Dévotion Et Sexe Partagé

Ma sexualité « conjugale » a, peu à peu, quitté les horizons du plaisir pour rejoindre celui du « faire plaisir ». J’aime beaucoup mon mari et me soumets sans restriction à ses rituels amoureux. Je mets tout mon savoir-faire dans les caresses. Je lèche et suce sa petite queue avec application, le branle itou, caresse ses tétons et son dos et laisse aller mes mains entre ses fesses lorsque je le sens s’écarteler. Puis vient le temps de la prise d’armes en position du missionnaire et je l’aide autant que je peux. Mais, voilà, depuis la naissance des jumeaux je suis un peu large et nos sensations ne sont plus aussi toniques que jadis. Souvent mes doigts entrent en son cul pour l’aider à jouir. Dans un râle, il se laisse aller et, à peine rassasié, quitte le champ de bataille sans se rendre compte qu’il me laisse là, frustrée et en demande. Je n’ose pas me masturber alors pour ne pas l’humilier et reste ainsi insatisfaite. Pourtant, notre vie familiale et sociale est épanouie et il sait être à l’écoute partout… sauf au lit…

Évangélique convaincue et fervente, je lui pardonne totalement son manque d’écoute et me réfugie souvent dans les prières collectives au sein de ma communauté. Au temple, je danse et chante avec une foi telle que je sens mon corps entier entrer en transes. Certes, je le manifeste aussi discrètement que possible mais, à chaque fois, je sens une fraicheur humide sourdre à l’entrée de mon sexe. Souvent, mon corps entier vibre au son de la musique en une gestuelle aussi désordonnée qu’envoûtante. J’évite tout geste trop lascif mais ce semi contrôle renforce encore mon plaisir cérébral. Mon bas ventre se tétanise. Mes fesses se crispent et mon cul s’embrase. Mes seins lourds durcissent et se tendent. Je sens tout mon corps vibrer en rythme et s’enflammer de l’intérieur. Autour de moi, les autres acteurs occupés à leurs propres sensations ne semblent rien remarquer. C’est ainsi que chaque semaine Dieu m’octroie ce que mon mari ne peut me donner : le plaisir physique et mental jusqu’à l’orgasme ou presque…

Depuis peu, est arrivé parmi nous un jeune pasteur qui ne laisse pas les femmes de la communauté indifférentes.

Grand blond longiligne, élégant, doté d’étonnants yeux clairs d’un bleu presque mauve, il a tout pour plaire. J’entends mes consœurs glousser lorsqu’il leur parle. J’apprécie, moi aussi, son étonnante beauté mais ne me sens pas particulièrement attiré par lui. Pourtant, à la fin de chaque office, il n’oublie jamais de venir me dire quelques mots. Pilier de la communauté, il m’a demandé de participer au conseil ecclésial et, cooptée par ses membres, j’y suis entrée avec plaisir. Je me propose souvent pour aider au ménage, à la décoration du temple, à la préparation des fêtes rituelles. Je le rencontre donc de plus en plus souvent et ne me suis nullement étonnée de le voir, à l’issue de l’office, me demander de rester un moment sous un prétexte futile.

« J’aime te voir à chaque cérémonie totalement possédée par Dieu » me dit-il à brule pourpoint en me saisissant par la main. « Mais tu dois souffrir à réfréner tes ardeurs et à ne pas exprimer jusqu’au bout ton plaisir ». Je crois qu’à ce moment je suis devenue incandescente. Ma culotte humide est témoin d’une honte que je ressens plus qu’à l’habitude. Il m’entraine alors à l’intérieur du temple dont il ferme la porte à clef. En un tour de main il me pousse vers la scène, me dénude totalement, entre un CD dans la chaine stéréo et m’ordonne : « chante et danse, s’il-te-plaît ! ». Je me plie à son désir, mais tétanisée par la sensation de commettre une profanation, j’ose à peine bouger et donner de la voix. Il m’ordonne d’une voix peu amène : « Laisse-toi aller. Fais la salope pour ton Dieu bienaimé jusqu’au bout. Ne sois plus hypocrite. Il sait bien que tu ne viens ici que pour jouir ! ». Mon émotion est à son comble et mon chant chevrotant prend peu à peu de la force. Mon corps nu se contorsionne jusqu’à l’obscène. Il vibre comme soumis à des courants électriques. Je m’écartèle pour mieux m’exhiber et le plaisir monte en moi. Mes cuisses sont trempées de cyprine. Mon ventre et mon cul me semblent en feu. Mes seins durcis sont douloureux à force de ballotter violemment.
Un filet de bave sort de ma bouche. Je ne sais si je suis la pute de Dieu ou la soumise de ce jeune clerc dont le regard est devenu inquiétant de violence contenue.

Lorsque la musique s’arrête, il se précipite pour éclairer mon esprit, me prend dans ses bras, se colle à moi. Puis, après s’être déshabillé, commence à me caresser. Sa longue et fine queue dressée attire mon regard. Mes fesses, mes seins sont étrillés, puis mes grottes et trous sont scientifiquement visités de ses doigts gavés de la cyprine de mon entrecuisse et de ma salive. Je les tète puis écarte mes jambes pour leur faciliter l’accès à mon intimité. Plus je suis servile et ouverte, plus le jeune clerc pousse son avantage et me laboure sans vergogne. Mon cœur cogne et ses palpitations emplissent mes oreilles. J’ai chaud, je brule et me consume. Il m’agenouille devant la croix au bord de la scène, appuie sur mon dos pour me mettre à quatre pattes et en descend. Il murmure : « Seul ton mari devant Dieu a le droit de t’inséminer. Je vais donc entrer par le trou du diable. » Et là je sens son gland se présenter à la porte de mon cul et sa queue me pénétrer violemment et profondément. Je pousse un cri de douleur et de plaisir. Il me ramone sans aucune douceur pendant de longues minutes tout en agitant ses doigts sur mon clitoris. J’ai l’impression qu’il me transperce de part en part tandis que mon clito n’a jamais autant durci. Puis, soudain, je le sens s’arrêter, tressauter en moi et m’emplir de son foutre chaud. Petit moment de calme, puis il recommence à m’éperonner et à s’agiter entre mes grandes lèvres. Je jouis alors en un long et puissant cri de plaisir remerciant Dieu de tout ce bonheur.

