux doigts dans la fente de cet oracle qui massénait cette insupportable vérité.
- Raconte ! Dis-moi la vérité sur mon père, sur ces putains dabysses, sur ma putain de destinée ici !!! hurlai-je.
Je la fouillais maintenant de toute part, ma langue sactivant sur son clitoris avec délectation. Je léchais, lapais, crachais, mordais cette chair qui exigeait caresses et démence. Elle appuyait de toutes ses forces sur mon crâne, enfouissant mon visage au plus profond de ses cuisses pour mobliger à poursuivre ce rituel. Arc-boutée sur ses jambes, elle récitait sa mélopée à la manière dun chant de sirène.
- Nous sommes tes surs, Ô Lord, je suis Verba nées comme toi des entrailles de Méphistophélès, Prince démon des Ténèbres, régnant sans partage sur les plans infernaux. Ô Baal, mmmon frère de feu, produit de la lave intestine et du flot spermatique du Styx, accomplis-toi pour te repaître de tes fautes, détruis, engendre et redeviens pleinement celui que tu es pour apposer ton flambeau infernal sur cette terre. Mmmmmmmmmm Hhhh
.
Au bord de l, hagard, je finis par mextraire de la puissance de ses griffes. Le spectacle qui soffrait à moi était incroyable.
Des sexes, un cercle de fentes tout autour de moi. Je ne les avais pas entendu entrer, pourtant elles étaient la, offertes. Carnivora, Masochista, Sodomia, les cuisses écartées, assises, se livraient sans pudeur à la puissance sexuelle qui me dévorait de part en part. Un volcan grondait dans mes entrailles, la lave prête à jaillir, à libérer les accumulations de frustration que cette société terrestre mavait imposées.
Tous ces sexes, toutes ces fentes étaient miennes, je les possédais comme un jouit des jouets quon vient de lui offrir. Jy plongeai tout mon visage, ne sachant plus qui je fouillais, quel orifice mes doigts comblaient. Tout nétait que plaintes sauvages et miaulements. Mes surs maléfiques se caressaient, entrelaçaient leurs langues sans vergogne selon le même instinct primitif. Jétais le grand ordonnateur de cette immense partouze qui déchirait le ciel et sentais ma queue en battre le rythme.
Nen pouvant plus, je me redressai en hurlant, arrachant au passage le tissu de mon pantalon comme une simple feuille de papier. Mon membre furieusement dressé me guidait, me contrôlait sans commune mesure. Je voyais rouge tandis quelles criaient sexe. Désormais nu comme un ver, jempoignai Carnivora par sa tignasse et la traînai sur les genoux pour empaler sa bouche sur ma queue. Son appétit était le même que dans mes rêves les plus fou. Vorace. Carnivora me pompait à grands bruits de succion, ses yeux de braise dans les miens. Elle me suçait à fond, cognant son palais contre ma queue en gémissant pour me gratifier dune gorge profonde démentielle. Jétais au bord de lévanouissement.
- Crache, suce, baise, dévore-moi, grognai-je, pendant quelle sexécutait sans ciller, les mains crispées sur mes pectoraux.
À genoux et balayant lair de son épaisse crinière quelle ne cessait de rejeter dans son dos, elle gémissait, hoquetait, crachait, bavait sur ma queue, dégorgeant des paquets de salive à chaque mouvement. Ses joues se creusaient pour maspirer comme si elle tentait de me tirer mon dernier souffle de vie. Cette incroyable fellation était sur le point de me départir de mon humanité, jen étais persuadé.
Je réalisais maintenant combien Sarah avait été précieuse dans la révélation de mon identité. Elle mavait guidé tout au long de cette cavale sanglante en se débarrassant un à un des obstacles à laide de ses sortilèges, son cul et le souffle de sa voix opérant comme un charme ténébreux. La pipe quelle moffrait à présent sapparentait à lultime passage, la voie qui me permettait de tomber le masque et de maccomplir de nouveau. Lamour que javais voué à Sarah sétait aujourdhui transformé en une étrange dévotion. Un respect mystique qui me liait à elle pour léternité.
Jamais je navais senti une telle rage se déchaîner en moi, jamais plaisir navait envahi mon corps avec autant dintensité. Sa bouche gobait mon corps entièrement, sa langue caressait chaque muscle.
Pendant ce temps, les autres filles se léchaient, se caressaient, se doigtaient comme des folles en attendant leur tour. Toutes me scrutaient du coin de lil, impatientes dêtre prises. Cétait à celle que je baiserais la première. Je ne distinguais plus quun amas de chair et de sexe, des fentes qui soffraient, des culs et des courbes qui sentrechoquaient, des seins doù suintait une sueur brillante et onctueuse. La fièvre possédait leurs chevelures, leurs sexes hurlaient, leurs lèvres minvitaient au carnage, à partager ce festin démoniaque. Cétait lorgie, une putain dorgie !
Je sentis bientôt que jallais décharger. Alors je me retirai subitement et explosai aussitôt au visage de Carnivora qui tendait la langue, scindant son visage dun puissant geyser de foutre qui finit par inonder sa face de folle furieuse en sueur. Toujours à genoux et le torse à lhorizontale, les omoplates à quelques centimètres des chevilles, elle riait à gorge déployée, se malaxant les seins avec les élastiques de sperme qui perlaient de son menton pour coller à sa peau. Les trois jets qui suivirent sétalèrent dans ses cheveux, éclaboussèrent ses joues, noyèrent ses lèvres, emplirent sa bouche à ras bord jusquà lécurement, poussant Carnivora à déglutir, recracher, puis déglutir encore. Je ne distinguais plus rien. Mon sexe était en feu, excité par cette première explosion. Il fallait que je baise. Que je pénètre un sexe. Que jempale un orifice.
