Madame V Ma Prof D'Anglais

Ah ! Qui n’a pas fantasmé sur une de ses profs ? Moi je n’avais d’yeux que pour Madame V ma prof d’anglais. Madame V avait une bonne quarantaine d’années, mesurait environ 1m60 et j’estimais difficilement son poids car elle semblait assez maigre. Ca ne l’empêchait pas d’avoir une poitrine bien dessinée qui allait très bien avec son visage fin encadré par des cheveux blonds tombant sur les épaules (mais elle se coiffait souvent en chignon). Ses yeux étaient clairs et je me noyais dedans quand nos regards se croisaient.
L’anglais c’était facile pour moi, je comprenais bien et j’apprenais bien mes leçons en espérant que ça ferait plaisir à ma prof. J’étais motivé et j’avais envie d’être un bon élève dans son cours. Hélas, j’étais dans la crédulité de la jeunesse et j’ai fini par comprendre au bout de quelques mois qu’elle avait beaucoup d’élèves tout aussi agréables en cours que moi. Il fallait que je trouve le petit plus qui me distinguerait du lot. Malheureusement je ne savais pas quoi faire. Avoir des petites attentions pour elle m’aurait attiré la foudre de mes camarades qui m’auraient traité de fayot. Jouer franc jeu avec elle en lui avouant mon attirance c’était très risqué. Bref, je ne savais pas comment faire pour aller plus loin. Ca me perturbait tellement que je n’étais plus très attentif en cours et par conséquent mes notes ont chutées.

Je me souviendrais toujours de ce mardi après-midi, où, au moment de quitter la classe, Madame V me demande de rester quelques minutes car elle veut me parler. Mes camarades quittent la classe et me laissent seul avec elle.
« Et bien Frédéric. Que se passe-t’il ? »
« Bah… rien. Pourquoi ? »
« Ne me mens pas. Je vois bien qu’il y a quelque chose. Tes notes dégringolent. Tu as des problèmes chez toi ? »
« Non, non, tout va bien à la maison »
« Alors qu’est-ce qui ne va pas ? Je peux entendre plein de choses, tu sais.»
C’est l’occasion ou jamais.

Il faudrait que je me lance mais je suis terrorisé à l’idée de lui avouer qu’elle m’attire. Et en plus elle a un chemisier dont les boutons distendus laissent apparaître son soutien-gorge. Il faut que je la regarde elle, pas sa poitrine.
« Et bien, dis moi ce qui ne va pas sinon on ne pourra pas faire avancer les choses. »
« Euh… c’est difficile à dire…. En fait ça me gêne un peu… »
« C’est moi qui te gêne ? »
« Non, pas du tout… bien au contraire… enfin je veux dire…euh que vous me perturbez. »
« Je te perturbe ? Ah bon ? J’ai fais quelque chose qui te tracasse ? »
« Non pas du tout…euh… c’est plutôt… votre façon d’être. »
« Tu trouves que je ne suis pas correcte avec toi ?... Ah, non… attends… Je crois avoir compris… Tu me vois plus comme une femme plutôt que comme une prof ? C’est ça ? »
« Oui »
« Mais tu sais bien que c’est impossible. »
« C’est bien ça le problème. Du coup je ne sais pas comment me positionner. Je suis embarrassé. »
« Moi aussi. Je ne sais pas ce que je peux faire pour toi. Fais remonter tes notes, concentre toi sur le cours et regarde les filles autour de toi. Il y en a bien une à ton goût.»
« D’accord, on fait comme ça. »
Aïe aïe aïe ça n’a pas du tout pris la tournure que j’espérais. Je me faisais déjà un film sur toutes les choses coquines que l’on aurait pu faire ensemble. Au lieu de ça je me trouve pris en faute avec la honte de ma vie. Avec un peu de recul je me dis que ça aurait pu être pire et que Madame V a bien pris les choses.
Les semaines passent, je travaille à nouveau et mes notes remontent. Les vacances arrivent ce qui me permet de me changer les idées mais j’ai toujours ces pensées pour Madame V qui refont surface de temps en temps. Deux semaines après la rentrée je suis à nouveau en admiration devant elle et je me surprend à révâsser le regard en direction de sa poitrine. Elle le remarque ce qui me vaut une petite réflexion à la fin d’un cours.

