Les Malheurs De Denis

Je prie ceux qui apprécient mes textes de m'excuser pour ma trop longue absence.


Denis


Je ne voulais plus sortir avec Denis, mais il était fou amoureux et s’accrochait désespérément à moi. J’avais eu beau lui dire que c’était fini, il ne voulait rien comprendre. C’est Sandra, une amie, qui me conseilla d’essayer ce moyen, et s’il continuait à s’incruster dans ma vie, je n’aurais plus qu’à me suicider ou entrer au couvent.

Comme il n’habitait pas très loin, il arriva peu de temps après mon appel. Lorsqu’il fut devant ma porte, je lui expliquai ce que j’attendais de lui.

- Denis, si tu es vraiment si amoureux de moi, je veux faire un album photo de toi, mais entièrement nu. De plus, tu devras prendre toutes les poses que je désire, et faire tout ce que j’ai envie. Soit tu entres et tu acceptes, soit tu disparais de ma vie à jamais.

Trop heureux de faire à nouveau partie de ma vie l’espace d’un instant, il entra à peine j'eus fini ma phrase. Sa première surprise fut de voir que je n’étais pas seule, Sandra, ma conseillère, était là également.

- Mets-toi nu, je vais chercher mon appareil.

Lorsque je revins, il m’attendait dans la tenue demandée, il essayait de cacher son sexe qui pendait lamentablement entre ses jambes. Je commençai alors à être très directive, comme me l’avais conseillé Sandra.

- Tu crois que tu mérites que je perde mon temps, alors que tu ne bandes même pas, et que tu te dis amoureux de moi. Masturbes-toi vite fait, avant que je ne change d’avis. Si Sandra te gêne, tu peux partir.






Il ferma les yeux, et commença à s’activer.

- Est-ce que je t’ai autorisé à fermer les yeux, regardes-moi.

Je ne sais pas si c’est le ton que j’avais pris en lui parlant, mais il sembla surpris. Habituellement je lui parlais toujours calmement, voire affectueusement. Peut-être s’imaginait-il que j’avais toujours des sentiments pour lui.



- Appliques-toi, je ne veux pas montrer des photos d’un mec qui à du mal à bander à nos amies et surtout à nos copains.

Nouveau choc pour lui, il pensait certainement que je réservais ces photos pour mon usage personnel.

- J’ai parlé de toi à quelques amis homos, ils ont très envie de faire ta connaissance, mais surtout de prendre du bon temps avec toi.

Cette fois là, il m’a semblé le voir blanchir. La méthode de Sandra serait peut-être la bonne.

Lorsqu’il fut en forme, droit comme un I, je commençai à le mitrailler dans toutes les positions, même les plus chaudes, guidé en cela par Sandra qui lui expliquait comment il devait poser.

- Ecartes bien tes cuisses, que l’on voie ton service trois pièces. Intima Sandra.

A chaque fois, il mettait un peu de temps à percuter, mais prenait tout de même les poses demandées. Cette fois, c’est elle qui prit la direction des choses, moi je me contentais de prendre les photos. Elle fut encore plus directive que moi :





- Mets-toi à quatre pattes, tes fesses tournées vers nous.

Malgré la situation humiliante pour lui, il était toujours excité.

- Ecartes tes fesses que l’on voie bien ton petit trou.

Après quelques secondes, il posa son visage sur le sol, et mit ses mains sur ses fesses. Mais il n’alla pas jusqu’à les écarter.
Sandra entra en fureur.

- Tu te fous de ma gueule, tu appelles ça: écarté ? Si c’est moi qui te les écarte, cela va te faire tout drôle.

Surpris par la colère de mon amie, il obtempéra rapidement. Cette fois on voyait le trou bien ouvert, pas très large, mais ouvert.

- Reste comme ça le temps que Tina (moi) prenne quelques beaux clichés, pendant ce temps là je vais chercher mon gode.

Je vis Denis relâcher la pression, et son petit trou se refermer l’espace d’une seconde, mais il se reprit si rapidement que Sandra ne vit rien.
Heureusement pour lui, elle aurait encore piqué une belle colère.

