Leslie An09

Leslie AN09 – Anastasia, week-end à Epernay, chez Delphine, suite

Delphine est vraiment surprenante, elle vient d’avoir du plaisir monstre avec Aurélie et à son regard quand elle part avec Aurélie, je sens qu’elle est encore pleine de désirs et que Delphine nous réserve encore des surprises.
Elles sont sous la douche avec Aurélie, et j’en profite pour prendre la mienne dans l’autre salle de bains de l’étage, puis je redescends, sans autre apparat qu’une nuisette, dans le salon…
En attendant mes deux compagnes, j’allume la télé et aussitôt apparaissent des images de cul, Delphine a laissé certainement un de ses films favoris dans le lecteur.
La scène en cours montre deux femmes en train de faire l’amour, l’une est équipée d’un gode-ceinture qu’elle entre dans l’intimité de sa compagne de jeu, c’est au moment qu’elle va sodomiser sa compagne que mes deux compagnes reviennent dans le salon, Dès qu’elles entrent je reste sans voix devant ce que j’ai devant les yeux…

Delphine apparait souriante, dans une robe de nuit qui s’ouvre sur un corset rose à dentelles noires enserrant sa petite poitrine, un slip brésilien allonge ses jambes gainées de bas à couture, tendus par quatre paires de jarretelles excitantes qui me laissent admirer ses cuisses fuselées, perchée sur des cuissardes noires à talons hauts, elle est vraiment excitante.
De son côté Aurélie est méconnaissable, ses yeux allongés par le maquillage portent des faux cils, ses lèvres sont ourlées d’un rouge intense et un fond de teint achève son maquillage. Ses petits seins sont comprimés dans une guêpière rouge et noire recouverte d’une adorable combinaison en satin de même couleur s’arrêtant à mi-cuisse. Un slip fendu en son milieu encadre sa queue d’un écrin de dentelle et de soie en offrant sa croupe au regard lubrique de Delphine, et des bas à couture habillent ses jambes et pour compléter sa tenue, elle est campée sur ses escarpins à talons aiguilles.



Delphine me regarde et m’invite à entrer avec elle et Aurélie dans un autre univers, celui des phantasmes, du rêve et du plaisir, là où tout est permis et où tout est possible.
S’approchant de moi, me regardant avec des yeux de braise, Delphine me dit :
- Cette mignonne petite transsexuelle va te faire l’amour et jouir dans tes fesses en te faisant crier de plaisir et après je te défoncerais avec un gode ceinture pendant que tu suceras divinement la queue de cette belle androgyne.
Pendant que Delphine me parle, Aurélie, volontairement virevolte devant moi, la taille prise dans cette ensorcelante guêpière en frottant sensuellement ses cuisses l’une contre l’autre pour faire entendre le crissement des fibres qui enflamment les sens, en m’exhibant ses fesses qu’elles tient bien cambrées pour faire monter mes désirs.

Delphine sait que je ne suis pas insensible à ce qu’elle vient de dire et qu’elle à réveiller mes désirs, en prenant Aurélie pas la taille et en l’embrassant sur les lèvres, Delphine me fait signe de la suivre dans sa chambre.
A peine sommes-nous entrées toutes les trois, que Delphine me dit :
- Viens sur le lit, ma chérie, je suis impatiente de m’occuper de ton petit cul.
Elle me renverse sur le dos en glissant sournoisement sa main sous ma nuisette satinée.
Je sens sa main remonter lentement le long de mes jambes et se refermer sur mes bourses qu’elle masse avec douceur.
Ne pouvant résister à ses caresses, j’ouvre imperceptiblement les cuisses.
Avec perversité, elle continue à me caresser, pour que je me laisse aller et abandonne toute résistance, elle est heureuse en sentant ma verge vibrer sous ses doigts. Puis elle m’enfonce lentement son majeur dans les fesses pour ouvrir mon œillet tout en continuant de me masturber de son autre main.
- Tu bandes comme une reine, ma belle, et ton œillet est déjà bien ouvert.

Me sentant prête, elle se place de côté afin qu’Aurélie se place entre mes jambes, Aurélie depuis que nous sommes dans la chambre n’a pas cessé de se caresser et c’est un sexe bien dur qu’elle présente devant mon intimité.

