La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°207)

Histoire écrite par Scarlett : ''Scarlett au Château'' (suite de l'épisode précédent) -

Mon dépucelage :

— Sais tu combien j’ai envie de toi, ma belle Scarlett? Me murmure-t-il.

J'arrête de respirer. Il caresse ma joue et s’attarde ensuite sur ma nuque.

— As-tu une quelconque idée de ce que je vais te faire, ce soir?

Au sanctuaire de mon ventre, des muscles se contractent, de manière exquise. Cette sensation à la limite de la douleur est si vivace, si délicieuse, que je fermerais les yeux si les siens n'étaient pas plongés dans les miens. Il pose des baisers légers, doux sur mes joues, mon menton, mes lèvres, la naissance de mes seins. Il m'embrasse. Ses lèvres sont exigeantes, fermes, strictes, obligeantes, absorbantes. Elles épousent parfaitement les miennes. Lentement, il recule pour me regarder, seins nus.

—Scarlett, tu as la plus belle peau du cheptel, si blanche qu’on la croirait transparente, si douce et si parfaite.

Je rougis. Pourquoi ne me fait-il pas encore l’amour ? Je m’impatiente. Il me semble qu'il est très doué pour ça. Il relève ma chevelure, joue de Sa langue sur ma nuque. C’est frustrant. Puis, laisse tomber mes cheveux en cascade de boucles sur mon dos nu.

— J'aime les belles femmes, chuchote-t-il en passant les deux mains dans mes cheveux.

Il passe deux mèches derrière mes oreilles ce qui illumine mon visage. Il m’embrasse de plus belle. Son baiser est dominant, presque plus que son regard. Je gémis. Il m'enlace et m'attire contre sa poitrine. Me sentir dans ses bras est la plus belle sensation que j’ai ressentie aujourd’hui. Une main glisse le long de mon dos et s’attarde sur les fossettes que j’ai à la naissance du fessier, puis sur mes fesses, qu'il malaxe brutalement en me pressant contre son torse; il frotte sensuellement son érection contre mon ventre. J'arrive à peine à dompter les sensations débridées et rebelles qui se déchaînent furieusement dans mon corps tant je le désire et tant il m’aura frustrée.

Timidement, je caresse son visage puis je caresse ses cheveux, sa nuque et j’embrasse encore une fois son cou. Il gémit. Il me fait avancer vers le lit jusqu’à ce que je le sente contre mes mollets. Je crois qu'il va me pousser dessus, mais il me lâche, et me fait allonger dans son lit, tendrement. Je me rends compte de l’honneur qu’il me fait, en me faisant partager ses draps couleur taupe, qui vont si bien avec la décoration de la chambre de mon Maître. Il sourit en me détaillant, allongée maladroitement, sur son lit.

— Tu es très belle, Scarlett. J'ai hâte d'être en toi.

Quel séducteur! Quels yeux! Quels mots! J'en ai le souffle coupé.

— Caresse toi. (Je ne réagis pas) … Ne sois pas timide. Montre-moi, m’ordonne-t-il, le regard rassurant.

(Je secoue la tête) — Je ne vous comprends pas.

Ma voix est éraillée par l’envie, le refoulement du désir.

— Comment te fais-tu jouir ? Je veux te voir t’apporter du plaisir.

(Je secoue encore une fois la tête) — Je n'ai jamais fait ça Maître.

Son regard s'assombrit. Il a l’air fortement étonné. Il hausse les sourcils d’ailleurs et écarquille les yeux.

— Bon, on va remédier à tout ça, ma belle.

Sa voix rauque me lance un magnifique défi érotique, que je relève du regard. Il défait les boutons de son pantalon et le baisse, en me scrutant encore de ses yeux fort intimidants. Puis, Il m’att par les chevilles, il ouvre mes jambes d'un coup sec, avant de se positionner entre mes jambes, qu’il caresse vicieusement. Je me tortille dans tous les sens.

— Ne bouge pas, exige-t-il avant de caresser puis claquer l'intérieur de ma cuisse en remontant jusqu'à la fine dentelle de ma culotte.

Il m’est impossible de rester immobile.

— Il va falloir que tu apprennes à te tenir tranquille, Scarlett. Gronde-t-il.

