Aire De Repos (2)

Cette histoire fait suite à la première partie de mon récit d'une expérience vécue sur une aire d'autoroute. Je venais juste de sortir de la voiture d'un homme que j'avais fait jouir après que nous nous soyons mutuellement sucés et m'allumais une cigarette pour décompresser.

_t'as du feu?

L'homme qui m'interpella ainsi devait avoir entre 35 et 40 ans. Brun, plutôt petit, sur son nez étaient posées des lunettes qui lui donnaient un air caricatural de gratte papier passant toutes ses mornes journées derrière de grands tableurs à manipuler des chiffres. Le bonhomme avait néanmoins une tête ronde assez joviale et un sourire sympathique.

Je lui tendis mon briquet tout en l'observant. Il me remercia et entama une discussion à propos de la pluie et du beau temps. Petit à petit, ses questions s'orientèrent plus sur moi. Il voulait savoir ce que je faisais, comment je m'appelais, si j'avais une copine, un copain.. puis il me regarda intensément avec un sourire en coin.


_tu sais, je vous ai observé de loin dans la voiture. C'était très excitant. En plus, tu as l'air de savoir y faire, ce qui ne gâche rien.

_euh.... merci du compliment

_en plus d'après ce que j'ai vu, tu n'as pas joui

_non, c'est, j'ai pas eu l'occasion

_si tu veux, on peut aller s'amuser un peu ensemble je vais pas te laisser dans cet état... Suis moi dans une cabine des toilettes, on pourra jouer sans être dérangés.

L'homme était perspicace en plus d'être persuasif. Ma rencontre précédente m’avait bien chauffée et la perspective de nouveaux jeux m'intéressait au plus haut point. Il avait vraiment sû me cueillir au bon moment, comme un fruit bien mûr et juteux dans lequel on peut croquer avec délice. Je suivi l'homme en silence vers les toilettes de l'air de repos. Il se dirigea vers une cabine pour handicapé dont la relative propreté me surpris. Il rentra le premier et verrouilla la porte derrière moi.

La lumière, à détection automatique, ne fonctionnait pas. On était dans un noir quasi complet, simplement éclairés par la lumière des lampadaires extérieurs qui passait sous la porte et par des ouvertures vitrées proche du plafond. L'atmosphère était électrique L'homme se retourna et m'attrapa la main vigoureusement.

_Vas y touche mon paquet, je t'ai repéré dans la voiture, t'es une bonne
salope, je vais m'occuper de toi.

Avec le recul, la situation aurait pu prêter à rire. Avec 20cm et 15kg en plus et 15ans de moins que l'homme, il est clair que si un rapport de force réèl avait du avoir lieu, l'issue aurait été assez rapide en ma faveur. Néanmoins, il s'était naturellement posé en situation de domination et j'acceptais de bon gré de prendre le rôle du soumis pour voir où il pourrait nous mener et passablement excité par la situation. Je touchais alors son sexe a travers son pantalon et sentis rapidement celui ci grossir. Conforté dans son rôle, l'homme m'attrapa la nuque et attira mon visage vers le sien. Au dernier moment, il s'écarta pour susurrer à mon oreille.

_a genoux maintenant, et montre moi ce que tu sais faire.

Je descendis sur mes genoux et l'homme attrapa l'arrière de mon crâne de ses deux mains pour plaquer mon visage contre son pantalon. Je sentais la bosse de son sexe bien dur sous le tissus et pris les devants en défaisant sa ceinture et descendant prestement la fermeture éclair. D'un unique geste, je baissais son pantalon et caleçon jusqu'a ses chevilles. Ses jambes étaient épaisses et poilues. Son sexe jaillit et cogna mon menton. Avec l'obscurité, je ne parvenais quasiment pas à le voir, alors je parti en exploration d'abord avec ma main. Décalloté, fin, plutôt court, ses couilles étaient bien remontées et étaient assez velues. La pression sur mon crâne augmenta d'un cran.

_vas y bouffe moi bien.

Je pris son sexe en bouche. Grâce a ses dimensions plutôt modestes, je pouvais facilement le prendre entièrement en gorge sans .
Je commençais
immédiatement des va et viens rapide et complets sur son sexe. A chaque fois, mon nez se fichait contre son pubis poilu, et il prenait régulièrement plaisir à maintenir une forte pression pour que je reste dans cette position. Il sorti son sexe et me mis des coups avec sur le visage. J'acceptais de bonne grâce ses coups et tirait la langue, voulant reprendre en bouche ce sexe. Il m'attira la tête vers lui pour que je lui lèche les boules. Je lui plaquais alors le sexe sur le ventre et j'avalais une par une ses deux couilles velues, qui ressortaient trempées de ma bouche. Il m'attrapa par les cheveux pour me basculer la tête en arrière et fit de nouveau entrer son sexe entièrement dans ma bouche. Par ses mouvements de bassins, il allait et venait à son gré, alors que je lui caressais les boules.

