Ma Place Au Sein De La Famille

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Mon téléphone sonne, je me précipite dessus car cela fait des jours que je suis en manque de vous. La joie m’étreint en voyant « Madame » sur l’écran s’afficher.

- Oui madame, que puis-je pour vous ?
- Ramène ta gueule de gouine demain matin !!!
- Bien madame !

Et vous raccrochez sans aucune explication ni consignes. Ce qui d’ailleurs me mets dans une angoisse folle, car il ne faut pas que je fasse une faute de gout au niveau vestimentaire sinon ma belle soirée en perspective risque de tourner au désastre, ou sinon cela signifie que c’est vous qui m’habillerez.

J’appelle donc mon chef pour poser mon vendredi, à force il va être de moins en moins conciliant que je le prévienne à la dernière minute à chaque fois, et puis je vais manquer de jours de congé à force.

- Il faudra que j’en parle avec maitresse pour trouver une solution !!!! au pire je lui taillerai une pipe de temps en temps !! non mais ça va pas !!!

Je pars dans un fou rire, mais l’idée fait son chemin et ça serait assez excitant d’être la salope du patron. J’en parlerai à maitresse c’est sur maintenant. Apres mon coup de fil au boss, je file donc me préparer pour mon lendemain. Madame veut que je sois parfaite donc je me fais une inspection rigoureuse pour éliminer le moindre poil, le moindre bouton et la moindre rougeur.

J’aime ce moment où je me prépare, pas seulement pour la finalité de la chose, mais par plaisir. Le mien et le votre. Je sais que vous allez me regarder sous toutes les coutures, j’aime cette intrusion dans mon intimité, le fait que rien ne peux vous être caché. Et je prends un grand soin de mon corps car je sais qu’il vous plait. Que mêmes les zones les moins agréables seront observées, léchées et pénétrées, je dois penser également au nettoyage intérieur.
Enfin prête, je file directement me coucher pour avoir le teint frais, mais le sommeil comme d’habitude a du mal à venir, mon cerveau ne cesse d’imaginer des tas et des tas de possibilité.

Ma chatte ruisselle, et ma frustration augmente, avec mon interdiction de me soulager, je n’en serais encore une fois que plus réceptive et demandeuse pour madame.

Debout très tôt, je grignote vite fait et me revêts de lingerie sexy, un tanga en dentelle avec son soutien assorti, un pantalon moulant noir, et un chemisier blanc légèrement échancré. Une tenue sage mais très implicite qui montre correctement mes formes.

Je sonne, vous m’ordonnez d’entrée et de vous rejoindre dans la cuisine. Vous m’expliquez le programme.

- Aujourd’hui nous t’emmenons avec nous à une congrégation viticole. Michel doit y rencontrer beaucoup de personnes et doit faire une très bonne impression, donc tu devras être parfaite dans tout ce qu’on te demandera.
- Bien madame.
- Tu seras officiellement la nounou, enfin la bonne à tout faire ! ça te convient mieux comme terme
- Comme il vous plaira, madame.
- Déshabille toi que je vois ce que tu as dessous.

Je me retrouve donc en sous vêtement dans la cuisine. Vous avez l’air satisfaite de mes choix. Vous m’ordonnez de rester ainsi pendant que vous allez vous préparez. Au passage vous me glisser un doigt dans la chatte, vous le humer ensuite et me dites que vous raffolez de mon odeur. Et vous partez en souriant en léchant votre doigt recouvert de mes secrétions.

La matinée se passe, je prépare le déjeuner lorsque vous descendez enfin prête pour l’après midi. Vous vous approchez de moi et me glisser encore un doigt et m’embrasser amoureusement. Ensuite me glisser délicatement à l’oreille que vous vous êtes masturbée en pensant à moi, et que la fin de soirée sera douloureusement agréable si vous êtes satisfaite. Et vous redonnez une fois de plus votre doigt à lécher à votre , tout en me regardant.

Le repas passé, Michel arrive. Je me rhabille et nous partons tous ensemble.
Il y a plein de stand de dégustation, nous faisons le tour, Michel parfois parle affaire avec certain viticulteur, quand à vous madame vous pavanez devant les dames de ces négociants, vous croisez certaines de vos amies.

