Une Envie Sauvage...

Je n’avais encore jamais écrit d’histoire érotique. Puis il m’est arrivé cette aventure. Elle m’apporta tellement de sensations fortes qu’il a fallu que je l’écrive. J’étais extrêment excitée en l’écrivant et en me remémorant chaque minute de cette baise inoubliable.

J’ai 24 ans, je suis assez mince, j’ai des longs cheveux blonds, des yeux verts très clairs et, à en croire les commentaires que les hommes me font dans la rue, je suis plutôt canon. Seul petit défaut : je trouve mes seins trop petits. J’ai décidé de n’écrire que la vérité dans cette histore, je ne mentirai donc pas sur la taille de mes seins. Je fais un petit 85B, ce qui ne me satisfait pas trop.

J’étais avec mon ami depuis 4 ans, et nous louions un appartement dans une vieille maison en centre-ville. Il y a un mois de cela, il m’a quittée et m’a laissé l’appartement. J’ai donc commencé une nouvelle vie, seule. Ou presque.
Ce jour-là, je rentrais chez moi et, sur mon palier, j’ai croisé mon voisin du dessus qui descendait. Je l’avais croisé quelques fois mais je le connaissais très peu, si ce n’est pas les bruits de baise que j’entendais à travers les murs quand il s’y mettait. J’ai toujours supposé qu’en retour, il devait m’entendre aussi quand j’étais avec mon copain. Cette situation m’amusait beaucoup.
Bref, mon voisin devait avoir à peu près 35 ans, grand, musclé, cheveux noirs. Pas trop mon type d’homme a-priori, mais finalement assez sexy dans son genre.
Lorsque je m’apprêtai à ouvrir ma porte, il me salua poliment. Je me retournai et, pour la première fois, remarquai son regard perçant. J’eus la nette impression qu’il était en train de me déshabiller du regard avec ses yeux vicieux et son petit sourire en coin. Je me sentis rougir lorsqu’il posa ses yeux ravageurs sur mon cul moulé dans mon petit short en jean.
Il me demanda quelque nouvelle, par politesse, et je lui expliquai que mon ami m’avait quitté, que je vivais désormais seule.

J’essaie donc de m’habi à cette nouvelle vie de liberté et de solitude, lui dis-je en souriant. Je voulais clairement lui faire passer le message que j’étais dispo. Le message fut bien reçu : il me proposa de venir boire un verre chez lui le lendemain, pour “tromper la solitude entre voisins”.

Je n’en revenais pas. Moi, qui avait toujours eu une vie sexuelle fidèle, classique et… ennuyeuse, je venais d’accepter ça ! Et puis je me résonnai. Je me faisais peut-être des idées. Au fond, il voulait peut-être tout simplement boire un verre.

Trop tard, j’étais complétement excitée en imaginant sa grosse queue. Je m’engouffrai chez moi, plongeai sur mon lit, attrapai mon gode, et l’introduit sans peine dans ma chatte dégoulinante et frémissante de désir. Avec mon index, je jouai avec mon clitoris, lentement au début, puis n’y tenant plus, je le fis aller dans tous les sens et enfoncai mon gode le plus loin possible dans mon vagin. Je me tordis de plaisir, frissonnant, soupirant, puis me laissant aller à crier en jouissant. Mon voisin m’avait-il entendu ?
J’avais fait ça comme une grosse cochonne, j’en avais mis partout. J’en avais plein les doigts et mes draps étaient trempés. Je léchai alors un à un mes doigts, puis mon gode, pour ne pas perdre une goutte du jus de mon plaisir.
Mais j’étais frustrée, mon gode ne valait pas une vraie baise. Ça faisait un mois que je n’avais plus été touchée, il m’en fallait plus, et le plus vite possible. J’avais une envie incontrôlable qu’une grosse queue me prenne, me pilonne la chatte, me fourre dans tous les sens. J’étais dans un état de transe, j’aurais bouffé sauvagement n’importe quelle bite qui se serait aventurée dans ma bouche de salope.

Le lendemain, au travail, j’eus du mal à me concentrer. Je ne pensais qu’à ça et, plusieurs fois sur la journée, je dus aller aux toilettes pour calmer ma chatte mouillée.

Le soir, j’attendis d’entendre ses pas craquer sur le parquet au dessus de ma tête pour aller frapper à sa porte.
Il m’accueillit avec un grand sourire et me servit un verre de vin. Mon excitation avait soudain disparut, faisant soudain place à la gêne. Finalement, il me paraissait plutôt froid, et je n’étais pas sûre que mes fantasmes seraient assouvis ce soir.
Au fur et à mesure de la conversation et des verres de vin, je lui demandai l’air de rien s’il était célibataire. Autrement dit, dans ma tête, je pensai : “alors, tu serais prêt à me baiser ce soir ?” La réponse fut oui.
Nous en vinres à parler du type de femme qu’il aimait, et des seins qu’il adorait toucher.
Je lui dis en rigolant que moi, malheureusement, ce ne sont pas mes petits seins qui exciteraient un homme.

Très sérieux, il me proposa, presque autoritaire : tu peux me les montrer ? Comme ça je pourrais évaluer.
Je ne me fis pas prier et lui lancai en me déshabillant : ok, mais approche-toi. De là où tu es, tu ne verras rien.

Il vint s’assoir à côté de moi sur le divan, et écrasa mon sein dans sa grosse main musclée toute chaude. Il commença à les embrasser, les lecher, et les caresser fermement. C’était divin. Mes seins gonflaient sous ses lèvres et ses mains. J’attendais la suite avec impatience.

