Trixie Chap 17 - En Avion

Alfred m'avait accompagné sur un tournage, nous rentrions chez lui en avion. J'avais compris qu' après cette expérience, il était maintenant prêt à satisfaire tous mes caprices...mêmes ceux qui lui semblaient extravagants !
La production s'était débrouillée pour préparer une fête que devait donner un comte Roumain dans un château des Carpates. C'était elle qui organisait, le comte avait assuré que l'orgie battrait son plein !Robert le Directeur comptait bien tirer une super vidéo, ou bien sûr je serai la vedette.
Il avait indiqué au comte Richard, qu'il inviterait une super blonde et son vieux protecteur, mais que celle-ci se plierait à tous ses caprices. Nous nous envolèrent donc tous pour le château roumain, situé au cœur de la montagne. Toutes les pièces, des sombres caves voutées aux galetas avaient été truffées de caméras et de micros.
Le comte Richard nous accueilli, il nous conduisit dans vaste salon, avec des fauteuils moelleux, nous priant de nous asseoir, il nous fit servir du champagne. C'était un homme jeune, élégant, pour une fois beau, il était complétement chauve. Je me dis que ce serait peut être agréable de se faire baiser. Il ne me quittait pas des yeux. J'avais mis un tailleur noir, dont la veste largement échancrée laissait entrcevoir mes mamelons lorsque je me penchais. La jupe moulante dessinais le contour des attaches tendues de mon porte-jarretelle. Je ne portais bien sûr pas de string. Lorsque je m'installais, je fis bien attention que ma jupe remonte jusqu'aux limites des bas. Les yeux du comte se portèrent sans aucune retenue sur la bande de peau découverte. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres lorsque j'ouvris les jambes, pour lui offrir la vue de mon sexe épilé.
Albert et moi furent installés dans une luxueuse chambre. J'avais été prévenu que le tournage commençait dès notre arrivée, pour avoir le plus de « rushs » possibles pour le montage final. Je prévins donc Alfred que nos ébats risquaient d'être filmés.

Il n'en fut que plus émoustillé, je lui indiquais aussi que je risquais de me faire « violer » ou légèrement « maltraiter » mais que c'était pour les besoins du scénario qui en fait n'en était pas un...
« Comme ce que tu as voulu qu'on te fasse avec Jules ?
- Oui, mais parfois c'est encore plus hard !
- Oh lala, Trixie tu me fais bander... »
Il sorti sa bite, son regard cherchant les cameras. Un grand miroir trônait sur le mur pas très éloigné du lit. Un petit bar se trouvait juste en dessous. Le sexe en érection, Alfred se dirigea vers le bar. Il se regarda dans la glace, prit une bouteille deux verres, et revint vers moi.
« Tu sais, me dit-il doucement, c'est un miroir sans tain. Le comte doit nous observer...! J'étais au courant pour le film, mon ami m'avait prévenu, mais il m'a demandé de ne pas intervenir quoique tu subisses. Et comme je sais que tu es une grand coquine, je me suis permis d'amener quelques ustensiles...!! On pourrait en faire profiter sa seigneurie !»
Il posa une valise sur le lit et sorti trois cordelettes, un gros godemiché en plastique dur avec plein de petites boursouflures avec un petit manche terminé par un anneau.
« J'ai demandé à mon copain ce que tu aimais, et il m'a confirmé ce que j'avais remarqué, tu adores qu'on s'occupe de des tétons...et les petites boules du gode, lors de l'anniversaire de Jules c'est toi qui m'a fait acheter le même, petite salope...! Allez déshabille toi …! »
Je restais sans voix, Alfred avait bien caché son jeu. Mais excitée par le miroir sans tain, j'ôtais sensuellement ma veste et ma jupe en face de la glace.
Alfred qui se calottait et décalottait la bite, me dit de garder mon porte jarretelle et mes bas. Et de venir m'asseoir du côté du lit face au miroir. Il m'attacha les deux poignets avec une cordelette.
Puis il me fit mettre à genoux sur le lit, dos au miroir, il écarta doucement les lèvres de ma chatte, faisant jaillir mon clitoris, qu'il titilla doucement.