A partir de ce moment, volontaire pour l’entretien régulier du temple, je m’agite toutes portes fermées deux matins par semaine. Ces jours-là, à peine arrivée, je me défais de tous mes vêtements et prie nue, face contre terre. Pour mon service, je revêts un minuscule tablier qui me déguise, à peu de frais, en servante (de Dieu) lubrique.
Je mets un disque de musique liturgique, de gospel, et nettoie tout en dansant. J’aime le petit tissu qui volète au moindre courant d’air, au moindre mouvement, en dévoilant mon sexe. Je me sens plus exhibée avec lui que sans. Très vite j’ai eu l’envie de m’épiler le sexe pour ajouter à la sensation de fraicheur sur mon bas ventre. Je sais qu’en milieu de matinée, le pasteur va me rejoindre. Aussi, je caresse mon con, recueille la cyprine et en enduit l’entrée de mon cul. Je sais qu’il va me prendre sans douceur ni préliminaires et envahir sauvagement mes viscères. Par contre, il prend toujours le temps de stimuler mon vagin et mon clito de ses doigts et ne s’arrête qu’en entendant mon plaisir. Un beau jour, après avoir fini « sa petite affaire » il s’est laissé aller à essayer d’entrer sa main dans ma chatte pour vérifier si, comme je le lui ai dit, je suis « un peu trop large ». Sa main fine est entrée en moi en forçant assez douloureusement le passage malgré la cyprine et son avant-bras s’est enfoncé un peu. Un hoquet d’émotion m’a violemment secouée. Lors de mes accouchements, j’avais connu des dilatations bien pires et la souffrance qui va avec. Très vite j’ai commencé à ressentir bien plus positivement cette main douce. Puis il a commencé à bouger tout doucement en rythme. Mon corps tout entier a connu de nouveaux spasmes de plus en plus forts. Il m’a amené à un orgasme vaginal d’une grande violence. Encore une fois, le jeune pasteur m’avait envahie et je me sentais lui appartenir physiquement complétement, « organiquement » même. Mon corps n’est plus mien ; il est à Dieu et à la disposition de son ministre.

Mais Dieu est parfois exigeant, et son pasteur aussi. Ce dernier, incapable de se contenter de ce que je lui donnais en a demandé plus. Un beau jour, je me suis installée dans son logement de fonction, abandonnant ma famille et lui faisant partager ma disgrâce et ma honte vis-à-vis de la communauté. Insatiable, le clerc exigea que mes seins, mon ventre et mes fesses soient toujours découverts pour qu’il puisse atteindre mon intimité sans préalable en toute circonstance.
Je passai donc l’hiver en courte pèlerine et sabots et l’été nue, parfois avec le petit tablier de travail. Au tout début, je me rhabillais pour les visiteurs et ne voyais venir que des dames assez hostiles. Lorsque je finis par rester nue, le pasteur vit arriver des hordes de fidèles hommes plus intéressés par mon anatomie que par la parole de Dieu. Leurs regards torves, en dessous, provoquent chez moi un profond trouble. J’imagine chacun en train d’explorer mes abysses de leurs mains et de leurs queues raidies. Je deviens rouge en face d’eux, bafouille, sent sourdre l’humidité à mon entrejambe. J’essaie de m’enfuir et suis rattrapée par une demande qui m’oblige à rester. Mon amant prend un malin plaisir à me laisser seule avec eux, longtemps, comme s’il voulait me mettre à l’épreuve.

Devant cet incroyable succès, il comprend que mon corps est l’instrument de sa réussite apostolique. Il commence à m’envoyer chez l’un ou l’autre pour apporter du réconfort. Inutile de dire que ce fut le début de ma vocation prostitutionnelle. Dès l’entrée dans les maisons, je me vois arracher ma frêle vêture et utilisée comme vide-couilles par les hommes et comme souffre-douleur par les femmes. Plus d’une fois, j’ai été prise en double et ai été la vedette de gang bangs. J’ai souvent hurlé de plaisir en pareille circonstance. Des objets hétéroclites ont été enfoncés dans ma chatte et mon cul par des mégères en chaleur. Je me suis soumise à toutes leurs volontés en écartant mes fesses ou mes cuisses pour aider à l’outrage. Lorsque je fais les courses, nul ne se gêne pour me trousser et me tripoter dans les magasins. Et moi, comme une vraie salope, je finis par aimer être ainsi tourmentée. Pire encore, je montre mon plaisir en mille contorsions et autres bruits de gorge. Je suis l’attraction qui attire le croyant au temple et fait rentrer l’argent. Mon amant m’y exhibe maintenant dans d’étroites robes transparentes et m’interdit les sous-vêtements. Mes tétons tendent la toile, mes seins lourds brandillent, obscènes, à chaque mouvement. Mon sexe toujours glabre et la raie de mes fesses sont bien plus exposés que si j’étais nue. Lors des chants et des danses, les hommes se collent à moi et me caressent. Je suis devenue la pute de la communauté et j’aime, organiquement, terriblement ça ! Le plaisir est mon but et mon cerveau n’est plus aux commandes.

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