Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (11)

Un plaisir partagé est un plaisir double (11)

Je suis allée faire quelques courses et comme je ne suis pas très loin de chez ma copine, je vais passer leur dire un petit bonjour et me faire payer une petite tasse de café. C’est André qui est venu m’ouvrir la porte.

« - Quel bon vent t’amènes ma chère ? »

« - Je passais dans le coin et je pense que vous n’auriez pas été contents si je n’étais pas passé pour vous faire un petit coucou. »

« - Entre, tu vas bien boire un petit café ? »

« - Ce n’est pas de refus car il ne fait pas très chaud ce matin, Annie n’est pas là ? »

« - Elle est chez la coiffeuse, mais elle ne devrait pas tarder à arriver. Donnes moi ton manteau. »

J’ai retiré mon vêtement, je portais en dessous une robe chaussette en laine. Elle est moulante noire et courte. Elle laissait deviner toutes mes formes, on pouvait même voir mes tétons qui avaient durci avec le froid (que vous pouvez voir sans la robe sur mon avatar) et les marques de mon string qui me serrait un peu, des bas dim et des bottes. André me lança un petit sifflet d’admiration en me voyant.

« - Tu es ravissante et désirable ma chérie. Je vais te faire le café, si veux-tu mettre les tasses s’il te plaît. » me dit-il

Chez Annie, je suis comme chez moi, c’est ma seconde maison. Nous n’avons aucun secret l’une pour l’autre, on se raconte tout, nos soucis et nos amours. Nous partageons tout ce qui est à moi lui appartient aussi bien mes vêtements que mes dessous mis à part peut être mes soutiens gorgent dans lesquels elle n’arriverait pas à y loger ses jolis nénés et depuis peu nous échangeons nos maris. Elle n’est pas que ma meilleure copine c’est aussi mon amie de cœur et de plaisir.

Je me suis assise dans le canapé du salon et André s’est installé dans le fauteuil en face de moi pour déguster notre café. Ma robe courte et moulante s’était relevée à la limite de mes bas, je ne sais même pas si le mari d’Annie ne me voyait pas ma petite culotte.

Je tirais chaque fois dessus pour cacher mes cuisses.

« - Tu n ‘as pas besoin de tirer sur ta robe, je connais même ce qu’il y a sous ton slip pour te l’avoir embrasser. »

C’était vrai et je me sentais tellement ridicule que je me suis mise à rougir.

« - Veux-tu une autre tasse de café ? »

« - Oui je veux bien s’il t’en reste. » Cela me permettait de reprendre mes esprits pendant qu’il s’absentait pour me servir.

« - Laisse-moi une petite place sur le canapé à côté de toi. »

Je me suis exécutée, en lui laissant une petite place et nous avons parlé de notre soirée de carnaval que nous avons passée chez nous.

« - J’espère que tu n’étais pas fâché, en te proposant de venir déguster ta crêpe à la chantilly sur ma minette, je sais très bien que tu n’aimes pas faire de cunnilingus mais tu sais c’est une caresse tellement agréable pour une femme lorsque c'est bien fait et cela fait partie des préliminaires avant de faire l’amour ensemble. »

« - Non, je ne t’en veux pas, mais maintenant Annie me demande à chaque fois de lui lécher sa craquette avant que je puisse la prendre. Je préfère de loin la tienne elle est suave, délicate et pudique avec son petit bourgeon qu’il faut aller chercher en fouillant tes lèvres sucrées. Surtout tu ne dis pas cela à ma femme. »

« - Ce n’est pas gentil pour elle ce que tu dis, moi je la trouve délicieuse, délicate et accessible avec ses grandes lèvres qui émergent de son mille-feuilles. »

Tout en discutant André posa sa main sur mes cuisses. Un trouble s’installa dans mon esprit, j’avais du mal à réaliser que nous avions baisé ensemble, qu’il me connaissait nue et qu’aujourd’hui pendant que je suis seule en sa compagnie, je me sentais prude et réservée. Annie étant absente j’avais l’impression de la tromper avec son mari et je me demandais comment aller t-elle réagir si elle nous voyait enlacer tous les deux. En attendant la main d’André avait fait son chemin en remontant mes cuisses, jusqu’à me caresser la chatte par-dessus le petit bout de tissu qui cachait mon intimité.
Il me l’écarta et ses doigts étaient maintenant en train d’explorer l’intérieur de ma fente. Il se leva, ses mains glissèrent le long de mes jambes pour retirer mon string, il me demanda de soulever mes fesses pour pouvoir le sortir.

