Leslie An21

Leslie AN21 - Anastasia, week-end à Epernay, dans la matinée, chez Benoît

« Un jour, alors que je n’étais pas encore avec Laure, j’ai fait une drôle de rencontre, un soir alors que j’étais sortie au cinéma, une femme est venue s’installer auprès de moi.
Il faut que tu saches que je me mets toujours au fond de la salle afin d’avoir le maximum de recul et profiter pleinement du film.
En attendant le début du film, elle a engagé la conversation et elle m’a ouvertement draguée, d’une quarantaine d’années elle était très belle et visiblement intéressée par les jeunes filles.
Dès que le film a commencé et que la salle fut plongée dans le noir, sa main est venue se poser sur ma cuisse, troublée je n’ai pas réagi et elle dut prendre cela comme un consentement de ma part, puisqu’elle ne l’a pas enlevée.
Pendant un long moment elle l’a laissé ainsi sans bouger, puis petit à petit elle l’a remonté vers le haut de ma cuisse nue, que ma courte jupe laissait dénudée.

C’est ainsi que peu de temps après, le bout de ses doigts ont effleuré mon sexe déjà bandé de désir…
Se penchant alors vers moi, elle m’a dit dans l’oreille :
- Petite cachotière, tu es une petite transexuelle, je vais t’emmener chez moi et te sodomiser comme jamais tu ne l’as été, car les hommes ne savent pas faire ça correctement.
Cela m’a fait bandé encore plus, la soudaineté de ses propos avait jeté en moi le trouble et sa main s’est emparé de mon sexe pour le caresser sous la forme d’un doux branle.
Elle m’a ensuite de son autre main prit la tête pour la tourner vers la sienne et ses lèvres se sont posées sur les miennes pour un somptueux baiser. Sa langue s’est introduite dans ma bouche et sa langue a joué avec la mienne, puis elle a rajouté :
- J’ai un beau godemiché et je suis déjà toute excitée de savoir que je vais prendre ton petit cul de trans, ensuite si tu le veux, toi aussi tu pourras me posséder.



Je n’ai rien répondu, je n’osais protester car elle avait mis le trouble en moi et je n’avais pas été prise depuis plusieurs jours, alors l’occasion qui se présentait ne pouvait se refuser.
Je connaissais depuis longtemps les joies que procure de se faire pénétrer par un sexe masculin et celle aussi d’un gode, bien sûr le factice ne valait pas le réel, mais parfois le factice était mieux que le réel, alors pourquoi pas…
Nous n’avons pas vu la fin du film, car elle m’a entrainé chez elle, et sitôt entrées elle m’a emmené dans sa chambre où elle m’a déshabillé et une fois nue m’a allongé sur son lit.

Puis après s’être déshabillée à son tour, ne gardant que bas, escarpins et son porte-jarretelles, elle a sorti l’engin de la table de nuit. Il était long, gros et tout noir. C’était la reproduction parfaite d’un sexe d’homme et apparemment bien dur. J’avais un peu peur de recevoir ça dans mon petit cul mais Josiane me rassura en me disant qu’elle serait douce.
L’engin était pourvu de lanières de cuir, et je la vis ceindre le gode et l’attacher sur elle à l’aide de ces lanières.
Elle enduisit ensuite la tige d’un gel destiné à faciliter l’intromission,
Après m’avoir disposé à quatre pattes, au bord du lit, pour me prendre en levrette, elle s’est installée debout derrière moi.

J’avoue que, dans la demi-pénombre de sa chambre, elle ressemblait à un homme. Guidant son sexe factice, elle le présenta à l’entrée de mon œillet.
Je haletais, un peu d’excitation, mais surtout de peur, lorsque je sentis le gland se poser sur mon sphincter, il était bien enduit de gel que m’avait déposé Josiane peu de temps avant, et bien sûr il présenta naturellement une légère résistance.
Josiane poussait doucement, tendue à l’extrême, je sentais cette grosse chose tenter de forcer mon sphincter pour entrer en moi et m’emplir le cul.
Puis une légère douleur me fit me raidir, alors que le sexe factice avait du mal à franchir la barrière de mon anneau intime.


Un grand déchirement se produisit alors dans mon cul, comme si soudainement je m’ouvrais en deux et j’eus très mal.
Je sentais mon muscle céder sous la poussée de la pénétration que m’infligeait Josiane, mais mon cul finit par céder et le gland du gode est passé, non sans m’arracher u cri de douleur.
Josiane, une fois l’obstacle franchi, continua son introduction jusqu’à ce que son pubis touche mes fesses et j’ai alors compris qu’elle me l’avait complètement introduit.
Après une courte pause, Josiane se mit à commencer à aller et venir, faisant dans mon cul, entrant et sortant la grosse tige noire dans mon intimité.
Sur sa recommandation, je glissais ma main sous moi et j’entamais une masturbation de mon sexe, je me suis dit à cet instant que ce ne devait pas être la première fois que Josiane enculait un être membré…

