Les Buralistes

Les buralistes nouveaux son arrivés. Ils remplacent les anciens partis à la retraite. Je ne fume pas, ma femme non plus. Nous nous rencontrons dans le hall de l’immeuble. C’est Jeanine ma femme qui la première commence à parler à Alba, la femme : elles commencent à sympathiser. Elle se rencontre chez Alba pour un café. Les deux femmes font ce que souvent les femmes font ensemble : elles discutent de tout. Je ne connais Alba que le lendemain quand à son tour elle est chez moi pour ....le café. Elle n’est pas idiote, l’italienne, elle serait même au dessus. Du coup le lendemain je suis invité aussi. Je rencontre donc Luigi, le mari. Bel homme à mes yeux d’homme. Ma femme confirme plus tard qu’il lui plait, qu’elle serait prête à faire des sottises avec lui. Je la calme à ma façon : une bonne baise, celle cotée le plus haut, avec pénétration anale à la fin. Il n’empêche que je me farcirai bien Alba. Je n’en parle surtout pas à ma femme qui pour le coup serait jalouse.
Quand le printemps arrive nous nous voyons facilement. Je les invite pour un samedi soir. Luigi porte un énorme bouquet de roses, ce qui fait plaisir à Ninette. Elle porte le bouquet à la cuisine suivie d’Alba pour mettre les fleurs en vase. Luigi me raconte son histoire d’immigré italien avec un humour extraordinaire. Nous rions quand les femmes sont de retour. La soirée commence à merveille surtout quand Alba ose ses confidences. Je pense qu’elle ne se rend pas compte de l’indécence de ce qu’elle dit : elle raconte comment elle aime se faire mettre, ce n’est pas triste. Je crois Ninette bloquée sur ce sujet, bien qu’elle aime bien l’amour. Elle entre dans des détails réels mais scabreux, surtout quand elle décrit comment elle aime se faire mettre.
Elle finit de mettre les gens dans une situation autre, sur une autre orbite. D’amicale notre réunion se transforme le confessionnal. Ca ne me déplait pas tellement, Luigi écoute attentivement et Alba rajoute des détails personnels.

De confessionnal nous nous retrouvons dans un domaine d’exhibitionnisme. Pour prouver que ses fesses sont agréables à voir, Alba se lève, baisse son jean et sa culotte. Elle se penche en avant : nous voyons tous des fesses en effets splendides. Luigi pour montrer qu’il a l’autorisation pose une main caressante. Un peu embarrassée, Alba ne remet pas le jean, pas plus que la culotte. Nous reprenons la conversation très érotique avec une des femmes à moitié nue. Ninette n’ose pas lui toucher les fesses. L’italienne se rassoit, un peu déçue de ne pas avoir été suivie.
La conversation reprend difficilement avec la présence d’une femme presque nue. Mais Ninette veut rajoute son grain de sel ou de poivre, elle explique que quand elle était jeune, ses premiers rapports étaient avec une chère copine. Elle explique même, détails intimes, qu’elle aimait lécher le sexe de la copine quand elle avait pleine de cyprine : elle aime autant ce nectar que celui d’un homme. La température monte d’un cran, même moi qui connais ce passé j’ai des démangeaisons à la queue. Alba semble être assez d’accord pour commencer une liaison avec ma femme. Elle est tellement d’accord qu’elle se lève pour se déshabiller complètement. Je vois un corps splendide. Tranquille elle est tout près de Ninette qui ne se dérobe pas. Elles se dirigent vers la chambre en nous laissant seuls. Nous les suivons bien sur.
Elles sont presque couchées, Ninette encore revêtue d’un reste de vêtement. C’est Alba qui se laisse caresser la première. Ninette sait ce qu’elle doit faire, ses mains passent à peu près partout du cou aux chevilles. Elle connait parfaitement le corps des femmes. Les bouches d’embrassent longuement, on peut voir les langues bouger dans les bouches. Ninette descend ses lèvres sur les seins d’abord, le ventre ensuite pour s’incruster dans la fente. Là elle y fait des ravages visibles sur le visage d’Alba qui fait des grimaces de bonheur. Elle jouit trop vite. Alba tient la tête de ma femme pour qu’elle ne quitte pas ses merveilleux endroits intimes.

Ma femme se tourne continue à lécher la chatte d’Alba, se met sur elle, les jambes ouvertes pour qu’à son tour elle bénéficie de la langue de son amante. Alba ne connaissait rien au lesbianisme : elle s’y adapte fort bien et vite. Elle lèche aussi ma femme. Mais plus téméraire, elle va plus bas, elle passe le périnée pour lécher l’anus. Un des endroits préférés de mon épouse qui me demande souvent de la lui mettre au cul.
Nous restons comme des idiots à ne pas savoir que faire sinon bander. Je sors ma queue pour me caresser. Luigi sort la sienne, il me donne des complexes, il est plus doté que moi. Il fait comme moi : sa main le caresse aussi.
Les deux femmes nous voient, elles décident sans se concerter d’intervenir. Mais si elles prennent une queue ce n’est pas celle du mari. Je me trouve masturbé par Alba et Luigi par Ninette. Je ne fais aucune différence entre les façons de faire, elles sont aussi douées l’une que l’autre. Alba me fait coucher sur le dos. Elle vient s’empaler sur la queue. Elle est douce à baiser. Ma femme vient s’allonger aussi, mais en mettant sa langue sur l’anus d’Alba en restant les fesses en l’air ; Elle s’offre ainsi à Luigi qui ne la rate pas en venant la baiser. Il va et vient dans son con avant de changer d’ouverture : il a envie d’un cul. Celui de ma femme convit parfaitement. Ninette se laisse défoncer la capsule le temps pour elle de jouir deux ou trois fois. Alba et aussi douée qu’elle : une bite ne lui fait pas peur, elle s’enfile sur mon mandrin. J’entre assez facilement quand elle s’ouvre totalement. Je pénètre dans son petit trou agréable, elle gémit aussitôt. Il lui en faut plus. Elle demande à Luigi d’oublier Ninette pour venir la baiser. On sent la femme sensuelle qui veut jouir à fond. Nous nous arrangeons pour que je sois dans son cul et que lui soit dans le con de sa femme. Dès qu’il entre je sens sa bite. Nous la limons ensemble, elle jouit sans cesse comme si elle ne connaissait pas de fin à ses orgasmes.
A ce jeu, je suis vite perdant. Je sors du cul pour ne pas jouir dedans. Ninette voyant ma queue libre me prend en bouche malgré le fait que je sorte d’un cul autre que le sien. Ces lèvres glissent sur le gland. Je m’enfonce le plus loin possible. Je vais jouir. Elle me fait sortir pour que je jouisse sur elle, que les autres voient mes jets successifs de sperme, de crème blanche. Je lui donne tout sur la figure. Ca coule sur le visage. Et là, surprise, c’est la langue de Luigi qui la débarbouille. Le reste de cyprine est léchée par Alba qui en est amatrice. Quand à Luigi il donne sa queue à ma femme qui la lui bouffe tranquillement. Elle garde précieusement la semence dans sa bouche. Elle vient m’embrasser pour me faire partager le produit de sa chasse.
Les samedis nous alternons les lieux, une fois chez nous, l’autre fois chez eux. Nous partageons nos délires sexuels.

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