« - Non…. André ce n’est pas bien ce que nous faisons, ce n’est pas correct nous devrions attendre le retour de ta femme de chez la coiffeuse pour qu’elle soit présente si tu as envie de moi, je n’aurais pas l’impression de la tromper. Surtout que je suis sur qu’elle accepterait sans problèmes que tu me baises. »

Bien que je ne sois pas d’accord, il insista, j’avais beau lui dire : « Non ne fait pas cela » il persistait en s’acharnant à pouvoir retirer mon slip. J’ai abdiqué en soulevant mes fesses pour qu’il me dépossède de mon string. Ma robe étant relevée jusqu’à ma taille, il plongea sa tête entre mes cuisses, résignée et consentante, je lui ai ouvert la porte de mon paradis. Il écarta de ses doigts mes grandes lèvres pour accéder directement à mon petit bourgeon. Avec sa langue il souleva le petit capuchon et se mis à taquiner mon clito. Il glissa deux doigts dans mon orifice vaginal. Je mouillais comme une catin. Ma parole, il devait avoir pris des cours du soir avec son épouse qui a du lui apprendre à faire jouir une femme en lui indiquant nos zones érogènes car son cunni n’avait rien à voir avec celui qu’il m’avait fait chez moi sur la table de la salle à manger. En même temps il faisait tourner ses doigts dans mon œil de cyclope, des râles de plaisirs et des mots incompréhensibles parfois s’échappaient de ma bouche. Mon corps tout entier s’est mis à trembler, j’essayais d’aller plus loin dans la jouissance en résistant mais ses caresses buccales eurent raison de moi, je me tordais dans tous les sens, incontrôlable. André de ses bras puissants continuait malgré tout à maintenir mes cuisses ouvertes pour me bouffer la chatte. Je convulsais, d’un sursaut spasmodique, j’ai réussi à me libérer de cette emprise charnelle mes jambes se sont croisées enserrant dans mon vagin ses deux doigts qu’il continuait à bouger.
Il me possédait et je ne commandais plus rien, je n’étais plus maître de mon corps. Impossible de résister, j’ai même cru à un moment que j’allais perdre connaissance, il m’a déclencher un orgasme comme il y a longtemps que je n’avais plus connu.

Je ne sais pas si toutes les femmes sont comme moi, mais l’idée d’être surprise par Annie en train de baiser avec son mari sans son approbation me donne une poussée d’adrénaline qui m’excite au plus haut point et me faisait mouiller abondamment.

Cette fois André avait réussi à me faire jouir et il n’en avait pas fini avec moi, il retira son pantalon et son caleçon. Offrant sa grosse bite en érection à ma vue. Je ne pouvais pas faire autrement pour le remercier de m’avoir procuré ce merveilleux moment mais aussi d’avoir fait tant d’efforts pour m’être agréable en se rasant totalement le sexe rien que pour moi et de me sucer la chatte, alors qu’il n’aimait pas cela. Je me suis approchée de lui pour lui faire une petite gâterie en prenant son beau gland décalotté et luisant dans la bouche en me délectant de sa petite pomme d’amour qui grossissait encore dans ma bouche.

C’est dans cette position qu’Annie nous a surpris, nous étions tellement occupés que nous ne l’avons pas entendu rentrer.

« - Je vois que l’on ne s’ennuie pas ici pendant mon absence. »

J’étais embarrassée devant elle, je me suis mise à rougir d’avoir été surpris en train de faire un pompier à son mari, ne sachant pas ce qu’elle allait penser de moi sa meilleure amie, en plus que ma robe était troussée jusqu’à ma taille et que ma petite culotte traînait par terre, mon silence était la preuve de ma culpabilité.