Sandra était gentille comme tout, mais elle me disait toujours :

« Si tu veux qu’un mec te respecte, il faut que tu lui montres que c’est toi qui porte la culotte. Il n’y a pas d’autres moyens. »

La connaissant bien, je savais qu’avec tous ses copains c’est toujours elle qui commandait, et qui décidait de tout.

Lorsqu’elle revint avec son sextoy, elle admira Denis un petit moment, le temps de le mettre mal à l’aise, puis elle le fit changer de position.






- Mets-toi sur le dos, jambes relevées et bien écartées.

Une nouvelle fois Denis obtempéra dans la seconde. Sandra lui lâcha alors :

- Tu serais presque bien si tu étais un peu mieux monté.

Depuis qu’il était entré, Denis n’avait pas dit un mot, et n’avait même pas essayé de se rebeller contre nos ordres. Je commençais à me dire que Sandra avait raison.

Cette fois la position était vraiment humiliante pour lui, d’autant que Sandra avait approché l’olisbo de la bouche de Denis, en lui disant :

- Je te conseille de bien le lubrifier si tu ne veux pas avoir mal.

Je crois que depuis un bon moment, mon ex avait compris ce qui allait lui arriver, et qu’il s’était résigné à accepter.

A peine l’eut-il en bouche que Sandra fit coulisser le gadget entre les lèvres de mon pauvre malheureux éconduit. C’est une véritable fellation que Sandra lui fit faire au gode, l’obligeant à l’embrasser, à le lécher, à le sucer, la totale quoi.

- Tu suces pas mal pour un hétéro, j’espère que tu seras aussi doué sur une vraie bite.

Sandra ne faisait pas dans le détail verbal, mais cela avait le mérite d’être clair et net : Denis savait ce qui l’attendrait bientôt.





Lorsqu’elle estima que son supplice avait assez duré, elle changea le sextoy d’orifice sans douceur.
Denis lâcha un petit gémissement, vite réprimé par Sandra :

- Tais-toi chochotte, ou je t’en enfile un plus gros. Surtout que tu n’as pas l’air d’être très large de ce côté-là, il va falloir que je m’occupe de toi sérieusement.

Une nouvelle fois Denis accepta son sort sans se plaindre. Sandra fit alors coulisser l’engin dans le fondement de Denis, alternant lenteur et rapidité. Après un petit moment, elle lui annonça :

- Tu me fatigues, continue tout seul, et ne t’avise pas de t’arrêter tant que je ne t’en donne pas l’ordre.

Depuis un bon moment, Denis obéissait à toutes les injonctions de Sandra, ce commandement là ne fit pas exception.

Moi je continuais à shooter le pauvre malheureux, mais je dois dire que cela ne me déplaisait pas, au contraire je sentais mon entrejambe tout humide. Si j’avais été seule, je me serais allongée, et je me serais donné du plaisir.

Denis continua si bien, qu’il laissa échapper son plaisir sur son ventre.

Après lui avoir mis deux claques magistrales, Sandra piqua une nouvelle colère.

- Qui t’a autoriser à jouir petite bite. Nettoie tes saletés.

Et elle lui colla d’office les doigts dans son sperme, et l’obligea à les lécher.

Denis n’eut pas d’autre choix que de sucer ses mains, et avaler sa sève.




Lorsqu’il ne resta plus une trace de sa jouissance, Sandra lui donna un dernier ordre :

- Maintenant tire-toi vite fait, tu m’énerves. Je t’attends demain à 14 heures nu devant la porte de Tina. Tâche de ne pas me faire attendre, j’ai horreur.

Denis prit ses vêtements à la volée, et partit sans demander son reste.

A peine la porte fermée, Sandra éclata de rire.

- Encore un qui va virer sa cuti. Je l’aurais parié.

Moi, je n’étais pas convaincue qu’il reviendrait le lendemain. Sandra paria qu’il serait là, ponctuel au rendez-vous.

- S’il revient, je le garde pour moi, il fera une bonne petite chienne pour mon plaisir.
Et s’il ne revient pas, tu ne le verras plus. Dans tous les cas tu es gagnante.

J’espérais qu’elle avait raison, et que j’en serais définitivement débarrassée.

