Julien

La sortie s’annonce bien : le soleil brille déjà, tout le monde est là. D’avance je suis satisfaite : mon chéri est venu parmi les premiers. Un long baiser promet d’ardentes caresses. Nous savons qu’avec tous les autres autour de nous, nous serons à la peine pour faire des câlins. Julien est chou, il a pensé à porter une couverture à nous seuls destiné. Nous trouverons bien un endroit isolé pour faire des choses, surtout qu’aujourd’hui je dois lui donner mes fesses : il me tarde. Je connais la taille de son engin, je n’ai même pas peur qu’il me la mette là bas en bas.
Enfin le bus retenu arrive, nous montons tous en désordre. Nous arrivons à nous planquer au fond pour être seuls. Nous n’attendons que quelques minutes pour nous embrasser à bouche que veux-tu. Nos langues se connaissent fort bien. J’attendais cet instant depuis hier au soir : sa main passe sous ma jupe pour chercher ma choupinette. En m’habillant ce matin j’ai « oublié » de mettre ma culotte. Julien en est ravi, il peut me masturber comme il faut rapidement après avoir caressé l’intérieur de mes jambes ouvertes.
J’aime quand il fouille ma chatte. Il le sait, il en profite largement. Je ne sais même pas si les autres nous voient, je m’en fiche totalement. Je suis avec mon copain qui me fait du bien : que demander de mieux. Il me fait jouir une fois. Il garde sa main sur la foufoune comme pour mieux sentir ma cyprine couler. Il commence à me doigter. Là, je sais que lui faire : je sors sa bite du pantalon : il bande comme un âne.
Je le prends à pleine main, je descends lentement le prépuce jusqu’aux couilles. Je sens son mandrin frémir entre mes doigts. Je tire encore plus vers le bas, jusqu’à lui faire mal. Je sais qu’il aime bien ce genre de douleur.
Je regarde devant : personne ne nous regarde alors, j’en profite pour me baisser sur lui. Je prends sa queue dans la bouche. Elle a un vague gout d’urine (j’adore) ajouté à son odeur de pine naturelle.

Ses mains ont changées de place : Julien les a posés entre mes fesses pour caresser mon anus. Ce n’est pas la première fois qu’il me branle à cet endroit.
Je suis excitée encore plus que l’avoir dans ma bouche et de sentir ses doigts sur mon cul. Si ma langue lèche son gland avant de prendre tout son bâton, sa main me caresse tellement bien le rectum que je me raidi en jouissant. Vivement qu’il m’encule.
Sentant mon orgasme il en profite pour entre un doigt loin dans mon ventre. Il le fait aller et venir. C’est bien la première fois qu’il me branle ainsi. C’est bon, c’est jouissif. Je le laisse faire, ça me sert d’entrainement pour tout à l’heure.
Malgré moi je mordille sa queue. Je sais que je ne devrais pas. Je ne peux me retenir. Ma tête fait des vas-et-viens sur la bite. Il soupire de bonheur ou de plaisir. Je sens que sa queue gonfle un peu : il va jouir. Je me prépare à recevoir son jet de sperme. Je suis friande de sa semence. Je ne sais pourquoi il largue une quantité supérieure. J’arrive difficilement à tout conserver dans ma bouche. Je garde tout en me relevant : j’ouvre la bouche pour qu’il voit que j’ai toujours son jus.
J’avale très lentement en faisant de nombreuse pose entre chaque minuscule gorgée. A chaque fois je montre ma langue pleine de ses germes. A la fin, quand j’ai tout avalé je l’embrasse en ayant quelques résidus de lui sur ma langue. Pas dégouté du tout, Julien déguste le reste avec moi, comme quand il me donne à lécher ses doigts après m’avoir branlée.
Le bus ralenti : nous arrivons sur les lieux du piquenique. Nous nous remettons correctement : personne ne peut se douter de ce que nous avons fait. J’ai pourtant un creux dans mon ventre, l’envie de sa bite devant et derrière, surtout derrière.
Les filles nous mettons « la table » pour poser les victuailles sur des couvertures ainsi que des assiettes en carton.
Le repas se passe normalement, mis à part les baisers échangés par la plus part des participants : tous ou presque ont des liaisons parfois poussées comme j’ai avec Julien.
Je ne pense qu’aucun n’en est à notre niveau de familiarité. Je crois bien être la seule à désirer me faire enculer. La fin du repas est digne d’une orgie romaine : chaque couple se caresse devant les autres. Un même plus intrépide que les autres est nu : ils vont baiser certainement.
- Julien, pourquoi ne pas m’enculer maintenant ?
- Devant les autres ?
- Oui, je crois que nous serions les seuls à faire une sodomie.
- Si tu y tiens.
Il me fait enlever la jupe, le corsage pour me retrouver nue devant tous les autres. Ca m’excite terriblement. Lui aussi est vite tout nu. Comme souvent quand je le vois ainsi je ne peux m’empêcher de caresser ses fesses avant de le prendre dans ma bouche. Je débute un pompier que je vais vite arrêter quand il sera excité un max. Finalement personne ne fait attention à nous.
Il me fait coucher sur le dos, me fait écarter les jambes. Son cunnilingus est parfait. Sa langue est le révélateur d’une foultitude d’endroits que je connais à peine dans ma chatte. Ma tête roule dans l’herbe pendant qu’il me fait du bien. Mes fesses sont resserrées comme si j’avais peur. Je me relâche complètement au moment attendu de l’orgasme.
Julien vient sur moi, il me baise lentement. J’aime cette sensation de me faire écarter le sexe. Il va tout au fond, contre ma matrice. Je ne sais ce qu’il touche, je gémis et tremble comme une feuille : c’est délicieux.
Il faut que j’avoue que je baise depuis longtemps, depuis qu’à 15 ans, un ami de mon père m’a coincée dans un coin, pour lever la robe, caresser mon bijou avant d’y mettre sa queue, une queue dont j’ai eu peur vu sa grosseur. Pourtant après les premières douleurs inévitables j’ai joui. Depuis c’est devenu mon vice principal avec la masturbation : j’aime me faire mettre, mais avec Julien c’est différent, je jouis encore plus. Quand je me masturbe mes fantasmes sont toujours tournés vers lui.
Il me baise donc, en me faisant jouir mieux que les autres fois.