Annie s’était rendue compte que j’étais mal à l’aise en me disant :

« - Ce n’est pas à toi ma chérie que je m’adresse mais à mon mari qui pas plus tard qu’hier me reprochait d’être un peu trop affectueuse et trop câline avec ton mari, il trouvait que mes caresses étaient excessives et que j’étais trop caressante envers lui lorsque j’étais nue dans ses bras.
Il m’a dit aussi qu’il voyait bien que j’étais amoureuse de ton homme. En le voyant là maintenant, le cul nu en train de t’offrir sa bite en érection, je pense qu’il n’avait pas de motif valable pour me réprimander. Regardes le à présent la queue entre les pattes, il ne bande plus d’avoir été surpris en flagrant délit. D’ailleurs, moi tu ne m’as jamais surprise en train de baiser avec Bob en ton absence parce que cela n’est jamais arrivé. ( Ce n’était pas vrai elle s’était fait niquer par mon chéri lorsque André était à l’hôpital.) Il est incapable de discerner comme ton mari, de faire la différence entre faire l’amour pour que chacun prenne du plaisir et l’amour que l’on a dans le cœur pour son compagnon ou sa compagne. C’est tout maintenant que je lui ai fait la leçon, je ne suis pas jalouse et vous pouvez continuer mais cette fois je vais me joindre à vous. Sers-nous quelque chose à boire André. »

« - Je suis contente que tu ne m’en veux pas, et que notre amitié reste intacte, je n’ai même pas eu le temps de te dire que tu étais très belle, ta coupe te va à ravir. Nous ne nous sommes même pas embrassées, donnes moi tes lèvres ma chérie que je te montre combien je t’aime. »

« - Je savais que tu étais là, j’ai vu ta voiture en rentrant, et moi je ne t’ai même pas demandé pourquoi tu étais venue ? »

« - Comme ça, je passais près de chez toi en allant faire des courses, j’avais envie de venir te faire un petit coucou et boire un petit café avec vous mais le pigeon voyageur était absent alors j’ai fait affaire avec ton mari. »

Quand André est revenu de la cave avec une bonne bouteille de pinot blanc, nous étions dans les bras l’une de l’autre en train de se rouler des pelles comme un couple d’amoureuses qui se retrouverait après une longue absence.

« - Alors mon chéri cela te dirait de nous prendre sur le canapé ? A moins que ma copine ait épuisé tout tes ressources de sperme, je n’étais pas là pour le voir, te sens-tu encore capable de nous baiser toutes les deux ? »

« - Nous n’avons rien fait, tu es rentrée avant que puisse saillir ta copine. » Demandes lui.

Pendant qu’elle était en train de se mettre en tenue de combat, me voyant empêtrée dans ma robe en voulant la retirer elle me demanda :

« - Tu veux que je t’aide à ôter ta robe chaussette, tu es tellement moulée là-dedans. »

Sans attendre ma réponse elle me donna un coup de main pour me la passer par la tête, sans que je m’y attende, elle me mis la main au panier.

« - Arrête de t’amuser, tu veux et viens à mon aide, tu me vois emberlificotée dans ma laine et toi tu s de moi en me trifouillant le zigouigui. »

« - Ce n’est pas moi c’est André. »

« - Et tu crois que je vais croire cela ? Entre tes mains douces et délicates qui me fouillent et les grosses paluches d’André, que je ne sens pas la différence ? »

« - J’ai hâte que tu me fasses l’amour ! Je veux être dans tes bras, enveloppée contre toi. Je veux t’embrasser jusqu’à ce que nos lèvres brûlent. J’ai envie de sentir tes mains se promener sur mon corps, mes fesses, mes seins…Je veux sentir tes doigts me fouiller. Je t’aime. »

