Chambres D'Hôtes... Particulières, 4

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


Chambres d’hôtes…particulières, 4

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Il fait déjà nuit lorsqu’une jaguar de collection s’arrête devant la ferme. Un monsieur d’un certain âge, particulièrement chic, cheveux blancs et catogan à la Karl Lagerfeld, écossais sans doute car il porte le kilt, en sort et va ouvrir la portière passager. Il tend la main à une toute jeune femme, rousse aux yeux verts, 18-20 ans tout au plus, toute fine, très raide, une longue cape noire et des bottes. Puis de l’arrière sort une asiatique vêtue d’un superbe kimono. Hôtes surprenant pour ce week-end ! Je leur montre la chambre, la porte vitrée mais normalement ils serons seul ; le système de camera –Ok si ça vous amuse de regarder mais rien ne doit être enregistré, c’est bien compris ? –Oui monsieur. Le maître a parlé et nous avons répondu de concert comme si nous étions déjà ses esclaves. C’est assez incroyable la prestance de ce mec ! –Nolwenn ma chère, puisque ce lieu est dédié au naturisme montrez donc votre corps à ces messieurs dames. Il lui retire la cape et c’est caricatural. Collier de cuir autour du cou, peau très très blanche, les poignets attachés au haut des cuisses par des sangles de cuir, ce qui explique sa démarche rigide, les seins et la chatte piercés par des anneaux et évidement une épilation nickel. -Penche toi en avant ma chérie ils veulent voir ton cul, elle se tourne et se penche : un plug anal terminé par une petite crinière de la teinte exacte de ses cheveux achève la caricature. Il se retourne et enlève la ceinture du kimono, –rassurez-vous elle est majeure ! Les pans s’écartent et nous dévoile alors une vrai femme-, toute frêle, sans poitrine et un sexe de fillette. –Et puisque vous le verrez avec vos cameras, je ne vais pas vous cacher mon problème plus longtemps. Il soulève son kilt et nous montre un sexe mutilé.

–Bagarre au sabre durant ma vie estudiantine. Le sexe n’est pas tranché, non il est entamé sur le côté, un peu comme lorsqu’on croque une pomme mais sur une plus grande longueur. Plus bas la bourse a aussi été sévèrement abimée. –J’y ai aussi laissé un testicule. Résultat je dois me faire sucer minimum toutes les six heures sans quoi la verge se rétracte d’un seul côté et les douleurs augmentent rapidement. C’est ce qui explique la présence de ces deux femelles à mes côtés. De plus la salive de May contient une enzyme, qui l’empêche de grandir, mais qui au contact de ma verge la soulage plus rapidement.
-Bon nous allons vous laisser pour ce soir vu l’heure avancée dis-je. –Demain matin serrait-il possible d’avoir le petit déjeuner au lit ? –Bien sur, vers quelle heure ? -9 heure, c’est madame qui devra nous le monter, et, si elle le souhaite, j’aurai préparé un petit ensemble devant la porte, merci. Mais rassurez-vous monsieur je ne vous la toucherai pas sans votre consentement. Nous redescendons et je pouffe de rire. Tu vas la mettre sa petite tenue ? Mon poussin, habituellement si sure d’elle, ne dit rien. Arrivé à la maison elle me demande de la raser intégralement. Ben dit donc tu veux rentrer dans son jeu toi! J’aime voir le sexe de mon épouse tout lisse mais elle tient à garder un petit triangle de poil sur le mont de vénus. Cette fois elle tient à tout enlever. –même autour de l’anus mais tu dit toujours que ca pique tellement à la repousse ? Plus je la rase plus j’ai super envie d’elle, mais elle me promet qu’après…elle s’applique un peu de crème hydratante contre les rougeurs. Par contre elle me fait La Super Pipe Des Grands Soirs. Mais tu ne perd rien pour attendre, demain en redescendant…J’ai pas trop bien dormi, mais j’ai l’impression que ma chérie n’a pas fermé l’oeil. Il est déjà tard, et pendant que mon poussin passe à la salle de bain, je prépare le petit déjeuner sur un plateau. Lorsqu’elle réapparait c’est ma duchesse, les cheveux sont brillants, le mascara rend ses yeux encore plus beau que d’habitude, elle a mis une fine chainette en or autour de la taille ainsi qu’a la cheville droite, de plus un parfum que je trouve très aphrodisiaque émane de son corps.