Les heures et les coupes de champagnes s’écoulant, les conversations de madame sont de plus en plus grivoises. Vous en venez même à parler de moi, que vous avez trouvé une perle, qui accepte tout. Une fierté m’envahie et me comble, voilà ce à quoi je suis destinée. J’aime voir et entendre cela de votre bouche, et je continuerai à entretenir ceci.
Vos convives doutant de vos dires vous me demandez d’approcher :

- Elleana !! viens là !!
- Oui madame.
- Trouves Michel et dit lui que je veux que tu le suces et complètement !
- Bien madame.

Et me voila parti chercher Michel pour le sucer dans un coin du salon.
A mon retour, vos amis ne sont pas convaincu et penses que c’est un coup monté.

- bon Elleana, ces dames étant sceptiques tu vas aller au toilette des hommes, tu te mets dans la dernière cabine et tu suces tous ceux qui rentrent pendant la prochaine demi heure. Nous guetterons devant la porte.
- Bien madame.

Je file donc me mettre en place. J’attends 5 minutes avant que la porte ne s’ouvre, un vieux type tout bedonnant rentre et sort son engin minuscule et flasque pour se soulager. J’attends qu’il finisse pour lui demander s’il veut que je lui nettoie sa bite. D’abord surpris, il se jette sur moi en me demandant combien c’est. Pour seule réponse je tends la main vers sa verge et ouvre la bouche. J’enfile dont ce petit asticot dans ma bouche, je tête fort pour ne pas qu’il retombe car il ne rempli vraiment rien de ma bouche. Son odeur d’urine et forte mais je m’applique à ma tache, et je commence à le sentir grossir. Ses proportions sont tout de même minime, mais mon but n’est pas mon plaisir mais plus le votre et le sien. En deux minutes le pauvre se décharge, son gout est acre et je me dépêche d’avaler. Il me félicite sur mes talents de suceuse et me veut savoir s je baise aussi bien, je suis obligé de lui répondre que oui mais qu’à l’heure actuelle il ne connaitra que cela, et qu’il faut laisser la place aux autres maintenant.


- tu fais ça à tout le monde ?
- oui, je reste là une demi-heure. Une fois rassasiée je m’en irais.
- Ok suces moi encore alors !!
- Non place aux autres, monsieur soyez bon seigneur.
- Suce encore et je fais passer le message qu’une salope suce aux chiottes.

Personne d’autres n’étant rentré je décide donc de continuer avec lui. Je reprends donc en bouche son sexe, qui cette fois mettra plus longtemps à grossir et à venir, avec toujours le même gout. Pendant cette pipe un autre homme plutôt pas mal fit son entrée, entendant les bruits du vieux porc, il passa la tête et se dernier lui dit d’attendre et que se sera son tour après. Le gros remballe son machin et me dit qu’il va tenir promesse. Satisfaite le beau jeune homme est resté et me demande si ça va. Je lui réponds que oui et que je suis là pour lui nettoyer le sexe s’il le désire. Il s’approche et déballe une belle bête déjà bien bandée. Je l’enfourne et m’applique. Son gout est bon et m’aide à faire passer celui du précédent. Il me caresse doucement les cheveux en me disant des mots doux. Puis sentant son excitation monté, sa caresse devient plus ferme et il m’impose la cadence. Ses mots doux deviennent plus crus. Pour au final me faire baiser la bouche sous les insultes. Il va loin, des larmes coulent, mon maquillage est ruiné, il me gifle, me crache au visage et m’insulte de tous les noms. Ma chatte ruisselle. Il se retire pour éjaculer sur ma gueule de pute, mais j’ai le temps de prendre son jet en bouche et de me remettre sa bite au fond de la gorge. Il me remercie gentiment, ce contraste me déstabilise, tant de violence et tant de gentillesse me rappelle mon ancien propriétaire. Il me laisse sa carte en disant :

- tu mérites mieux que de sucer dans les toilettes des vieux porcs. Si ce que je t’ai donné t’intéresse appelle-moi, tu pourras sucer dans des salons de luxe des hommes bien plus distingués.

Se retourne puis s’en va. En sortant il laisse rentrer cinq bonhommes dont mon vieux porc.


- venez!! elle est encore là la salope, elle va tous nous pomper le dard. Et en plus elle avale !!!