« Je t’ai vu. Tu étais en train de regarder mon décolleté. »
« Désolé. »
« Allez file. » me dit-elle avec un sourire plein de compréhension.
C’est vrais qu’elle est particulièrement cool car elle pourrait mal le prendre.

Aujourd’hui c’est interrogation surprise. L’interro en elle-même ne me gêne pas. Le plus désagréable c’est que Madame V change les places des élèves pour éviter qu’on copie sur son voisin habituel. Ca m’embête de tomber sur un gros lourd qui veut copier sans cesse et qui n’est pas discret. Les paires sont séparées, les copains éloignés le plus possible et les fraudeurs soupçonnés sont surveillés de près. Quant à moi elle me désigne une table au fond de la classe contre un mur. Tout le monde est installé, je n’ai pas de voisin, au moins je pourrais travailler tranquillement… sauf que Madame V vient s’asseoir à côté de moi. Ca c’est la pire tuile pour les fraudeurs : la prof au fond de la classe. Impossible de tricher sans paraître suspect. Le premier qui se retourne c’est qu’il prépare quelque chose de louche et qu’il veut vérifier ce que fait la prof.
C’est donc parti pour une heure d’exercices et de questions en tout genre. Madame V est juste à côté de moi, je sens son parfum et mon cerveau commence à divaguer. Elle doit voir que je m’éloigne de l’interro car elle me touche le bras pour me faire revenir à la réalité. Peine perdue, quelques minutes plus tard je suis à nouveau déconcentré et je lui lance des regards en biais en espérant voir sa poitrine. Mince ! Elle a repéré mon petit manège et me gronde sans bruit en fronçant les sourcils. Je me replonge sur ma copie. Plus j’avance dans le devoir et plus les exercices sont difficiles. Madame V regarde ce que je fais et elle me donne un petit coup de genou au moment où je fais une erreur. Je corrige aussitôt, c’est stressant d’avoir quelqu’un qui ne me lâche pas d’un centimètre.
Tiens, je sens à nouveau une pression sur ma jambe. Aurai-je fais une erreur ? Bizarre, je n’étais même pas en train d’écrire.
Je regarde Madame V qui surveille la classe, elle réprimande un de mes camarades mais rien pour moi. Cette fois-ci la pression est plus forte et se situe sur mon genou puis remonte sur ma cuisse. Non je ne rêve pas, elle a posé sa main sur ma cuisse et elle me regarde du coin de l’œil. Elle pose un doigt sur ses lèvres m’intimant de garder le silence. Sa main continue de remonter vers le haut de ma cuisse jusqu’à atteindre ma braguette. Madame V me caresse à travers mon pantalon, j’ai une érection d’enfer. Elle saisit ma main et la pose sur sa jambe. Je fais comme elle, je la caresse et je remonte jusqu’à son entrejambe. Je n’en reviens pas, je suis en train de caresser la chatte de ma prof à travers son pantalon. Soudain elle repousse ma main, se lève et se ballade entre les tables pour surveiller. Elle ne reviendra pas s’asseoir à côté de moi, l’interro se termine comme ça. Elle me retient à la sortie. Une fois que tous mes camarades sont sortis elle m’explique que son mari l’a trompée et qu’elle veut se venger en flirtant un peu. Elle ne veut pas de sentiments et elle décidera jusqu’où elle veut aller. Je suis d’accord et nous scellons ce ‘contrat’ par un long baiser. J’ai les jambes qui tremblent quand je la quitte, je me dépêche de rejoindre mes camarades tout en cherchant une excuse bidon à leur fournir pour justifier que Madame V m’ait retenu.
