Le Bar Libertin

Le souvenir de cette visite m’obsède. Ce n’est pas donné à tout le monde de visiter en spectateur une de ces endroits libertins. L’homme qui m’accompagnait, G. était un « maître ». Il m’avait demandé de m’habiller avec une robe et non pas en jean. La robe devait être un peu décolletée. Je ne possède pas de genre de robe, aussi j’ai mis celle à bretelle qui laisse voir mes épaules. Mon copain Alain me trouve un peu trop attirante.
Il me fait enlever la robe, pour faire tomber mon slip. Il sort sa queue et sans me caresser un peu il me baise comme il l’aurait fait à une pute rencontrée rue Saint Denis. Il m’a un peu excitée sans plus. Je file à mon rendez vous au café où se déroulent les parties particulières. Une bonne poignée de main suffit pour me rassurer. Dès l’entrée la pénombre règne. Je suis arrêtée par une fille légèrement vêtue qui demande de laisser toutes mes affaires. Je suis déchargé de mon sec et de mon téléphone.
- C’est pour éviter de prendre des photos compromettantes.
- C’est la règle ici, comme dans tout ce genre d’endroit et crois moi, j’en connais beaucoup.
Je précise encore une fois que je ne participerai jamais à des formes de BDSM. S’il m’a emmenée c’est que je le connais depuis presque toujours, quand j’avais sans doute 12 ans. Pour lui je suis restée la gamine d’alors, même si j’ai 25 ans.
Nous entrons dans une salle longue, avec quand même pas mal de lumière, ce qui me permet de voir le bar au fond, vers un escalier. Une table est libre juste à coté. Nous prenons place. Avant qu’un serveur ne s’occupe de nous je vois juste en face une femme nue qui me tourne le dos à genoux, la queue bandée d’un homme dans la bouche.
- C’est une soumise qui contente son maitre.
- C’est pas normal qu’elle face ça en public.
- Tu n’y connais rien, elle en est excitée, sans doute en remerciement elle pourra se faire sucer par une fille, à moins qu’elle veuille se faire mettre par un autre.


Je fixe la fille pour connaitre la suite. Elle a une petite goutte de sperme juste entre ses commissures. Elle va bien vers une femme. Je m’attends à une scène digne d’un film X. C’est bien ça. L’autre femme lui donne sa chatte qu’elle lèche lentement. Les mains sont liées par les doigts. Les deux femmes ferment les yeux. Celle qui lèche se caresse le clitoris pendant que sa langue lèche celui de l’autre.
Il me semble sentir l’odeur particulière de l’amour au féminin. Celui qui a jouit de sa bouche bande à nouveau. Il vient vers moi :
- Si tu me veux je suis d’accord pour te la mettre où tu le désire.
- Merci, je ne baise pas aujourd’hui.
- Bien répondu. Il ne sera pas fâché.
En effet il fait le tour des une et des autres, avant de trouver une fille qui accepte de servir de pot à sperme.
Le parton du bar vient nous voir. G me présente comme une apprentie. Il me baise cérémonieusement la main : je suis admise pour aujourd’hui. Je sais que si je reviens je devrais consommer ou me faire consommer. En guise de bien venue, nous avons une bouteille d’un excellant champagne.
J’ai le regard toujours attirée par cette nana qui passe son temps à sucer les sexes.
- Elle adore le foutre et la cyprine.
- Elle pourra me le faire, alors ?
- Si tu étais membre bien sur. Mais dans ce cas il faut que tu oublie ta culotte chez toi.
Je me rends compte que j’ai la culotte justement trempée. Je passe mon trouble par une bonne gorgée de vin. G se lève pour me faire monter à m’étage. Un long couloir et des portes plus ou moins ouvertes d’où s’échappent de drôle de bruits. G. m’entraine tout au fond. Une bonne dizaine de personnes sont les spectateurs de quelque chose.
Une fille de mon âge est suspendue par les mains à une poutre apparente. Sa nudité est belle à voir. Ses pieds touchent à peine le parquet. Derrière elle un homme dans la trentaine lui met sa queue au cul. Elle ne se débat pas, elle est simplement secouée par les coups de pine.
Ses cris viennent sans doute des mouvements de va-et-vient. Sa tête navigue dans tous les sens. Elle pousse un grand cri de jouissance quand l’homme sort de son anus.
Les personnes présentent se masturbent sans honte. Ils prennent une bonne partie de leur plaisir de la vue de ces deux corps associé dans le plaisir.
G me fait continuer sa visite. J’ai une bonne vue sur un couple de fille en 69 qui se font l’amour. Je vois distinctement qu’elles ont chacune un gode dans la main pour enculer l’autre. Pour moi c’est encore plus excitant que ce que je viens de voir. Dans un angle de la même pièce, deux hommes se branlent mutuellement. D’après G se sont les maris ou amants des deux filles. Je regarde les mains qui branlent les queues. C’est la seule fois de ma vie que je vois deux hommes se donner du plaisir. Je ne veux pas partir sans les voir éjaculer. Je n’ai pas à trop attendre : leur jet est simultané. Je suis entièrement mouillée. Si je m’écoutais je me donnerais à la bite de G.
Nous passons rapidement une pièce où une fille reçoit le fouet. Je n’aime pas du tout ça. Comment peut prendre du plaisir à faire du mal. G m’explique que c’est celle qui reçoit les coups qui a envie de jouir, que certaines ne jouissent qu’ainsi. En revenant dans le bar il me montre des filles, jeunes, qui sont zébrées de cicatrices de fouet. Elles ont subit le châtiment qu’elles souhaitaient au fond d’elle-même, sinon elles ne seraient pas là.
Juste avant de partir il me demande si je ne suis pas excitée. Je ne vais pas lui avouer que j’ai envie de lui. Disons d’une bite ou une langue.
Nous partons vers chez moi. Il m’avoue bander encore. Je me refuse à lui. Quand il me laisse je retrouve mon Alain. Je suis très chaude, même s’il dort. Je me déshabille pour me glisser contre son corps chaud.
Je prends sa queue dans la bouche. Il se réveille en bandant. J’ai trop envie pour lui raconter ce que j’ai vu. Je vais sur lui. J’ai oublié de sucer sa queue complètement.
Il s’en passera, j’ai un besoin urgent de sa bite dans mon con. Je me pose sur son bas ventre. Lentement elle entre dans le vagin tellement mouillé que je suis obligée de le serrer. Je vais et viens sur lui comme une cavale endiablée. Je me sens pour la première fois jouir plusieurs fois. J’ai encore envie ; Je change de trou en pensant à la fille qui acceptait de se faire sodomiser dans une position pas possible. Je jouis encore. Alain décharge dans le cul.
J’ai encore envie, alors pour la première fois je fais ce que je n’ai jamais fais je me masturbe devant lui qui regarde ma main aller et venir sur ma chatte. Je jouis facilement, lui bande à nouveau. Je lui prends la bite dans la bouche pour le faire durcir encore plus. J’ai raison, il me veut ailleurs. Il aura ce que je veux : mon con.
J’écarte les jambes pour qu’il accède à mon sexe ouvert. Il me baisse fort bien en me faisant encore jouir plusieurs fois. Je sens ses spasmes quand j’ai les derniers de la nuit.
Le lendemain j’ai un coup de fils de G. Il m’invite encore dans un lieu de débauche. Je crois que je vais accepter, cette fois je me ferais baiser.

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