La Colline Du Bonheur

Je suis d’un naturel réservé et pourtant ma vie a changé en une journée, a dix neuf ans je travaille comme serveur dans un petit resto de la ville, tous les matins je vais faire un footing sur la colline dans un petit sentier qui sent bon les pins, ce matin là je trottine allégrement quand soudain j’entends une voix aigue ou plutôt des plaintes stridentes, intrigué je m’arrête pour définir d’où proviennent ces clameurs, c’est juste là derrière ces fougères a seulement quelques mètres du chemin, ces gémissements vont croissants et rapprochés, en silence je m’approche pour découvrir un homme et une femme de la trentaine allongés a même le sol, la femme qui me fait face est dépoitraillée le soutient gorge baissé et se tient les seins a pleines mains pour éviter sans doute des secousses douloureuses car elle chevauche un homme qui la fait rebondir sur lui virilement, j’ai le temps d’apercevoir la queue luisante qui sort et entre de la chatte brune a une vitesse prodigieuse
Soudain nos regards se croisent, elle ne bronche pas et continue de s’acharner sur son amant, puis elle ouvre la bouche très grande mais bizarrement aucun son n’en sort, ses yeux chavirent et sa jouissance explose sans retenue, son visage reste très beau comme le reste de son corps a demi dénudé, dans la seconde qui suit son compagnon se crispe lui aussi, a son expression il doit laisser jaillir sa semence dans le corps de la femme qui s’affale sur lui, je préfère les laisser finir en paix et repars très troublé, tellement troublé que je suis obligé de m’arrêter cent mètres plus loin pour me masturber, les yeux fermés je revois le visage de cette femme déformé par l’orgasme , je n’ai jamais éjaculé aussi loin …
Cette rencontre fortuite m’a obsédé toute la journée, le soir pour le service mon patron m’a même demandé si j’étais tombé amoureux !

- Julien reprend toi, tu es dans les vapes aujourd’hui, elle est belle au moins ?
- Très belle patron …excusez moi je vais me reprendre
- Tient, accueille cette femme qui vient d’entrer, fait là assoir a la vingt deux elle sera plus tranquille

Mon dieu ….

Cette femme c’est la belle du sous- bois, elle est seule ? va-elle me reconnaitre ?

- Bonsoir madame, un couvert ?
- Oui … mais … on se connait ???
- Heuu je ne crois pas …
- Je suis sûre que si …ça va me revenir, cette table là me convient très bien j’ai envie de tranquillité ce soir

Pendant mon service elle n’arrête pas de me dévisager tout comme moi je regarde ses cuisses qui se dénudent de plus en plus, soudain son visage s’illumine pour devenir gêné et je dois desservir sa table…

- Ça y est je me souviens ou je vous ai vu...
- Ha ?
- Ne faite pas l’innocent, ce matin vous n’étiez pas sur la colline ? je reconnaitrais vos yeux entre mille
- Si, j’avoue et je m’excuse si j’ai troublé vos ébats
- Ne vous excusez surtout pas, je peux vous parler franchement ?
- Bien sûr...
- Grâce à vous j’ai découvert que j’étais exhibitionniste
- Ha bon ?
- Si vous n’étiez pas arrivé je n’aurais surement pas jouis, comme d’habitude….
- Excusez moi je dois continuer mon service
- Je peux vous parler après votre travail ?
- Je quitte a onze heures
- Ha... ça fait long tant pis ce sera pour une autre fois, je crois que votre patron fait les gros yeux

Effectivement mon patron me fait signe de venir le voir, aieee !

- Julien c’est elle ?
- Qui elle ?
- Cette femme qui t’obsède depuis ce matin pardi !
- Je ne la connais pas excusez moi elle va partir je dois lui apporter l’addition
- Elle va partir ? et tu va la laisser filer ? je connais les gonzesses celle-ci tu n’as qu’a te baisser pour la cueillir elle est dingue de toi
- Mais non voyons vous vous faites des idées…
- Aller file il ne reste plus que quelques clients je finirais seul
- Bien patron, merci !