Les cours s’enchaînent sans que rien de plus ne se passe. Elle veut décider de ce qui va se passer alors je la laisse mener le jeu. Je pense qu’elle n’est pas très sûre d’elle et de son choix alors pour le moment on se contente de sourires coquins et de quelques caresses furtives. Ca me donne largement matière à avoir une érection à chaque fois mais j’aimerais quand même aller plus loin. Madame V est prudente, je ne deviens pas son chouchou. Elle continue de m’envoyer au tableau et de se fâcher si je ne réponds pas correctement. Jusqu’au jour où elle me demande de la retrouver sur le parking des professeurs en fin de journée.
A 17h c’est le rush et il y a du monde partout. A 17h10 les bus sont partis et à 17h20 le parking est presque désert mis à part quelques traînards. Madame V sort à ce moment et me fait signe de la suivre. Nous allons à sa voiture où elle me demande de monter. Je m’exécute et elle nous conduit quelques rues plus loin dans un petit chemin tranquille. Elle arrête le moteur et elle m’embrasse longuement. Je comprends tout de suite ce qui va se passer… Sa main me caresse le torse et descend sur ma braguette. J’ai une érection de folie quand j’imagine la suite des évènements. Elle ouvre ma braguette et glisse sa main sur mon caleçon. Je me soulève du siège pour défaire entièrement mon pantalon et descendre mon caleçon. Elle n’hésite pas, se penche sur mon sexe et le prend en bouche. Je crois que je vais exploser tellement c’est bon de sentir sa bouche sur ma verge et sa langue qui vient titiller mon gland. Je me retiens au maximum mais c’est trop difficile et je sens que je vais éjaculer. Je lui demande d’arrêter en lui disant que moi aussi je veux m’occuper d’elle. Nous changeons de place car ce n’est pas facile avec le volant. Elle s’allonge à moitié sur la banquette arrière, les jambes pendant à l’extérieur. Je défais son pantalon et je descends sa culotte en dentelle noire. Je l’enlève complètement pour qu’elle puisse écarter les cuisses me laissant une vue imprenable sur sa chatte. Quelle vision que cette toison courte et claire avec les lèvres légèrement entrouvertes ! Cette image est restée gravée dans ma mémoire comme si je l’avais vue hier. Je caresse ses jambes et j’approche lentement mon visage de son entre-jambes. Ma langue vient se poser sur sa chatte que je goutte avidement. Elle me tient la tête pour me diriger et parfois elle appuie pour que je mette plus de pression. Elle ondule du bassin puis elle m’attire contre elle pour que je la pénètre. Nos sexes entrent en contact, je tâtonne un peu puis je trouve l’entrée et j’avance doucement. J’entre en elle sans difficulté tellement elle est mouillée. Je fais des allers-retours tranquillement sans faire de ‘bourrinage’ mais mon excitation monte sans arrêt. La position n’est pas très confortable et je commence à avoir mal aux abdos. De son côté Madame V s’accroche comme elle peut aux fauteuils et elle pousse de petits gémissements. Ca y est, j’ai atteint le point de non-retour et j’éjacule en elle. Je crois qu’elle n’a pas eu d’orgasme car elle me dit que c’était bien mais que la position n’était pas idéale. Je viens de réaliser un fantasme qui me travaille depuis plusieurs mois alors moi j’ai trouvé ça très bon. Je me retire et je vois mon sperme qui s’écoule hors de sa chatte. Là aussi cette image est restée gravée dans ma mémoire…
Nous nous sommes revus une dizaine de fois pour faire l’amour. Nous avons profité du beau temps pour faire l’amour dehors dans la nature et deux fois je suis allé chez elle.
Quelques mois plus tard elle m’a dit qu’elle souhaitait arrêter notre relation. Ca lui avait fait beaucoup de bien mais elle reprenait une vie ‘normale’ avec son mari. Je savais que ça devait arriver un jour donc je n’ai pas tenté de la faire changer d’avis. J’ai pris énormément de plaisir pendant ces quelques mois et aujourd’hui ça me laisse d’excellents souvenirs.


Seulement dans tes rêves.

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