Ma Belle Mere S'Est Offerte À Moi ....

Suite de l'histoire "http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=16114"

Dés que j’ai franchis le portail pour accompagner ma belle mère chez sa mère j’ai été pris d’un doute … et si mon père profitait de notre absence pour se taper Élodie ???
Mais ça n’a pas duré longtemps j’ai vite oublié a la vue des jambes découvertes de Lucette ma belle mère, j’ai l’impression qu’elle a oublié que ce n’est pas mon père qui est a ses cotés et garde ses habitudes, à savoir montrer ses cuisses et sans doute plus aux routiers bien placés pour mater, je ne résiste pas a contempler ses cuisses pleines suffisamment ouvertes pour aérer sa foufoune , je sens même une érection poindre , je bande pour cette femme qui a pris la place de ma mère et que j’ai haïs jusqu'à aujourd’hui

- HO ! Pardon Lucas ma position te gêne ? Je suis tellement habituée à prendre cette attitude avec ton père en voiture que c’est devenu un réflexe !
- Tu peux m’en dire Lucette plus sur vos ‘distractions’ avec papa ? je ne dirais rien a personne soit rassurée
- Nos distractions ?...... pour lui s’en est une mais pour moi ce n’est pas toujours le cas, les partenaires qu’il me trouve ne sont pas toujours ragoutants ! mais c’est ça ou je le laisse baiser à outrance d’autres femmes… en fait je suis très jalouse de sa queue …
- Il est si bon que ça ?
- Demande à Élodie quand nous rentrerons ! non je plaisante il n’osera pas la prendre à moins que ce soit elle qui lui demande !... tu es tout blanc … je plaisante je te dis !! j’ai envie de te montrer ce que ton père m’oblige à faire, ça te dirais de faire un détour ?
- Ou ça ?
- Tu sais quoi ? je téléphone a maman pour lui dire que je suis en panne, j’irais la voir une autre fois… quand tu va doubler ce camion ralentit a hauteur de la cabine on va se marrer, mais pas un mot a ton père hein ?

Lucette défait les premiers boutons de son chemiser jusqu'à ce que son soutient gorge soit visible, une pichenette sur le bonnet et les tétons apparaissent elle pose le pied gauche sur le tableau de bord ce qui donne un angle de vue imprenable de sa culotte pour le chauffeur
Arrivé à hauteur de cabine je règle ma vitesse sur la sienne, par la vitre ouverte Lucette adresse un signe amical au routier qui pousse un cri d’admiration

- Wooouuuuuaaaah quel cul ! Écarte ta culotte ma jolie que je vois ton petit oiseau !

Sans se faire prier Lucette tire un coté de son string dans son aine, un sifflement aigu confirme qu’il voit bien la chatte découverte

- On se retrouve au parking ??

Un signe de tête affirmatif suffit, Lucette resserre les jambes

- Accélère Lucas que j’ai le temps de me préparer
- Qu’allez-vous faire ?
- Tu va tout voir !

Arrivés sur ce parking ou se garent beaucoup de routiers pour faire leur temps de pose Lucette me fait garer prés des toilettes

- Juste un instant le temps d’ôter le superflu ….

.

Elle revient en tenant au creux de sa main ses sous-vêtements roulés en boule qu’elle fourre dans la boite à gant, au passage j’apprécie le parfum de marque mélangé à son parfum de femme

- Nous allons nous garer dans ce recoin entre les camions, et là je vais te demander de remplacer ton père …
- C'est-à-dire ??
Je vais mettre mon siège en position couchette et baisser ma glace, a toi de relever ma robe et de caresser ma chatte, des chauffeurs vont s’approcher, tu écarteras mes lèvres afin qu’ils voient l’intérieur de mon vagin, tu te sens capable de faire a ta belle mère ?

- J’en ai même très envie Lucette !
- C’est vrai ? tu as des gènes de ton père c’est bien ! sort ta queue, je vois que tu bande tu seras plus a l’aise et ils aiment bien voir l’homme s’exhiber aussi !