Il parsème ma poitrine de baisers, puis m’embrasse, me lèche, me mordille les tétons.
Je dois virer au magenta, de timidité, de pudeur, j'ai chaud, j'ai froid, je m'agrippe aux draps. Il s'allonge à côté de moi. Il me regarde, impassible, et prend douloureusement mon sein dans sa main. Sa main passe à mon autre sein et répète l'opération. Mes seins prennent du volume, mes tétons se dressent indécemment sous son regard azur. Il fait vicieusement rouler les pointes de mes tétons sous ses pouces, ce qui les allonge encore plus. Je gémis, j’ai mal. Cette nouvelle sensation me jusqu'à l'entrejambes. Je suis trempée, je le sens. Je suis à deux doigts d’avoir des spasmes.

— Pitié Maitre ! Je m'agrippe aux draps quand ses pouces et ses index se referment sur mes tétons, d’un coup et fermement.
— Voyons à quel point tu es résistante, murmure-t-il en poursuivant sa taquinerie de mes sens.

Mes tétons subissent l’assaut délicieux de ses doigts intrépides et ses lèvres habiles. Il est impitoyable. Mes nerfs s'embrasent; mon corps se tord sous ce supplice que lui seul a le pouvoir de m’imposer.

— S'il vous plaît...
Je l'implore, impuissante, gémissante, jambes écartées et tendues
— Laisse-toi faire, fais-moi confiance.

Son pouce et son index tirent sur un téton, très fort. Enfin, le plaisir explose, je sens mon ventre éclater en mille et un morceaux. Il m'embrasse profondément, langoureusement, sans retenue et il bâillonne mes cris. Il me prend dans ses bras et je pose ma tête sur son torse. Il me regarde comme satisfait; je le regarde avec gratitude et émerveillement.

— Tu es très sensible, souffle-t-il. Mais je vais devoir t’apprendre à te contrôler, tu n’auras pas toujours le droit de jouir. Une soumise ne jouit jamais sans l’autorisation de son Maître.

Je hoche la tête en émergeant de ce fabuleux orgasme. Sa main s'empare de mon intimité. Il me palpe violemment le sexe à travers la dentelle de ma culotte sous laquelle son majeur s'insinue et glisse lentement le long des lèvres.
Il me taquine le clitoris et me fait découvrir une sensation que j’ignorais. Il écarte encore mes jambes et reprend la de mon clitoris. Je dois rester immobile. Cependant, par réflexe, je plie les jambes pour atténuer la douleur. Je gémis.

— Tais toi ! Tends les jambes et écarte les encore plus. Tu es parfaitement mouillée. Tu as follement envie non ? Cela tombe à pique, c’est réciproque.

Il pince mon clitoris. Il enfonce son doigt en moi, je pousse un petit cri.

— Silence !

Il répète son geste plusieurs fois, puis je le sens presser sa paume contre mon clitoris et je crie encore. Il retire son doigt et me claque le bas ventre, certainement pour me dire que j’étais désobéissante. Il replace son doigt en moi et entame des vas et viens de plus en plus fort. Je geins. C'est plus fort que moi. Tout d'un coup, il s'assied, m'arrache ma culotte et la jette par terre. Puis m’installe en travers de ses genoux. Il me caresse les fesses. C’est agréable. Une première fessée s’abat sur ma fesse gauche et je crie autant de douleur que de surprise quand je sens sa paume épouser la courbure de ma fesse.

— Je t’ai exigé de te taire. Tu as désobéi. Tu seras la première pucelle que je punirai. Tu n’as pas le droit de crier, ou geindre comme un animal en furie, en ma présence, même si tu souffres.

Il alterne fessées et caresses et fait durer l’affliction un très long moment. Je ne laisse pas échapper un son. Je ne veux en aucun cas qu’il soit déçu ou en colère contre moi. Il caresse ma fente.

— Tu vois quand tu veux. Tu peux te taire. Tu es encore plus mouillée. On dirait que tu aimes la fessée.
(J'adore la fessée. Encore !)

Il m’allonge sur le dos. Il libère son érection. Bon sang, quelle grosse bîte ! Il se place entre mes jambes en les écartant encore plus. Non... Tout ça en moi? Comment ? Et je ne peux pas crier en plus.

— N'aie pas peur, souffle-t-il en apercevant mon regard apeuré.
Ton vagin s’élargit.