Je file au vestiaire me changer elle sort juste de la salle je cours derrière elle

- Madame ! Madame !
- Ha c’est vous !
- Je peux vous accompagner un bout de chemin ?
- Oui mais pas en pleine ville on peut me reconnaitre, j’ai envie de m’expliquer sur mon comportement
- Allons sur le port c’est tranquille
- Bien, tenez moi par la taille j’ai un peu frais

Son corps chaud n’a surement pas froid sa chaleur se transmet a travers le peut de vêtements qu’elle porte, nous marchons silencieusement vers un banc a demi dans l’obscurité

- Ce matin vous m’avez surprise en plein ébat avec mon mari qui a dût partir précipitamment pour son travail d’où une dernière étreinte dans ce lieu imprévu, c’est donc là que j’ai découvert ce fantasme d’exhibition, j’ai seulement dis a mon mari que j’avais cru qu’on était observés pendant notre jouissance
- Pourquoi pas la vérité ?
- Je ne sais pas, disons pour mon petit jardin secret, il m’a alors demandé si ça me gênerais de me montrer a un ou des hommes
- Vous avez dit oui ?
- J’ai été évasive, je suis d’accord mais devant lui jamais je n’oserais me libérer comme je le voudrais
- Quelle est la solution ?
- Je veux me montrer seule avant de le laisser m’exhiber à d’autres hommes suivant ses exigences, qu’en pensez-vous ?? vous aimeriez que je vous montre mon corps ??
- Je serais idiot de refuser, ou allons nous ?
- Pas a mon hôtel, impossible de tromper le réceptionniste qui connait mon mari….
chez vous ???
- Chez moi ?..... c’est que je suis en collocation avec un pote
- Il est comment votre pote ??
- Bauff, a peu prés de mon âge, pas mal comme mec
- Alors je n’ai pas affaire a des violeurs, mais soyons clairs, juste pour me mater
- Ça me va
- Chouette ! Donnez-moi votre main …..

Elle m’att le poignet pour mettre ma main entre ses cuisses là ou c’est brulant et surtout très humide, mes doigts son enduits de sève

- Vous sentez la mouille à travers ma culotte ? C’est la deuxième que je salis aujourd’hui, ce matin l’autre était amidonnée du sperme de mon mari
- Nous voici arrivés comment procédons-nous ?
- Prévenez simplement votre copain de la raison de ma présence, mon conception de l'exhibe est de m’allonger sur un lit comme si j’étais a la plage vous découvrirez le reste au fur et a mesure de mon imagination, vous avez le droit de vous assoir de chaque cotés de la couche
- Impeccable ! nous avons justement un lit de deux mètres

Lorsque j’ai révélé a mon pote pourquoi cette femme était là il a voulus nous laissez en tête a tête mais elle a insisté pour qu’il reste

- Mon fantasme ne serait qu’à moitié réalisé, je vais ôter ma robe et je vais m’étendre sur votre lit donnez moi seulement une serviette de toilette pour cacher mes yeux, j’ai peur de ne pas pouvoir soutenir vos regards, ne soyez pas surpris si je parle toute seule, je serais sensée m’adresser a mon mari cela fait partie de mon fantasme

La femme entre dans la chambre et le plus naturellement du monde fait passer sa robe par-dessus sa tête, son corps magnifique est revêtu de ce qui passe pour un maillot de bain deux pièces très fin, allongée les jambes légèrement ouvertes laissent apercevoir le triangle de tissu et la forme de sa vulve gonflée, elle pose la serviette roulée sur ses yeux

- Vous pouvez prendre place messieurs……chéri ? Nous sommes seuls ? Parce que mon soutien gorge me serre la poitrine… seulement deux hommes un peu plus loin ? Alors je l’ôte aide moi à le dégrafer

Elle passe ses deux mains sous elle et adroitement fait sauter l’agrafe, le sous-vêtement vole au pied du lit, elle continue a murmurer …

- Comment trouve tu mes seins chéri ? Ils sont bien ronds ? Les aréoles bien larges ? Et mes tétons ? bien dressé comme ceux d’une chaudasse ? Tu exagère !! Ça me picote dans la chatte, rassure toi ce n’est pas une mycose ! C’est l’excitation, j’ai bien envie de me caresser.
.. les deux hommes ? Ils n’en perdront pas la vue et je vais le faire discrètement

Mon copain est comme moi il résiste pour ne pas poser ses paluches sur les nichons qui frémissent, nous nous contentons de malaxer nos braguettes déformées par des érections à faire mal aux couilles , ses genoux se sont remontés et écartés , sa main vient triturer sa motte , la mouille passe entre ses doigts lorsqu’elle broie ses grandes lèvres, elle geint , son bassin se soulève son corps se tend et se relâche, les doigts écartent l’élastique a la taille, sa main pénètre sous le triangle convoité, nous assistons au travail du majeur et de l’index qui font onduler le tissu et trouvent vite la faille et s’y introduisent pour ressortir trempés pour débusquer le clitoris et le décalotter , la femme tressaille et se cabre , le rituel de la masturbation débute , sa bouche est ouverte , ses yeux sont cachés, rien ne nous empêche de sortir nos queues et de nous branler de concert
Les jambes de la femme se tendent, se ferment, s’écartent impudiquement, quand va-t-elle enfin nous montrer son trésor qui clapote de plus en plus distinctement ? Nous somment au bord de l’explosion quand enfin elle se lâche en hurlant

- HAAAAAAAAAAA !!! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis……. Chéri ? Les hommes sont toujours là ?? … ils sont tous prés ??? Tu veux que j’enlève mon slip ?? Mais je suis en eau !!! … d’accord je vais ouvrir ma chatte pour leurs montrer l’intérieur de mon vagin ….