Le lendemain, Sandra était venue déjeuner avec moi, accompagnée de deux de nos amis. Ces derniers, Pierre et Henri, avaient la particularité d’être tous deux bi. Lorsque Sandra leur avait proposé de dépuceler un hétéro, ils n’avaient pas hésité à répondre présent.

Comme Sandra l’avait prévu, notre victime arriva peu avant 14 heures, elle l’avait guetté sans bruit à travers le judas de la porte, après qu’il eut sonné. Lorsqu’il fut entièrement nu, elle revint vers nous en riant :

- On va le laissé mijoter un peu.




Il se manifesta à nouveau seulement prés 5 minutes plus tard. Je suppose que jusque là il n’avait pas osé re-sonner, et qu’il commençait à avoir peur d’être vu par des voisins.

Sandra ouvrit la porte violemment, et commença à lui crier dessus.

- Tu te fous de moi, il y a plus de 5 minutes que je t’attends, je t’ai dit hier que j’avais horreur d’attendre. Tu vas t’en souvenir. Entre, et tâche d’être obéissant, si tu ne veux pas que je t’explose.

Denis voulait dire quelque chose pour s’innocenter, mais devant le ton de Sandra, il préféra faire profil bas. Arrivé vers nous, il fut moyennement surpris de voir Pierre et Henry présents, surtout qu’ils n’étaient vêtus que de leur boxer.

- Tu nous à fait perdre du temps avec ton retard, va tout de suite te mettre à genoux devant nos invités.

A peine en place, un nouvel ordre arriva :

- Tu vas les caresser à travers leurs boxers, et tâche d’y mettre du tien. Si tu n’arrives pas à les faire bander correctement, il va t’en cuire.

Dés son entrée, j’avais déjà l’appareil photo en main, et je complétais la série débutée la veille. L’après-midi allait être encore chaud.

Denis plaça chacune de ses mains sur l’entrejambe de chacun de nos 2 amis, et avait commencé ses caresses. Il ne lui fallu guère longtemps pour arriver à un bon résultat, deux bosses ornaient les sous-vêtements de nos amis. Nous les connaissions bien, mais si Sandra les avait déjà vus nu, ce n’était pas mon cas. Je pus constater que Pierre était tout en longueur, alors qu’Henri était plutôt en épaisseur.





- Bon ce n’est pas trop mal. Maintenant tu vas finir de les déshabiller, et les remercier d’être venus, en les embrassant partout.

Denis n’était pas dupe, il savait ou Sandra voulait qu’il les embrasse. Lorsqu’ils furent totalement nus, il les prit chacun dans une main, et tout en les masturbant, leur fit tour à tour 4 ou 5 bisous en passant de l’un à l’autre, puis recommençant de l’autre à l’un.
Sandra le prit violemment par les cheveux en l’invectivant :

- Tu vas les amuser encore longtemps comme cela, ce qu’ils veulent, c’est que tu les suces vite fait. Et ne t’avises pas d’en perdre une seule goutte, je suis déjà assez énervée comme cela.

Il se remit à l’action au plus vite, en jouant également de sa langue. Une dizaine de secondes sur l’un, puis sur l’autre, et ainsi de suite. Les garçons n’hésitaient pas à le guider de leurs mains, pour que leur plaisir soit complet. Lorsqu’il avait Pierre en bouche, ce dernier lui pressait la tête le plus profond possible, quitte à l’. Pour Henri, il avait les mâchoires distendues de le prendre entièrement. Ce dernier lui mit une claque magistrale en lui disant :

- Fait attention avec tes dents bon sang, c’est fragile ces choses là.

Denis s’appliqua davantage à satisfaire ses bourreaux. Sandra laissait le trio vivre sa vie, se contentant de sourire à voir le plaisir de ses amis. De mon côté, j’avais fait de magnifiques gros plans de Denis en pleine action. Jamais je n’aurais pensé être si excitée, de voir des garçons se donner du plaisir entre eux. Il faut dire aussi que c’était la première fois que j’assistais à une telle scène, Sandra était beaucoup plus en avance que moi dans ce domaine.