Son sexe glabre me fait bander, elle se retourne et se penche en avant –alors je te plais comme ça ? Ses deux orifices sont parfaitement lisses, prêt à déguster. -Tu es toujours belle, mais là tu le fait pour le maître et ça te rend aussi hyper-désirable de mon côté. Mais je te surveillerai sur mon écran…Allez va maintenant il est temps. Je ne vois ce qu’il lui a préparé que lorsqu’elle rentre dans la chambre : elle porte un tablier de soubrette bordé de fourrure blanche toute légère, et un redresse-sein lui aussi bordé de fourrure. Ca me trouble de la voir à la merci de ce qui peut être un sadique. Après tout il a déjà deux filles sous sa coupe…et mon poussin est experte es-fellation ! Le maître est appuyé à la tête de lit, son esclave, les yeux bandés, le suce contentieusement. Cette fille est superbe, le cou est fin et long, les seins sont assez petits mais du coup très fermes, les têtons semblent siliconés tant ils sont durs, la taille est super fine, les hanches ne donnent qu’une envie c’est de s’y accrocher, enfin le ventre est tellement plat qu’une verge doit suffire à le déformer de l’intérieur. Puis il y a surtout cette soumission totale et quant on à ce genre de fille dans la réalité je vous jure que le machisme revient au triple galop. Ma duchesse attend l’ordre du maître pour poser le plateau. Il la regarde de haut en bas. Accroupis-toi, genoux bien écartés et ne renverse pas le plateau. Mon aimée s’exécute. L’équilibre est chancelant mais la position fait bailler son sexe. Et il prend le temps le bougre pour se rincer l’œil. Il appuie sur la tête de son esclave pour qu’elle le suce plus vite et plus profond. Il commande à mon épouse de poser le plateau sur la table basse qu’il a déplacée contre le mur mais dans l’axe du lit. Elle se penche en avant bien consciente que cette fois elle ne pourra vraiment plus rien lui cacher. –Stop reste ainsi ! Ecarte les jambes ! Sépare tes fesses avec les doigts ! Cambre toi ! Il fait mettre sa petite esclave à quatre pattes et l’encule sans ménagement en la tirant par les cheveux.
Les seins de l’adolescente se tendent vers l’avant pour mon plus grand plaisir…par caméra interposée. Ses cheveux lui font mal mais il n’en a cure, obnubilé par le cul de ma femme. Je devine l’orgasme monter, le corps claque sur les fesses de l’ado puis s’y colle tandis qu’il se vide en elle. Il reprend d’une voix calme –Il me semble bien serré ce petit cul, tu ne l’offres donc jamais à ton mari ? –Rarement, ça me fait mal. –Je veux que demain matin tu reviennes avec le cul bien ouvert et plein de sperme, tu as compris ? –Oui maître. Et tu demanderas à ton mari l’autorisation de te faire baiser par moi aussi. –Oui maître. Elle redescend. Je l’att par la main et la baise illico sur la table de la cuisine. Elle est si belle quand elle est toute lisse, et elle est si excitée par ce qu’elle vient de vivre que nous faisons l’amour avec une intensité rare. Le Kâma-Sûtra est revisité. Si j’ai fini par lui gicler dans le petit trou ? Oui dans le feu de l’action mais en tout cas pas pour faire plaisir au maître. D’ailleurs je n’ai pas trop envie qu’il la baise, on ne sait jamais. Elle remonte chercher le plateau. Je la suis sur l’écran. Lorsqu’elle se penche vers la table basse il s’approche, son esclave tenue en laisse. Il bande, une verge très longue, mais mutilée. Il constate très vite les traces de nos ébats passionnés. La vulve est rouge et le clitoris encore bien visible. Il pousse son esclave entre les cuisses de ma femme. L’adolescente la lèche avec beaucoup d’adresse car moins d’une minute plus tard mon épouse est à nouveau en transe. -Voyons un peu ce petit cul serré. Tu as demandé à ton mari ? Elle fait oui de la tête, -mais on avais dit non ! D’autorité il lui écarte les fesses. Mon sperme coule de sa chatte, mais aussi de son petit trou pas encore refermé. Alors comme ça tu n’as même pas pu attendre demain, il fallait que tu viennes te montrer tout de suite ! –mais je venais juste reprendre le pla... -Tait toi, ici c’est moi qui donne les ordres, tu vas être punie pour ce comportement effronté ! Il ferme la porte à clé et coupe les cameras.
