Le Plaisir De La Bisexualité

Le plaisir de la bisexualité.

La vie offre parfois de belles histoires, des rappels aux temps passé...
Pour moi, mon histoire commence en 1982, pour un rappel plus de 30 ans plus tard.
J’allai avoir 22 ans : sportif mais pas trop, bon vivant, une petite amie : même si je savais déjà qu’on ne finirai pas notre vie ensemble, sexuellement on s’amusai bien, mais pas assez à mon gout.
Ce fut cette année ou j’ai découvert les plaisirs de la bi sexualité.
Cette année-là, j’étais au chômage, la boite d’intérim où j’étais inscrit me trouva une mission dans une entreprise de peinture.
Cela consistait à refaire entièrement une grande maison, une dizaines de pièces, sur 2 étages, couloirs et escaliers, la difficulté étais que le plafond ce trouvais à 3.80cm, c’était une maison ancienne, qui a été rasé depuis pour faire place à une grande surface.
Nous étions 2 sur le chantier, moi et marc, que je devais aider.
Marc, 35 ans, 1m90, filiforme, sympa, mais très exigeant.
Le premier contact fut assez cool.
Les premiers jours furent difficiles, tout préparer : le vieux papier à enlever, laver les vieilles peintures, les poncer, préparer les murs, etc.… fastidieux, long...
Mais passons aux choses sérieuses :
La deuxième semaine on attaquait le premières étages, un grand escabeau en bois, marc en haut et moi en bas.
Marc plaçait les lé en haut, moi je les maintenais en bas.
Nous nous tenions tous les deux face au murs, son bassin ce trouvais à hauteur de ma nuque, enfin son bassin parfois c’étais son sexe que je sentais à l’arrière de mon crane.
Je n’avais jamais été attiré par les mecs et ce contact m’énervait un peu.
je n’ai jamais su si c’était volontaire.
Au début j’avançais la tête afin de l’éviter mais au fil du temps, je me suis pris au jeu et je n’avançai plus la tête bien au contraire, je recherchais presque ce contact, c’étais devenu comme un challenge, le faire bander.


Mais parfois il faut faire un choix soit continuer a s’amuser sans aller plus loin, soit…….
Mon choix était fais, le jeudi je me décidais à franchir le pas :
Je le laissais venir, il ne fut pas long à se coller à mon crane, j’appuyais le mouvement, je sentais son sexe durcir, prendre du volume, ma respiration s’emballais, j’entendais mon cœur battre très fort dans ma poitrine, je prie mon courage à 2 mains, et je me tournais sans le regarder, les yeux fixé sur sa braguette, pour garder le courage de le faire sans doute.
Je fit tomber le pantalon, le slip, je me retrouvais devant sa bite, tendu, je la saisie d’une main tremblante et commençai à le caresser doucement, les yeux toujours fixe, je me lançais.
je commençai à le branler doucement, en me rapprochant lentement, un coup de langue maladroit, je le léchais comme je l’aurai fait avec un glace, puis je l’ai prise en bouche, elle était chaude, douce, je lui caressais les couilles, c’étais très agréable, je le sentais réagir, respirer plus fort, la main posée sur ma tête, il m’encourageais, je léchais, suçai maintenant avec plus d‘assurance, de frénésie, comme si j’avais déjà fais cela. Une choses était sure, j’aimais sucer, la sensation est fantastique, une sensation de plaisir, de pouvoir, d’emprise sur celui que l’on suce.
il éjacula sur mon visage dans un râle de plaisir, je ne m’arrêtais pas pour autant, le gout du sperme mêlé a la salive, j’adore, je lui ai rendu son instrument propre, en plein débandade dommage, sans un mots je suis parti dans la salle de bain, me laver, me regarder dans le miroir, j’avais du sperme jusqu’au cheveux, je me mis a rire nerveusement, mais j’étais heureux de l’avoir fait.
Nous nous sommes retrouver quelques instants plus tard, dans la cuisine, pour manger avant de nous remettre au boulot.
Toujours sans un mots, curieusement je ne ressentais aucune gène, s’il avais fallu recommencer à l’instant j’étais partant...
Mais patience…

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