Le premier à montrer son ravissement fut Henri, qui bloqua la tête de Denis, jusqu’à ce qu’il se soit entièrement libéré. Notre tourmenté de service suivit à la lettre les consignes de Sandra, même s’il dût s’y reprendre à plusieurs fois entre deux hauts le cœur pour soulager Henri de manière satisfaisante.
Pierre attendit patiemment qu’Henri termine sa besogne, pour reprendre Denis en main. Il lui fallut encore plusieurs allers et retour buccaux de la part de Denis pour arriver à ses fins. Pris dans son plaisir, Pierre se lâcha sans contrôler sa proie. Cette dernière avala une bonne partie du plaisir, mais reçu le reste sur le visage.

Sandra n’attendait que cela pour se lâcher elle aussi, mais d’une autre manière.

- T’es vraiment pas doué. Nettoies-toi, tu me dégoûtes.

Denis passa ses doigts sur son visage, puis les lécha proprement. Après avoir goûté sa semence la veille, puis celle de nos invités à présent, ce geste ne lui parut guère choquant.

- C’est meilleur qu’un gode. Plaisanta Sandra.

Cela ne sembla guère amuser Denis.

- Le temps que nos amis reprennent des forces, tu vas faire plaisir à notre hôtesse, et aller bien sagement aller coller ta langue entre ses jambes.

Je ne m’attendais pas à une telle proposition de la part de Sandra, mais c’est avec plaisir que je la reçus. J’allai immédiatement m’asseoir sur le bord du canapé en ouvrant bien les cuisses, et en retroussant ma jupe. Ce n’était pas si grave que Pierre et Henri voient mon intimité, j’avais bien découvert la leur aujourd’hui.






Denis s’appliqua du mieux qu’il pouvait, je dois reconnaitre qu’il avait toujours été assez doué pour me donner du plaisir avec sa langue. Ce jour là, il ne dérogea pas à la règle. Comme il avait l’habitude de le faire auparavant, il laissa remonter ses mains vers mes seins pour les caresser. Sandra lui mit une claque magistrale en le sermonnant :

- Tu crois que tu mérites de lui caresser la poitrine. Même pas en rêve!

Tout penaud, il les replaça sur mes cuisses qu’il venait à peine de quitter. De mon côté, j’aurais bien aimé le laisser faire, mais le plan de Sandra pour me débarrasser de lui semblait marcher à merveille, alors pas question pour moi de le faire échouer. Et puis je dois reconnaître que cela m’excitait énormément de voir la déchéance progressive de mon ex.

Quoi qu’il en soit, le spectacle qu’il m’avait donné avec Pierre et Henri m’avait tellement chauffé les sens, qu’il ne me fallut guère de temps pour l’agripper par la tête, et le retenir tout contre mon intimité, en poussant un râle de bonheur.

Sandra ne lui laissa pas le temps de reprendre son souffle pour lui annoncer :

- Les préliminaires c’est fini, à présent on va passer aux choses sérieuses. Pierre et Henri ne vont pas se contenter d’une petite pipe, ton petit trou va découvrir deux produits cent pour cent naturels. Ce sera bien meilleur que le sextoy d’hier.

Denis n’eut pas l’air d’être surpris par l’annonce de mon amie. En acceptant de revenir, il savait bien ce qui l’attendrait ; Sandra avait été assez claire la veille.







- Mets-toi à quatre pattes sur la petite table basse là, et écarte tes genoux pour bien exciter nos invités.

Sans un mot, il prit la position requise, et attendit le bon vouloir de Sandra. Henri et Pierre allèrent se positionner juste devant lui, et présentèrent leur sexe à hauteur de visage de notre « homme-objet » qu’il était devenu.

Sandra n’eut rien besoin de préciser, Denis savait ce qu’il avait à faire. En l’occurrence donner de la vigueur aux deux sexes devant lui. Comme si c’était un geste naturel pour lui, il en prit un dans chacune de ses mains, et les goba l’un après l’autre avec application.

