C'Est Mercredi (2° Partie)

Laure quitte son dernier amant. L’hôtel où elle arrive est celui où elle réserve mercredi après mercredi une chambre des plus confortables au premier. En passant vers le concierge déjà des hommes la regardent avec envie : elle ne porte pas de culotte et le montre. Tous peuvent se rincer les yeux en regardant sa chatte encore humide du sperme du premier.
Son premier soin en arrivant est de se déshabiller. Nue, elle va dans la salle de bain, ouvre les robinets de la douche. C’est totalement accroupi qu’elle dirige le jet dans la chatte. Personne ne doit sentir la semence qu’elle a reçue ce matin. Il lui échappe quelques gestes coquins quand elle se touche le clitoris. Se faire du bien n’est pas interdit, elle en profite pour se branler doucement. Le vagin est propre, sa main continue sur le bouton : elle ferme les yeux dans le vague en se laissant aller vers l’infini.
En sortant de la douche, elle se regarde attentivement dans le grand miroir de la chambre. Elle se plait en gonflant la poitrine et faisant ressortir les seins qu’elle caresse négligemment. Elle remet sa jupette en oubliant le string volontairement. L’heure de son rendez-vous approche. Laure tire un fauteuil pour s’y assoir, juste en face l’entrée. La cérémonie attend le prêtre.
Il ouvre doucement la porte en passant sa tête grise. Il la voit bien assise, les jambes écartées, sa motte offerte à sa gourmandise. Il bande déjà sans l’avoir mérité. Elle mouille d’impatience, son désir monte de seconde en seconde. Enfin il pénètre dans la pièce. Il ne l’embrasse pas, c’est hors de propos. Il vient à ses pieds, regarde sa moule brillante de cyprine. Sa langue est impatiente d’aller se poser sur ce sexe de femme en chaleur.
Il se met à genoux devant cette déesse de l’amour, nouvelle Héra, en moins pudique. Il pose ses mains sur chaque cuisse, les caresses en montant vers le temple bénit d’Eros. Elle est prête à mettre ses jambes sur ses épaules. Laure gémit de désir.

Elle écrase les seins, lèche ses lèvres. Elle veut qu’il la lèche, qu’il l’épuise en orgasmes.
Enfin il pose sa bouche sur l’abricot. Il est assez mur pour lui, il sort sa langue la goute un peu, rentre la langue avec de recommencer. Il ne la lèche plus, il la picore. Cette fois elle pose ses cuisses sur ses épaules, elle l’entoure en le serrant dans ses jambes unies.
Lui tire la langue à fond : il la lèche à grand coup. La tête de Laure divague dans tous les sens. Ses yeux sont dans le vague : elle prend son pied largement en gémissant longuement comme une chatte sous son matou. Lui bande à lui faire mal. Il patiente en espérant que cette fois elle lui donnera ce qu’il attend : son con ou son cul : elle le lui a promis il y a quelques mercredis de ça. Il se touche à peine en attendant.
Elle part dans un cri de jouissance. Ses jambes se serrent complètement sur le cou de son amant : elle ne s’aperçoit de sa présence que maintenant. Elle s’ouvre et enfin lui donne ce qu’il attend en parti. Aujourd’hui elle préfère qu’on la baise par derrière. Mais c’est lui qui décide de la suite : il met le pouce doucement sur l’anus. Il l’enfonce presque totalement : elle gémit. Il pousse l’avantage en mettant l’index dans le con. Il fait coulisser les doigts en cadence. Laure ne sait plus qu’elle mouvement elle doit suivre ou précéder. Ses mains sont sur ses seins, tirent sur les mamelons à lui faire mal. Cette douleur ajoute à son plaisir du ventre. Son ventre se plisse plusieurs fois en jouissant.
Sans trop tenir compte de Laure, il la tire, les fesses au-delà du siège. Elle est à sa portée. Laure regarde le membre venir sur elle. Elle aime le gland violacé qui va entrer dans sa féminité. Il sort à moitié du prépuce, de la bite. Elle grossit sans cesse cette pine, cette grosse queue qui va la défoncer comme elle aime.
Prise d’un mouvement incontrôlé, brusquement elle ferme les jambes. Lui les ouvre avec colère : il est venu baiser, pas passer les caprices d’une dingue.
Elle l’aura voulu. Il la lui met au cul. Elle s’attend à quelques douceurs préliminaires. Il pénètre en force dans le tuyau rectal.
Laure pousse un cri comme si il l’égorgeait, cri qui s’arrête quand elle ronronne. C’est bon pour elle de se faire défoncer le cul. Elle aime ça, remercie encore son mari de l’avoir initié à la sodomie. Elle aime sentir contre ses fesses les poils du pubis masculin.
Il lui prend la main, la pose sur le clitoris. Elle comprend ce qu’il veut. Elle commence à se masturber devant lui sans honte aucune, avec un désir encore plus vif de jouir plusieurs fois avec une pine au cul. Elle ajoute son autre main pour entrer dans la moule. De un elle passe à trois doigts : elle est totalement écartelée volontairement. Son immédiat : jouir, encore jouir.
Elle laisse la pine dans son con décharger son contenu. Elle imagine bien le liquide blanc visqueux, gouteux qui envahi son ventre. Elle regrette de ne pas l’avoir dans la bouche pour s’en régaler.
Son amant se relève un peu groggy Pour elle la queue débandant est agréable. Elle la prend dans la main avec laquelle elle se caressait le clitoris. Elle rajoute sa cyprine à celle sur la queue. Dans un dernier geste de gourmandise elle la prend sans la bouche comme une sucette. Le gland est transformé en bout de glace. Elle le lèche pareil. Puis le prend en totalité dans la bouche. S’y sent le gout de son cul, de sperme et de sa propre cyprine : un régal pour son mercredi.

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