Je me retrouve donc très vite encerclée par ces sexes de toutes formes et toutes odeurs. Je m’applique au mieux, j’en suce trois à chaque fois par alternance mais je ne vais pas assez vite, car ceux qui attendent on le temps de se remettre en forme pour revenir se faire sucer une seconde fois. Je n’en peux plus, j’ai mal à la mâchoire mais surtout j’ai une folle envie de me faire prendre. Et lorsque l’un deux me donne 15 €uros pour me baiser, je suis à deux doigts d’accepter. Mais Michel rentre dans les toilettes et somme tout le monde de finir et de rejoindre ses activités. Et quant à moi il me dit d’aller me remaquiller dans les toilettes des femmes.
Je retourne ensuite vers madame, dont ses amies sont impressionnées mais ne comprennent pas pourquoi je suis à votre service ainsi.

- Nathalie, bon que tu es une putain pour ton mari on comprend mais qu’elle est l’intérêt pour toi ?
- Cette putain comme tu dis est une gouine comme jamais j’en ai rencontré et même vous, vous n’êtes pas à la hauteur de ce qu’elle fait.
- Mais bien sur !!
- Vous verrez vous entendrez parler de ses prouesses, car je me ferais un plaisir de la prêter à celles qui en valent la peine, n’est ce pas Elleana ?
- Oui madame, à qui vous voulez !!
- D’ailleurs, je vous laisse, tout ce champagne m’as donné envie de pisser et ce petit scénario m’as fait mouillé, Elleana vient avec moi tu vas me nettoyer la chatte.
- Avec plaisir madame !!!

En allant vers les toilettes, je donne la carte de visite du bel homme. Vous me souriez et me dites :

- très bien. cela fait un bout de temps que je rêve d’entrée dans son cercle privé mais il nous snobe constamment avec Michel. Grace à toi je vais avoir une petite vengeance et tu me donnes de plus en plus de pouvoir et de notoriété à notre famille. Je me félicite de t’avoir pour soumise, tu es un bon investissement.

Vous entrez dans une cabine et laissez la porte ouverte pour que je voie votre jet sortir de vous.

- ouah ça fait du bien !!! avec toutes les coupes que j’ai bu je suis sur que je pisse du champagne. Allez au boulot et tu me diras si c’est le cas.


Vous vous levez, vous retournez et vous cambrez pour me laisser accès à votre chatte. Je me précipite toute langue sortie pour ne pas laisser tomber la moindre goutte. Effectivement votre gout est assimilé au breuvage de votre après midi. Je passe méticuleusement ma langue entre vos lèvres pour recueillir le restant de votre urine, puis je lèche délicatement vos levres pour en essuyer les éventuellement gouttes. Puis je remonte convenablement de votre bouton vers votre anus. J’enfonce ma langue profondément dans votre cavité vaginale pour bien tout récupérer et par réflexes je fais de même avec votre petit conduit. Je vous entends gémir de plaisir, et je continue donc mon inspection précise dans vos deux orifices. Je sens votre main me caresser les cheveux. Je m’enhardie et saisi vos fesses de chaque mains pour les écarter et me permettre d’enfoncer ma langue encore plus profondement, lorsque soudain :

- putain connasse, tu devais me nettoyer pas m’exciter, j’ai envie de me faire enculer maintenant.
- T’as deux minutes pour aller chercher Michel sinon ça va barder !!!!
- Pardon madame, je pensais que …..
- Dépêches toi connasse !!!
- Oui madame


Et je file en courant chercher Michel. Vous en profitez pour lui envoyer un message pour qu’il se cache de moi. Et donc au bout du temps qu’il mettait imparti je reviens bredouille vers vous.

- madame, je suis désolé je n’ai pas trouvé monsieur, mais pour compenser j’ai ramené une bouteille vide pour satisfaire madame
- non mais tu me prends pour qui espèce de truie, une vulgaire nymphomane qui se care n’importe quoi dans le cul ? ça c’est bon pour toi !!!! d’ailleurs vas-y mets la toi !!!
- oui madame
- et ne jouie pas, si moi je ne peux pas jouir alors tu n’es pas prêt de l’être et puis ce soir attends toi à être punie pour m’avoir frustrée à ce point.