Le premier qui présenta une belle érection fut Pierre, qui alla prendre place derrière Denis. Heureusement pour ce dernier, car Pierre était beaucoup moins large qu’Henri. Sandra, qui avait déjà introduit auparavant le sextoy dans les fesses présentées, retira le gadget pour laisser place à Pierre, qui put pénétrer Denis sans difficultés. Ce dernier était à présent pris entre deux feux : Pierre qui lui perforait le derrière, et Henri qui lui distendait les mâchoires.

Les deux garçons se connaissaient bien, et un seul regard entre eux leur suffit pour savoir ce qu’ils désiraient : échanger leurs places. Pierre se retira pour aller prendre possession de la bouche de leur victime. Dans le même temps, Henri vint se positionner entre les fesses de Denis. Tous deux eurent quelques difficultés pour atteindre leur but. Denis ne se sentait pas capable de sucer le sexe qui venait juste de sortir de son fondement, lequel avait lui aussi quelques maux à s’adapter à la taille du sexe imposant d’Henri.

Mais il en fallait plus que cela aux deux comparses pour refreiner leurs ardeurs. Pierre pinça le nez de Denis, et lorsque ce dernier repris son souffle, son bourreau lui enfonça derechef sa virilité entre les lèvres. La seconde suivante, son va et vient prit immédiatement le rythme. De son côté Henri, après avoir claqué bruyamment les fesses de sa proie, les lui écarta sans précaution, et le pénétra sans ménagement. Le pauvre Denis voulut pousser un cri de douleur, mais Pierre profita de l’occasion pour s’enfoncer jusqu’à sa glotte, manquant de l’.

Ce petit jeu dura un moment entre Pierre et Henri, qui échangeaient constamment leurs positions. Denis ne se rebellait plus à présent, se contentant d’accueillir entre ses lèvres le sexe qui se présentait à lui.

Sandra était aux anges, elle savait qu’elle avait gagné la partie, et que si tout se passait bien, Denis ne tarderait pas à faire partie de son cheptel. De mon côté, j’étais tout aussi excitée par le spectacle des trois garçons, et pour un rien j’aurais joui uniquement de ce que je voyais. Jamais je n’aurais pensé être aussi excitée par la vue de garçons faisant l’amour entre eux.

J’aperçus un petit clin d’œil jeté entre mes deux invités, je compris alors qu’ils n’allaient pas tarder à arriver à la conclusion. En effet, je les vis alors s’activer en cadence, Pierre devant et Henri derrière. Le malheureux Denis, comprit que son tourment allait bientôt prendre fin, et bien qu’il n’ait pas la maîtrise de la situation, il essaya de faire de son mieux pour satisfaire ses tortionnaires. Dans la même seconde deux de ses orifices furent emplis par de la sève masculine.

A peine eut-il fini d’ingérer celle de Pierre, que la sienne s’échappa comme par miracle de son conduit pénien. Trop occupé par ce que chacun nous faisions, personne ne avait remarqué jusqu’à présent que Denis était très excité par ce qu’il subissait. Sandra ne perdit pas une seconde pour lui faire remarquer.

- Espèce de porc, tâche de nettoyer tes souillures vite fait, avant que je ne t’en colle une.





Je pense qu’elle n’aurait même pas eu besoin de le lui dire, il savait ce qu’il avait à faire.

L’après midi avait vite passé, Sandra ainsi qu’Henri et Pierre devaient repartir vers d’autres occupations. Mon amie mis alors ce marché entre les mains de Denis :

- A présent tu as le choix : soit tu repars immédiatement chez toi comme tu es venu, soit tu attends que je me prépare et tu viens avec moi, en sachant que ce que tu viens de subir n’était qu’un petit échantillon de ce qui t’attends. Dans tous les cas oublie Tina, elle ne veut plus entendre parler de toi.

Denis ne fit aucun geste pour repartir chez lui, et lorsque Sandra me quitta, il la suivit comme un bon petit chien, en prenant à peine le temps de s’habiller.

Sandra avait raison, il fallait que je montre aux mecs que c’est moi qui portais la culotte. Excitée par ce que je venais de voir, je n’allais pas tarder à mettre en pratique la leçon que venais de me donner mon amie.

Une nouvelle Tina était née : mon prochain mec aurait intérêt à être docile.


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