Massage Déroutant 2

Je me rhabillais, il me regardait. Quand il me vit mettre ma culotte, il fronça les sourcils. Je voulus la mettre dans mon sac mais il me la prit des mains. Il en profita pour soustraire le soutien gorge. Je mis ma robe sans sous vêtement. C’était la première fois. Je fermais l’institut et je montais dans sa voiture.
-Remonte ta robe que je vois ta chatte en conduisant.
Mes fesses brulantes firent que je lui obéis. Il mit sa main sur ma cuisse et commença à jouer avec mes poils pubiens.
- Demain je t’emmène chez une amie esthéticienne. J’aime que ma poupée soit imberbe !
Dans ma tête tout se bousculait, sa main chaude, ferme et autoritaire me faisait mouiller et mon côté rebelle reprenait le dessus. Surement parce qu’il ne plantait pas ses yeux dans les miens. Il arrêta la voiture et nous sommes rentrés dans un restaurant marocain. Il devait bien connaître le patron car il nous donna une table à l’écart comme s’il nous attendait.
- Nous allons manger calmement. Après tu iras aux toilettes. Tu enlèveras ta robe et mettras juste ta veste pour repartir. Tu la retireras avant d’entrer dans la voiture. Quand nous arriverons chez moi. J’exige que tu te mettes à genoux, la bouche sur mes chaussures en signe de soumission. Tu te relèveras seulement quand je t’en donnerai l’ordre.
- oui Monsieur est la seule chose que j’aie trouvée à dire.
En effet, c’est complètement nue que je suis montée dans sa voiture. Que d’émotions contradictoires m’envahissaient. La honte, la culpabilité mais aussi l’envie, l’envie de faire l’amour, l’envie de jouir…J’avais chaud et froid en même temps. Mon corps était moite, ma chatte trempée et gonflée.
Arrivée à destination, je fis ce qu’il m’avait ordonné. A genoux, la bouche sur ses chaussures, les mains dans le dos.
Il me caressa les cheveux. Puis me dit de me relever.
- Reste là ! Les mains sur la tête.
Il alla dans une pièce et revint avec une nuisette transparente et un string qu’il me demanda de mettre.


Il me fit monter sur la table basse. Puis me mit un bandeau sur les yeux.
-Je veux que tu me fasses confiance entièrement. Je veux que tu découvres la volupté et que ton corps ne soit que source de plaisir. Même dans la souffrance peut être source de plaisir.
Il me caressa au dessus de l’étoffe. Il excitait mes mamelons en faisant le tour avec le doigt, puis passant dessus, les pinçant légèrement. Ses doigts montaient, descendaient le long de mon corps, de mes fesses, de ma chatte. Il prenait soin de passer sur mes lèvres, sur mon clitoris avec une sensualité brûlante. Mon sexe me faisait mal tellement il était gonflé. Il lécha ma chatte à travers le tissus, aspirant mon clitoris, le mordillant. Je gémissais et me tortillais au bord de l’évanouissement. C’est avec une infinie tendresse qu’il prit le string pour le faire rouler le long des cuisses. Il le fit extrêmement lentement pour me faire ressentir et stimuler l’excitation au paroxysme. Il me retira la nuisette et continua ses caresses envoutantes. Il suça la pointe de mes seins jusqu’à la douleur. Et d’un coup repris son ton autoritaire. Ce fut la douche froide.
-Le moindre gémissement sera sévèrement puni avec le martinet. Compris ?
Une claque retentissante s’abattit sur mes fesses. J’en eus les larmes aux yeux.
- Retourne-toi, écarte les jambes et baisse-toi !
Quelle honte ! Je ne dus pas aller assez vite à son goût car une seconde claque plus puissante vint rougir mon postérieur.
- J’adore ton cul bien ferme, bien rebondi.
Il écarta mes fesses et passa ses doigts dans ma fente, touchant mon petit trou. Un de ses doigts chercha à s’immiscer. Je criais !
Je suppose qu’il avait humidifié son doigt car pour toute réponse il m’enfonça un doigt dans le cul. Etant vierge de ce côté-là, je hurlais sous la surprise et la douleur et cherchait à faire sortir l’intrus !
- J’ai l’impression que tu n’as pas compris. Tu m’appartiens corps et âme. Je fais ce que je veux.
Et si je te dis de rester silencieuse, tu obéis ! Pour te punir tu vas revenir sur mes genoux.
Il m’aida à descendre de la table, retira le bandeau. Je vis donc un martinet et une tapette sur la canapé. Je retenais difficilement mes larmes.
Je fis ce qu’il exigeait. J’étais terrorisée.
Il commença à la main, les tapes intenses alternaient avec des caresses voluptueuses. Il mit un doigt, puis deux dans ma chatte et je jouis. Ce fut un feu d’artifice de sensation. Tout mon corps fut secoué de soubresauts.
Il ricana !
-t’ai-je autorisé à jouir !
-Non, mais…
Je reçus un coup de martinet sur la fente et ma chatte. Je me mordis les lèvres pour ne pas hurler !
Puis il caressa, tritura le clitoris qu’il venait de maltraiter. Puis un nouveau coup ! J’en reçus 5 ainsi.
Il prit mes lèvres et les pinça gentiment.
Il me releva. M’allongea sur le canapé et releva mes jambes au maximum. Il colla sa bouche sur me sexe et lécha, aspira, fouilla à l’intérieur. Je me retenais. Il se déshabilla et me mit le sexe sur la bouche. Je l’attrapai maladroitement et entrepris une pipe du mieux que je le pouvais !
Il me prit les cheveux, sortit son sexe et me pénétra la chatte en m’autorisant à jouir. Ce fut l’extase, à ce moment mon âme et mon corps lui appartenaient ! Il jouit longtemps et je fus secouée de spasmes plusieurs minutes… il prit du sperme de ma chatte pour me le mettre dans la bouche. Je suçais ses doigts avec avidité.
- Je vais t’apprendre le plaisir extrême et à faire plaisir aussi. Ta technique est encore maladroite mais tu vas devenir une bonne chienne, j’en suis sûr !
Je lui léchais les mains comme une bonne chienne que j’étais devenue.

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