Cela me tira un gémissement. Je sentais qu'a travers le miroir, le regard du comte fouillait mon sexe, et je commençais à mouiller. Alfred me mit de trois quart face au voyeur, puis il enfila doucement sa queue dans ma chatte humide. Et commença de lents va et vient.
« Alors, petite salope, tu commence a mouiller, tu l'aimes la bite du vieux...!! Putain, tu coules ! Je vais te faire jouir !
- Oh bon Dieu, Albert ouiiii, c'est bon... »
Puis d'un seul coup, il ôta sa queue, je senti du foutre couler de mon vagin, le comte devait s'apercevoir de mon état.
« Noooonnnn; noooonn, Albert n'arrête pas ! Continue, encore, encore...
- Ah, tu veux jouir, salope ? Mais oui tu jouiras, mais de douleur !! »
Disant cela, il me retourna sur le dos la chatte offerte aux yeux du comte. Prenant le godemiché; il l'enfonça dans ma chatte trempée, le faisant tourner pour bien le faire pénétrer, le ressortant pour mieux l'enfoncer. Je regardais à travers le miroir sans tain espérant que mon regard accrocherait celui du comte. Mes tétons étaient déjà en érection, mais Alfred se mit à les sucer avec vigueur, je compris ce qu'il voulait faire, je gémis de plaisir. Une fois qu'il fut satisfait de la taille de mes mamelons, il prit la cordelette la plus fine, la fit passer autour du manche du godemiché et noua les deux extrémités à chacun de mes tétons durs comme du fer. Lorsqu'il serra les nœuds, un cri de plaisir s'échappa de ma bouche. Puis il fit passer la dernière corde dans l'anneau et il commença a tirer sur la corde des deux mains.
«Stop, stop... Aaaaahhhhh, Aaaahhhh ça fait mal, je disais cela plus pour exciter le comte car en fait je raffolais de ce genre d'exercice et Albert en était conscient.
- Tu aimes ça, hein petite salope, dit-il en entrant et sortant le godemiché plusieurs fois »
Il tirait de plus en vite sur la cordelette, la douleur irradiait mes mamelons. Il se branlait en même temps, je sentais le foutre couler à flot de mon vagin, je me tortillais dans tous les sens, espérant que le comte ne perdait pas une miette du spectacle.
Au niveau cinématographique, Le metteur en scène, avait lui une bonne entrée en matière.
« OUUIIIII, OUIIIII, comme ça continue Albert....AAAAAHHHHH.......!!
- Mmmmm, je vais, je vais.....
- Ahhhhh, ahhhh je pars !!
- Moi aussi je joui....et il éjacula sur mon ventre en tirant fortement sur la ficelle »
Je criais de douleur et cela déclencha mon orgasme, jouant mon rôle a la perfection, me sachant filmée et observée j'en rajoutais un peu...
Alfred me délia le bout des seins, me les suçant et les embrassant tendrement. Puis il enleva le godemiché et avec un sourire éclatant, il se tourna vers le miroir sans tain, et lécha doucement avec délice mon liquide séminal qui l'imprégnait.
« Délicieux, fit-il le regard plein de malice. »
L'heure du diner arriva, on vint nous chercher. Une grande table remplie de convives occupait le centre d'une vaste salle.
« Approchez, ma chère, me dit-le comte me séparant d'Alfred et me proposant un siège à côté de lui. Alfred, vous nous avez gâté, dit-il avec un large sourire »
Je compris qu'il n'avait pas perdu une miette du spectacle que nous lui avions offert. Sous la table sa main, me remonta aussitôt la robe jusqu'au haut des cuisses, me demandant de garder les jambes ouvertes. Il sorti sa queue et me m'ordonna de le caresser. Je passais la totalité du repas avec trois doigts du comte dans le vagin, et a le branler en faisant attention de ne pas le faire éjaculer. La nourriture fut excellente, des plaisanteries de toutes sortes, arrosées de vins capiteux, échauffèrent la soirée.
Au moment de servir les digestifs, un domestique s'approcha de moi, il me dénuda les seins en baissant les bretelles de ma robe, me caressant les mamelons, faisant rouler les pointes durcies entre le pouce et l'index..