Avec la masturbation, petit à petit la douleur disparut et fit place à un doux plaisir qui montait dans mes reins, elle m’encourageait d’une voix rauque, débitant les obscénités qui, elle le savait, m’excitaient.
Bientôt mes reins furent irradiés par une douce chaleur et mon cul se contracta, mes seins devinrent durs, et je gémis de plaisir lorsque la première giclée de foutre jaillit de mon sexe, inondant le couvre-lit de Josiane.
Josiane continuait à limer sans relâche, et je jouissais comme une petite enculée que j’étais à cet instant.
Et puis, d’un coup, elle s’arrêta de limer et se tortilla contre moi. Elle se cambra et le gode entra encore plus profond en moi, m’arrachant un nouveau gémissement.
Elle cria, et je compris qu’elle aussi jouissait. C’était une vraie gouine, et de m’avoir enculé l’avait fort excitée.
De plus la lanière de cuir qui passait entre ses cuisses devait frotter sur son clito qui était l’endroit le plus érogène de son anatomie. Cette branlette improvisée semblait l’avoir achevée et maintenant elle mouillait abondamment en me pétrissant durement les seins.


Mais Josiane n’en reste pas là, le gode continu de glisser en moi, je suis maintenant bien ouverte, pleine et engodée du cul. Je me sens étroite autour de ce gode qui envahi mon intimité rectale, je vais à nouveau exploser !
Josiane me défonce le cul, me perfore, j’ondoie sous elle, j’accepte maintenant ce gode qui me martyrise mes chairs intimes, je n’en peu plus, je crie, je hurle…
Elle bute au fond de moi !
Je me pâme, je meurs, je suis folle sous ses assauts, je ne cesse de jouir, elle me caresse et me branle encore, plus affamée de moi que jamais…
Je regrossis sous ses doigts, je ne résiste plus, je viens sous ses coups de boutoirs dans mon cul et je m’arque et éjacule à nouveau dans sa main.
Elle me libère et je m’effondre en sanglots, le souffle court, épuisée, alors elle m’embrasse, et me dit :
- A toi maintenant !
Sans attendre elle s’est débarrassée du harnais et s’est mise en position.

Mon index effleure sa rondelle impatiente, la faisant sursauter, mais en regardant sa rondelle, il est évident qu’elle est une adepte de la pratique.
Mon majeur rentre tranquillement dans son petit trou pendant que de ma main elle se donne du plaisir en se caressant l’entrejambes.
- Tu peux rentrer comme ça, tu sais, me dit-elle, j’ai l’habitude.
- Je vois dis-je, tu es déjà bien ouverte.
- C’est que le passage est fait depuis longtemps…
Quand je pose mon gland sur sa rosette, Josiane soupire et son souffle devient plus fort.
Son petit frémit d’impatience et es près pour me recevoir, avec ma main droite, je pousse lentement mon sexe dans sa cavité. Même si elle a déjà reçu d’autres membres que le mien, le gland est un peu gros, mais je continue à le rentrer et une grimace apparaît sur son visage.
- A ma salope, dit-elle, c’est que t’es bien équipée.
Avec ma main gauche, je lui titille maintenant le clitoris. Elle mordille sa lèvre inférieure et continue de grimacer.
On sent qu’elle est tiraillée entre douleur et plaisir.
- Tu le voulais, alors maintenant tu vas l’avoir, dis-je.
Mon gland est maintenant rentré. Mon sexe rentre lentement mais sûrement. Ma main remplace la sienne au titillement clitoridien et j’investis totalement ses reins.
Elle lâche alors un râle de surprise et je commence alors des va-et-vient.
Et pendant que je joue avec son clitoris, elle lâche des soupirs de plaisir, son souffle s’accélère, je sens qu’elle vient, et j’augmente le rythme et la pression sur son petit bout de chair. Plus je vais vite, plus les petits cris de plaisir se rapprochent pour enfin la libérer. Son corps tremble et elle a eu un orgasme

Je la sens se cabrer et part dans un cri étouffé pour finalement tomber de tout son long dans les draps. Mon sexe encore dans son fondement.
Je m’allonge sur elle et m’enfonce totalement dans son cul, un soupir s’échappe de ses lèvres, j’accélère alors mes coups de reins.
Peu de temps après, elle tremble de tout son corps, son anus m’enserre et elle crie tout son plaisir dans l’oreiller ! Même étouffé, on sent vraiment qu’elle prend son pied.
- Tu aimes te faire enculer ?
- J’adore.
Josiane est totalement ouverte, et pourtant, je sens son petit trou enserré mon sexe.
- Tu as intérêt à bien me remplir le cul, me dit-elle.
Mon gland est proche de la sortie à chacun de mes mouvements.
Son corps se raidit, sa respiration est très forte, elle jappe presque de bonheur. Je suis moi aussi, au bord de l’explosion. Et au moment où je me libère tout au fond de ses entrailles, elle serre son anus sur ma verge et émet un cri sourd, puis dit :
- Ohhh, ce pied !

A suivre…

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