Je pose donc la bouteille au sol, retire ma culotte et m’assoie dessus. Pour ne pas augmenter votre colère, je fais au plus vite, et cela me fait très mal mais je refuse de vous le montrer. Je pense mettre abimé l’anus. Je fais quelques allers-retours jusqu’à ce que les sensations soient plus agréables. Vous m’appuyer sur les épaules pour que j’arrête mes mouvements et surtout pour me faire descendre de plus en plus bas. L’élargissement de la bouteille après le passage du goulot, me donne la sensation de me faire déchirer en deux, des larmes coulent, votre regard est noir de colère, j’ai honte de vous avoir fait cela. Vous me laissez ainsi de longue seconde pour relâcher enfin la pression.

- Remets-toi en état et rejoins-moi dehors !
- Bien madame.

Le reste de la journée se passent sans que vous ne vous intéressiez à moi. Je ne suis plus que la nounou. Ce qui me chagrine au plus au point mais j’accepte mon sort car tout cela est de ma faute. Vous augmentez tout de même ma peine en me faisant comprendre que je vais être frustrée un bout de temps. Lorsque nous rejoignons Michel vous lui demandez de vous enculez dans un coin. Nous cherchons donc un endroit dans une cave derrière des tonneaux. Je dois faire le guet avec le petit pendant que je vous entends jouir.

Vous m’avez placé de façon que je voie plus ou moins ce qui se passe et surtout que j’entende votre plaisir et vos dires. Vous remontez votre jupe baissez à moitié votre string, Michel lui baisse le tout, vous att les hanches et dirige son sexe vers votre chatte.

- non mimi, encule-moi direct, cette raclure m’a déjà préparé ! et puis on n’a pas le temps alors fait moi jouir et vite mon chéri.

Il s’enfonce donc directement et vigoureusement dans votre séant, on ressent tout le bien que cela vous procure dans vos gémissements. Je mouille de vous entendre ainsi mais je souffre lorsque vous dites :

- heureusement que tu es là mon chéri, cette pute ne peut pas me satisfaire comme toi !!! vas-y !!!
- oui ma chérie, t’es bonne !!! elle n’est rien a coté de toi !!!
- Je jouiiiiiis, putain que c’est bon d’avoir ta bite en moi mon amour. mais éjacule sur le tonneau s’il te plait, je ne voudrais pas sentir le sperme comme elle tout la journée !!!


Une fois votre affaire terminée, vous passez à coté de moi et me dites d’un ton sec :

- nettoie le sexe de mimi et lèche son sperme. Il ne doit pas rester de traces !!!!
- bien madame.

Je me retourne donc et m’accroupi devant monsieur pour nettoyer son magnifique sexe, plein de vos sécrétions diverses. Je reconnais avec plaisir, l’odeur et le gout agréable et inimitable de votre cul, ainsi que celui du sexe de Michel. Une fois cela effectué, je me retourne et lèche le tonneau pour récupérer le sperme. Le gout est appréciable mais la texture du bois n’est pas des plus agréables. Comme toute bonne à tout faire, je vérifie que mon travail est correctement fait puis je pars rejoindre mes maitres pour m’occuper de leur progéniture durant leur mondanité.

Ma réputation a du déjà bien faire le tour, vu les différents regards portés sur moi. Voyant cela vous profitez de la situation pour augmenter votre notoriété dans cette société et assoir un peu plus votre domination sur moi. J’entends des brides de négociations dont je dois surement être la marchandise ou du moins un atout. Je trempe ma culotte de plus belle en pensant que vous allez me vendre ainsi pour votre profit personnel. Je suis au bord de la jouissance tellement cela me plait. Je vais subir moult perversion pour que vous puissiez avoir ce que vous désirez. Et cela me comble de bonheur de pouvoir vous apportez cela. Et puis je mérite d’être traitée ainsi vu que je suis votre chose, votre objet, votre pute. C’est ce que je suis et je suis satisfaite que vous me traitiez enfin comme tel. Je vous aime madame.

Je vous vois pavaner avec vos amies réclamant votre savoir faire et demandant ce qu’il vous ferait plaisir pour bénéficier de votre bonne ; Michel lui négocie contrat sur contrat tout en me jetant des regards en coin, je l’entends juste dire que les clauses particulières seront à négocier avec vous.

Nous rentrons assez tard, et pendant le trajet vous me félicitez car je vous ai apporté plus que vous n’espériez mais que je serais tout de même punie pour l’incident de toute a l’heure même si la pénitence sera allégée. Vous me parlez également que nous sommes convier prochainement chez monsieur de Segonzac (le beau jeune homme des toilettes), et que je devrais être parfaite sans aucune fausse note.

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