Je n’ai plus aucun contrôle Un quart d’heure plus tard je monte et écoute derrière la porte. Je l’entends crier, tantôt de douleur, tantôt de jouissance.
Lorsqu’elle ressort deux heures plus tard, elle ne tient plus sur ses jambes, du sperme coule de chacun de ses orifices ainsi que sur le ventre, le dos, les cuisses et des traces de liens sont très visibles. –Ca va ? Qu’est-ce qu’il t’a fait ? Tu as mal ? Elle ne répond pas. Je la couche sur le lit ou elle s’endort rapidement. Qu’est-ce qu’il lui a fait subir ? Je la regarde attentivement. Elle a des traces de liens aux chevilles et aux poignets –classique-, sur l’arrête du tibia et l’avant des cuisses –liés ensemble ça maintient les genoux pliés-, si on attache les poignets aux chevilles par l’intérieur ça ramène les genou sur la poitrine tout en gardant les cuisses suffisamment écartées pour ne pas gêner la pénétration…et la même entrave mais positionnée sur le ventre exhibe particulièrement l’anus et le sexe. Ca doit être ça, tout à l’heure il l’a longtemps maté exactement dans cette position. Mais là il a voulu l’attacher pour l’avoir entièrement à sa merci !
Exactement une heure et demie plus tard, elle se réveille en pleine forme. Elle a un large sourire et m’attire a elle. –Il t’a fait mal ? –juste une fois lorsqu’il m’a enfoncé une sorte de crochet de boucher dans le cul ! Mais qu’est-ce qu’il t’a fait ? -C’était vraiment super. -Raconte moi tout. –Non c’est et ça restera mon jardin secret ! Elle a envie de faire l’amour avec moi mais tout est irrité, tuméfié et nous devons assez vite arrêter. Elle est vraiment désolée, me fait mettre sur le dos, s’agenouille entre mes cuisses et pose sa bouche sur mon membre tout congestionné. Voir en face de moi son dos creusé et ses fesses entre lesquelles tout à l’heure un crochet de boucher s’est enfoncé…
Ils descendent au jardin. -Bravo jeune homme pour la prestation exceptionnelle de votre épouse ! Je souhaiterai vous l’échanger contre May pour le week-end ? Mon poussin m’engage à accepter, décidément il me l’a hypnotisé ! J’emmène donc la femme-. Je m’assied sur le lit et la contemple dans son superbe kimono bleu. Tu as quel âge exactement May ? 21 ans, monsieur. Tu aimes ces jeux sadiques ? En chine c’est assez culturel, monsieur. Et il vous… viole… souvent ? Nolwenn plusieurs fois par jour, mais moi pas, il dit qu’il n’aime pas mes cris quand j’ai du plaisir. Il ne te fait jamais l’amour ? Non je suis là pour sa santé, monsieur. Ca ne te manque pas à 21 ans ? Vous savez on côtoie peu le monde extérieur. Tu as envie de faire l’amour avec moi ? J’en serrai très honorée, monsieur. Je lui écarte le haut de son kimono, pas de sein mais quand même deux petits têtons très sensibles à la caresse de mes pouces. Elle pousse un petit cri puis se serre les lèvres. Non vas-y laisse toi aller, j’adore entendre une fille prendre son plaisir. Je dénoue sa ceinture, les pans s’écartent dévoilant un sexe de fillette, c’est tout fin, tout lisse, et dire qu’il n’a servi qu’une fois ou deux. Mes yeux se font gourmands. –Vous aimez quand même, même si je ne suis