Lettre À Mon Amante

Tu sais, ma chérie, tu me manques. Je t'ai montré l'autre jour, dans ta chambre ce que je faisais avec ma queue dans la main. Tu étais étonné de me voir branler la queue dure à cause de toi. Tu ne pensais jamais que je me faisais souvent jouir ainsi en pensant à ton corps.
Ma main allait et venait sur ma tige. Ton regard suivait les mouvements.Tu ne savais pas que les hommes se font du bien seuls. Je t'ai à toucher ta chatte devant moi : il suffisait d' écarter à peine des jambes pour que tu te touche comme moi.
Tu a touché ton con, en me regardant dans les yeux comme un défit. Je sais que tu y a pris du plaisir surtout quand tu a enfoncé deux doigts dans le sexe. Tu refusais de le reconnaître et pourtant j'ai vu tes spasmes : ton vagin se fermait et s'ouvrait sans cesse sous ta fourrure.
Ensuite nous avons fait l'amour comme tu aimes. Tu as pris ma queue dans ta main, tu l'as secoué comme pour la vider. Tes lèvres ont prit la bite, l'ont fait dér entre elles. Je regardais comment ta langue venait aussi lécher en même temps.
Tu t'es tournée sur moi pour me donner ton petit bouton, celui qui demande toujours des câlins que je ne refuse jamais à cause de formidable goût qu'il a, que ton con a.
Je t'ai quitté, pas pour toujours, je le devais et pour toi et pour moi. Tu ne comprends pas encore. Avec toi je suis prisonnier de mes sens et des tiens. Tu aime trop baiser. Tu sais bien baiser. Tu savais le faire avant notre rencontre. Avec moi tu as appris qu'un mec normal se masturbe souvent. Je t'ai surtout appris à te branler sans honte devant moi. Tu le feras devant ton futur amant j'en suis sur.
Je suis seul dans cette ville nouvelle, j'écris mon isolement. Je me branle aussi devant la feuille de papier. Je sens ma queue frémir dans ma main, je sens le lait de mon corps arriver vers le gland. Bientôt je jaillirais longuement sur le ventre. Oui, je suis nu accoudé sur la table où j'ai posé ta photo, celle où te as posé nue, les jambes écartées pour bien montrer la chatte mouillée.


Un vague copain a vu ta photo. Il m'a demandé si je te baisais. Que répondre à cette question idiote. Biens sur que je te baise. Bien sur que TU me baise.
Tu te souviens de notre première fois. Tu était nue sur ton lit, tu attendais que je bande comme il faut, alors que ma pine était presque trop enflée. Ta main a prit la bite, l'a tenu pour la diriger vers ton cul, pas ton con pour la première fois. Non ton cul d'abord. Il méritait mon mandrin que ton devant. C'est pourtant lui que je voulais. Tu as bien jouis cette première fois en te faisant sodomiser.
Je me souviens de mon orgasme. Ma pine était entouré de ton anus serré. Je sentais tes plaisirs se succéder pendant que j'allais et venais dans ton ventre. C'est tes mouvements qui m'ont fait t'accompagner.
Tiens, ma main va plus vite sur mon engin. Je le sens, le sperme monte de plus en plus. Ça y est, je gicle.
Si tu étais à coté, ta bouche serait sur moi. Ta main tiendrait mes couilles. L'autre irait comme d'habitude sur mon anus qui s'ouvrirait devant le plaisir que tu me donnerais. Des fois moi aussi j'enfonce un doigt dans l'anus. Je le fais aller et venir comme tu te le fais.
Que feras tu en me lisant. Je suis sur que toi aussi tu te caresseras la cramouille. J'aimerais voir tes doigts, tes mains sur ton corps. Tu te mettras nue, une main sur les seins, au début, puis elle descendra sur le ventre d'abord ta fourrure avant de se glisser là où ça te fais du bien. Ton autre main tireras sur tes lèvres pour les écarter et faire sortir encore plus ton petit bouton.
Tu mettras trois doigts collés entre eux pour les passer sur le bout bandé de ton clitoris. Je sais qu'en moins de 5 minutes tout ton corps se tendra dans le plaisir que te donne. Même si tu t'en défends, je sais que tu te branle souvent quand je ne suis pas là, comme un vraie salope que tu es devenue. Tu penses à ce que font mes lèvres ouvertes quand elles aspirent ton petit bout de chair. Si j'aime te lécher, tu aimes quand ma langue lèche ton con odorant.

Je suis couché au bord du lit, tu viens me prendre dans ta bouche. Je regarde tes lèvres aspirer le gland. J'aime le voir disparaître lentement dans ta bouche. J'adore te voir le recracher, comme dégoûtée, avant de le reprendre.
Je ne regrette pas du tout que nous sommes en 69, toi sur moi qui dirige la danse. Je sens tes cheveux sur le bas ventre et les cuisses. J'aime quand je sens ton liquide couler sur ma bouche. Et toi tu aime que je jouis dans ta bouche, que je te noie presque à cause de l'abondance de mon jus, que tes lèvres en sont encore pleines quand tu me lâche. J'aime te sucer en mettant deux doigts dans ton cul tendu. J'aime le voir quand tu jouis.

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