Quand il me met en levrette, je suis contente : il va me sodomiser.
- Mets-toi de la cyprine sur l’anus.
- Pourquoi ?
- Pour que tu n’aies pas mal quand j’entrerai la première fois.
Je passe ma main sur le con pour récupérer le maximum de mouille. Je l’étale entre les fesses, juste à l’entrée de mon anus. Je sens même la bite que se rapproche. Je me détends complètement : après tout c’est bien moi qui ai voulu qu’il m’encule. Je sens maintenant la queue se promener entre mes fesses, aller sur mon sexe, repartir avant de revenir se poser à l’endroit voulu. Je touche la queue avant qu’il la rentre. Son prépuce n’est pas descendu.
- Je te veux tout nu, descend ta peau.
Il est gentil, il m’obéi. Je sens sa main qui fait ce que je demande, c’est presque aussi bien que quand il se branle devant moi. Je suis prête quand il commence à entrer. J’ai un peu mal. Son gland passe : là j’ai mal. Et puis le reste de la queue entre puisque je sens ses poils contre mes fesses. Je n’ai plus mal. J’aime être enculée. C’est comme quand on a une envie d’aller aux cabinets et qu’on défèque : ça fait du bien. Là, c’est presque la même chose, sauf que ça entre et ça sort. Je ne pensais jamais que ce soit si bon ; je jouis vite et bien, presque aussi bien que par devant, sauf que je peux me branler en même temps.
Et puis je jouis mieux que par devant. Je sens son sperme qui vient envahir mes entrailles. Que c’est bon de se faire sodomiser.
Ce que je n’ai pas vu, c’est que certains des camarades font cercles autour de nous : certains regardent sans plus, d’autres, garçons ou filles se masturbent. Nous sommes à nous seuls le véritable spectacle de la sortie.
J’en suis fière, au moins personne ne doutera de moi quand je dirais que je suis une bonne baiseuse.
C’est en voyant les filles se donner du plaisir que j’ai envie qu’un d’elle me suce. Je ne sais pourquoi j’ai réellement besoin d’une langue de fille sur ma chatte. Je le demande bien fort : une copine se dévoue : elle est connue pour sa bisexualité.
Elle passe sous moi, arrive tant bien que mal à prendre mon bouton dans sa bouche. Ses jambes écartées sous juste sous ma bouche. A mon tour, je me baisse légèrement pour prendre sa chatte dans la bouche. Je ne suis même pas étonnée de son gout, ni de son odeur.
Je ressens ce nouveau plaisir s’ajouter à celui de mon cul. Je sais que je vais avoir une mauvaise réputation. Je m’enfiche, j’ai le plaisir complet. Je sens qu’elle jouit, je me demande si j’arrête ou si je continue. Je continue à ma façon, je suis enculée alors je vais lui faire connaitre ce plaisir. J’écarte ses fesses à deux mains, je mouille un doigt dans sa chatte. Je le rentre bien au fond dans son anus. C’est agréable à voir mon doigt entrer facilement dans le cul d’une autre fille. Je sens que je vais moi aussi devenir bisexuelle. Julien en sera content : il pourra baiser deux filles à la fois.

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