pas une vraie femme ? -Oh oui bien sur, en plus tu as la même douceur de peau que ma première copine. J’approche mes lèvres, ma langue s’introduit délicatement dans ce sexe tout frais aux effluves de jasmin. Vers l’entrée du vagin apparaît un petit goût de caramel au beurre salé. La pointe de la langue cherche le clito, le débusque, l’agace pour qu’il sorte de sa cachette, les petits cris reprennent sur un fond de respiration haletante. Rapidement arrive un premier orgasme, suivi d’un autre puis d’un troisième quelques instants plus tard. Je la sens prête à accueillir mon sexe, raide de désir. J’écarte les jambes de ce petit corps nu au milieu du kimono bleu. Elle a un léger mouvement de défense, j’imagine que sa défloration par le maître a du être une véritable boucherie ! Ne craint rien, je vais y aller tout doucement. Je positionne mon gros gland devant l’ouverture, c’est pas possible ça ne rentrera jamais. Je pousse délicatement, les chairs s’écartent, enserrent fortement ma verge. La pénétration se poursuit, c’est très serré et hyper-jouissif, pour moi. Elle retient sa respiration. Arrivé au fond je la laisse reprendre son souffle. Je commence alors des petits va et viens. Les cris reprennent et montent crescendo à mesure que mes mouvements se font plus amples. J’espère qu’elle prend autant de plaisir que moi. Elle doit apprécier mon volume tandis que moi au contraire c’est de la sentir très serré qui me donne des sensations démoniaques. Son orgasme arrive d’un coup. Violent. Je continue de la limer et finalement ce seront pas moins de quatre jouissances successives qui la terrasseront. -Je sens que ca vient tu veux que je jouisse à l’intérieur ou sur ton ventre ? Ou vous voulez mais pas dans la bouche s’il vous plait. –Je comprend, met toi a 4 pattes je veux juter sur tes fesses. Vous pouvez même me prendre par là, le maitre me prête souvent à ses amis de cette façon ! C’en est trop, un tsunami de sperme lui recouvre le bas du dos ! Je m’écroule à côté d’elle et la serre dans mes bras. Je la sens se blottir et apprécier particulièrement ce moment de tendresse.
-Tu dis qu’il te prête à ses amis ? -Oui il me met un bâillon dans la bouche pour que je ne crie pas et il leur conseille de me défoncer le cul. J’ai même l’impression que certains ne reviennent le voir que pour ça ! Et tu aimes la sodomie, ça ne te fait pas mal ? Au début c’était horrible, heureusement le maître a une bonne pommade cicatrisante. Maintenant je me suis habituée et parfois j’y prends même du plaisir, mais je ne dois surtout pas le montrer. Ils viennent pour me voir souffrir ! Elle recule et vient se lover encore plus contre mon corps, elle doit sentir que je n’ai toujours pas débandé avec ses histoires. Elle passe alors sa main derrière son dos, prend ma queue, la glisse dans son anus et le contracte fermement. Le résultat ne tarde pas et je me vide jusqu'à la dernière goutte dans son étroit fourreau . Nous restons blottis ainsi un long moment, je la caresse doucement comme si c’était ma petite amie.











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