Lucette s’allonge sur le siège, je n’hésite pas à découvrir son corps jusqu'à la taille, ses cuisses s’ouvrent, ma main caresse la cuisse encore bien pleine et ferme malgré son âge, des cercles de plus en plus larges m’amènent au cratère, mes doigts tremblants passent sur la fente qui ne demande qu’a s’ouvrir, Lucette ne peux s’empêcher de sursauter lorsque mon index et mon majeur la pénètre profondément puis elle s’offre totalement et ouvre le haut de sa robe pour découvrir ses seins biens ronds
Déjà une silhouette puis deux se faufilent à l’arrière de la voiture

- Voilà des mecs Lucette
- Ha ? déjà, je commençais juste à apprécier tes doigts… dommage
- Je te caresserai après si tu le veux
- J’y compte bien de toute façon si tu es comme ton père tu ne pourras pas t’en empêcher ! laisse les me toucher je suis prête ….. enfonce tes doigts ils vont sortir leur queue et s’approcher lentement fait leurs signe que tu es d’accord …ha, vérifie en douce qu’ils ont les ongles courts et propre

Je farfouille dans cette chatte qui va se prendre pleins de doigts, le plus hardi se pointe a la vitre en me demandant silencieusement mon accord, je cligne des yeux il ne lui en faut pas plus pour poser une paluche sur le genou ce Lucette qui grogne sourdement et fait toucher son genou sur la portière, ainsi ouverte l’homme fait glisser sa main jusqu'à la fourche ou se trouvent mes doigts

- Elle est belle ….
.
- Oui
- Je peux la toucher ?
- Bien sûr

Je retire mes doigts pour laisser la place au ‘ visiteur ‘ , le deuxième passe un bras pour essayer de la toucher aussi , voyant qu’il n’y arrive pas il appuis sur le bouton d’ouverture de la porte et la tire , le premier agacé se voit contraint d’extraire ses doigts de la chatte le temps que la portière soit ouverte en grand , l’un reste debout et replonge ses doigts l’autre s’assied sur le bord et peux ainsi passer sa main sous la cuisse, Lucette geint, le plaisir monte, ou sont les doigts ? tous dans la moule ? ou bien séparés dans les deux trous , une odeur de vagin mouillé monte , je me masturbe en observant ce drôle de trio, un troisième s’invite en ouvrant la porte arrière afin de peloter les seins dénudés ,Lucette s’affole sentant l’orgasme arriver elle se tortille comme un ver

- Lucas ?
- Oui Lucette ?
- J’ai envie qu’ils me baisent
- Ici ?
- Non dans une cabine …. à deux pas plus et vite fait je n’ai pas beaucoup de temps !

Le premier arrivé qui a entendu se propose

- Allons dans la mienne je la connais je l’ai déjà baisée, mais tu n’es pas son mec habituel ?
- Ça n’a pas d’importance allons y

Il retire ses doigts gluants et parle à l’oreille de son voisin qui retire aussi les siens, le troisième est évincé, Lucette rajuste tant bien que mal sa robe et descend, le camion est juste derrière notre voiture son chauffeur ouvre la porte et aide la femme à monter en lui mettant une main a même le cul, je pense que des doigts ont dût glisser dans la fente car Lucette glousse en se trémoussant

- Mais je reconnais cette cabine !
- Je t’ai baisée ici il y a quinze jours t’as pris un vache de pied
- Ha ouiiii je me souviens de ta grosse bitte huuuuuuummmmmmm !

A peine montée qu’elle s’affale au milieu de la couchette et dépatte les boutons de sa robe, offerte comme une catin les deux hommes se précipitent pantalons et slips déjà ôtés, il bande comme des turcs, il savent qu’ils sont là pour se vider les burnes pleines de huit jours et pas pour faire l’amour !