D’un coup de reins elle m’embroche et commence une longue sodomie, où Aurélie gémit autant que moi.
Pendant qu’Aurélie me sodomise, Delphine s’équipe d’un gode ceinture, en me disant :
- Tu vas voir ensuite comme je vais bien m’occuper de toi.
Elle m’apparait harnaché d’un gode ceinture noir, aux belles dimensions, qui se balance lourdement entre ses cuisses à chacun de ses pas. Il a un gland épais et une hampe striée de grosses veines apparentes, un peu impressionnant.
- J’espère qu’il te plaît car je vais te sodomiser avec, me dit-elle avec perversité.
Elle me le montre complaisamment sous tous les angles pendant qu’elle le lubrifie en me décochant des regards brûlants.
- Aurélie te prépare bien, tu vs adorer !
Avec une étrange lueur dans les yeux, elle s’approche de moi en caressant lentement la hampe de ce gode qui me donne des frissons.

Je suis fascinée par Delphine qui s’approche de moi en soutenant d’une main ferme le pieu imposant qu’elle me destine. Galvanisée par le spectacle de la sodomie d’Aurélie, elle ne peut plus attendre et c’est avec un regard brûlant qu’elle prend la place d’Aurélie et qu’elle se met à me pénétrer avec une lenteur calculée. Mes sphincters cèdent peu à peu sous la pression du gland et je laisse échapper un cri lorsqu’elle me transperce le ventre.
Tout en m’enculant, Delphine me tient le sexe et ne manque pas de préciser :
- Je sens ta queue frémir sous mes doigts, tu aimes ça ma petite Leslie !
Puis, écartant mes fesses avec ses pouces, elle se laisse tomber sur moi de tout son poids en s’enfonçant cette fois-ci jusqu’à la garde. Le souffle coupé, mes mains se referment par réflexe sur le pal qui me transperce pour tenter en vain de freiner sa course. Mais elle m’encule à fond, et j’abandonne très vite toute résistance. S’arrêtant un instant, elle me dit :
- Ce ne doit pas être tous les jours que tu prends un tel calibre dans les fesses ?
En réponse, je croise mes jambes dans son dos et éperonne sa croupe avec mes talons pour l’encourager à m’empaler plus à fond.

Soudée à moi, elle me travaille l’œillet avec une habilité diabolique pour me faire sentir ses reliefs tourmentés du pal. Elle roule et ondule du bassin en faisant vivre d’une manière prodigieuse ce pieu qui m’enflamme le ventre. Me voyant perdre mon contrôle, elle me comprime régulièrement la racine du sexe pour m’empêcher d’éjaculer trop vite.

Je finis cependant par succomber à sa perversité.
Quand Delphine perçoit mon souffle court et me voit prise de tremblements, elle sait que je vais bientôt jouir. Elle me chuchote alors à l’oreille :
- C’est le moment, ma chérie, laisse-toi aller.
J’essaye malgré tout de prolonger mon plaisir en contractant mes fesses pour retenir la sève que je sens monter dans mes reins.
- Tu ne vas pas me résister bien longtemps, m’assure Delphine en riant.
En effet, pleine de ressources, elle gratte lentement mon frein avec son ongle. L’effet est indescriptible et j’explose en laissant échapper un râle de délivrance et de plaisir. Elle plaque alors son bassin contre moi et pousse le gode au plus profond de mes entrailles. Mon sperme trop longtemps contenu jaillit dans sa main avec une puissance inhabituelle avant de retomber en longues arabesques blanchâtres sur mon ventre.
Je reste immobile, toute étourdie de bonheur, les yeux mi-clos, en extase, en contemplant le mince filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe.

- Tu es bien ouverte ma chérie, me dit-elle.
Elle me place en levrette et elle me reprend le cul dans cette position, Aurélie, troublée par ce spectacle, m’enfonce son sexe dans ma bouche au rythme des mouvements de Delphine dans mon cul, lorsque je la sens vibrer de désir, je lui mordille le gland et lèche son frein jusqu’à ce quelle éjacule en jets puissants dans ma gorge.
Je m’étrangle un instant sous la pression de son sperme qui m’éclabousse les lèvres avant de le déglutir rapidement la jouissance de mon androgyne.

Sans me laisser de repos, les deux complices continuent d’r de moi pendant de longue minutes, se relayant à dans mon cul à tour de rôle, je me laisse guider dans la débauche par mes deux belles.