« Monsieur le Comte Richard, désire voir les seins de ses invitées. »
Les autres filles de la tablée en firent autant. La soirée ne faisait que commencer ! Les hommes sortirent leurs bites, je du les sucer les uns après les autres, j'avalais pas mal de sperme en guise de digestif.
Des femmes se mirent de la partie et me demandèrent de sucer leurs chattes. J'étais à genoux devant une fille rousse, lorsqu'un noir avec une bite énorme, me releva la robe avec une cravache. Il me caressa la chatte du bout de l'instrument de cuir, me dégageant le clitoris, qu'il titilla.
« Sodomise là, ordonna le comte »
Le noir s'assit sur une chaise, m'attrapa à la hauteur du porte jarretelle et me fit asseoir de force sur son énorme queue qui me pénétra d'un seul coup. Le Comte en face de nous me regardait m'empaler sur le sexe tendu. Je le fixais langoureusement, en passant doucement ma langue sur mes lèvres. J'écartais au maximum les jambes et me masturbais doucement le clitoris. Le noir ne fut ne fut pas long a éjaculer. Puis, le maître des lieux m'arrachant presque de la grosse bite noire, me fit mettre de dos les mains appuyées sur la chaise, il enfila avec rage sa bite dans ma chatte trempée, il me mit trois doigts dans l'anus après quelques rapides et violentes pénétrations lui aussi éjacula très rapidement.
« Alors, salope, tu préfères quelles bites ? Celle d'un vieux ou les nôtres ? Mais tu ne perds rien pour attendre... »
Je cherchais alors Albert des yeux, je l'aperçu dans un coin, roulant des yeux effarés en me regardant...ce qui ne l'empêchait pas de se faire sucer par une jolie brune. Je lui souris et lui fis un
clin d'œil pour lui montrer que tout allait bien...
La soirée ne se termina qu'au petit matin. Alfred et moi ne réintégrèrent notre chambre qu'au premières lueurs de l'aube, épuisés...
Le lendemain Robert me régla ma prestation, un joli chèque. Et nous amena a l'aéroport. Nous avions environ deux heures et demi de vol. Le producteur nous avait pris des places dans un Falcon 900 LCX, il pouvait se le permettre, avec tout le fric que le film allait lui rapporter !
Ce genre d'appareil luxueux avait été aménagé et ne comportait pas de siège, mais seulement une large cabine ou deux banquettes moelleuses se faisaient face. Nous n'étions que cinq passagers, alors que la capacité totale était de dix personnes. J'étais la seule femme. Je pris place en face d'un gros arabe, il était laid avec sa moustache et ses yeux chafouins. Il était vêtu d'une djellaba blanche par dessus laquelle il portait une longue tunique noire, largement ouverte sur son ventre proéminent. Une keffieh blanche ceinte de noir, complétait son habillement. Alfred se mit en à côté de lui.
L'avion s'envola.
« Je vais visionner quelques scènes du film, me dit Alfred, Robert m'en a copiées plusieurs, celle ou tu te fais baiser par les deux noirs monstrueux…je me la repasse en boucle!! »
Il tira un ordinateur portable de son sac et commença à visionner. Au bout d'un court instant cela attira les regards de son voisin, qui se mit à regarder lui aussi ce qui se passait sur l'écran. Alfred lui sourit.
« Elle est vraiment belle, hein !! »
Le gros arabe leva les yeux, me regarda, je lui souris...Il réalisa que c'était moi qui était sur le film.
Il en resta béat de stupeur. Ses yeux faisaient des aller et retour de l'écran sur moi. De voir le désir et l'envie qui se peignaient sur son visage basané, cela me fit malgré moi croiser et décroiser mes jambes plusieurs fois, pour faire remonter ma jupe. J'aimais aguicher les hommes, même s'ils étaient disgracieux, du moment que le désir se lisait dans leurs yeux. La manœuvre réussi à la perfection, celle-ci remonta plus haut que les attaches de mon port-jarretelle. Je ne portais pas de string, et imperceptiblement j'écartais les jambes pour lui le laisser deviner, son regard se fixa sur mon entrejambe. Alfred c'était aperçu de mon petit jeu. Il me souriait, de sa main droite derrière l'ordinateur il me montrait son sexe, et ses yeux avec un imperceptible mouvement de tête me désignaient le poussah assis à ses côtés. Je regardais, effectivement sous la djellaba une bosse grossissait entre ses jambes, il était devait être nu sous son vêtement.