Toujours les yeux recouverts elle fait glisser sa petite culotte rendue transparente par la cyprine, enfin nous pouvons admirer sa foufounne aux poils noirs agglomérés entre eux, les genoux repliés elle pose ses deux mains entre ses jambes, les doigts tirent sur les lèvres à l’ extrême, nous penchons la tête pour mater le trou englué par des filaments poisseux, je lâche ma queue sinon c’est l’explosion

- Ils regardent ?? Tu serais d’accord s’ils posaient leurs mains sur mon corps ??? Oui ??? Tu ne serais pas jaloux s’ils me baisaient ?? Non ?? Mais qu’attendent-ils ?

Sans échanger un mot mon pote et moi enlevons tous nos vêtements et nous plaçons a genoux prés d’elle, nous posons une main sur un sein, elle tressaille mais ne refuse pas notre intrusion au contraire elle bombe le torse, notre seconde main se pose sur son ventre, cette fois c’est a nous qu’elle s’adresse

- Hoooooo ouiiiiiiiiiiiiii caressez- moi je suis tellement excitée que je ne puis plus rien refuser, cela confirme que j’adore m’exhiber, je suis a vous, donnez moi vos verges je vais vous masturber
- Suce nous salope ….
.
- Patience je vais vous satisfaire

Elle se débarrasse de la serviette qui abritait sa pudeur pour découvrir nos bittes dressées qu’elle s’empresse de saisir à pleines mains

- Vous possédez de beaux glands et la tige qui va avec est de belle taille Huuuuuuummmmmmm …..Hooooooooooo ouuuuuiiiiii enfoncez vos doigts …..Haaaaaaaaaaaaaaaaa…..
- Avale-nous à tour de rôle …ta chatte est un vrai marécage …j’ai une idée positionne toi a genoux et suce mon pote pendant que je te bourre

Je prends le temps d’admirer sa fente d’où s’échappe une mouille abondante qui nappe l’intérieur de ses cuisses, les deux mains posées sur ses fesses je guide du bassin mon bout vers la cavité dans laquelle je m’enfonce mollement d’un trait, lorsque mes couilles pèsent sur son clitoris elle se cambre sans lâcher le nœud de mon copain qui ivre d’excitation sa lâche dans la bouche avide

- Tu avais vraiment envie dit donc !
- Elles étaient pleines depuis huit jours !

Soudain l’image du couple dans le bois revient, je me laisse tomber à la renverse l’entrainant sur moi sans que ma queue ne quitte le vagin, elle comprend mon intention et attend que mon copain qui admire ma queue plantée dans la femme lui laissant une option qu’il devine vite, en manipulant sa bitte encore raide il vient imbriquer ses genoux entre les nôtres, sa queue repousse le clitoris plusieurs fois et s’en servant comme un démonte pneu écarte la moule et glisse sa ma hampe pour se retrouve bien ancré dans le puits incandescent, la femme hurle de bonheur , je fais des efforts pour ne pas décharger car gland sur gland la jouissance me guette

- Quand vas-tu te décider à me combler de ton foutre ?
- Je ne tiens plus, ta chatte est comme un étau qui cherche à nous essorer de notre sperme
- Et elle va y arriver … tieeeeennnnnt !

Son vagin devient si dur que ma queue plie mais ne rentre plus, au troisième essai les contractions préliminaires a l’éjaculation se manifestent, je ne lute plus, j’arrose copieusement la gaine vaginale et en même temps la verge de mon copain qui m’imite, en réponse la femme se tend comme un arc et pisse carrément sur nos bourses, tous trois en sueur et haletants chacun s’écroule de part et d’autre du lit

- Vooouuuffff ! Quelle séance ! Je n’étais pas venue pour ça !
- Tu regrette ?
- Surement pas ! d’ailleurs si par un pur hasard vous vous promeniez sur la colline ces jours prochains vous pourriez rencontrer un couple en mal d’exhibition et recherche de partenaires ….

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