_C'est bon hein, tu te régale

_ouais, elle est bonne

_tu vas voir, t'as encore rien vu, je vais te baiser la bouche

L'homme me fit reculer jusqu'à ce que mon dos prenne appuis sur l'une des
parois des toilettes. Il se saisit de mes mains et me força à lever les bras.
Alors qu'il me les maintenait en position, il plaça son gland à l'entrée de mes lèvres que j’ouvris avec avidité. D'une poussée de bassin, il s'introduisit de tout son long dans ma bouche. Il resta quelques secondes en place et me dit de garder la bouche grande ouverte avant de commencer des va et viens. Je salivais abondamment sur son sexe mais j'aimais cette sensation d'abandon complet. Il ressorti et frotta son gland sur tout mon visage, puis recommença son matraquage méthodique. Ses boules étaient trempées de ma bave et je bénissais intérieurement le fait qu'il ne soit pas équipé comme un étalon de film porno, ce qui rendait ses va et viens très supportables. J'alternais entre les moments de pure passivité où, la bouche ouverte au maximum et la langue sortie, je le laissais directement aller et venir jusqu'au fond de ma gorge, avec les moments plus actifs ou je reserrai les levres autour de sa colonne pour mieux l'enserrer.


Lorsqu'il en eu assez, il me redressa et me roula un patin d'enfer. Nous étions tous deux dans un état incroyable d'excitation. Il baissa mon pantalon et commença à me branler tout en me léchant littéralement l'intérieur de la bouche. D'un mouvement vif, il me retourna, face contre la paroi. Il était dos à moi et je sentais son sexe frotter contre mes fesses. Il continuait à me branler et je me laissais aller dans ses bras. Il n'y avait pas de douceur dans ses gestes, il me branlait avec vigueur en se frottant à moi. Nos souffle étaient rapides et saccadés. Il stoppa d'un coup tout ses mouvements, et je ne pus retenir un cri de surprise. Il s'approcha de mon oreille et chuchota

_maintenant, je vais bien te baiser

_vas y doucement, j'ai pas trop l'habitude

_t'inquiète salope, tu vas adorer.

Je l'entendis fouiller dans la poche de sa veste. Un déchirement de papier
précéda une sensation de froid entre mes fesses. Il appliqua consciencieusement du lubrifiant sur ma rondelle et en mis également sur la main qui me branlait. Celle ci glissait aisément sur mon sexe ce qui me procurait beaucoup de plaisir. Il se coiffa d'un préservatif et je sentis son gland appuyer contre mes fesses. Instinctivement, je reculais le bassin, pour aller à sa rencontre.
L'introduction fut lente mais régulière. Malgré une préparation des plus sommaires, la finesse de son membre, l'excitation et la grande quantité de lubrifiant firent que je ne ressenti aucune douleur à sa pénétration. Lorsque je senti ses poils contre mes fesses, il grogna son contentement à mon oreille. Il commença des va et viens régulier et plutôt lent, me laissant m'habi à la pénétration. Le rythme était beaucoup plus doux, il allait et venait lentement, tout en me caressant le sexe et les boules. J'étais serré dans ses bras. Dans d'autres circonstances, on aurait pu parler de tendresse, tant il y avait d'envie de donner du plaisir dans ses gestes. Puis, sans que je comprenne, il s'arrêta, avec le seul bout du gland en moi.
Je fis un mouvement pour reculer et le faire revenir au plus profond et il me dit alors

_C'est le signal, maintenant je peux me lâcher je vais te niquer à fond

_vas y , c'est bon ce que tu me fais, continue à me branler en même temps.

L'homme entra dans un état complet de rut. son rythme accéléra significativement, et son pubis claquait à chaque fois sur mes fesses. J'étais au bord du 7ème ciel. Je me sentais sous la coupe de cette homme qui disposait de moi comme il le voulait en m'insultant, en me rabaissant, mais en m'apportant un plaisir inouï. La main qui ne me branlait pas passa sous mon t shirt et agrippa un de mes tétons pour le pincer. Il était au grand galop dans mes fesses et la main lubrifiée s'agitait sur mon sexe au même rythme .
Au bout de quelques minutes de ce traitement, je criais grâce et explosais entre ses mains. Mon orgasme était intense et je serrai mes fesses alors que j'éjaculais. Je l'entendis jouir au même moment au fond de mes entrailles et il me colla contre la paroi alors que mes jambes flageolaient.

Il se retira lentement, alors que je reprenais mes esprits. Je l'entendis
retirer sa capote et remonter prestement son pantalon. Il ouvrit la porte et sorti alors que j'étais encore dans la même position, jambes écartées, pantalon sur les chevilles et cul grand ouvert. Le temps que je revienne à moi et m'habille, il était déjà parti. Je ressorti des toilettes et ne le vit pas dehors, il avait disparu.

Je retournai donc à ma voiture, heureux de cette rencontre, mais déçu de ne pas avoir pu prendre ses coordonnées pour recommencer un jour.

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