Il regarda encore, dix minutes le film, discrètement, je déboutonnais largement mon chemisier. Il se leva, quitta sa tunique noire. Fouilla dans une petite mallette. Sa queue tendait maintenant le mince tissu de la djellaba qui était fendue assez haut sur les côtés. Il traversa l'allée et vint s'asseoir à coté de moi, une épaisse liasse de billets à la main, il la déposa sur mon siège.
« Vous êtes vraiment très, très belle mademoiselle...Je suis l'émir Youssef, du Qatar »
En me disant cela, il fit glisser entre ses jambes le pan de son vêtement. Une cuisse velue se dénuda, il me semblait que sa bite devenait de plus en plus grosse. Il se mit à la caresser sans aucune gène, à travers le tissu. Alléchée par ce qu'il avait posé à mes côtés, je me penchais pour saisir la liasse. La manœuvre lui offrit la vue d'un sein par l'entrebâillement de mon corsage. Je jetais un coup d'œil aux deux autres passagers, ils avaient leurs regards braqués sur nous, attendant la suite...
Ayant compris que je ne serai pas réticente, puisque j'avais ramassé l'argent, sa grosse main velue, se faufila par l'ouverture du chemisier et se plaqua sur le haut de mon sein. Il commença une lente descente vers mon mamelon. Je tendis la poitrine en avant. Cela commençait à m'exciter, je plaquais mon dos au dossier et avançais mes fesses, ce qui eut pour effet de faire remonter complètement ma robe jusqu'à mon pubis et découvrit la moitié de ma fente. J'écartais les jambes pour la découvrir entièrement. Mes lèvres épilées se séparèrent légèrement, et il put voir le rose de l'intérieur de ma vulve, en plus cette main qui ne voulait pas atteindre le bout de mon téton...ça m'énervait !!
Enfin, il me l'attrapa en son pouce et son index et le tordis, je poussais un gémissement de plaisir.
Les deux autres hommes s'étaient rapprochés, leurs bites à l'air, ils étaient assis à côté d'Albert et fixaient mon sexe béant qui commençait à mouiller pas mal, ils se masturbaient.
Je mis ma main sur la jambe de mon voisin et la remontais lentement le long de sa cuisse poilue, je la passais sous le vêtement et saisis sa bite, j'écartais le tissu et elle jaillit d'un seul coup turgescente, il était circoncis. Il avait un gland énorme...presque violet.
Sa main gauche se plaqua sur mon sexe.
« Tu mouilles, salope, me dit-il »
Il regarda d'un air de défit les deux hommes qui se branlaient en face de nous. Et lentement, il enfonça son index, son majeur et son annulaire entre mes lèvres. Ses doigts étaient gros et longs, j'avançais le bassin pour bien les enfoncer. Et commençais a onduler lentement. Je sentis ses lèvres sucer mes tétons durcis à tour de rôle. Mes aréoles étaient gonflées, couvertes de petits points saillants. Sa bouche se plaqua contre la mienne et il m'embrassa goulument.
Puis il guida ma tête vers sa bite. Ma langue fit le tour de son gland, le léchant sous toutes les coutures, je le mordillais doucement, mais ne l'avalais pas, comme pour lui rendre la pareille pour le temps qu'il avait mis à me triturer le téton. Il gémissait, je saisis le bout entre mes lèvres et d'un long mouvement d'aspiration j'engloutis doucement toute sa queue, elle n'était pas tellement longue, mais très dure et très raide. Je mouillais de plus en plus, je voulais la sentir dans ma chatte. Pendant que je le suçais, il quitta sa djellaba. Il était vraiment très gros. Des poignets d'amour sur les hanches. Il me demanda de venir m'asseoir sur ses cuisses, ce que je fis sans tarder, ayant hâte de me faire pénétrer, j'en profitais pour quitter ma jupe. Il avait ouvert mon chemisier. Assise sur lui, je frottais la pointe de mes seins sur son torse graisseux. Il aspira entièrement mes aréoles, cela me fit frissonner. Il me saisit par les poignets, puis me fit basculer vers l'arrière la tête touchant le sol, les cuisses largement ouvertes. Tenant sa queue d'une main, il commença à me caresser le clitoris.