Il me caresse les cheveux, joue avec mes boucles cuivrées, appuie une main de chaque côté de l’oreiller de manière à être bien au-dessus de moi, le regard brûlant.

— Et maintenant, je vais vous baiser, mademoiselle la pucelle, m’annonce-il, … Ta majorité légale et ta totale soumission envers Moi m’autorise à cela.

Ouf, enfin… Il positionne son sexe à l'entrée de ma vulve et bestialement, il s'enfonce en moi.

— Aïe !

Quand il perce mon hymen, je hurle en sentant une indescriptible douleur bien au fond de mon ventre. Il me scrute d'un oeil triomphant.

— Chut ! Je sais que ça fait mal. Mais tu vas voir aussi comme c’est bon …

Je hoche la tête, les yeux fermés, les mains agrippées aux draps en coton d’Egypte. Je me sens comblée même si j’ai très mal. Il reste immobile pour me laisser le temps de m'habi à cette exclusivité.

— Je vais te pilonner maintenant affirme-t-il, la voix grave.

Il ressort avec une vitesse exquise. Je me retiens de pousser un deuxième cri, et je grimace de plaisir quand il entame une série de mouvements plus affirmés adroitement douloureux en moi mais paradoxalement délicieux.

— Encore ? questionne-t-il, la voix rauque.
— Oui. Oui Maitre.

Il s'accoude alors pour que je sente le poids de son corps sur le mien qui me cloue sur place. D'abord il rentre et ressort en douceur. Je m'habitue à cette sensation douloureuse que ces mouvements provoquent et mon bassin cherche timidement à se coller au sien. Il accélère, me baise de plus en plus fort, sans merci, à un rythme acharné, tenace, dur, presque cruel. Je soutiens la cadence, je vais à la rencontre de ses coups de reins, amèrement succulents, délicieusement douloureux. Il se déplace un peu et je sens quelque chose qui monte du plus profond de moi, comme la première fois. Je commence à me raidir tandis qu'il continue à me remplir sans trêve. Mon corps frémit, tremble. Je ferme les yeux. Je ne savais pas que ce serait comme ça. Mes pensées se dispersent… Je cherche à penser à autre chose, je ne dois pas jouir, je suis une soumise, je n’ai pas le droit. Je ne veux pas le décevoir. Je ne veux pas désobéir.

— Jouis pour moi, Scarlett

Il me permet enfin d’aller jusqu’au bout. Je jouis dans un orgasme puissant et la sensation est plus profonde que tout à l’heure. Une déferlante. Je me retiens de crier et quelques larmes coulent sur mes joues. Quand Il jouit à son tour, il crie mon nom en poussant de plus en plus fort et Il déverse sa semence en moi. Puis il ouvre les yeux pour me contempler. Il essuie mes larmes. Il est toujours en moi. Il m'embrasse sur le front et se retire lentement. Aïe. Aïe. Aïe. Cette sensation m'a arraché une grimace, qui a du me défigurer.

— Je t'ai fait trop mal ? me demande mon Maître en s'accoudant à côté de moi.

Il cale une mèche de mes cheveux derrière mon oreille et redessine la boucle au bout avec son doigt. Je lui souris.

— Maître, Vous vous souciez de m’avoir fait mal ?
— Arrête tes sarcasmes, dit-il avec un sourire narquois. Non, sérieusement, ça va ? C’est ta première fois quand même.

Il a le regard intense, inquisiteur, exigeant, dur. Je m'allonge sur le coté en position de fœtus, j’ai les os aussi durs qu’un morceau de flan. Cependant, je me sens bien. Je souris. Je ne peux pas m’arrêter de sourire. Deux orgasmes. Je suis lessivée, exténuée. Je n'imaginais pas ce dont mon corps était capable, je ne savais pas que je pourrais jouir si violemment. C'est indescriptible. J’espère qu’il est content de moi.

—Tu ne m'as pas répondu, et ça aussi c’est interdit ! dit-il l’air dur.

Je lui souris malicieusement. Il est sublime avec ses yeux bleus brûlants et son air d’aristocrate.

— J'ai envie de recommencer encore et encore Maître. Dis-je timidement en collant ma tête contre son torse, pendant que nos jambes s’emmêlent et ses bras m’enlacent ....

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