A nouveau sur le dos et avec mes talons aiguilles, Aurélie m’écarte les jambes au maximum en me disant :
- Je suis folle de ton cul, ma chérie !
Entre mes jambes, le cul bien ouvert, Aurélie les yeux brillants d’excitation me dit :
- Je vais te sodomiser pendant que cette la merveilleuse Delphine m’empalera avec son gode ceinture.
Elle se met bien entre mes jambes qu’elle tient écartées et applique son gland contre ma rosette, puis elle avance son sexe en moi et rentre lentement le gland de quelques centimètres dans mes fesses, pénétration qui se fait sans problème tellement je suis ouverte, puis tout en me masturbant elle s’enfonce un peu plus en moi
Au bout d’un moment, je gémis sous chaque va-et-vient. Aurélie me fixe intensément pendant qu’elle m’empale sur un rythme soutenu.
Puis Delphine se place derrière elle et après avoir lubrifié la rosette d’Aurélie, lui enfonce son gode dans les fesses.
Aurélie frémit sous la pénétration du gode ceinture et ouvre grand la bouche à la recherche d’un peu d’air.
Je ressens les pénétrations de Delphine à chaque fois qu’elle s’enfonce en Aurélie, la projetant au plus profond de moi à chaque poussée.
Aurélie s’active avec ardeur en me pénétrant de son dard avec une rare perversité, sans cesser de me branler d’une main ma verge à nouveau turgescente, et je devine aussi, en sentant les coups dans mes reins, la puissance de Delphine qui encule de son gode Aurélie.

Puis, Delphine complètement hors d’elle se sépare d’Aurélie, se sépare du gode ceinture et se dispose sur le lit les jambes grandes ouvertes. Elle prend un vibro pour se faire jouir, elle écarte ses lèvres pour le poser avec précision sur son clito et le met en marche. Quelques minutes plus tard, chauffée à blanc, elle perd peu à peu le contrôle, ne pouvant plus résister aux vibrations, elle pousse un cri qui libère sa tension, aussitôt suivi de ses gémissements de bonheur.
- Eh bien mes chéries, je viens de prendre mon pied, nous dit-elle encore oppressée.
Aurélie de son côté a continué ses va et vient et c’est ainsi qu’elle arrive au bord de l’orgasme, elle me sourit vicieusement en amplifiant les va-et-vient de son membre en moi.
- Ohhh, oui, dis-je, jouis dans mes fesses, ma chérie.
Elle m’embrasse avec fougue et je contracte puissamment mes muscles intimes sur sa queue pour la faire jouir.
Puis elle jouit en moi et se retire d’un coup sec laissant mon œillet largement ouvert.
- Il va mettre du temps à se refermer, commente-t-elle suavement, maintenant encules moi chérie !
Elle me regarde et ajoute :
- Maintenant, lève-toi mon ange, tu vas me prendre debout et de face.
Je me relève et la plaque contre la cloison de la chambre et force ses cuisses avec son genou, sous le regard attentif de Delphine. Empoignant ses bourses pour dégager l’accès à sa grotte, je lui plonge mon ses raide dans le ventre en la fixant droit dans les yeux.
Haletante, la poitrine palpitante, elle se laisse prendre sans résister. Je la cloue au mur comme un papillon et m’enfonce en elle par petites poussées successives. Je m’aide de mes mains agrippées à sa taille pour l’empaler avec force sur ma queue.
- Te voilà bien prise, mon ange, lui dis-je.
Son bassin collé contre moi, je m’active en donnant de puissants coups de reins qui la font défaillir, elle gémit de plaisir en écartant les cuisses pour me faciliter la tâche.
- Ohhh, chérie, c’est bon, continue comme cela, me dit-elle en relevant la jambe contre ma taille.
L’image que me renvoie le miroir est très excitante, nous sommes debout, Aurélie une jambe posée sur ma hanche pour qu’elle s’empale plus facilement.
- Je sens ta queue grossir en moi, s’exclame-t-elle, pendant que je vois dans le miroir son corps tressauter en cadence sous l’intensité de mes assauts.
J’ai soudain l’impression qu’elle est dans la peau d’une fille que l’on viole à la hussarde en la prenant contre un mur pour satisfaire ses pulsions.
- Je vais te finir sur le lit, mon ange, lui dis-je.
Je l’allonge sur le dos et place deux coussins sous ses fesses pour les mettre à la hauteur de mon sexe en lui disant ;
- Maintenant, écarte les jambes et prends tes chevilles en main pour rester ouverte, lui dis-je d’une voix sensuelle.
Debout face à elle, je contemple sa rosette ouverte comme une fleur.
Je m’enfonce en elle pour jouir dans ses entrailles après une longue sodomie qui lui fait hurler son plaisir et perdre un instant conscience…

A suivre…

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