Il me pénétra un tout petit peu avec son énorme gland, puis il me le frotta tout le long de ma fente qui ruisselait, de nouveau me caressa le petit bouton qui était devenu dur comme du bois. On aurait dit qu'il voulait le faire entrer dans la fente du méat de sa verge. Il recommença encore et encore, je croyais que j'allais devenir folle s'il ne me pénétrait pas...
« Dis donc je t'excite on dirait !
- Prends moi, prends moi...le suppliais-je »
La tête à l'envers, je voyais les deux autres hommes, se masturber, l'un d'eux éjacula...
Je senti le gland de l'émir entrer un petit peu plus loin, il me saisit alors les mains et me releva, il s'enfonça d'un seul coup. Il me plaqua contre son torse velu, les pointes de mes seins frottaient sur ses poils, j'avais toujours adoré cette sensation.
« Vas-y ! dit Alfred »
Je sentis tout à coup deux mains me saisir à hauteur du porte jarretelle, l'autre homme écoutant les conseils du vieil Alfred voulait lui aussi profiter de cette aubaine. Je sentis qu'il positionnait sa queue sur mon orifice anal. Je stoppais un court instant mes soubresauts pour lui permettre de me pénétrer, il cala ses va et vient sur ceux de l'arabe. Ils me besognèrent longtemps, me tirant des râles de plaisir. J'entendis celui qui me sodomisait respirer plus vite, commencer à trembler. Il jouit avec un cri de plaisir et se retira aussitôt. Je frottais doucement d'une main les couilles de l'émir, poisseuses du sperme qui s'écoulait de mon anus. Cette caresse le fit exploser, je sentis ses longs jets tièdes envahir mon utérus, mes parois vaginales se contractèrent et moi aussi j'explosais de jouissance. J'étais toujours empalée sur le sexe de l'arabe lorsque je vis Alfred s'approcher, il se masturbait lui aussi.
« Trixie n'oublie pas ton vieux patron, dit-il en approchant sa bite de ma bouche »
Je la lui pris entre mes lèvres, il éjacula, j'aspirai son sperme comme on tête, il cria d'extase.
Le temps de reprendre nos esprits, nous étions arrivés. A la maison, Alfred me dit alors que nous prenions un verre après le diner.
« Tu sais, si tu partais maintenant je serai extrêmement malheureux !
- Ne t'inquiète pas ce n'est pas pour demain...
- J'adore te voir jouer dans les vidéos...tu me devrais me raconter tes expériences avec les mecs, et je ferai un bouquin.... Je n'ai pas idée des gens que tu as pus rencontrer...Comme aujourd'hui dans l 'avion.
- Oui, par exemple, si tu étais une de ces personnes, que ferais-tu avec cette bouteille ? Tu me la mettrais dans la chatte ? Eh bien qu'attends-tu ? Lui dis-je entrouvrant mon peignoir et écartant les jambes.
- Tu rigoles !! Trop facile, je vais te la mettre dans le cul...
- Mmmmuuummmm....par le goulot, et approche que je te suce pendant que tu me la mets ! »
C'est ainsi que l'affaire fut conclue. Après cet intermède, Albert prit une petite cloche et la fit tinter. Un homme en livrée de majordome sortit de la cuisine.
« Trixie je te présente Victor, je l'ai embauché dernièrement. Victor voici mademoiselle Trixie, il faudra lui obéir aussi bien que si c'était moi qui vous donnais les ordres »
Il avait ça dit ça avec un énorme sourire, cela devait cacher quelque chose ! L'homme était à peu près du même âge qu'Alfred. Il était ridé, chauve sur le dessus, des cheveux blancs sur les côtés, très class et très guindé dans son costume noir au gilet rayé de jaune et sa chemise blanche, un nœud papillon complétait le personnage. J'eus l'impression qu'il me regardait avec des yeux gourmands et malicieux. Il avait du regarder par le trou de la serrure...une bosse déformait son pantalon noir.

A suivre...

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