Il se coucha sur moi, remonta très sensuellement ses lèvres et sa langue sur mon torse, mon cou, puis glissa à mon oreille : je peux te demander une faveur ? Je peux te sucer la chatte ?
Je répondis, n’y tenant plus : c’est même urgent que tu me suces la chatte, elle est toute trempée pour toi. Je me tortillais déjà d’envie, le désir montait tellement, il fallait qu’il me soulage.
J’enlevai mon petit short et mon string, me couchai, un pied sur le divan et l’autre par terre, pour écarter au maximum mes cuisses et lui offrir une vue parfaite de mon trésor dégoulinant.
Il plongea sa langue sur mon clitoris gonflé et commença à le lapper comme un vrai petit chien, à petits coups de langue bien durs et rapides. Il était déchaîné et moi je montais au ciel.
Je me tordais dans tous les sens, me retenant pour ne pas hurler, mais le plaisir était tellement intense qu’il en était presque insuportable.
Il glissa ensuite sa langue dans ma chatte, bien profondément et la fit tournoyer, de plus en plus loin. Il me maintenait fermement par les cuisses et me plaquait contre son visage, tout enfoncé en moi. Il me bouffait littéralement la chatte ! Et j’aimais ça ! Son nez était écrasé sur mon clitoris. Le plaisir venait de partout, je commençais à pousser des petits cris et finalement je jouis sur sa face.

Il se releva, et ses yeux redevinrent les yeux pervers et vicieux de la veille. Sa langue, ok. Mais moi, je voulais de la bite. Et j’en voulais une grosse. J’espérais que je ne serais pas déçue.
Je me levai en lui disant, d’un ton aguicheur : tu as déjà baisé sur la table de ta cuisine ? Je me couchai sur la table, les fesses au bord, et les cuisses écartées au maximum vers lui pour le provoquer, pendant qu’il se déshabillait. Il ne dit pas un mot, me regarda froidement, attrapa mes cuisses et d’un coup sec, plongea violemment sa queue toute dure droit dans mon vagin. Je poussai un cri de surprise et de douleur. Il m’avait transpercée d’un coup ! Mon excitation tripla, et j’eu ce que je méritais. Il me baisa comme un malade, sauvagement, avec de grands coups violents et secs, qui enfonçaient chaque fois sa grosse bite très profondément dans ma chatte, comme pour me punir de l’avoir chauffé. Il alla de plus en plus rapidement, j’étais pilonnée, ramonnée, j’avais le trou défoncé ! Ses grosses couilles claquaient contre mes fesses, qui s’écartaient pour les laisser passer.
Je voulais de la bite, j’en avais, et pas n’importe laquelle. Son regard froid et condescendant me faisaient jouir pendant que, tout aussi brutalement, il se vida les couilles en moi. Il se retira lentement, et avec son prépuce encore enduit de semence, me caressa le clitoris, le pubis, et l’anus, pour me couvrir de foutre. Mon clitoris, brûlant d’excitation il y a quelques secondes, brulaît maintenant au contact de son sperme chaud.

Il retourna s’assoir sur le divan. Son énorme queue toute veineuse et trempée de ma cyprine, commençait à débander.
Je m’approchai alors et me mit à 4 pattes sur le divan, les fesses en l’air et les jambes écartées, pour sentir encore le jus chaud qu’il avait giclé sur moi, et le voir couler lentement le long de mes cuisses.
Je vis sur sa queue une goutte de sperme oubliée. J’entrepris de lui donner quelques coups de langue pour le nettoyer. Je le regardai dans les yeux et lui pris sa bite en bouche, en le suçant abondamment pour la réveiller. Il mit une main sur ma tête, une autre sur mon cul dégoulinant. Il me passa sa main entre les fesses, puis lentement sur ma chatte tendue en l’air pour constater que j’étais toujours excitée. Brutalement, il se leva, me forçant à me mettre à genoux par terre. Il me saisit la tête des deux mains, m’enfonça sa grosse queue gonflée d’un coup dans la gorge.
Il m’avait encore surpris. Je mouillai encore une fois. Sa semence qui dégoulinait entre mes jambes, se mélangeait de nouveau à ma cyprine. Mon sexe était brûlant.
Sa queue aussi. Il me maintenait la tête et commença à me baiser sauvagement la bouche. C’est lui qui donnait la cadence, je n’avais qu’à me taire et bouffer sa grosse queue, qui me défonçait la gueule aussi violemment qu’il m’avait explosé la chatte. Sa bite me remplissait la bouche tellement elle était gonflée et je la suçais comme je pouvais dans ce rythme effréné. J’avais l’impression d’être une petite pute, son jouet sexuel qu’il manipulait pour satisfaire son envie, et ça m’excitait encore plus. Je voulais qu’il profite de moi.
Je sentis soudain son sperme chaud et onctueux couler dans ma gorge. J’aurais voulu lui dire : vas-y, gicle tout ce que tu as, envoie moi le jus de ta grosse queue, j’en boirais des litres ! Mais ma bouche était encore remplie, je me contentai donc d’avaler docilement.

Il se rassit et je me couchai sur ses cuisses. Il passa tendrement une main dans mes cheveux et me dit : est-ce que ça te dirais qu’on se revoit… pour un plan à 3 ?
J’eus une étincelle dans les yeux. Bien sûr que j’étais partante pour me faire prendre par deux bites à la fois !
Puis je lui demandai : tu veux dire, avec une fille ou avec un homme ?
Il se contenta de me répondre dans un sourire : tu verras, laisse-moi te préparer la surprise, tu vas adorer ça, petite salope !

Il n’avait pas tort, j’étais devenue une grosse salope, et j’en voulais encore !

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