C’est une véritable déclaration d’amour qu’elle me faisait là. Joignant ses mots aux gestes, elle me renversa sur le canapé, ses lèvres s’unirent aux miennes dans un baiser fougueux. De ses mains elle me caressait le corps de mes seins jusqu’à mon entre jambes que je lui écartais pour lui ouvrir l’accès de mon petit creux à me faire du bien. Elle excita mon clitoris en le branlant vigoureusement et énergiquement en humidifiant mon bouton rose avec la cyprine que je sécrétais. Puis ses doigts s’enfoncèrent doucement dans ma fente. Cette caresse vaginale fut interrompue par André qui nous demanda :

« - Alors les filles, vous ne m’avez pas demandé de vous prendre toutes les deux ? Je ne suis pas là pour tenir la chandelle. »

« - Hé bien qu’est-ce que tu attends ! Tu n’as pas assez de trous devant les yeux pour y mettre ton sexe ? Lui répliqua Annie.

Il lui écarta les cuisses pour pouvoir avoir accès à sa choupinette et comme un animal en rut, il lui enfonça sa grosse pine sans ménagement. Ma pauvre chérie se mouvait sur moi à la cadence de ses coups de butoir en me serrant de toutes ses forces dans ses bras. J’entendais la paire de couilles d’André frapper à chacun va et viens sur son mont de vénus. Il ne tarda pas d’ailleurs à lui envoyer une salve de son sperme en lui tapissant son petit intérieur. Presque soulagée que cela soit fini elle se redressa en nous disant :

« - Je vais dans la salle de bains pour me laver, je te laisse mon amour entre les grosses pattes de mon mari. » Disant cela pratiquement en larmes.

J’avais tellement de peine de voir ma chouchoute dans cet état, que je me sentais dans l’obligation de moraliser mon compagnon de baise en lui disant :

« - Tu ne me niques pas comme tu viens saillir ta femme, tu dois bien voir qu’elle ne prend aucune jouissance à faire l’amour avec toi. Tu dois être plus délicat et mieux intentionné avec elle, ce n’est pas une poupée gonflable dans laquelle tu peux y fourrer ta bite rien que pour ton plaisir. Je sais que tu peux être plus gentil avec elle et la prendre plus délicatement pour la faire jouir d’ailleurs je vais t’avouer que tout à l’heure j’ai pris du plaisir avec toi parce que tu as été tendre et bienveillant avec moi alors tu dois faire pareil avec ton épouse. Si tu ne changes pas je n’accepterais plus de faire l’amour avec toi et ce serait bien dommage tu ne crois pas ? »

« - Oui mais… »

« - Il n’y a pas de mais, maintenant tu peux me prendre si tu as envie. »

Je me suis positionnée dans le canapé en écartant mon antre de plaisir, seulement il a fallut que je le masturbe un peu avec la main pour lui faire sortir son escargot qui était rentré dans sa coquille. Il m’a pénétré avec tendresse cette fois en montant sur moi dans la position du missionnaire, en m’embrassant et en me pelotant les seins. Il s’engouffra en profondeur dans mon vagin irrigué de cyprine. J’ai écarquillé encore davantage mes cuisses en plaçant mes jambes de chaque côté de ses fesses. Ma vulve accueillante hébergeait la totalité de sa verge, ma main agrippa son sac de billes que je me suis mise à pétrir. Annie venait de revenir tout habillée de la salle de bains.

« - Hé bien ! Tu n’es pas aussi expéditif qu’avec moi, tu n’as toujours pas réussit à honorer ma copine depuis tout ce temps, peut être que Monsieur n’est pas à la hauteur pour éjaculer deux fois de suite ? ( Elle devait penser à notre bel étalon noir qui nous avait prise deux fois chacune.)

Cette remarque mis fin à nos galipettes, je ne sais pas s’il n’arrivait pas à juter une seconde fois comme le disait sa femme ou que cette réflexion ne lui avait pas plu, mais il se retira en prenant ses vêtements pour se rhabiller. J’en ai fais de même en trouvant l’excuse que mon mari allait se demander où j’étais passée pour prendre congé de mes amis.
Je téléphonerais demain à ma tendre amie pour lui dire que j’avais fait la morale à son mari pour qu’il soit plus gentil, plus attentionné et plus tendre avec elle et qu’il ne la baise plus bestialement en prenant son sexe pour un garage à bite.

















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