- Doucement les gars sinon je me tire, toi tu viens derrière moi et toi devant, y’a pas beaucoup de place mais une fois emboités ça iras

Lucette se positionne sur le coté, celui de derrière lui lève une cuisse très haut, je ne vois rein mais j’imagine les queues qui se fraient un chemin, ma belle mère vient d’en prendre une car elle souffle bruyamment, dans la chatte ou dans son œillet plissé ????? Ses yeux sont chavirés lorsque la deuxième bitte s’enfonce en elle, un moment de flottement et le trio se met en action maladroitement puis alternativement, Lucette râle de bien être, se force -t- elle vraiment quand mon père lui fait ‘ subir cette ‘ ? ?? En tout cas elle a l’air d’apprécier
Je me mets à penser … que dirait Élodie si je lui proposais de se montrer sans pudeur à des hommes ?? En fait j’aimerais qu’elle se caresse devant un groupe de gars et elle choisirait celui qui la prendrait ….
La voir prise par un étranger QUEL PIED….
Dans la cabine les choses évoluent Lucette jouis sans discontinuer, celui qui la prenait par derrière vient de décharger, il s’extrait tant bien que mal et me rejoint, l’autre chauffeur se retrouvant a l’aise bascule ma belle mère sur le dos et la besogne comme un forcené, c’est celui qui l’a déjà baisée, à voir ce qui coule entre ses cuisse je suppose que les deux mâles ont jouit mais celui là plus performant est repartit pour une deuxième fournée !
Cette fois ce n’est pas feint, Lucette a la bouche soudée à son amant et s’enroule autour de lui comme une liane, la cabine tangue, des relents de foutre chaud me parviennent

- Qu’est ce qu’il lui met ! Il est meilleurs que moi et mieux monté je l’ai prise par son p’tit trou, j’ai jouis trop vite j’avais les couilles congestionnées ! haaaaaa … ça y est il va décharger …..
- HOOOOUUUUUUUAAAAAAAAAAH HOOOOOOOOOOOOUIIIIIIIIIII !!
- SALAUD !!! TU ME FAIS JOOOUUUUUUIIIIIIIR !!!!!!!

Il leurs a fallu cinq minutes pour refaire surface, Lucette est descendue du camion avec difficulté, des traces de dégoulinages entre ses cuisses elle s’est allongée a l’arrière de la voiture

- Lucas ?
- Oui Lucette ?
- je veux faire l’amour avec toi tout de suite, prend ma chatte souillée par ces cons
- Tu le veux vraiment ? ça me fait plaisir, tu connais un endroit tranquille ?
- Juste après le parking il y a une carrière, c’est là ou m’emmène ton père pour me baiser en sortant d’ici

Sitôt la voiture arrêtée je quitte mes vêtements a la hâte et enjambe les sièges, ma belle mère nue attend dans une posture à faire bander un eunuque, sa fourrure amidonnée de foutre me tente, j’y plonge le visage la langue en avant, je lape et j’aspire,
Le clito, je suce, j’avale sa mouille et le sperme mélangé à en être soul, elle tend son bassin comme une offrande, ma queue me fait mal a force d’être raide, je la plonge au plus profond de son puits et là lui tend maculée de cette mayonnaise douteuse

- Avale salope !
- Oui ! parle-moi comme ton père, avilie moi je suis ta pute !
- Lèche avant que je ne te la fourre dans le ventre !

Sa langue plate et large nettoie minutieusement chaque millimètre carré comme s’il s’agissait d’un cône glacé

- Ça suffit relève les cuisses pouffiasse

Sa matrice ouverte ne demande qu’à être fourrée, guidée d’une main ma queue s’enfonce avec délectation dans ce marécage, je la baise sans me soucier de son plaisir, tout comme ces routiers l’on fait avant moi, je me moque de ces cris de ravissement, je m’acharne dans son con pourtant si bon a baiser, a cet instant je hais les femmes je hais Élodie qui s’est peut être faite baisée par mon père durant cette absence , c’est pour cela que demain je l’amènerais SUR CE PARKING ……….
JE JOOOOUUUUIIIIIIIIIIIIS !!!!!

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