Le cur battant, je saisis la queue de cheval de Sodomia, nue elle aussi, à linstar de ses surs. Toutes sétaient délestées de leurs atours. Dun geste, je la fis saccroupir puis plantai sa tête à même le plancher, joue contre le carrelage. Les coudes en appui sur le sol et un doigt dans la bouche, elle me suppliait de la prendre, de la baiser comme jamais. Je me plaçai alors au-dessus de ses fesses rondes et fermes, humectai sa raie accueillante, et approchai ma queue lubrifiée de salive de son orifice sacré.
Carnivora crachait le sperme dont sa bouche était pleine. Cen était trop !
Alors jattirai Sodomia fis basculer son torse en la retenant par la queue de cheval et la pénétrai. Lentement, elle succombait à lexploration de son anus. Ses membres tremblaient, ses lèvres dévoraient sa peau jusquau sang. À genoux, elle gémissait sous les assauts frénétiques de ma queue qui martelait son cul à nen plus finir. Chaque coup de boutoir lui donnait limpression dêtre propulsée dans le vide, abandonnée à ce monde de haine et de violence. Carnivora, assise à côté et le visage dégoulinant de foutre, riait en insultant le monde, comme ayant perdu la tête au cours de cette baise frénétique. Sodomia succombait, les mains crispées sur le sol, la chevelure balayée par les tempêtes de vent. Je finis par décharger abondamment dans son cul, menfonçant absolument en elle, au plus profond de ses entrailles, pour déclencher chez elle lorgasme ultime qui la fit sombrer dans linconscience.
Je la dégageai ensuite et la déposai sur le plancher, tremblante, tandis que je fondais sur Masochista, la queue toujours dressée. Je la plaquai violemment contre la cloison et la décollai du sol à hauteur de hanches, avant de poser ses jambes sur mes épaules. Puis je menfonçai très vite dans sa fente, ses paumes au-dessus de sa tête, en appui sur la cloison. Chaque va-et-vient lui fracassait le crâne contre la paroi sans quelle ne me demande darrêter. Au contraire, elle me suppliait du regard de continuer, partageant ma fureur. Et, après plusieurs secondes de baise intense, je me retirai pour la laisser choir sur le sol et inonder de mon foutre la balafre qui zébrait son torse. Son corps terrassé fut agité de multiples secousses qui décuplèrent lorgasme né dans son ventre et venait dexploser comme une bombe nucléaire. Masochista était anéantie. Repue. Les bras en croix, allongée sur le sol, les jambes repliées et le torse suintant de ma semence, elle me regardait en pleurant. Des larmes de plaisir dévalaient la pente de ses joues en remerciement.
Restait la dernière des surs à assouvir. Verba. À genoux, les mains sur les cuisses, elle parlait dans une autre langue, possédée. Son timbre de voix était insupportable. Il me rendait fou, comme si elle mavait lancé un sortilège inépuisable porteur de cette vigueur folle. En sueur, les cheveux en bataille et les muscles saillants, je me précipitai sur elle comme un fauve, saisissant au passage le string qui reposait à ses pieds. Dun geste brusque, je le lui fourrai dans la bouche et plaçai ma queue dans sa poitrine. Les yeux dans les miens, elle comprima ses seins pour en faire un parfait fourreau pour ma queue dans lequel je vins mastiquer en grognant, la traitant de tous les noms. Je me branlai violemment dans sa poitrine, mon membre venant cogner contre son menton à chaque va-et-vient. Lélastique de son string chargé de bave pendouillait sur son menton, collé par la salive.
Un flot immense éclata dans son cou pour sécouler entre ses seins. Je marrêtai alors subitement et un dernier soubresaut libéra un jet compact qui sétala sur sa peau. Jen profitai pour libérer ma queue de son emprise et barbouillai ses mamelons de sperme chaud et suintant. Une cascade de semence glissait sur son nombril pour rejoindre sa toison humide.
Toutes étaient désormais à genoux, comme les fidèles quelles étaient devenues. Prosternées devant mon sexe dressé, battant comme jamais, elles lembrassaient à pleine bouche, recueillaient les filets de sperme qui perlaient, lastiquaient doucement pour en faire dégorger le nectar, lui parlaient. Et pour la première fois de ma vie jétais debout. Debout après cette baise de forcené.
- Maître, ne gâche pas ta semence avec nous, tu es ici sur terre pour faire revenir nos frères, nous tavons étudié, surveillé. Maintenant, notre choix est fait, nous te rendons tous tes pouvoirs magiques. Tu es sur terre pour permettre à nos frères et surs de revenir. Nuse pas ta semence avec des femmes stériles et sous contraceptif. Sers-toi de ton don pour trouver celles qui sont en pleine ovulation.
Quand une femme ovulera,
Tu la trouveras et tu banderas,
Elle te vénéreras
Tu la pénétreras
Et la combleras.
De ta semence en elle en neuf semaines un de nos frères revivra.
Très vite Il grandira
Et rapidement il procréera.
Après mavoir confié ce secret elles ont toutes disparues. Javais déjà entendu un truc comme ça, cétait ce que mavait confié Sarah il y a quelques temps. Maintenant jen avais la preuve.
A suivre
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